Définir le naturel

Je trouve aussi que la question de la frontière n'est pas inintéressante.

Comme on dit, ce n'est pas parce que la berge existe que le fleuve et la terre ferme n'existent pas.

Les enjeux économiques derrière cette question sont colossaux.

Moi même je ne sais pas où placer le curseur selon des critères tangibles. Par exemple un sécrétagogue (ce n'est pas l'hormone) ? Natty ou pas ? Si non le sucre qui fait secreter de l'insuline ? Natty on est tous d'accord a priori... Quant à l'insuline ? Natty ou pas ? On a tous tendance à dire non... Et l'insuline pour un diabétique ? natty ou pas ?

Bref, le débat est sans fin et les tenants et aboutissants sont autant économiques que sociétaux.
Très intéressant je dirais même
Surtout les exemples que t'as donné
Ph, inhibteurs, Secrétagogues, insuline etc
 
Certaines alertes ont été effectuées par les autorités d'état on va dire, sur les toilettes qui sont de véritables chiottes à médicaments (contraceptifs, etc...).

Que des dosages infimes mais existants dans l'eau que l'on boit tout les jours, douche, etc...

Sans parler des pertubateurs endocriniens dont nous sommes infestés du réveil au coucher.

Je trouve au contraire que de manière très simpliste, jamo soulève un sujet extrêmement vaste que nier serait faire la politique de l'autruche.
 
J'aime bien jamo et sa façon de penser.

Maintenant,ce qui est sur,ses conseils vont dans le sens de son coaching et de ses futures inscriptions.

Lui,a prit une certaine direction par rapport à la chimie,et le précise bien, ne critique pas systématiquement ,ceux qui ont prit un autre chemin,ça j'apprécie.

Maintenant,je crois qu'il a fait ses meilleurs vidéos,car une fois les meilleurs sujets épuisés,la suite devient plus dure:(
 
Je trouve aussi que la question de la frontière n'est pas inintéressante.

Comme on dit, ce n'est pas parce que la berge existe que le fleuve et la terre ferme n'existent pas.

Les enjeux économiques derrière cette question sont colossaux.

Moi même je ne sais pas où placer le curseur selon des critères tangibles. Par exemple un sécrétagogue (ce n'est pas l'hormone) ? Natty ou pas ? Si non le sucre qui fait secreter de l'insuline ? Natty on est tous d'accord a priori... Quant à l'insuline ? Natty ou pas ? On a tous tendance à dire non... Et l'insuline pour un diabétique ? natty ou pas ?

Bref, le débat est sans fin et les tenants et aboutissants sont autant économiques que sociétaux.
Pour moi les secretagogues ne sont pas des dopants, ils n'ameliorent pas tes capacités naturelles, ils les optimisent, c'est different. L'insuline pour les diabetiques, à dose physiologiques, ce n'est pas un dopant non plus, ma tante et insulino-dependante de naissance, elle a jamais eu la santé d'une personne dopée, bien au contraire.

L'erreur est de considerer la frontiere par rapport aux seules molecules alors que c'est le protocole et le dosage qui fait le dopage. Un mec en TRT qui s'injecte 250mg de testo E tous les 15 jours afin d'atteindre des niveaux dans la norme n'est pas dopé, il est juste soigné à la testosterone.

Apres on peut debattre des heures mais comme l'a rappellé Kram7, c'est la loi et les reglements sportifs qui definissent la frontiere... Le reste c'est philosophique. Je ne vois d'ailleurs pas l'interet de se poser la question en dehors de ce cadre. Aujourd'hui le dopage est illegal du point de vue de la loi pour des raisons de santé publique et interdit par les instances sportifves pour des raisons d'equité sportive. Le terme natty est propre au bb, dans les autres sports on ne parle pas de dopés et de "natty", on parle juste de tricheurs.
 
Juste en préambule de ma réponse, je ne défends aucun point de vue, je dis que la question est intéressante. Je ne cherche pas à gagner une joute verbale que ce soit clair, il n'y a rien à gagner de toute manière :p.

Pour moi les secretagogues ne sont pas des dopants, ils n'ameliorent pas tes capacités naturelles, ils les optimisent, c'est different.
Dans ce cas, le mk-677 (par exemple) n'est pas un dopant (non ce n'est pas un SARM). Moi ça me va, c'est pas la question, mais ce n'est pas l'avis de tout le monde.

L'insuline pour les diabetiques, à dose physiologiques, ce n'est pas un dopant non plus, ma tante et insulino-dependante de naissance, elle a jamais eu la santé d'une personne dopée, bien au contraire.
Parce que ta grand-mère n'a pas fait de sport de force ou de BB :p !
Pour la petite histoire, je me suis entrainé un an (en force athlé) avec un type qui concourrait au niveau France (bien classé dans sa catégorie), médecin du sport de son état, et qui était diabétique insulinodépendant.
De son propre aveu, l'insuline était une aide précieuse. Bien sûr qu'il en avait besoin ne serait-ce que pour vivre, mais il pouvait non seulement se permettre des doses extra-physiologiques et de plus pouvait optimiser le timing de la prise. Il n'hésitait pas à considérer la chose comme un avantage par rapport aux autres compétiteurs (ce que je trouvais assez honnête de sa part).

L'erreur est de considerer la frontiere par rapport aux seules molecules alors que c'est le protocole et le dosage qui fait le dopage.
En effet tu as raison.

Un mec en TRT qui s'injecte 250mg de testo E tous les 15 jours afin d'atteindre des niveaux dans la norme n'est pas dopé, il est juste soigné à la testosterone.
Un compétiteur à qui il sera prescrit une TRT à 250 mg d'androtardyl toutes les 2 semaines (soit 190 mg environ de testo pure si on excepte l'ester) sera rapidement tenté (ou orienté par un médecin du sport compétent) par splitter son apport en une prise de 62.5 mg de testo E (45 mg de testo pure) tous les 3.5 jours (même dosage).

upload_2017-9-27_11-8-55.png

Avec cette posologie, il pourra compter sur un relargage de testo (pure) dans la circulation sanguine entre environ 7 et 12 mg par jour, ce qui est dans la fourchette haute de la production physiologique (grosso modo 3 à 10 mg par jour).

Il sera donc avantagé par rapport à un athlète naturel ayant une production de testostérone basse ou moyenne.

Apres on peut debattre des heures mais comme l'a rappellé Kram7, c'est la loi et les reglements sportifs qui definissent la frontiere... Le reste c'est philosophique.
Perso j'aurais tendance à dire le contraire. C'est les règlements sportifs qui s'appuient sur des bases PARFOIS (j'insiste sur le parfois) douteuses pour fixer la limite (mélange de science et de morale/éthique etc.).
Pour moi cela mériterait d'être beaucoup plus solide comme base.

Je ne vois d'ailleurs pas l'interet de se poser la question en dehors de ce cadre.
Tu as raison, mais on peut tout de même se poser la question des fondements de cette doctrine (au vrai sens du terme), c'est ça qui est m'est avis intéressant.

Aujourd'hui le dopage est illegal du point de vue de la loi pour des raisons de santé publique et interdit par les instances sportifves pour des raisons d'equité sportive. Le terme natty est propre au bb, dans les autres sports on ne parle pas de dopés et de "natty", on parle juste de tricheurs.
Les raisons de santé publique sont claires. Par contre, les autorités sont plus frileuses sur d'autres dossiers plus brûlants posant des problèmes de santé publique autrement plus complexes mais avec des enjeux économiques colossaux (ça sert à rien je pense de s'étendre dessus, mais alcool, tabac, pollution, polluants agricoles, perturbateurs endocriniens etc. ont un impact tout aussi délétère sur la santé publique que les produits dopants). Il y a des raisons culturelles derrière cela (tabac, alcool), et éthiques.

Les raisons d'équité sportives sont beaucoup plus douteuses.
Déjà, au vu de ce qui a été dit avant, certains protocoles médicaux acceptés confèrent des avantages non négligeables à certains compétiteurs.
De plus, certains sportifs ont accès à des moyens qui ne sont pas accessibles à tous (centres d'entrainement en altitude, caissons hyperbares, suivi médical adapté etc.).
De plus, sans jouer les complotistes, il semble assez évidents que les sportifs les mieux entourés bénéficient d'une assistance au dopage et à la dissimulation de dopage (ne sont tricheurs que ceux qui se font attraper ;)) bien plus efficace.
Donc le dopage bien qu'interdit fait quand même partie du jeu et est source d'autant d’iniquité (si ce n'est plus) qu'un sport dans lequel c'est toléré tacitement (Cf. certaines fédérations de powerlifting).
Sans compter qu'il est beaucoup plus répandu dans les sports dans lequel il est prohibé que ce que l'on peut imaginer en tant que simple amateur desdits sports.


Pour finir, l'intérêt pour moi est de poser la question des limites clairement. Et au vu des différents échanges, pour moi la question est posée en ces termes (pour l'instant) :
- Pour quelle raison y-a-t-il besoin d'une frontière ?
- Sur quelle base scientifique la distinction législative entre produit (et / ou protocole) dopant est faite ? Et si celle-ci n'est pas adaptée, comment l'améliorer ?
- Y-a-t-il éventuellement des moyens de fonctionner alternatifs plus justes pour des raisons d'équité sportive ?
 
Jamo a fait de tres bonnes videos, vraiment intéressantes avec sa façon de voir le body a travers sa propre histoire et carrière.

Mais la franchement ca frise le ridicule, on dirait du JCVD.

Screen Shot 2017-09-27 at 5.12.21 PM.png

Il est vrai qu il a deja fait pas mal de video et que ca devient difficile de trouver de nouveaux sujets. Mais comme ca chaine c est une partie de ses revenus et la vitrine de son business et bien il faut continuer a sortir des videos...
 
Juste en préambule de ma réponse, je ne défends aucun point de vue, je dis que la question est intéressante. Je ne cherche pas à gagner une joute verbale que ce soit clair, il n'y a rien à gagner de toute manière :p.


Dans ce cas, le mk-677 (par exemple) n'est pas un dopant (non ce n'est pas un SARM). Moi ça me va, c'est pas la question, mais ce n'est pas l'avis de tout le monde.


Parce que ta grand-mère n'a pas fait de sport de force ou de BB :p !
Pour la petite histoire, je me suis entrainé un an (en force athlé) avec un type qui concourrait au niveau France (bien classé dans sa catégorie), médecin du sport de son état, et qui était diabétique insulinodépendant.
De son propre aveu, l'insuline était une aide précieuse. Bien sûr qu'il en avait besoin ne serait-ce que pour vivre, mais il pouvait non seulement se permettre des doses extra-physiologiques et de plus pouvait optimiser le timing de la prise. Il n'hésitait pas à considérer la chose comme un avantage par rapport aux autres compétiteurs (ce que je trouvais assez honnête de sa part).


En effet tu as raison.


Un compétiteur à qui il sera prescrit une TRT à 250 mg d'androtardyl toutes les 2 semaines (soit 190 mg environ de testo pure si on excepte l'ester) sera rapidement tenté (ou orienté par un médecin du sport compétent) par splitter son apport en une prise de 62.5 mg de testo E (45 mg de testo pure) tous les 3.5 jours (même dosage).

Regarde la pièce jointe 7118

Avec cette posologie, il pourra compter sur un relargage de testo (pure) dans la circulation sanguine entre environ 7 et 12 mg par jour, ce qui est dans la fourchette haute de la production physiologique (grosso modo 3 à 10 mg par jour).

Il sera donc avantagé par rapport à un athlète naturel ayant une production de testostérone basse ou moyenne.


Perso j'aurais tendance à dire le contraire. C'est les règlements sportifs qui s'appuient sur des bases PARFOIS (j'insiste sur le parfois) douteuses pour fixer la limite (mélange de science et de morale/éthique etc.).
Pour moi cela mériterait d'être beaucoup plus solide comme base.


Tu as raison, mais on peut tout de même se poser la question des fondements de cette doctrine (au vrai sens du terme), c'est ça qui est m'est avis intéressant.


Les raisons de santé publique sont claires. Par contre, les autorités sont plus frileuses sur d'autres dossiers plus brûlants posant des problèmes de santé publique autrement plus complexes mais avec des enjeux économiques colossaux (ça sert à rien je pense de s'étendre dessus, mais alcool, tabac, pollution, polluants agricoles, perturbateurs endocriniens etc. ont un impact tout aussi délétère sur la santé publique que les produits dopants). Il y a des raisons culturelles derrière cela (tabac, alcool), et éthiques.

Les raisons d'équité sportives sont beaucoup plus douteuses.
Déjà, au vu de ce qui a été dit avant, certains protocoles médicaux acceptés confèrent des avantages non négligeables à certains compétiteurs.
De plus, certains sportifs ont accès à des moyens qui ne sont pas accessibles à tous (centres d'entrainement en altitude, caissons hyperbares, suivi médical adapté etc.).
De plus, sans jouer les complotistes, il semble assez évidents que les sportifs les mieux entourés bénéficient d'une assistance au dopage et à la dissimulation de dopage (ne sont tricheurs que ceux qui se font attraper ;)) bien plus efficace.
Donc le dopage bien qu'interdit fait quand même partie du jeu et est source d'autant d’iniquité (si ce n'est plus) qu'un sport dans lequel c'est toléré tacitement (Cf. certaines fédérations de powerlifting).
Sans compter qu'il est beaucoup plus répandu dans les sports dans lequel il est prohibé que ce que l'on peut imaginer en tant que simple amateur desdits sports.


Pour finir, l'intérêt pour moi est de poser la question des limites clairement. Et au vu des différents échanges, pour moi la question est posée en ces termes (pour l'instant) :
- Pour quelle raison y-a-t-il besoin d'une frontière ?
- Sur quelle base scientifique la distinction législative entre produit (et / ou protocole) dopant est faite ? Et si celle-ci n'est pas adaptée, comment l'améliorer ?
- Y-a-t-il éventuellement des moyens de fonctionner alternatifs plus justes pour des raisons d'équité sportive ?
Putin tu écris bien et tu as tout dis
 
Putin tu écris bien et tu as tout dis
Quand j'écris un post :
man-writing1.jpg


:D:D:p:p
 
Si un jour lui et Grondin font une video , faudra vraiment prendre un booster avant pour suivre car punaise je suis épuisé a la fin de la videos lol ..... quel energie lol . .. mais sinon j'iame bien jamo dans l'ensemble
 
Juste en préambule de ma réponse, je ne défends aucun point de vue, je dis que la question est intéressante. Je ne cherche pas à gagner une joute verbale que ce soit clair, il n'y a rien à gagner de toute manière :p.


Dans ce cas, le mk-677 (par exemple) n'est pas un dopant (non ce n'est pas un SARM). Moi ça me va, c'est pas la question, mais ce n'est pas l'avis de tout le monde.


Parce que ta grand-mère n'a pas fait de sport de force ou de BB :p !
Pour la petite histoire, je me suis entrainé un an (en force athlé) avec un type qui concourrait au niveau France (bien classé dans sa catégorie), médecin du sport de son état, et qui était diabétique insulinodépendant.
De son propre aveu, l'insuline était une aide précieuse. Bien sûr qu'il en avait besoin ne serait-ce que pour vivre, mais il pouvait non seulement se permettre des doses extra-physiologiques et de plus pouvait optimiser le timing de la prise. Il n'hésitait pas à considérer la chose comme un avantage par rapport aux autres compétiteurs (ce que je trouvais assez honnête de sa part).


En effet tu as raison.


Un compétiteur à qui il sera prescrit une TRT à 250 mg d'androtardyl toutes les 2 semaines (soit 190 mg environ de testo pure si on excepte l'ester) sera rapidement tenté (ou orienté par un médecin du sport compétent) par splitter son apport en une prise de 62.5 mg de testo E (45 mg de testo pure) tous les 3.5 jours (même dosage).

Regarde la pièce jointe 7118

Avec cette posologie, il pourra compter sur un relargage de testo (pure) dans la circulation sanguine entre environ 7 et 12 mg par jour, ce qui est dans la fourchette haute de la production physiologique (grosso modo 3 à 10 mg par jour).

Il sera donc avantagé par rapport à un athlète naturel ayant une production de testostérone basse ou moyenne.


Perso j'aurais tendance à dire le contraire. C'est les règlements sportifs qui s'appuient sur des bases PARFOIS (j'insiste sur le parfois) douteuses pour fixer la limite (mélange de science et de morale/éthique etc.).
Pour moi cela mériterait d'être beaucoup plus solide comme base.


Tu as raison, mais on peut tout de même se poser la question des fondements de cette doctrine (au vrai sens du terme), c'est ça qui est m'est avis intéressant.


Les raisons de santé publique sont claires. Par contre, les autorités sont plus frileuses sur d'autres dossiers plus brûlants posant des problèmes de santé publique autrement plus complexes mais avec des enjeux économiques colossaux (ça sert à rien je pense de s'étendre dessus, mais alcool, tabac, pollution, polluants agricoles, perturbateurs endocriniens etc. ont un impact tout aussi délétère sur la santé publique que les produits dopants). Il y a des raisons culturelles derrière cela (tabac, alcool), et éthiques.

Les raisons d'équité sportives sont beaucoup plus douteuses.
Déjà, au vu de ce qui a été dit avant, certains protocoles médicaux acceptés confèrent des avantages non négligeables à certains compétiteurs.
De plus, certains sportifs ont accès à des moyens qui ne sont pas accessibles à tous (centres d'entrainement en altitude, caissons hyperbares, suivi médical adapté etc.).
De plus, sans jouer les complotistes, il semble assez évidents que les sportifs les mieux entourés bénéficient d'une assistance au dopage et à la dissimulation de dopage (ne sont tricheurs que ceux qui se font attraper ;)) bien plus efficace.
Donc le dopage bien qu'interdit fait quand même partie du jeu et est source d'autant d’iniquité (si ce n'est plus) qu'un sport dans lequel c'est toléré tacitement (Cf. certaines fédérations de powerlifting).
Sans compter qu'il est beaucoup plus répandu dans les sports dans lequel il est prohibé que ce que l'on peut imaginer en tant que simple amateur desdits sports.


Pour finir, l'intérêt pour moi est de poser la question des limites clairement. Et au vu des différents échanges, pour moi la question est posée en ces termes (pour l'instant) :
- Pour quelle raison y-a-t-il besoin d'une frontière ?
- Sur quelle base scientifique la distinction législative entre produit (et / ou protocole) dopant est faite ? Et si celle-ci n'est pas adaptée, comment l'améliorer ?
- Y-a-t-il éventuellement des moyens de fonctionner alternatifs plus justes pour des raisons d'équité sportive ?
Pas question de joutes verbales, c'est juste un debat et en plus on est d'accord, tous les exemples que tu donnes, aussi bien pour la TRT que pour l'insuline sont à des dosages supra-physiologiques. Je ne dis pas le contraire, ce n'est pas la molecule qui fait le dopage, c'est le dosage et le protocole ! C'est pour cela que je trouve le discours de Jamo completement "vandamesque" (bien vu @WillBT). On voit pas bien ou il veut nous mener, si ce n'est donner bonne conscience à ceux qui se dopent en leur expliquant qu'en fait même les natty ne sont pas completement natty... C'est aussi pour cela que je trouve cette question sans interet sauf pour ceux qui ont un probleme de conscience.
 
Pas question de joutes verbales, c'est juste un debat et en plus on est d'accord, tous les exemples que tu donnes, aussi bien pour la TRT que pour l'insuline sont à des dosages supra-physiologiques. Je ne dis pas le contraire, ce n'est pas la molecule qui fait le dopage, c'est le dosage et le protocole ! C'est pour cela que je trouve le discours de Jamo completement "vandamesque" (bien vu @WillBT). On voit pas bien ou il veut nous mener, si ce n'est donner bonne conscience à ceux qui se dopent en leur expliquant qu'en fait même les natty ne sont pas completement natty... C'est aussi pour cela que je trouve cette question sans interet sauf pour ceux qui ont un probleme de conscience.

Tu as trouvé, il légitime une conduite qu'il a eu à posteriori et se rassure en mettant tout le monde dans le même panier...
 

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