Bonjour à tous,
Je suis suivi par un endocrino pour une petite baisse de testo et il m'a prescrit de l'androtardyl à raison de 250mg (1ml), toutes les trois semaines, par injection intramusculaire.
J'aurai voulu avoir vos conseils pratiques sur l'injection en elle-même pour limiter les ES au niveau local, suite à une petite déconvenue que je vais vous expliquer.
Lors de ma première injection, avec mon goût avéré pour les piqûres, j'ai fait un petit malaise. J'ai utilisé une seringue d'une contenance de 2,5 ml avec une aiguille pour injection intramusculaire d'environ 4 cm. J'ai réussi à m'injecter 0,5 ml de produit dans la cuisse droite. Une petite douleur au niveau local a persisté pendant 48 heures et c'est parti ensuite rapidement avec de la glace.
Lors de la deuxième injection, fort de l'enseignement de la première, je l'ai faite en présence d'une infirmière. Elle m'a conseillé d'utiliser de préférence une aiguille d'environ 2 cm, car celle de 4 pour elle est destinée à l'injection dans les fessiers. Donc rebelote cette fois-ci dans la cuisse gauche. J'ai réussi à injecter la totalité du produit et sans problème et tout s'est bien passé. Cependant au bout de 24 heures une vive douleur est apparue au niveau local. Rien de choquant jusque là puisque je l'avais expérimenté lors de la première injection. Puis au deuxième jour la douleur n'a cessé de s'amplifier m'empêchant carrément de dormir. Troisième jour ayant eu une journée le boulot un peu chargée où j'ai pas mal marché, je suis rentré chez moi avec la cuisse toute gonflée et rougissante (douleur toujours vive et difficultés à monter des marches sans garde corps). La cuisse était vraiment enflée, rouge et déformait même la position de la rotule au repos, à mon retour du taff. Puis de jour en jour cela a diminué avec de la glace. Là je suis au 6e jour j'ai toujours une douleur persistante et vive sur la zone d'injection lors de la contraction du quadriceps. Mais ça va beaucoup mieux, je ne boite presque plus mdr.
Lors de l'injection, bien entendu je prends toutes les mesures d'hygiène nécessaires, je vide les bulles d'air (bien que des micros restent), j'injecte le produit progressivement (de toute manière il est un peu huileux c'est galère pour le faire sortir), puis je masse un peu la zone après injection.
Savez-vous pour quelle raison j'ai eu cet ES lors de la 2nd injection? La taille de l'aiguille de 2cm était-elle adaptée selon vous ? Le produit ne serait il pas parti en sous cutané ? Préconisez-vous d'autre muscle pour ce type d'injection ? Faut-il mettre plutôt du froid ou du chaud pour apaiser la douleur et favoriser la diffusion du produit dans l'organisme ?
Je préfère vous solliciter sur ce forum pour bénéficier de votre expérience pratique en la matière, qu'un médecin ne serait m'expliquer que sa théorie pour les injections.
Merci par avance de vos retours.
Steeve
Je suis suivi par un endocrino pour une petite baisse de testo et il m'a prescrit de l'androtardyl à raison de 250mg (1ml), toutes les trois semaines, par injection intramusculaire.
J'aurai voulu avoir vos conseils pratiques sur l'injection en elle-même pour limiter les ES au niveau local, suite à une petite déconvenue que je vais vous expliquer.
Lors de ma première injection, avec mon goût avéré pour les piqûres, j'ai fait un petit malaise. J'ai utilisé une seringue d'une contenance de 2,5 ml avec une aiguille pour injection intramusculaire d'environ 4 cm. J'ai réussi à m'injecter 0,5 ml de produit dans la cuisse droite. Une petite douleur au niveau local a persisté pendant 48 heures et c'est parti ensuite rapidement avec de la glace.
Lors de la deuxième injection, fort de l'enseignement de la première, je l'ai faite en présence d'une infirmière. Elle m'a conseillé d'utiliser de préférence une aiguille d'environ 2 cm, car celle de 4 pour elle est destinée à l'injection dans les fessiers. Donc rebelote cette fois-ci dans la cuisse gauche. J'ai réussi à injecter la totalité du produit et sans problème et tout s'est bien passé. Cependant au bout de 24 heures une vive douleur est apparue au niveau local. Rien de choquant jusque là puisque je l'avais expérimenté lors de la première injection. Puis au deuxième jour la douleur n'a cessé de s'amplifier m'empêchant carrément de dormir. Troisième jour ayant eu une journée le boulot un peu chargée où j'ai pas mal marché, je suis rentré chez moi avec la cuisse toute gonflée et rougissante (douleur toujours vive et difficultés à monter des marches sans garde corps). La cuisse était vraiment enflée, rouge et déformait même la position de la rotule au repos, à mon retour du taff. Puis de jour en jour cela a diminué avec de la glace. Là je suis au 6e jour j'ai toujours une douleur persistante et vive sur la zone d'injection lors de la contraction du quadriceps. Mais ça va beaucoup mieux, je ne boite presque plus mdr.
Lors de l'injection, bien entendu je prends toutes les mesures d'hygiène nécessaires, je vide les bulles d'air (bien que des micros restent), j'injecte le produit progressivement (de toute manière il est un peu huileux c'est galère pour le faire sortir), puis je masse un peu la zone après injection.
Savez-vous pour quelle raison j'ai eu cet ES lors de la 2nd injection? La taille de l'aiguille de 2cm était-elle adaptée selon vous ? Le produit ne serait il pas parti en sous cutané ? Préconisez-vous d'autre muscle pour ce type d'injection ? Faut-il mettre plutôt du froid ou du chaud pour apaiser la douleur et favoriser la diffusion du produit dans l'organisme ?
Je préfère vous solliciter sur ce forum pour bénéficier de votre expérience pratique en la matière, qu'un médecin ne serait m'expliquer que sa théorie pour les injections.
Merci par avance de vos retours.
Steeve