Avec l’arrivée des GLP-1, on a peut-être devant nous la fin de l’obésité de masse et de la malbouffe.
Ces traitements coupent l’appétit, font perdre du poids et réduisent les risques cardio. C’est une vraie révolution, pas juste un effet de mode.
Forcément, ça secoue tout le système :
L’agroalimentaire basé sur le sucre et la junk food.
Le médical, qui vit en partie des complications liées à l’obésité.
Même la culture "bouffe facile" pourrait être remise en cause.
Mais au lieu d’un effondrement, je pense qu’on va voir une adaptation :
Les fast-foods et industriels vont sortir des gammes plus "healthy" ou protéinées.
Les labos, eux, sont les grands gagnants : ils se gavent avec ces traitements.
Les États vont probablement négocier pour élargir l’accès, parce qu’à long terme ça coûte moins cher que traiter diabète, infarctus, etc.
Bref, ce qui ressemble à une fin est surtout une mutation du système. Pas une mort, une transformation.
Ces traitements coupent l’appétit, font perdre du poids et réduisent les risques cardio. C’est une vraie révolution, pas juste un effet de mode.
Forcément, ça secoue tout le système :
L’agroalimentaire basé sur le sucre et la junk food.
Le médical, qui vit en partie des complications liées à l’obésité.
Même la culture "bouffe facile" pourrait être remise en cause.
Mais au lieu d’un effondrement, je pense qu’on va voir une adaptation :
Les fast-foods et industriels vont sortir des gammes plus "healthy" ou protéinées.
Les labos, eux, sont les grands gagnants : ils se gavent avec ces traitements.
Les États vont probablement négocier pour élargir l’accès, parce qu’à long terme ça coûte moins cher que traiter diabète, infarctus, etc.
Bref, ce qui ressemble à une fin est surtout une mutation du système. Pas une mort, une transformation.
