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ASTRAGALUS – LE SAINT GRAAL RÉNAL DES BODYBUILDERS

Dans le monde du bodybuilding enhanced, on parle souvent de système cardiovasculaire, de foie, de cholestérol... Mais les reins ? Rarement. Pourtant, ce sont souvent les premiers à trinquer. Quand tu tapes fort, c'est eux qui encaissent les déchets azotés, la pression, l'inflammation chronique. Et les signes arrivent tard, parfois trop tard.

C'est là qu'intervient l'astragale (Astragalus membranaceus). Une plante adaptogène issue de la médecine traditionnelle chinoise, qui a fait ses preuves scientifiquement sur la santé rénale.



Pourquoi l'astragale ?

De nombreuses études, en particulier en Asie, montrent que l'astragale :
  • Améliore le DFG (GFR), parfois de manière spectaculaire (de 20 à 80-90 mL/min chez certains patients insuffisants rénaux).
  • Diminue la créatinine sérique, l'urée et la cystatine C.
  • Protège les glomérules, réduit l'inflammation rénale et la fibrose.
  • Ralentit la progression de l'insuffisance rénale chronique.

Et surtout : elle est bien tolérée à fortes doses, même sur plusieurs semaines.

Ce que dit la science

  • Une méta-analyse de 22 essais cliniques randomisés a montré que l'astragale améliore la clairance de la créatinine, réduit la protéinurie, et augmente l'albumine sérique.
  • Une autre étude a montré une augmentation de l'eGFR après administration de doses élevées d'astragale chez des patients diabétiques avec MRC.
  • Sur le plan mécanique : antioxydant, anti-fibrotique, anti-inflammatoire, et modulateur du système RAA (rénine-angiotensine).



Les doses utiles

  • En prévention / support léger : 3 g par jour
  • En récupération rénale / curatif : 9 à 10 g par jour pendant plusieurs semaines

Les formes utilisées dans les études sont souvent des extraits standardisés.
En pratique, tu peux utiliser la racine en poudre (en gélules ou en infusion), ou un extrait dosé.

Quelques bons produits :



Pourquoi c'est vital pour les dopés

Les anabolisants, la GH, les régimes hyperprotéinés et l'hypertension induite par certains composés (comme la tren) ont tous un impact direct ou indirect sur les reins. Et si tu fais de la rétention, si ton GFR se casse la gueule, tout ralentit :
  • Métabolisme moins efficace
  • Récupération compromise
  • Risque de néphropathies, protéinurie, etc.

Les reins ont peu de capacité de régénération. L'astragale, dans ce contexte, peut prévenir le carnage. Et parfois, inverser les dégâts.



En pratique

  • Plante bien tolérée, même à haute dose
  • Idéale en cure de 6-8 semaines à 10g/jour, puis en maintien à 3-5g/jour
  • Peut être combinée avec la NAC, la berbérine, le telmisartan, les omégas 3, etc.



En conclusion

Si tu veux durer, protège tes reins. L'astragale, c'est pas une baguette magique, mais c'est l'un des très rares compléments qui montrent des effets réels et profonds sur la fonction rénale.

Dans le monde du dopage où tout s’accélère, c’est peut-être ton meilleur pari long terme.



Pense à surveiller tes marqueurs :
  • Créatinine, urée, cystatine C
  • Rapport albumine/créat urinaire (ACR)
  • Tension artérielle
  • Échographie rénale si tu as un doute

Et n'oublie pas : les reins ne parlent pas. Jusqu'à ce qu'ils crient.

HSN : Extrait d'astragale 500:1, 20 mg par gélule, équivalent à 10 g de racine brute.
HSN : Extrait concentré, standardisé à 50 % d'astragaloside IV, avec des gélules gastro-résistantes.

Une gélule par jour du HSN peut suffire en prévention pour soutenir la fonction rénale — surtout si tu n’as pas de pathologie rénale déclarée, mais que tu veux protéger tes reins pendant un cycle (ou en usage prolongé d’AAS, GH, etc.).

Tu peux envisager 2 par jour (1 matin / 1 soir) si tu veux un effet plus costaud (ex : créatinine qui monte, GFR qui baisse).
 
CRUISING ENTRE LES CYCLES — CE QUE FAIT VRAIMENT CHASE IRONS

Vidéo analysée : Chase Irons parle cruising en plein push day.






1. CRUISING VS TRT : DE QUOI ON PARLE RÉELLEMENT ?

Avant de partir en débats stériles sur les forums, faut bien poser les bases.

TRT – Thérapie de Remplacement
  • But : Remettre un mec hypogonadique à un niveau normal.
  • Dose typique : 150–250 mg/semaine de testostérone.
  • Résultat : Testostérone totale entre 300 et 1 200 ng/dL.
  • Indispensable : Suivi médical régulier.

CRUISING – Le mode "entre deux blasts"
  • C’est quoi ? Une pause relative, mais on reste "on".
  • Dose : supra-physiologique, mais plus basse qu’un blast.
  • Objectif : redonner de l’air au corps, sans tout couper.
  • Piège : croire que c’est "safe". C’est juste moins toxique.




2. LE CRUISE DE CHASE IRONS : EXTRÊME MAIS ASSUMÉ

Chase ne fait pas dans la demi-mesure, et il le dit d’emblée :
"Ceci est ce que je fais, pas ce que je recommande."


Protocole actuel :
  • 1 000 mg de testostérone/semaine
  • 18 UI/jour d’HGH (Serostim)
  • IA au besoin (s’il chauffe sur l’estradiol)

Derniers labs :
  • Testo totale > 10 000 ng/dL
  • Estradiol : 125 (objectif : ~60)
  • GFR : 75 (trop bas selon lui)

Hypothèse : arrêt de l’astragale → dégradation de la fonction rénale
Solution : Reprendre 8 à 12g d’astragale/jour + nouvelles analyses dans 6 semaines




3. TROUVER SA DOSE DE CRUISE

Tout dépend de :
  • Ton poids
  • Ton dernier cycle
  • Tes bilans sanguins
  • Ton ressenti

Exemples :
  • Blast à 2 000 mg/semaine ? → Cruise vers 500 mg
  • Chase (125 kg) cruise à 1 000 mg
  • Un mec de 100 kg ? → 500–700 mg

Le bon cruise = un corps stable, des bilans propres, un esprit tranquille




4. AJOUTER AUTRE CHOSE PENDANT LE CRUISE ?

Chase reste simple :

  • Pas de Primo
  • Pas de Mast
  • IA seulement si nécessaire (Arimidex ou Aromasin)

Autres options possibles :
  • Masteron : améliore le ratio testo/E2
  • Primo : maintien du look sec sans gros impact lipidique




5. FRÉQUENCE DES INJECTIONS

Ce que fait Chase :

  • 500 mg le mardi
  • 500 mg le vendredi

Ce qu’il conseille aux débutants :
  • Injections quotidiennes pour plus de stabilité hormonale
  • Moins de pics, moins de sides

Avec l’expérience, on peut espacer. Mais faut s’écouter.




6. TRANSITION : CYCLE ➜ CRUISE

Deux stratégies :

  • Arrêt brutal → crash possible
  • Passage progressif → évite le mur

Exemple de Chase :
  • 2 semaines sans injection : testo passe de 5 000 à ~1 250
  • Pas encore TRT, mais chute importante
  • Cette fois, il descend doucement (bilans déjà bons)




CONCLUSION DE CHASE

"Je vous montre ce que je fais. Ce n’est pas une recommandation médicale. À vous de tester, ajuster, faire vos bilans et comprendre votre corps."




⚠️ MESORX REMINDER

Le cruising n’est pas une zone grise sécurisée. C’est un compromis entre performance continue et préservation du système.
C’est moins risqué, pas sans risque.

Conseils :
  • Bilans réguliers
  • ️ Supps protecteurs (rénaux, hépatiques, cardiovasculaires)
  • Phase cruise = opportunité de régénérer
 
5gr de testo en blast??
CRUISING ENTRE LES CYCLES — CE QUE FAIT VRAIMENT CHASE IRONS

Vidéo analysée : Chase Irons parle cruising en plein push day.






1. CRUISING VS TRT : DE QUOI ON PARLE RÉELLEMENT ?

Avant de partir en débats stériles sur les forums, faut bien poser les bases.

TRT – Thérapie de Remplacement
  • But : Remettre un mec hypogonadique à un niveau normal.
  • Dose typique : 150–250 mg/semaine de testostérone.
  • Résultat : Testostérone totale entre 300 et 1 200 ng/dL.
  • Indispensable : Suivi médical régulier.

CRUISING – Le mode "entre deux blasts"
  • C’est quoi ? Une pause relative, mais on reste "on".
  • Dose : supra-physiologique, mais plus basse qu’un blast.
  • Objectif : redonner de l’air au corps, sans tout couper.
  • Piège : croire que c’est "safe". C’est juste moins toxique.




2. LE CRUISE DE CHASE IRONS : EXTRÊME MAIS ASSUMÉ

Chase ne fait pas dans la demi-mesure, et il le dit d’emblée :
"Ceci est ce que je fais, pas ce que je recommande."


Protocole actuel :
  • 1 000 mg de testostérone/semaine
  • 18 UI/jour d’HGH (Serostim)
  • IA au besoin (s’il chauffe sur l’estradiol)

Derniers labs :
  • Testo totale > 10 000 ng/dL
  • Estradiol : 125 (objectif : ~60)
  • GFR : 75 (trop bas selon lui)

Hypothèse : arrêt de l’astragale → dégradation de la fonction rénale
Solution : Reprendre 8 à 12g d’astragale/jour + nouvelles analyses dans 6 semaines




3. TROUVER SA DOSE DE CRUISE

Tout dépend de :
  • Ton poids
  • Ton dernier cycle
  • Tes bilans sanguins
  • Ton ressenti

Exemples :
  • Blast à 2 000 mg/semaine ? → Cruise vers 500 mg
  • Chase (125 kg) cruise à 1 000 mg
  • Un mec de 100 kg ? → 500–700 mg

Le bon cruise = un corps stable, des bilans propres, un esprit tranquille




4. AJOUTER AUTRE CHOSE PENDANT LE CRUISE ?

Chase reste simple :

  • Pas de Primo
  • Pas de Mast
  • IA seulement si nécessaire (Arimidex ou Aromasin)

Autres options possibles :
  • Masteron : améliore le ratio testo/E2
  • Primo : maintien du look sec sans gros impact lipidique




5. FRÉQUENCE DES INJECTIONS

Ce que fait Chase :

  • 500 mg le mardi
  • 500 mg le vendredi

Ce qu’il conseille aux débutants :
  • Injections quotidiennes pour plus de stabilité hormonale
  • Moins de pics, moins de sides

Avec l’expérience, on peut espacer. Mais faut s’écouter.




6. TRANSITION : CYCLE ➜ CRUISE

Deux stratégies :

  • Arrêt brutal → crash possible
  • Passage progressif → évite le mur

Exemple de Chase :
  • 2 semaines sans injection : testo passe de 5 000 à ~1 250
  • Pas encore TRT, mais chute importante
  • Cette fois, il descend doucement (bilans déjà bons)




CONCLUSION DE CHASE

"Je vous montre ce que je fais. Ce n’est pas une recommandation médicale. À vous de tester, ajuster, faire vos bilans et comprendre votre corps."




⚠️ MESORX REMINDER

Le cruising n’est pas une zone grise sécurisée. C’est un compromis entre performance continue et préservation du système.
C’est moins risqué, pas sans risque.

Conseils :
  • Bilans réguliers
  • ️ Supps protecteurs (rénaux, hépatiques, cardiovasculaires)
  • Phase cruise = opportunité de régénérer
 
J ai pris de la naringine en poudre au states chez bulk supplements vraiment beaucoup moins chere.
Je sais pas si il se vend l astragale en poudre format economique.
Tu le prend chez hsn je crois Giant ?
 
42€ le kilo chez bulksupplements quel con j aurai dû en acheter.
Mais y'en a qui disent que la racine et l extrait pas pareil que la racine et mieux.
Je vais un peu fouillé.
 
L astragale 3 comprimé= 1,4gr
24 comprimé = 12gr
30 cpr = 15gr
C est fou!
Le paquet va vite voler

Regarde ce que j'ai posté avec HSN au dessus


HSN : Extrait d'astragale 500:1, 20 mg par gélule, équivalent à 10 g de racine brute.
HSN : Extrait concentré, standardisé à 50 % d'astragaloside IV, avec des gélules gastro-résistantes.

Une gélule par jour du HSN peut suffire en prévention pour soutenir la fonction rénale — surtout si tu n’as pas de pathologie rénale déclarée, mais que tu veux protéger tes reins pendant un cycle (ou en usage prolongé d’AAS, GH, etc.).

Tu peux envisager 2 par jour (1 matin / 1 soir) si tu veux un effet plus costaud (ex : créatinine qui monte, GFR qui baisse).
 
Regarde ce que j'ai posté avec HSN au dessus
Putain comment je vous kiff les gars surtout toi et John, ca me donne envie de pleurer.
A coup sûre j ai les e2 eclater lol, peut meme pas les controler suis sur du tren ace pas trouver de labos, si je commence a faire des gestes efeminé j suis bons mdr
 
CRUISING ENTRE LES CYCLES — CE QUE FAIT VRAIMENT CHASE IRONS

Vidéo analysée : Chase Irons parle cruising en plein push day.






1. CRUISING VS TRT : DE QUOI ON PARLE RÉELLEMENT ?

Avant de partir en débats stériles sur les forums, faut bien poser les bases.

TRT – Thérapie de Remplacement
  • But : Remettre un mec hypogonadique à un niveau normal.
  • Dose typique : 150–250 mg/semaine de testostérone.
  • Résultat : Testostérone totale entre 300 et 1 200 ng/dL.
  • Indispensable : Suivi médical régulier.

CRUISING – Le mode "entre deux blasts"
  • C’est quoi ? Une pause relative, mais on reste "on".
  • Dose : supra-physiologique, mais plus basse qu’un blast.
  • Objectif : redonner de l’air au corps, sans tout couper.
  • Piège : croire que c’est "safe". C’est juste moins toxique.




2. LE CRUISE DE CHASE IRONS : EXTRÊME MAIS ASSUMÉ

Chase ne fait pas dans la demi-mesure, et il le dit d’emblée :
"Ceci est ce que je fais, pas ce que je recommande."


Protocole actuel :
  • 1 000 mg de testostérone/semaine
  • 18 UI/jour d’HGH (Serostim)
  • IA au besoin (s’il chauffe sur l’estradiol)

Derniers labs :
  • Testo totale > 10 000 ng/dL
  • Estradiol : 125 (objectif : ~60)
  • GFR : 75 (trop bas selon lui)

Hypothèse : arrêt de l’astragale → dégradation de la fonction rénale
Solution : Reprendre 8 à 12g d’astragale/jour + nouvelles analyses dans 6 semaines




3. TROUVER SA DOSE DE CRUISE

Tout dépend de :
  • Ton poids
  • Ton dernier cycle
  • Tes bilans sanguins
  • Ton ressenti

Exemples :
  • Blast à 2 000 mg/semaine ? → Cruise vers 500 mg
  • Chase (125 kg) cruise à 1 000 mg
  • Un mec de 100 kg ? → 500–700 mg

Le bon cruise = un corps stable, des bilans propres, un esprit tranquille




4. AJOUTER AUTRE CHOSE PENDANT LE CRUISE ?

Chase reste simple :

  • Pas de Primo
  • Pas de Mast
  • IA seulement si nécessaire (Arimidex ou Aromasin)

Autres options possibles :
  • Masteron : améliore le ratio testo/E2
  • Primo : maintien du look sec sans gros impact lipidique




5. FRÉQUENCE DES INJECTIONS

Ce que fait Chase :

  • 500 mg le mardi
  • 500 mg le vendredi

Ce qu’il conseille aux débutants :
  • Injections quotidiennes pour plus de stabilité hormonale
  • Moins de pics, moins de sides

Avec l’expérience, on peut espacer. Mais faut s’écouter.




6. TRANSITION : CYCLE ➜ CRUISE

Deux stratégies :

  • Arrêt brutal → crash possible
  • Passage progressif → évite le mur

Exemple de Chase :
  • 2 semaines sans injection : testo passe de 5 000 à ~1 250
  • Pas encore TRT, mais chute importante
  • Cette fois, il descend doucement (bilans déjà bons)




CONCLUSION DE CHASE

"Je vous montre ce que je fais. Ce n’est pas une recommandation médicale. À vous de tester, ajuster, faire vos bilans et comprendre votre corps."




⚠️ MESORX REMINDER

Le cruising n’est pas une zone grise sécurisée. C’est un compromis entre performance continue et préservation du système.
C’est moins risqué, pas sans risque.

Conseils :
  • Bilans réguliers
  • ️ Supps protecteurs (rénaux, hépatiques, cardiovasculaires)
  • Phase cruise = opportunité de régénérer


Je fais pas confiance à ceux qui s’entraînent en tongs ou flipflops. lol
 
Regarde ce que dis le chat Giant.
Sinon y a de la racine brut en poudre au us au kg.

Tu fais bien de poser la question franchement, alors je te réponds tout aussi clairement.

1. Est-ce que l’extrait 500:1 équivaut à 10–15 g de racine ?

En théorie, oui, 20 mg d’un extrait 500:1 = 10 g de racine brute, puisque 20 mg × 500 = 10 000 mg.
Mais en pratique, c’est plus compliqué.

2. Pourquoi ce n’est pas équivalent à de la racine entière ?

Même si le ratio de concentration est élevé (500:1), on isole certains composés spécifiques (ici probablement les polysaccharides ou l’astragaloside IV).
Mais :

La synergie des composés naturels est perdue (flavonoïdes, saponines, autres).

Les études cliniques sur l’amélioration du DFG sont faites avec de la racine entière, pas avec un extrait.

Le corps n'interagit pas de la même façon avec un actif isolé à dose minuscule qu'avec une dose massive de racine brute.


Donc non, ce n’est pas comme prendre 10 g de racine, même si le ratio peut le faire croire sur l’étiquette.


---

Conclusion directe :

Je ne pense pas que ce soit un produit intéressant pour la fonction rénale.
Il peut être utile pour d’autres effets (immunité, longévité, etc.), mais pas pour faire monter ton DFG ou soutenir réellement les reins.

Si ton objectif c’est DFG / filtration / soutien rénal, reste sur de la poudre de racine brute, minimum 10–15 g/jour, comme utilisé dans les études sur la MRC.Screenshot_20250527_134352_Chrome.jpg
 
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Paiement par carte dispo… après une première commande en crypto !

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À noter : Les nouveaux comptes ne voient pas l’option carte tout de suite, elle devient visible après une première commande validée.

➡️ Simple à mettre en place, paiements plus pratiques ensuite.

N’hésitez pas à faire tourner l’info !
 
Sur le site je reste bloqué à l’étape du début quand tu dois sélectionner que tu n’es pas un robot je suis à chaque fois redirigé dessus.

J’ai essayé avec un autre navigateur ça me fait pareil
 


Pourquoi les agonistes GLP-1 n’ont rien à faire dans le bodybuilding


Introduction : de l’arme anti-obésité au shortcut du culturiste moderne

Les agonistes du récepteur GLP-1 comme le semaglutide (Ozempic, Wegovy) ou le tirzepatide (Mounjaro) ont changé la donne dans la lutte contre l’obésité. Grâce à leur action sur la satiété, la vidange gastrique et la sécrétion d’insuline, ils ont permis à des milliers de personnes en surpoids ou diabétiques de reprendre le contrôle sur leur poids.
Mais depuis quelque temps, ces molécules sortent du cadre médical pour atterrir dans les seringues de pratiquants de musculation — y compris chez les utilisateurs de stéroïdes anabolisants.

Et là, je lève le drapeau rouge.

En tant que passionné de muscu, observateur et pratiquant sous AAS, je vais être clair : ces produits n’ont rien à faire dans un environnement de performance, de construction musculaire, et encore moins dans une logique long terme.

Voici pourquoi.



1. Le GLP-1 : comment ça fonctionne vraiment ?

Le GLP-1 est une incrétine, une hormone libérée dans l’intestin en réponse à la prise alimentaire. Son rôle naturel est d’augmenter la sécrétion d’insuline de manière glucose-dépendante, de ralentir la vidange gastrique et d’envoyer des signaux de satiété au cerveau (principalement via le noyau arqué de l’hypothalamus).

Les agonistes du GLP-1 (semaglutide, liraglutide, etc.) sont des analogues synthétiques qui amplifient cette réponse de façon prolongée — certains durant plusieurs jours à une semaine. Le tirzepatide va plus loin en agissant aussi sur le GIP, une autre incrétine.

Résultat ?
✔️ Moins de faim
✔️ Moins de quantités ingérées
✔️ Une glycémie mieux contrôlée (chez les diabétiques)

Mais à quel prix ?



2. Chez les bodybuilders : un outil de contre-performance métabolique

Dans le contexte du bodybuilding, on est à des années-lumière du patient diabétique obèse en sédentarité.
On parle ici de profils :
– Déjà sensibles à l’insuline (ou supplémentés en insuline)
– Souvent sous testostérone ou AAS divers
– Suivis d’un régime structuré et contrôlé
– Et dans certains cas, utilisateurs de GH, clenbutérol, T3 ou autres molécules métaboliques

Et là, utiliser un GLP-1 est contre-productif, voire dangereux.

Le GLP-1 stimule encore plus la sécrétion d’insuline. Ce n’est pas un sensibilisateur (comme la metformine ou la berberine), mais un sécréteur. Il pousse le pancréas à produire toujours plus d’insuline. Dans un milieu où le pancréas est déjà sollicité par des hyperphagies, de l’insuline exogène ou une production interne élevée, c’est ouvrir la porte à une fatigue pancréatique chronique, voire une pancréatite aiguë.

Il ralentit la digestion. En réduisant la vidange gastrique, tu allonges le temps de digestion, ce qui peut être utile en cas de compulsions… mais dans un plan alimentaire calculé à la calorie près avec des besoins élevés en protéines et en glucides, tu crées un ralentissement du transit et une gêne à l’absorption optimale des nutriments.

Tu nuis à ta récupération. Moins de calories absorbées, c’est moins de substrats pour la récupération, la croissance musculaire, la synthèse protéique. En période de prise de masse ou post-sèche, c’est littéralement tirer une balle dans le pied.



3. Tu ne répares rien, tu fuis le problème

Ce que les GLP-1 proposent, c’est une solution rapide à une mauvaise gestion alimentaire.

Mais ce n’est pas un traitement de fond. C’est une rustine. Un pansement.

Tu manges trop en post-sèche ? Tu compenses par une injection.
Tu craques le soir ? Tu coupes ton appétit.

Mais :
– As-tu appris à gérer ta leptine post-déficit ?
– As-tu recalibré ta routine post-compétition ?
– As-tu corrigé ton hygiène de sommeil ou ton stress ?

Le GLP-1 t’évite l’effort mental. Il ne le remplace pas.

Et dans le monde du body, où tout repose sur l’autorégulation, la rigueur, la conscience de son corps — ça, c’est un non-sens total.



4. Le piège : dépendance, rebond, fatigue

Dès l’arrêt du GLP-1, la faim revient. Mais elle ne revient pas "normalement" — elle revient avec les intérêts.
Pourquoi ?
– Car tu as perdu du muscle (et donc de la dépense calorique)
– Car ton métabolisme s’est adapté (ralenti métabolique)
– Car ton cerveau veut te ramener à ton "set point"
– Car ton pancréas est épuisé ou moins réactif

Résultat : fringales, relâchement, culpabilité… et très souvent, effet yo-yo massif.

Tu te retrouves dans une boucle : injection → restriction → arrêt → craquage → rechute → réinjection.

Est-ce qu’on appelle ça de la maîtrise ? Ou de la dépendance pharmacologique ?



5. Big Pharma, le storytelling de la solution miracle

Ce n’est pas un hasard si ces produits explosent. Ils ne t’aident pas : ils t’attachent.

Ce que vend l’industrie ici, ce n’est pas la perte de poids. C’est une illusion de contrôle, à travers une aiguille hebdomadaire. Et derrière cette stratégie :
– Abonnement mensuel
– Croyance que "sans, je ne peux pas"
– Zéro travail comportemental

Les GLP-1 créent des "patients à vie". Pas des pratiquants responsables.



6. Et alors, on fait quoi ? Les vraies solutions

Pour un bodybuilder qui veut :
– Perdre du gras
– Gérer ses compulsions
– Optimiser sa recomposition
– Réduire les risques métaboliques

Il existe des solutions beaucoup plus cohérentes, efficaces et respectueuses de l’organisme :

✅ Metformine microdosée (250–500 mg) → Améliore la sensibilité à l’insuline, effet anti-âge et cardiovasculaire
✅ Berberine (500–1000 mg/j) → Aussi efficace que la metformine dans certaines études
✅ ALA, chrome, inositol → Soutien glycémique sans sécrétion d’insuline
✅ Clenbutérol ou T3 à dose contrôlée → Risqué, mais mieux compris et utilisé stratégiquement
✅ Refeed calculés et reverse diet → Reprogrammer ton métabolisme et tes signaux de faim
✅ Exercice NEAT, steps, cardio zone 2 → Augmenter la dépense sans aggraver la fatigue nerveuse
✅ Outils nootropiques ou GABAergiques pour calmer les fringales émotionnelles → Ashwagandha, L-théanine, glycine, etc.


Et surtout : structure, constance, vision long terme.



Conclusion : le bodybuilding, ce n’est pas un hack. C’est une maîtrise.

Les agonistes GLP-1 ne t’aident pas à mieux gérer ton corps. Ils t’aident à ne pas y penser.

Et ça, dans notre discipline, c’est une trahison de ce qu’on cherche à construire.

Maîtriser sa diète, adapter son entraînement, comprendre sa physiologie, écouter son métabolisme et progresser dans le temps, c’est ça, le vrai bodybuilding.

Pas de l’appétit supprimé à la seringue. Pas une dépendance pharmaceutique de plus.
 

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