Q: “Je suis très intéressé par le trenbolone en raison de tout ce qu’on lui rapporte de positif, et manifestement, vous en êtes un grand promoteur. Mais on m’a aussi rapporté les problèmes que le trenbolone peut causer : les problèmes relationnels, les problèmes d’agressivité et de sommeil! Quels sont donc les vrais troubles et quelle est la probabilité que j’en souffre? Y a-t-il quelque chose que je puisse faire si jamais ils se produisent?”
A: Avec le trenbolone, il y a un détail-clé à prendre en compte: le dosage.
En 1998, lorsque j’ai écrit mes premiers articles sur les cycles de 2 semaines pour MESO-Rx, la posologie du trenbolone à 50mg/jour n’était pas encore reconnue et était vraiment contraire aux conseils publiés à l’époque. Les livres de l’époque conseillaient la prise d’une seule ampoule de Parabolan par semaine sans aller au-delà, vu que le stéroïde était puissant: la quantité de trenbolone contenue dans une telle ampoule équivalait à 50mg d’acétate de trenbolone. Parmi les durs qui ne seraient pas limités par le conseil du jour, le Finaject était parfois utilisé à des doses de 50 mg deux ou trois fois par semaine. L’utilisation quotidienne d’une telle quantité de trenbolone était une pratique tout simplement désapprouvée aux Etats-Unis.
Cependant, en Europe, l’injection quotidienne de Parabolan était une pratique acceptée au sein des chevronnés. C’était le dosage de trenbolone avec lequel je voulais travailler. Donc, 50mg/jour d’acétate de trenbolone.
Je mentionne tout cela parce que 50mg/jour étaient perçus comme un taux très élevé, et c’est en fait, une forte concentration de médicament. Je pense que le trenbolone devrait être considéré comme 3 fois plus puissant (force par milligramme) que la plupart des stéroïdes anabolisants; sur cette base, 50mg/jour équivaudraient à 150 mg/jour d’un autre stéroïde. Et ce n’est pas une faible dose. Ce n’est pas surprenant s’il a des effets secondaires significatifs.
Cependant, ces derniers temps, avec des concentrations largement disponibles de 75mg/mL et 100 mg/mL, les doses ont couramment augmenté à 75 ou 100 mg/jour. Je ne pense pas que les gens se rendent toujours compte que ces doses sont extrêmement élevées. Sans compter les 150 mg/jour.
Il n’est pas étonnant que certains subissent des effets secondaires issus de telles doses.
En termes d’effets secondaires, la majorité des gens vont bien avec 50mg/jour, certains nécessitent des doses moins élevées dans l’ordre de 30-35mg/jour, et même un nombre plus faible ne supporte pas du tout le trenbolone, principalement pour les raisons que vous évoquez, et avec les sueurs nocturnes comme une raison potentielle.
Et puis, il y a ceux qui prennent 75 à 100 mg/jour ou même plus sans problème.
Pour la question du comportement, il y a l’exercice de la volonté. Pour certains, cela est efficace, pour d’autres, pas tellement. L’évaluation doit être personnelle. Quant aux problèmes de sommeil, si on n’a habituellement pas besoin de supplément sédatif, un produit bien formulé peut par exemple faire vraiment la différence.
Personnellement, je trouve un vrai avantage avec le Mod 1 GRF. Il ne favorise pas la somnolence, mais plutôt le sommeil profond une fois qu’on est endormi. Cependant, je me suis bien passé de Mod GRF pendant des années. Ce n’est pas une nécessité mais plutôt une aide.
Bill Roberts est un spécialiste mondialement reconnu pour son expertise sur les stéroïdes anabolisants et les médicaments améliorant la performance. Bill possède un Diplôme universitaire en Microbiologie et Cytologie, et a accompli les critères éducationnels et de recherche pour l’obtention d’un PhD en Chimie Médicinale dans une université Américaine réputée.
Bill intégra l’industrie des compléments nutritionnels avant de finir sa thèse de doctorat, mais son parcours éducatif était tellement inestimable au point de pouvoir concevoir et améliorer des compléments nutritionnels, vu que c’était dans le domaine de la conception de molécules de médicaments, et secondairement quelques travaux dans l’administration transdermique.
Son éducation n’a pas été particulièrement « orientée » vers les stéroïdes anabolisants autrement qu’une expertise avec des principes pharmacologiques qui disposent de larges applications. Ceci a permis à Bill de fournir un aperçu unique dans le domaine de la pharmacologie des anabolisants, avec une connaissance des points qu’il n’aurait connu autrement.
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