Zuff
New Member
Bonjour à tous.
J'ai eu une idée en cours de pharmacologie.
Petit rappel :
Pour assimiler des aliments particuliers, notamment un médicament (ou autre substance), celles-ci subissent 2 transformations dans le foie, la première, via les cellules Cytochromes P450 (celles qui sont détruites et ++ vos transas en partie), et la seconde par des réactions de conjugaisons (+acide glucoronique, +glycine, +sulfate etc.... ça dépend).
Une fois ces 2 phases passés, vous avez une partie du médoc qui est dans votre sang.
Ce % de produit en vous est la biodisponibilité.
Avec un oral, ça diminue drastiquement, une partie est éliminé, avec un injectable, elle est de 100 en théorie.
On parle d'hépatotoxicité notamment à cause de métabolites réactifs causé par la phase I, via les cytochromes P450 (notamment le principal, le 3A4) , qui se fixe à la cellule cytochrome et celle-ci se fait détruire, ainsi que d'autres moyens liés à ces métabolites. J'ai lu sur le forum, écrit par des membres "non certifiés" (pas des pros) que l'hépatotoxicité était du à une incapacité à métaboliser, ça doit être un raccourci mal interprété car je n'ai rien trouvé dessus en cherchant un peu sur le sujet, ce serai plutôt du à une incapacité de se débarrasser des métabolites (et non pas se débarrasser du produit en lui-même, que le corps sait faire via mes petits cytochromes).
Voici un lien abordable expliquant correctement ce que je viens de dire :
http://www.afef.asso.fr/Data/upload/files/FMC/LAC1186.pdf
Si on inhibe ces cytochromes 3A4 (et autres), on a moins de réactions de phase I, moins de métabolites, plus de biodisponibilité, et si - de métabolites, au vu de mon lien et de ces études, - de toxicité car le problème vient de ces métabolites.
Mais comment inhiber ces machins, faudra prendre des médocs et tout en plus ?!
Non, comme certains le savent, et comme j'ai déjà vu mais uniquement sous une interprétation très négative, le jus de pamplemousse induit naturellement une inhibition naturelle et sans danger de ces cytochromes (l'inhibition de ces cellules est transitoire et sans danger en temps normal)
Pourquoi ce sujet a t-il été traité négativement ?
Eh bien le jus de pamplemousse est déconseillé et il y a déjà eu des morts pour ça (de manière général) à cause d'interactions médicamenteuses (avec des médocs normaux).
Prendre un grand verre de pamplemousse, "détruit" (inhibe) tous les cytochromes P450 3A4, et certains médocs précis utilisent uniquement ces cytochromes (statines, contraceptifs, ciclosporine) et donc si on combine les deux (ces médocs là + le pamplemousse en excès), on augmente les concentrations sanguines de beaucoup, en particulier si le dosage n'est pas changé, car ce dosage a été pensé pour une utilisation "générale".
Pour un contraceptif oral, c'est pas si grave, la marge thérapeutique est correct, si on augmente les doses à fond le ballons, ça ne tue pas. Pour les statines et d'autres machins, ça peut aller jusqu'à augmenter de 15x la concentration sanguine (cas exceptionnel), alors que celle-ci doit être précise (faible marge) => danger.
Voilà comment le sujet avait été traité sur les stéros, on en a déduis une aggravation des risques, et pouf, fini basta adieu le pamplemousse, moussaillon.
Mais.
Mais les oraux (je pense au turinabol car c'est le seul qui m’intéresse personnellement) ont (en l'absence de sources sures et officielles) une marge "assez grande", car des gens peuvent en prendre de 40 à 70 et voir des effets sans pour autant se choper une hépatite aigüe. J'irai même jusqu'à dire qu'on peut monter à 80 pour certains gros balaises, ou le risque est + fort mais pas immédiat ni mortel)?
de plus le danger de ces doses est surtout pour le foie, si mon "astuce" fonctionne, la "limite" serai non pas le foie mais les danger lié à la concentration en "pseudo-testo"/votre produit, et donc forcement plus haut que les limites du foie. Lisez la suite et revenez lire ça si vous n'avez pas compris.
En gros on peut potentiellement doubler la dose sanguine sans pour autant niquer à coup sur son foie, et ainsi perdre la foi en moi, et devoir arrêter de manger du foie gras à Noël. Ca fou les foies hein...
La marge thérapeutique n'est pas faible, elle doit être je pense moyenne.
Là ou je veux en venir, c'est que peut-être qu'il serai bénéfique, que ce serai à tester, de procéder comme ceci :
Diminuer la dose, prendre par exemple 20 ou 30mg au lieu de 70, et consommer un peu (un peu, pas un verre entier) de jus de pamplemousse.
Les cytochromes 3A4 diminuant, une quantité de PA (produit actif) + importante passera dans le sang, compensant plus ou moins la diminution de votre dose quotidienne, car la diminution de cytochromes ne va pas multiplier par 5 ou 10 vos concentrations sanguines, juste assez pour compenser normalement, si non, il faudra ajuster avec la dose de jus de pamplemousse. J'y reviens après.
De plus, en raison du déficit de cytochrome et donc de métabolites réactifs, on devrai observer une baisse de l'hépatotoxicité et donc peu de transa.
En gros :
Gain d'argent (- de produit)
Baisse de l'hépatotoxicité
Possibilité d'augmenter la dose dans le sang "sainement".
Les points flous ou négatifs seraient :
1 : Impossible de savoir exactement la dose de PA dans le sang, donc si soucis ça tape dans les hormones. Il faudrait un moyen de mesurer le taux de PA pour être sur, mais en théorie, si des gens connaissant leur réaction au PA testent en augmentant les doses (en partant de 10mg/20mg par exemple), ils vont forcement savoir quand est-ce qu'il sous dans leur concentration habituelle (car la hausse inhabituelle de testo/produit induirai des effets secondaires. De plus un tout petit peu de jus de pamplemousse évitera de trop augmenter la dose biodisponible d'un coup. (L'effet du pamplemousse dure genre une heure ou deux donc on peut arrêter facilement, c'est que durant la prise.)
2 : Impossibilité de prévoir selon les individus le nombre de cytochrome que le pamplemousse inhibera, donc ça variera entre individu.
Néanmoins, de base le nombre de cytochrome varie, donc c'est le même cas pour une cure habituelle.
On pourrai augmenter la prédiction en prenant un verre complet de jus, qui inhibera totalement les cytochromes, au moins on sera sur de ce niveau-là, mais il faudra surveiller le point 1 car l’absorption sera grandement augmenté. (Imaginez une cure avec uniquement 15mg de turi, voir 10 ? ahah)
PROTOCOLE :
Je propose une méthode empirique basée sur les sensations, et donc qu'une personne habitué aux stéros et à ses effets, en prenant une cure de turi (pour la Xème fois), teste de prendre un peu de pamplemousse à la prise et baisse sa dose un petit peu, et qu'il compare le ressenti, si il voit qu'en baissant à 50mg (au lieu de 60) il a les mêmes effets (congestions, sensations...), il rebaisse à 40 en augmentant de peu le pamplemousse pour de nouveau compenser cette baisse, si il voit qu'il n'a plus de congestion et autres signes du turi, il augmente uniquement la dose de pamplemousse (si vous avez bien suivi, ça augmentera la dose dans le sang sans toucher au produit) etc...
Evidemment, si la dose de pamplemousse est trop faible pour être baissé (si trop de sensation (et donc trop de PA dans le sang), on baisse le produit.
Si la dose de pamplemousse atteint "un verre", normalement tous les cytochromes sont inhibés et ça ne sert à rien de continuer à augmenter, il faut augmenter cette fois-ci la dose. On arrivera à terme à l'efficacité maximale entre un verre de pamplemousse (cytochromes = 0) et une dose de turi, et il ne restera plus qu'à se baser sur cette dose de turi et de moduler celle-ci comme on le ferai sur une cure sans pamplemousse.
Ou alors un protocole plus mathématique, si on peut mesurer le taux de turi dans le sang (directement ou via son action sur la testo naturelle),(pendant la cure et pas au milieuafin d'être sur vis à vis des concentrations et demi-vies, donc environ 5x la durée de demi vie (car 5x demi vie considéré comme élimination du produit de cette prise là totale), après avoir testé ce taux 2x (une fois sans turi, une fois avec turi (dose Y)) avec cette fois-ci le turi (dose Y) et un verre complet de pamplemousse (afin d'inhiber TOUT les cytochromes 3A4 et être sur une valeur sûr (=0)).
On compare, on fait un graphique, on voit que il y a une augmentation sanguine de X%.
Il faudrait un autre graphique de ce genre avec une dose plus basse de turi, (dose Y-10mg ou par exemple) afin de palier à un problème éventuel de saturation des cyto3A4 par les molécules de turi et donc une perturbation de la concentration avant le pamplemousse ou que sais-je, pour vérifier.
Après je suis pas un boss en stat mais bon, via ses graphiques on observe que l'absence de cytochrome augmente de X% la dose sanguine, et on peut sans trop se tromper, diminuer de X% sa dose quotidienne et en recevoir autant qu'avant le pamplemousse. Avec en prime une hépatotoxicité + basse.
Je précise que ce test est possible et pas létal car de nombreux gars aux US et en france prennent un verre complet de pamplemousse avec leurs oraux. (ces gens ne baissent pas la dose et donc se retrouve en théorie à des doses probablement énorme), et même avec ces doses de chevaux ils sont encore vivant et ne souffrent pas (encore) pour la plupart de problème hépatique, donc le faire une seule cure en baissant sa dose et en étant modéré ne peut pas être très problématique.
Néanmoins, je précise que ceci est une théorie et que je ne suis responsable de rien, je ne suis pas encore médecin et mes écrits n'engage que mon avis (on sait jamais.)
Suite
J'ai eu une idée en cours de pharmacologie.
Petit rappel :
Pour assimiler des aliments particuliers, notamment un médicament (ou autre substance), celles-ci subissent 2 transformations dans le foie, la première, via les cellules Cytochromes P450 (celles qui sont détruites et ++ vos transas en partie), et la seconde par des réactions de conjugaisons (+acide glucoronique, +glycine, +sulfate etc.... ça dépend).
Une fois ces 2 phases passés, vous avez une partie du médoc qui est dans votre sang.
Ce % de produit en vous est la biodisponibilité.
Avec un oral, ça diminue drastiquement, une partie est éliminé, avec un injectable, elle est de 100 en théorie.
On parle d'hépatotoxicité notamment à cause de métabolites réactifs causé par la phase I, via les cytochromes P450 (notamment le principal, le 3A4) , qui se fixe à la cellule cytochrome et celle-ci se fait détruire, ainsi que d'autres moyens liés à ces métabolites. J'ai lu sur le forum, écrit par des membres "non certifiés" (pas des pros) que l'hépatotoxicité était du à une incapacité à métaboliser, ça doit être un raccourci mal interprété car je n'ai rien trouvé dessus en cherchant un peu sur le sujet, ce serai plutôt du à une incapacité de se débarrasser des métabolites (et non pas se débarrasser du produit en lui-même, que le corps sait faire via mes petits cytochromes).
Voici un lien abordable expliquant correctement ce que je viens de dire :
http://www.afef.asso.fr/Data/upload/files/FMC/LAC1186.pdf
Si on inhibe ces cytochromes 3A4 (et autres), on a moins de réactions de phase I, moins de métabolites, plus de biodisponibilité, et si - de métabolites, au vu de mon lien et de ces études, - de toxicité car le problème vient de ces métabolites.
Mais comment inhiber ces machins, faudra prendre des médocs et tout en plus ?!
Non, comme certains le savent, et comme j'ai déjà vu mais uniquement sous une interprétation très négative, le jus de pamplemousse induit naturellement une inhibition naturelle et sans danger de ces cytochromes (l'inhibition de ces cellules est transitoire et sans danger en temps normal)
Pourquoi ce sujet a t-il été traité négativement ?
Eh bien le jus de pamplemousse est déconseillé et il y a déjà eu des morts pour ça (de manière général) à cause d'interactions médicamenteuses (avec des médocs normaux).
Prendre un grand verre de pamplemousse, "détruit" (inhibe) tous les cytochromes P450 3A4, et certains médocs précis utilisent uniquement ces cytochromes (statines, contraceptifs, ciclosporine) et donc si on combine les deux (ces médocs là + le pamplemousse en excès), on augmente les concentrations sanguines de beaucoup, en particulier si le dosage n'est pas changé, car ce dosage a été pensé pour une utilisation "générale".
Pour un contraceptif oral, c'est pas si grave, la marge thérapeutique est correct, si on augmente les doses à fond le ballons, ça ne tue pas. Pour les statines et d'autres machins, ça peut aller jusqu'à augmenter de 15x la concentration sanguine (cas exceptionnel), alors que celle-ci doit être précise (faible marge) => danger.
Voilà comment le sujet avait été traité sur les stéros, on en a déduis une aggravation des risques, et pouf, fini basta adieu le pamplemousse, moussaillon.
Mais.
Mais les oraux (je pense au turinabol car c'est le seul qui m’intéresse personnellement) ont (en l'absence de sources sures et officielles) une marge "assez grande", car des gens peuvent en prendre de 40 à 70 et voir des effets sans pour autant se choper une hépatite aigüe. J'irai même jusqu'à dire qu'on peut monter à 80 pour certains gros balaises, ou le risque est + fort mais pas immédiat ni mortel)?
de plus le danger de ces doses est surtout pour le foie, si mon "astuce" fonctionne, la "limite" serai non pas le foie mais les danger lié à la concentration en "pseudo-testo"/votre produit, et donc forcement plus haut que les limites du foie. Lisez la suite et revenez lire ça si vous n'avez pas compris.
En gros on peut potentiellement doubler la dose sanguine sans pour autant niquer à coup sur son foie, et ainsi perdre la foi en moi, et devoir arrêter de manger du foie gras à Noël. Ca fou les foies hein...
La marge thérapeutique n'est pas faible, elle doit être je pense moyenne.
Là ou je veux en venir, c'est que peut-être qu'il serai bénéfique, que ce serai à tester, de procéder comme ceci :
Diminuer la dose, prendre par exemple 20 ou 30mg au lieu de 70, et consommer un peu (un peu, pas un verre entier) de jus de pamplemousse.
Les cytochromes 3A4 diminuant, une quantité de PA (produit actif) + importante passera dans le sang, compensant plus ou moins la diminution de votre dose quotidienne, car la diminution de cytochromes ne va pas multiplier par 5 ou 10 vos concentrations sanguines, juste assez pour compenser normalement, si non, il faudra ajuster avec la dose de jus de pamplemousse. J'y reviens après.
De plus, en raison du déficit de cytochrome et donc de métabolites réactifs, on devrai observer une baisse de l'hépatotoxicité et donc peu de transa.
En gros :
Gain d'argent (- de produit)
Baisse de l'hépatotoxicité
Possibilité d'augmenter la dose dans le sang "sainement".
Les points flous ou négatifs seraient :
1 : Impossible de savoir exactement la dose de PA dans le sang, donc si soucis ça tape dans les hormones. Il faudrait un moyen de mesurer le taux de PA pour être sur, mais en théorie, si des gens connaissant leur réaction au PA testent en augmentant les doses (en partant de 10mg/20mg par exemple), ils vont forcement savoir quand est-ce qu'il sous dans leur concentration habituelle (car la hausse inhabituelle de testo/produit induirai des effets secondaires. De plus un tout petit peu de jus de pamplemousse évitera de trop augmenter la dose biodisponible d'un coup. (L'effet du pamplemousse dure genre une heure ou deux donc on peut arrêter facilement, c'est que durant la prise.)
2 : Impossibilité de prévoir selon les individus le nombre de cytochrome que le pamplemousse inhibera, donc ça variera entre individu.
Néanmoins, de base le nombre de cytochrome varie, donc c'est le même cas pour une cure habituelle.
On pourrai augmenter la prédiction en prenant un verre complet de jus, qui inhibera totalement les cytochromes, au moins on sera sur de ce niveau-là, mais il faudra surveiller le point 1 car l’absorption sera grandement augmenté. (Imaginez une cure avec uniquement 15mg de turi, voir 10 ? ahah)
PROTOCOLE :
Je propose une méthode empirique basée sur les sensations, et donc qu'une personne habitué aux stéros et à ses effets, en prenant une cure de turi (pour la Xème fois), teste de prendre un peu de pamplemousse à la prise et baisse sa dose un petit peu, et qu'il compare le ressenti, si il voit qu'en baissant à 50mg (au lieu de 60) il a les mêmes effets (congestions, sensations...), il rebaisse à 40 en augmentant de peu le pamplemousse pour de nouveau compenser cette baisse, si il voit qu'il n'a plus de congestion et autres signes du turi, il augmente uniquement la dose de pamplemousse (si vous avez bien suivi, ça augmentera la dose dans le sang sans toucher au produit) etc...
Evidemment, si la dose de pamplemousse est trop faible pour être baissé (si trop de sensation (et donc trop de PA dans le sang), on baisse le produit.
Si la dose de pamplemousse atteint "un verre", normalement tous les cytochromes sont inhibés et ça ne sert à rien de continuer à augmenter, il faut augmenter cette fois-ci la dose. On arrivera à terme à l'efficacité maximale entre un verre de pamplemousse (cytochromes = 0) et une dose de turi, et il ne restera plus qu'à se baser sur cette dose de turi et de moduler celle-ci comme on le ferai sur une cure sans pamplemousse.
Ou alors un protocole plus mathématique, si on peut mesurer le taux de turi dans le sang (directement ou via son action sur la testo naturelle),(pendant la cure et pas au milieuafin d'être sur vis à vis des concentrations et demi-vies, donc environ 5x la durée de demi vie (car 5x demi vie considéré comme élimination du produit de cette prise là totale), après avoir testé ce taux 2x (une fois sans turi, une fois avec turi (dose Y)) avec cette fois-ci le turi (dose Y) et un verre complet de pamplemousse (afin d'inhiber TOUT les cytochromes 3A4 et être sur une valeur sûr (=0)).
On compare, on fait un graphique, on voit que il y a une augmentation sanguine de X%.
Il faudrait un autre graphique de ce genre avec une dose plus basse de turi, (dose Y-10mg ou par exemple) afin de palier à un problème éventuel de saturation des cyto3A4 par les molécules de turi et donc une perturbation de la concentration avant le pamplemousse ou que sais-je, pour vérifier.
Après je suis pas un boss en stat mais bon, via ses graphiques on observe que l'absence de cytochrome augmente de X% la dose sanguine, et on peut sans trop se tromper, diminuer de X% sa dose quotidienne et en recevoir autant qu'avant le pamplemousse. Avec en prime une hépatotoxicité + basse.
Je précise que ce test est possible et pas létal car de nombreux gars aux US et en france prennent un verre complet de pamplemousse avec leurs oraux. (ces gens ne baissent pas la dose et donc se retrouve en théorie à des doses probablement énorme), et même avec ces doses de chevaux ils sont encore vivant et ne souffrent pas (encore) pour la plupart de problème hépatique, donc le faire une seule cure en baissant sa dose et en étant modéré ne peut pas être très problématique.
Néanmoins, je précise que ceci est une théorie et que je ne suis responsable de rien, je ne suis pas encore médecin et mes écrits n'engage que mon avis (on sait jamais.)
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