nécro17
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Tristesse
Franco,
You’ve heard me say that I don’t like when people call me a self-made man. You’ve even heard me say that you’re part of the reason I could never accept that label.
But I wanted you to know why. From the minute we met in Munich, you were my partner in crime. We pushed each other, we competed with each other, and we laughed at every moment along the way.
When I finally got to America, I was alone. I’d left my family, my country, my whole life behind. So when I asked Joe Weider to bring you to train with me, it was because I knew I wasn’t the same without my best friend. I could thrive without money, without my parents, but I couldn’t thrive without you.
I am devastated today. But I am also so, so grateful for the 54 years of friendship and joy we shared. The pumps, the chess games, the construction work, the meals, the pranks, the life lessons - we did it all together. We grew and we learned and we loved. My life was more fun, more colorful, and more complete because of you.
I will always miss you. But I’ll also know that a part of you lives on in me, in Debbie, in Maria, and in the millions of people you inspired every day you lived. And I will be there for Maria and Debbie, so you can rest now with no worries.
I love you Franco. I will always remember the joy you brought to my life, the advices you gave me, and the twinkle in your eye that never disappeared. You were my best friend.
Love always,
Arnold.
Franco,
Tu m'as entendu dire que je n'aime pas quand les gens disent de moi que je suis un "self-made man". Tu m'as même entendu dire que c'est en partie à cause de toi que je n'ai jamais pu accepter cette étiquette. Mais je voulais que tu saches pourquoi. Depuis la minute où nous nous sommes rencontrés à Munich, tu as été mon complice. Nous nous sommes tirés vers le haut l'un l'autre, nous avons fait de la compétition ensemble, et nous avons ri à chaque instant en chemin.
Lorsque je suis finalement parti en Amérique, j'étais seul. J'avais quitté ma famille, mon pays, toute ma vie. Alors quand j'ai demandé à Joe Weider de te ramener pour t'entraîner avec moi, c'était parce que je savais que je n'étais plus le même sans mon meilleur ami. Je pourrais prospérer sans argent, sans mes parents, mais je ne pourrais pas prospérer sans toi.
Je suis dévasté aujourd'hui. Mais je suis aussi très, très reconnaissant pour les 54 années d'amitié et de joie que nous avons partagé.
Les trainings, les parties d'échecs, les travaux de construction, les repas, les blagues, les leçons de vie - nous avons tout fait ensemble. Nous avons grandi, nous avons appris et nous avons aimé. Ma vie était plus amusante, plus colorée et plus complète grâce à toi.
Tu me manqueras toujours. Mais je saurai aussi qu'une partie de toi vit en moi, en Debbie, en Maria et dans les millions de personnes que tu as inspiré chaque jour. Et je serai là pour Maria et Debbie, pour que tu puisses te reposer sans inquiétudes.
Je t'aime Franco. Je me souviendrai toujours de la joie que tu as apportée à ma vie, des conseils que tu m'as donné, et de l'étincelle dans ton regard qui n'a jamais disparu. Tu étais mon meilleur ami.
Je t'aimerai toujours,
Arnold.