Duncan Pharma

Ah bah c'est mon cas ça fait 15 jours que je n'ai plus de testo dans le corps

Les galères avec les sources, ça arrive, et c’est pas nouveau. Attendre la dernière minute pour recommander sa testo, c’est comme démarrer une cure sans avoir tout en main : tu finis dans la merde, c’était écrit.

Perso, je cruise toute l’année, et j’ai toujours au moins 500ml de testo en stock. Pas envie de me retrouver à sec à cause d’un imprévu.

Ok, la source galère en ce moment, elle met trois plombes à reship à cause d’un déménagement d’entrepôt, mais faut aussi assumer votre part : la gestion des stocks, c’est votre responsabilité. On joue pas à la roulette avec un cruise ou une cure.
 
Ah oui, faut passer par moi, je suis le seul qui répond. Ça me prends un temps de dingue, j'ai 30 plaintes par jour alors que je peux pas faire grand chose malheureusement
ce qui m'étonne le plus, c'est que c'est toi en personne qui rédige les articles pour remonter la source en haut de page... tu es obligé de te faire ch*er à faire ça ? (en plus de ton travail, de tes entrainement etc).
 
ce qui m'étonne le plus, c'est que c'est toi en personne qui rédige les articles pour remonter la source en haut de page... tu es obligé de te faire ch*er à faire ça ? (en plus de ton travail, de tes entrainement etc).

Nos amis chinois drainent le marché, je pense que c'est devenu moins évident pour toutes les sources classiques.

Ca commence a revenir un peu mais c'est du au fait qu'elles n'ont plus beaucoup de raws ou d'huileux.
Les ventes de GH ça s'est effondré aussi depuis qu'ils sont là.

C'est un peu l'arrivée de Free dans le milieu des stéroïdes
 
Interférences entre Trenbolone et dosage de l’Estradiol : ce que les labos ne disent pas

Introduction

Quand on utilise de la Trenbolone, la mesure de l’estradiol (E2) est souvent prise comme repère pour adapter son protocole : IA ou pas, dosage ajusté ou non, etc.
Mais voilà le hic : si tu fais doser ton E2 avec la mauvaise méthode, t’as une donnée inutile, voire contre-productive.
Et c’est malheureusement ce que font… 90% des labos.

Ce post est là pour t’expliquer pourquoi ton E2 a l’air de grimper sous Trenbo alors que, biologiquement, ce n’est pas possible.
Et surtout, comment contourner ce piège analytique.

---
Pourquoi le dosage d’E2 sous Trenbolone est biaisé

La plupart des gens qui dosent leur estradiol passent par des tests immunologiques, parce que c’est ce qui est dispo en routine (ECLIA, ELISA, etc.).
Ces tests reposent sur des anticorps spécifiques qui détectent le E2... du moins en théorie.

❌ Mais en réalité :
- Les anticorps utilisés dans les immunoessais ne sont pas parfaitement sélectifs
- Ils détectent toute molécule structurellement proche de l’Estradiol
- Or, la Trenbolone (et ses métabolites) a une structure très similaire aux œstrogènes

→ Résultat : ton test croit mesurer du E2, alors qu’il capte aussi de la Trenbo, ou des résidus structuraux proches.
Tu penses être à 400 pg/mL ? En fait t’es peut-être à 25.

Exemples rapportés :
- E2 à 619 pg/mL (ECLIA) → chute à 23 pg/mL après arrêt de la Trenbo
- Autre cas : 72,6 pg/mL en ECLIA contre 19,5 en LC-MS/MS sur le même jour

Ces écarts ne sont pas des anomalies, ce sont des artefacts analytiques répétés et documentés.

Réactivité croisée : c’est quoi exactement ?
C’est le phénomène par lequel un anticorps, censé détecter une molécule cible (ici l’Estradiol), reconnaît à tort d’autres molécules de structure similaire.
Et dans le monde des stéroïdes, les ressemblances sont nombreuses :
- Le noyau stéroïdien est commun à la testostérone, au DHT, à la Trenbo, à la nandrolone, au E2…
- Une simple variation d’un groupement fonctionnel peut suffire pour tromper l’anticorps
---

⚙️ Partie 2 – Les limites spécifiques de la méthode ECLIA

ECLIA (ElectroChemiLuminescence ImmunoAssay)
est l’une des méthodes les plus utilisées.
Elle repose sur :
- Un anticorps capturant l’E2 dans l’échantillon
- Un second anticorps marqué, générant un signal lumineux quand il s’attache

Mais voici les failles :
- Anticorps parfois trop "laxistes" : ils capturent d'autres stéroïdes (Tren, 19-nor, progestines…)
- Métabolites non identifiés dans le sérum qui réagissent malgré eux
- Signal amplifié, mais biaisé → tu obtiens une valeur inutilisable

Certains kits (comme Roche Estradiol II) ont tenté d’améliorer la sélectivité, mais la littérature et les retours terrain sont clairs : les interférences persistent, surtout chez les utilisateurs de stéroïdes exogènes.
---

✅ Partie 3 – LC-MS/MS : la méthode à privilégier

La spectrométrie de masse couplée à la chromatographie liquide (LC-MS/MS)
est aujourd’hui l’outil de référence.
Contrairement à un test immunologique, ici on :
- Sépare les molécules par chromatographie
- Les identifie et les quantifie par leur masse exacte et leur charge ionique

En clair :
- La Trenbo a une masse ≠ de l’E2
- Le test ne la confondra jamais avec de l’œstrogène

✔️ Avantages :

- Pas de réactivité croisée
- Fiabilité analytique
- Données exploitables pour ton protocole (IA, monitoring, etc.)

❗Inconvénient : ce test est souvent payant, non proposé par défaut, et réservé aux labos spécialisés.

Pro tip : demande explicitement "E2 par LC-MS/MS", sinon c’est ECLIA d’office.

---
Partie 4 – Trenbolone, aromatisation et confusions fréquentes

1. La Trenbolone ne s’aromatise pas.

C’est une 19-nor, certes, mais elle ne passe pas par l’enzyme aromatase.
Donc elle ne produit pas d’œstrogènes à partir de sa structure, contrairement à la testostérone.

2. Alors pourquoi certains ont des effets secondaires “estrogéniques” sous Tren ?
Parce que la Trenbolone agit aussi :
- Sur les récepteurs à la progestérone
- Sur la prolactine, via stimulation indirecte (dopamine, PRL…)
- Sur le cortex limbique → sueurs nocturnes, irritabilité, anxiété…

3. Et cette histoire de “Trenbo qui libère des œstrogènes stockés” ?
On la voit passer ici ou là, souvent autour d’un pseudo-compartiment "HC3" ou "conversion locale".
Aucune publication sérieuse ne valide cette hypothèse. Ce sont des extrapolations sans base solide.
Pas d’aromatisation = pas d’E2 produit. Point barre.

---

Partie 5 – En pratique, tu fais quoi ?

→ Tu es sous Tren et tu vois ton E2 grimper au plafond ?

Ne panique pas.
Demande-toi d’abord : quelle est la méthode de dosage ?
→ Si c’est un test immunologique (ECLIA), ton résultat est probablement erroné.

→ Tu veux être sûr ? Reprends un test LC-MS/MS. Tu verras.

→ Tu ajustes ton IA sur la base d’un test ECLIA sous Tren ?

Tu fais probablement une erreur critique de protocole (E2 bas réel + IA = terrain à gyno sèche, perte libido, articulations en carton…)

---

Notes bonus pour les curieux

- Certains labos (aux US notamment) proposent des panels "Enhanced Hormone Panels" en LC-MS/MS : Testo, DHT, E2, Prog, PRL.
- En Europe, difficile à trouver sans ordonnance ou labo privé (Cerba, Synlab, Unilabs…)
- Des IA comme l’exemestane (type stéroïdien) interfèrent parfois aussi sur les dosages immuno, à surveiller.
- Même sans Tren, si tu as des progestines (NPP, Deca), les tests E2 peuvent être faussés pour les mêmes raisons.

---

En résumé :

❌ Les tests immunologiques (ECLIA) sous Trenbolone → pas fiables pour le dosage d’Estradiol


✅ La seule méthode vraiment précise → LC-MS/MS
Interpréter un test, ce n’est pas juste lire un chiffre. C’est savoir comment il a été produit.
 
Il y a peut etre une récompense à la clé
En tout cas ça nous rend service et ça donne plus de vie au forum donc c’est cool

Tu gagnes des choses à être representant oui.
Apres je pourrais faire un message lambda pour faire remonter le topic mais c'est naze je trouve.

Les articles c'est souvent tiré de vidéos Youtube, ca me permet aussi de lire un peu ce qui se dit dans la sphère, même si, au bout de bientôt 15 ans, ca se ressemble tout le temps.
 
Tu gagnes des choses à être representant oui.
Apres je pourrais faire un message lambda pour faire remonter le topic mais c'est naze je trouve.

Les articles c'est souvent tiré de vidéos Youtube, ca me permet aussi de lire un peu ce qui se dit dans la sphère, même si, au bout de bientôt 15 ans, ca se ressemble tout le temps.
Pour ma part j'apprécie tes articles. Ça sort des traditionnels " achetez 2 machins trucs , le troisième gratuit" ou des énièmes réponses à ceux qui s'inquiètent de ne pas recevoir en soirée leur produit qu'ils ont commandé le matin même...
 
Interférences entre Trenbolone et dosage de l’Estradiol : ce que les labos ne disent pas

Introduction

Quand on utilise de la Trenbolone, la mesure de l’estradiol (E2) est souvent prise comme repère pour adapter son protocole : IA ou pas, dosage ajusté ou non, etc.
Mais voilà le hic : si tu fais doser ton E2 avec la mauvaise méthode, t’as une donnée inutile, voire contre-productive.
Et c’est malheureusement ce que font… 90% des labos.

Ce post est là pour t’expliquer pourquoi ton E2 a l’air de grimper sous Trenbo alors que, biologiquement, ce n’est pas possible.
Et surtout, comment contourner ce piège analytique.

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Pourquoi le dosage d’E2 sous Trenbolone est biaisé

La plupart des gens qui dosent leur estradiol passent par des tests immunologiques, parce que c’est ce qui est dispo en routine (ECLIA, ELISA, etc.).
Ces tests reposent sur des anticorps spécifiques qui détectent le E2... du moins en théorie.

❌ Mais en réalité :
- Les anticorps utilisés dans les immunoessais ne sont pas parfaitement sélectifs
- Ils détectent toute molécule structurellement proche de l’Estradiol
- Or, la Trenbolone (et ses métabolites) a une structure très similaire aux œstrogènes

→ Résultat : ton test croit mesurer du E2, alors qu’il capte aussi de la Trenbo, ou des résidus structuraux proches.
Tu penses être à 400 pg/mL ? En fait t’es peut-être à 25.

Exemples rapportés :
- E2 à 619 pg/mL (ECLIA) → chute à 23 pg/mL après arrêt de la Trenbo
- Autre cas : 72,6 pg/mL en ECLIA contre 19,5 en LC-MS/MS sur le même jour

Ces écarts ne sont pas des anomalies, ce sont des artefacts analytiques répétés et documentés.

Réactivité croisée : c’est quoi exactement ?
C’est le phénomène par lequel un anticorps, censé détecter une molécule cible (ici l’Estradiol), reconnaît à tort d’autres molécules de structure similaire.
Et dans le monde des stéroïdes, les ressemblances sont nombreuses :
- Le noyau stéroïdien est commun à la testostérone, au DHT, à la Trenbo, à la nandrolone, au E2…
- Une simple variation d’un groupement fonctionnel peut suffire pour tromper l’anticorps
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⚙️ Partie 2 – Les limites spécifiques de la méthode ECLIA

ECLIA (ElectroChemiLuminescence ImmunoAssay)
est l’une des méthodes les plus utilisées.
Elle repose sur :
- Un anticorps capturant l’E2 dans l’échantillon
- Un second anticorps marqué, générant un signal lumineux quand il s’attache

Mais voici les failles :
- Anticorps parfois trop "laxistes" : ils capturent d'autres stéroïdes (Tren, 19-nor, progestines…)
- Métabolites non identifiés dans le sérum qui réagissent malgré eux
- Signal amplifié, mais biaisé → tu obtiens une valeur inutilisable

Certains kits (comme Roche Estradiol II) ont tenté d’améliorer la sélectivité, mais la littérature et les retours terrain sont clairs : les interférences persistent, surtout chez les utilisateurs de stéroïdes exogènes.
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✅ Partie 3 – LC-MS/MS : la méthode à privilégier

La spectrométrie de masse couplée à la chromatographie liquide (LC-MS/MS)
est aujourd’hui l’outil de référence.
Contrairement à un test immunologique, ici on :
- Sépare les molécules par chromatographie
- Les identifie et les quantifie par leur masse exacte et leur charge ionique

En clair :
- La Trenbo a une masse ≠ de l’E2
- Le test ne la confondra jamais avec de l’œstrogène

✔️ Avantages :

- Pas de réactivité croisée
- Fiabilité analytique
- Données exploitables pour ton protocole (IA, monitoring, etc.)

❗Inconvénient : ce test est souvent payant, non proposé par défaut, et réservé aux labos spécialisés.

Pro tip : demande explicitement "E2 par LC-MS/MS", sinon c’est ECLIA d’office.

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Partie 4 – Trenbolone, aromatisation et confusions fréquentes

1. La Trenbolone ne s’aromatise pas.

C’est une 19-nor, certes, mais elle ne passe pas par l’enzyme aromatase.
Donc elle ne produit pas d’œstrogènes à partir de sa structure, contrairement à la testostérone.

2. Alors pourquoi certains ont des effets secondaires “estrogéniques” sous Tren ?
Parce que la Trenbolone agit aussi :
- Sur les récepteurs à la progestérone
- Sur la prolactine, via stimulation indirecte (dopamine, PRL…)
- Sur le cortex limbique → sueurs nocturnes, irritabilité, anxiété…

3. Et cette histoire de “Trenbo qui libère des œstrogènes stockés” ?
On la voit passer ici ou là, souvent autour d’un pseudo-compartiment "HC3" ou "conversion locale".
Aucune publication sérieuse ne valide cette hypothèse. Ce sont des extrapolations sans base solide.
Pas d’aromatisation = pas d’E2 produit. Point barre.

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Partie 5 – En pratique, tu fais quoi ?

→ Tu es sous Tren et tu vois ton E2 grimper au plafond ?

Ne panique pas.
Demande-toi d’abord : quelle est la méthode de dosage ?
→ Si c’est un test immunologique (ECLIA), ton résultat est probablement erroné.

→ Tu veux être sûr ? Reprends un test LC-MS/MS. Tu verras.

→ Tu ajustes ton IA sur la base d’un test ECLIA sous Tren ?

Tu fais probablement une erreur critique de protocole (E2 bas réel + IA = terrain à gyno sèche, perte libido, articulations en carton…)

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Notes bonus pour les curieux

- Certains labos (aux US notamment) proposent des panels "Enhanced Hormone Panels" en LC-MS/MS : Testo, DHT, E2, Prog, PRL.
- En Europe, difficile à trouver sans ordonnance ou labo privé (Cerba, Synlab, Unilabs…)
- Des IA comme l’exemestane (type stéroïdien) interfèrent parfois aussi sur les dosages immuno, à surveiller.
- Même sans Tren, si tu as des progestines (NPP, Deca), les tests E2 peuvent être faussés pour les mêmes raisons.

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En résumé :

❌ Les tests immunologiques (ECLIA) sous Trenbolone → pas fiables pour le dosage d’Estradiol

✅ La seule méthode vraiment précise → LC-MS/MS
Interpréter un test, ce n’est pas juste lire un chiffre. C’est savoir comment il a été produit.
Pas evident de trouver un labo qui fait e2 ultraS. Deja a la question il beug tous lol
 
Reçu ce matin pas une grosse commande pour une 1er
Ça aura mis 1 mois
Par contre 0 surprise comme annoncé
 

Pièces jointes

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    20250516_111050.jpg
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Dernière édition:
Je vous poste mon schéma de training, je suis dessus depuis des mois. C'est pas mal.

Je varie les méthodes d'intensification en fonction de l'envie de ma forme. Les abdos sont travaillés EOD au minimum.

Pourquoi j’ai inversé quadris/ischios entre la semaine A et la semaine B :

Objectif principal :
équilibrer la récupération locale et systémique.

Semaine A :

Mercredi : Quadriceps (Squat, Presse, Fentes…)

Samedi : Ischios & Fessiers (Hip Thrust, SDT jambes tendues, etc.)

Semaine B :

Mercredi : Ischios & Fessiers

Samedi : Quadriceps

Pourquoi cette alternance est utile ?

1. Éviter la monotonie et la surcharge cumulative :

Si tu fais toujours les quadris le mercredi, tu charges constamment le même jour de la semaine, avec les mêmes tensions (genoux, hanches, fatigue centrale).

Alterner te permet d’avoir une variabilité neuromusculaire, ce qui aide à rester frais et à stocker plus de qualité dans chaque séance.

2. Meilleure répartition de la charge articulaire :

Les quadriceps (squat, presse…) fatiguent plus le système nerveux central et les articulations du genou.

Les ischios/fessiers (hip thrust, SDT jambes tendues) tapent plus les ischios, fessiers et lombaires.

En alternant les jours, tu permets à chaque zone de récupérer articulièrement et tendineusement d’une semaine sur l’autre.

3. Donner à chaque groupe sa place en “priorité de fraîcheur” :

Une semaine, tu tapes les quadris frais en milieu de semaine.

La semaine d’après, ce sont les ischios qui sont prioritaires à ce moment-là.

Pourquoi plus de volume quadriceps ?

C’est un muscle avec une bonne résistance à la fatigue, surtout le vaste externe/interne.

Il est plus volumineux structurellement chez la plupart des pratiquants.

Il est moins stimulé indirectement que les ischios dans le reste du training. Dès que tu fais du hip thrust, du SDT jambes tendues, voire du rowing lourd ou du squat profond, les ischios sont recrutés passivement.

Le risque de sur-solliciter la chaîne postérieure est plus élevé

Les ischios/fessiers sont liés à la charnière lombaire, qui est déjà un point de vigilance pour moi.
Trop de volume direct = fatigue nerveuse, tensions lombaires, récupération plus lente.

Semaine A

Lundi – Pull (Dos + Biceps + Arrière d’Épaule)


1. Tirage vertical pronation – 4x8-10

2. Rowing unilatéral sur banc incliné – 3x10

3. Pullover à la poulie – 3x12-15

4. Curl incliné haltères – 3x10-12

5. Curl marteau corde – 3x12

6. Reverse Pec Deck – 3x15

---

Mardi – Push (Pecs + Triceps + Épaules latérales)

1. Développé incliné haltères – 4x8-10

2. Développé couché guidé – 3x8-12

3. Écarté poulie – 3x12-15

4. Élévations latérales poulie – 4x12-15

5. Dips assistés – 3x10-12

6. Extension triceps corde – 3x12-15

---

Mercredi – Jambes (Quadris + Mollets)

1. Hack squat ou Safety bar squat – 4x8-10

2. Presse jambes pieds serrés – 4x12

3. Fentes arrière – 3x12

4. Leg extension – 3x15

5. Mollets debout – 4x15

6. Mollets presse – 4x15

---

Vendredi – Bras Focus + Épaules


1. Curl barre EZ – 4x10-12

2. Curl pupitre ou spider curl – 3x12

3. Curl marteau croisé – 3x12

4. Dips machine – 3x8-10

5. Extensions triceps poulie – 3x12-15

6. Élévations latérales (dropset ou rest-pause) – 4x15-20

---

Samedi – Jambes (Ischios + Fessiers + Mollets)

1. Hip thrust barre – 4x10

2. SDT jambes tendues haltères – 3x10

3. Leg curl assis – 4x12

4. Leg curl allongé – 3x12

5. Mollets assis – 4x15

6. Mollets presse – 4x15

---

Semaine B

Lundi – Pull (Largeur + Biceps)


1. Tirage vertical supination – 4x8-10

2. Rowing machine neutre – 3x12

3. Pullover poulie – 3x12

4. Curl incliné – 3x12

5. Curl spider – 3x12

---

Mardi – Push (Épaules + Pecs + Triceps)

1. Développé militaire haltères – 4x8

2. Développé couché haltères – 3x10

3. Élévations latérales – 4x15

4. Extension nuque unilatérale – 3x12

5. Dips – 3x10-12

6. Facepull – 3x20

---

Mercredi – Jambes (Ischios + Fessiers)

1. Hip thrust – 4x8-10

2. SDT jambes tendues – 3x10

3. Leg curl assis – 4x12

4. Donkey kick machine ou câble – 3x12

5. Mollets assis – 4x15

--

Vendredi – Full Upper léger (tension / technique)

1. Développé incliné haltères – 3x10

2. Rowing poulie basse – 3x12

3. Curl haltères supination – 3x12

4. Extensions triceps corde – 3x12

5. Élévations latérales – 3x20

6. Facepull – 2x20

--

Samedi – Jambes (Quadris + Mollets)

1. Hack squat – 4x10

2. Presse jambes – 3x12

3. Fentes marchées – 3x12

4. Leg extension – 3x15

5. Mollets debout – 4x15

6. Mollets presse – 4x15
 
@GiantMuscle Le seul exo on avait en commun avec ma prog cette semaine poto c’est les fente marcher mdr op c’est tj ça ^^
Et encore c’était barré en overhead chez moi
Que les épaules bosse un peut avec mdr et le gainage
 
ChatGPT Image 19 mai 2025, 14_46_48 (1).png

Digestion, calories et stéroïdes : l'autre guerre silencieuse du bodybuilding
Par GiantMusclepour Mesorx


Introduction – La muscu, c’est pas que des muscles
Quand on parle d’hypertrophie, on pense tout de suite à la charge progressive, aux split intelligents, aux produits, aux cycles, aux taux de testo... mais rarement à l’organe qui détermine ce que tu absorbes : ton système digestif.


Et pourtant, c’est bien là que tout commence. Avant de parler de mTOR, de récepteurs androgènes ou d’hypertrophie sarcoplasmique, pose-toi une question simple : es-tu capable d’assimiler ce que tu manges ? Parce que manger 5000 kcal c’est une chose, les absorber et les utiliser... c’est une autre histoire.


Dans cet article, on va creuser en profondeur pourquoi la digestion est un facteur déterminant en bodybuilding, surtout lorsqu’on est "assisté". Et pourquoi les enzymes digestives et les soutiens organiques ne sont pas un bonus, mais une fondation.


️Une surcharge digestive inévitable

Ton poids de corps a évolué. Ton volume d’entraînement a explosé. Mais ton estomac, ton pancréas et ton foie n’ont pas doublé de taille. Ces organes restent calibrés pour une consommation dite "normale" (2000–2500 kcal/jour).


Or, en bodybuilding, même en période de maintien, on tourne souvent à 3000–3500 kcal. En prise de masse, c’est facilement 4500–7000 kcal. Voici ce que ça implique :

  • 5 à 7 repas par jour, parfois espacés de 2–3h max
  • Des digestions incomplètes qui s’enchaînent
  • Un afflux massif de protéines lentes, de graisses complexes, de légumes fibreux et d’aliments denses
  • Des périodes de stagnation inexpliquées ("je mange plus mais je ne prends rien")

Tu rajoutes à ça un foie qui doit déjà gérer les métabolites d’estérification, les déchets azotés, le stress oxydatif induit par les produits... et tu comprends que ton système digestif est en surcharge chronique.


Stéroïdes : accélérateurs ou saboteurs ?


Les anabolisants ont plusieurs effets directs et indirects sur le système digestif :


1. Ils augmentent les besoins métaboliques

  • Plus de masse → plus de demandes énergétiques
  • Plus de protéines à gérer → plus de déchets azotés à filtrer

2. Ils modifient les fonctions gastro-intestinales

  • Trenbolone → peut induire un état inflammatoire chronique, dérègler la motilité intestinale et baisser l’appétit
  • Anadrol et Dianabol → très hépatotoxiques, limitent la production de bile
  • HGH → peut ralentir la vidange biliaire et causer des troubles pancréatiques à long terme
  • Insuline → améliore l’absorption, mais peut provoquer hypoglycémies, crampes digestives, variation brutale de la glycémie

3. Ils fatiguent les organes digestifs

  • Le foie, le pancréas et la vésicule sont sollicités en permanence pour métaboliser les composés, activer les enzymes, stocker/détoxifier/décomposer.
  • À terme, ça peut provoquer une stéatose, un ralentissement des enzymes endogènes ou un déséquilibre de la flore intestinale.

Résultat ? Ballonnements, flatulences, malabsorption, fatigue post-repas, stagnation musculaire, voire douleurs chroniques ou pathologies digestives.

Enzymes digestives : un levier oublié

Les enzymes sont des catalyseurs biochimiques naturels. Elles décomposent les aliments en nutriments absorbables. En théorie, ton corps les fabrique. Mais en pratique, il n’a pas été conçu pour digérer 6 repas massifs tous les jours pendant 9 mois de l’année.


Un complexe bien dosé peut comprendre :

  • Bétaïne HCl : booste l’acidité gastrique pour activer la pepsine, essentielle à la digestion des protéines animales
  • Pepsine : commence la dégradation des protéines en peptides
  • Pancréatine : mélange d’amylase, lipase, protéase = digestion multi-macros
  • Bile de bœuf : soutien à l’émulsification des lipides et absorption des vitamines liposolubles
  • Bromélaïne, papaïne : enzymes végétales utiles pour compléter les enzymes pancréatiques

Objectif : soulager le pancréas et le foie, améliorer la digestion, réduire les déchets non transformés et maximiser l’absorption.


Utilisation stratégique

Quand ?


  • À chaque repas dense en protéines (>40g)
  • En prise de masse prolongée
  • En cas de stack lourd (Tren, Anadrol, HGH...)
  • Si tu ressens des troubles digestifs chroniques
  • Pendant ou après une cure de médocs/antibios

Comment ?
  • 1 à 2 capsules 5 à 10 min avant ou pendant le repas
  • Évite le jeun total (les enzymes sont actives en présence de substrat alimentaire)

Quels produits ?

  • Now Super Enzymes
  • Masszymes (BiOptimizers)
  • Digest Gold (Enzymedica)
  • NutriDyn Digestive Enzymes

Soutiens naturels en synergie

  • Curcuma + poivre noir : anti-inflammatoire hépatique
  • Desmodium, Chardon-Marie : régénération hépatique
  • Radis noir, artichaut : stimulent la bile
  • Gingembre : stimule la vidange gastrique et réduit les nausées
  • DGL (réglisse déglycyrrhizinée) : réduit l’acidité sans bloquer la digestion
  • Probiotiques ciblés : après gastro, stress, antibios

Digestion et performance cognitive
Tu veux t'entraîner fort, être focus, bien dormir ? La digestion joue un rôle énorme :

  • Un système digestif perturbé = inflammation systémique = cortisol élevé = mauvais sommeil = moins de récup
  • Digestion lente = fatigue nerveuse post-prandiale = baisse de la concentration = baisse de la perf

Conclusion – La digestion, levier ignoré du progrès

En musculation, on aime les variables visibles : charge, perf, poids, cycle, dosage. Mais on oublie trop souvent les rouages invisibles.

Et la digestion est au cœur de tout :

  • Elle décide de ce que tu construis ou rejettes
  • Elle influence ta récupération, ton système immunitaire, ta cognition
  • Elle est sous pression constante si tu es en volume élevé, assisté ou surchargé

Ne la laisse pas devenir ton talon d’Achille.

Les enzymes digestives, c’est pas un gadget. C’est un outil de performance, de récupération et de prévention.
 
Regarde la pièce jointe 74377

Digestion, calories et stéroïdes : l'autre guerre silencieuse du bodybuilding
Par GiantMusclepour Mesorx


Introduction – La muscu, c’est pas que des muscles
Quand on parle d’hypertrophie, on pense tout de suite à la charge progressive, aux split intelligents, aux produits, aux cycles, aux taux de testo... mais rarement à l’organe qui détermine ce que tu absorbes : ton système digestif.


Et pourtant, c’est bien là que tout commence. Avant de parler de mTOR, de récepteurs androgènes ou d’hypertrophie sarcoplasmique, pose-toi une question simple : es-tu capable d’assimiler ce que tu manges ? Parce que manger 5000 kcal c’est une chose, les absorber et les utiliser... c’est une autre histoire.


Dans cet article, on va creuser en profondeur pourquoi la digestion est un facteur déterminant en bodybuilding, surtout lorsqu’on est "assisté". Et pourquoi les enzymes digestives et les soutiens organiques ne sont pas un bonus, mais une fondation.


️Une surcharge digestive inévitable

Ton poids de corps a évolué. Ton volume d’entraînement a explosé. Mais ton estomac, ton pancréas et ton foie n’ont pas doublé de taille. Ces organes restent calibrés pour une consommation dite "normale" (2000–2500 kcal/jour).


Or, en bodybuilding, même en période de maintien, on tourne souvent à 3000–3500 kcal. En prise de masse, c’est facilement 4500–7000 kcal. Voici ce que ça implique :

  • 5 à 7 repas par jour, parfois espacés de 2–3h max
  • Des digestions incomplètes qui s’enchaînent
  • Un afflux massif de protéines lentes, de graisses complexes, de légumes fibreux et d’aliments denses
  • Des périodes de stagnation inexpliquées ("je mange plus mais je ne prends rien")

Tu rajoutes à ça un foie qui doit déjà gérer les métabolites d’estérification, les déchets azotés, le stress oxydatif induit par les produits... et tu comprends que ton système digestif est en surcharge chronique.


Stéroïdes : accélérateurs ou saboteurs ?


Les anabolisants ont plusieurs effets directs et indirects sur le système digestif :


1. Ils augmentent les besoins métaboliques

  • Plus de masse → plus de demandes énergétiques
  • Plus de protéines à gérer → plus de déchets azotés à filtrer

2. Ils modifient les fonctions gastro-intestinales

  • Trenbolone → peut induire un état inflammatoire chronique, dérègler la motilité intestinale et baisser l’appétit
  • Anadrol et Dianabol → très hépatotoxiques, limitent la production de bile
  • HGH → peut ralentir la vidange biliaire et causer des troubles pancréatiques à long terme
  • Insuline → améliore l’absorption, mais peut provoquer hypoglycémies, crampes digestives, variation brutale de la glycémie

3. Ils fatiguent les organes digestifs

  • Le foie, le pancréas et la vésicule sont sollicités en permanence pour métaboliser les composés, activer les enzymes, stocker/détoxifier/décomposer.
  • À terme, ça peut provoquer une stéatose, un ralentissement des enzymes endogènes ou un déséquilibre de la flore intestinale.

Résultat ? Ballonnements, flatulences, malabsorption, fatigue post-repas, stagnation musculaire, voire douleurs chroniques ou pathologies digestives.

Enzymes digestives : un levier oublié

Les enzymes sont des catalyseurs biochimiques naturels. Elles décomposent les aliments en nutriments absorbables. En théorie, ton corps les fabrique. Mais en pratique, il n’a pas été conçu pour digérer 6 repas massifs tous les jours pendant 9 mois de l’année.


Un complexe bien dosé peut comprendre :

  • Bétaïne HCl : booste l’acidité gastrique pour activer la pepsine, essentielle à la digestion des protéines animales
  • Pepsine : commence la dégradation des protéines en peptides
  • Pancréatine : mélange d’amylase, lipase, protéase = digestion multi-macros
  • Bile de bœuf : soutien à l’émulsification des lipides et absorption des vitamines liposolubles
  • Bromélaïne, papaïne : enzymes végétales utiles pour compléter les enzymes pancréatiques

Objectif : soulager le pancréas et le foie, améliorer la digestion, réduire les déchets non transformés et maximiser l’absorption.


Utilisation stratégique

Quand ?


  • À chaque repas dense en protéines (>40g)
  • En prise de masse prolongée
  • En cas de stack lourd (Tren, Anadrol, HGH...)
  • Si tu ressens des troubles digestifs chroniques
  • Pendant ou après une cure de médocs/antibios

Comment ?
  • 1 à 2 capsules 5 à 10 min avant ou pendant le repas
  • Évite le jeun total (les enzymes sont actives en présence de substrat alimentaire)

Quels produits ?

  • Now Super Enzymes
  • Masszymes (BiOptimizers)
  • Digest Gold (Enzymedica)
  • NutriDyn Digestive Enzymes

Soutiens naturels en synergie

  • Curcuma + poivre noir : anti-inflammatoire hépatique
  • Desmodium, Chardon-Marie : régénération hépatique
  • Radis noir, artichaut : stimulent la bile
  • Gingembre : stimule la vidange gastrique et réduit les nausées
  • DGL (réglisse déglycyrrhizinée) : réduit l’acidité sans bloquer la digestion
  • Probiotiques ciblés : après gastro, stress, antibios

Digestion et performance cognitive
Tu veux t'entraîner fort, être focus, bien dormir ? La digestion joue un rôle énorme :

  • Un système digestif perturbé = inflammation systémique = cortisol élevé = mauvais sommeil = moins de récup
  • Digestion lente = fatigue nerveuse post-prandiale = baisse de la concentration = baisse de la perf

Conclusion – La digestion, levier ignoré du progrès

En musculation, on aime les variables visibles : charge, perf, poids, cycle, dosage. Mais on oublie trop souvent les rouages invisibles.

Et la digestion est au cœur de tout :

  • Elle décide de ce que tu construis ou rejettes
  • Elle influence ta récupération, ton système immunitaire, ta cognition
  • Elle est sous pression constante si tu es en volume élevé, assisté ou surchargé

Ne la laisse pas devenir ton talon d’Achille.

Les enzymes digestives, c’est pas un gadget. C’est un outil de performance, de récupération et de prévention.
Commande passé: Now super enzymes, merci Giant!
Super post!
J'ai rajouté probiotique 5 milliard
 
Sur HSN je prends ça régulièrement :



Pour moi c'est le plus important, après ça dépend du contexte
 

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