Duncan Pharma

Super je vais faire le plein alors !

Habituellement j'utilise de la cypionate mais apparemment d'après une étude récente l'ester enanthate serait supérieur niveau assimilation et pic de concentration
 
Bonjour,

Des retours sur la tren e ou la boldo (pas de test lab) ?

Perso j’ai testé la testo E en effet rien a dire ça fait le taff.
 
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Testosterone Cypionate 250 mg/ml – Pour dépasser tes limites

Tu veux franchir un cap dans ta progression ? Testosterone Cypionate est une solution injectable puissante dosée à 250 mg/ml, idéale pour soutenir ta prise de masse sèche et améliorer tes performances à l’entraînement.

Effets recherchés :
– Augmentation de la force et de l’endurance
– Développement musculaire rapide et dense
– Récupération améliorée entre les séances

Format : flacon de 10 ml – 2500 mg au total

Cycle Testostérone Cypionate – 12 semaines (Prise de masse)

Durée totale :
12 semaines
Produit : Testosterone Cypionate
Dosage hebdomadaire : 500 mg (répartis en 2 injections de 250 mg, par exemple lundi/jeudi)

Exemple de plan :

Semaines 1 à 12 :
➡️ 250 mg de Testostérone Cypionate le lundi
➡️ 250 mg de Testostérone Cypionate le jeudi

Protection :
Semaines 2 à 12 :
– 0.25 mg d’Arimidex (anastrozole) tous les deux jours, à ajuster selon les effets secondaires et prise de sang (acné, rétention, sensibilité aux tétons, etc.)

PCT (relance post-cycle) :
Commence 2 semaines après la dernière injection (Semaine 15)

Semaines 15 à 18 :

– Nolvadex : 20 mg / jour

Objectif : Maximiser la croissance musculaire, limiter la rétention d’eau, préserver les gains après le cycle.
 
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21 solutions pour expliquer pourquoi ton dos ne se développe pas

Le développement du dos est souvent l’un des objectifs les plus difficiles en musculation. Malgré un travail régulier, beaucoup constatent un retard sur cette zone comparé aux autres groupes musculaires. Cet article éducatif, basé sur les conseils de John Meadows, passe en revue 21 erreurs fréquentes et les corrections à appliquer pour débloquer ton vrai potentiel.




Comprendre la complexité de l'entraînement du dos

Le dos n’est pas un seul muscle, mais un ensemble complexe composé des dorsaux (lats), rhomboïdes, trapèzes, grand rond (teres major) et érecteurs du rachis. Les cibler efficacement demande plus que simplement soulever lourd : il faut de la précision, de la conscience corporelle, et une exécution stratégique.




Les points techniques et corrections clés

1. Une bonne forme sur les tirages verticals
  • Garde la poitrine sortie et le sternum relevé.
  • Ne laisse pas ton torse s’effondrer en fin de série : tu perds la tension sur les dorsaux.
  • Ne balance pas avec le haut du corps, contrôle le mouvement et concentre-toi sur la trajectoire des coudes.

2. Maîtriser les tirages horizontaux à la poulie
  • Pense en "coudes", pas en "mains". Tire avec les coudes vers l’arrière et le bas.
  • Supprime l’élan et le tirage avec les bras.

3. Utilisation efficace du rowing haltère
  • Évite de tourner le buste.
  • Garde les épaules carrées et une base solide.
  • Focalise-toi sur la traction du coude, pas sur la flexion du bras.

4. Utiliser intelligemment les sangles et la ceinture
  • Utilise des sangles pour les charges lourdes afin d’éviter l’échec dû à la poigne.
  • Porte une ceinture pour les barbell rows très lourds, mais entraîne-toi sans le reste du temps pour renforcer le bas du dos.

5. Corriger le rowing barre
  • Garde la barre proche du corps.
  • Évite d’arrondir ou de creuser excessivement le dos.
  • Maintiens une colonne vertébrale neutre pour une meilleure activation et plus de sécurité.

6. Avantages du rack pull
  • Remplace les deadlifts classiques par des rack pulls à hauteur du tibia pour cibler davantage les dorsaux.
  • Moins de stress sur les lombaires, plus d’activation du dos.

7. Exécution intelligente du pull-over
  • Garde une légère flexion des bras et ne la change pas durant le mouvement.
  • Limite l’amplitude pour maintenir la tension sur les dorsaux.
  • Ne transforme pas le mouvement en extension des triceps.

8. Optimiser la machine à hyperextensions
  • Régle la machine pour bien recruter les érecteurs du rachis.
  • Ne va pas au-delà de l’alignement du dos : pas d’hyperextension.
  • Garde une tension continue sur le groupe musculaire ciblé.




Conseils pour maximiser les résultats

  • Gère bien ton repos, surtout sur les exercices unilatéraux.
  • Priorise la qualité d’exécution à la quantité ou à l’égo-lifting.
  • Sois régulier sur la technique, revois ta forme régulièrement.




Conclusion

Un entraînement du dos efficace, ce n’est pas juste pousser plus fort, c’est s’entraîner intelligemment. En affinant ta technique, en utilisant le bon matériel au bon moment, et en développant ta connexion muscle-esprit, tu peux enfin dépasser le blocage du dos qui stagne. Applique ces 21 points à ta routine, et attends-toi à un dos plus large, plus fort, et bien mieux développé avec le temps.
 
DuncanPharma - Liste de prix de gros disponible !

Bonjour à tous,

DuncanPharma propose une liste de prix de gros pour les grosses commandes.
N'hésitez pas à nous contacter directement pour recevoir la liste complète !
 
Bonjour j'ai passé une commande il y a 5 jours, toujours pas expédiée... j'ai contacté le site via le formulaire hier et pas de réponse, c'est normal?
 
7 jours que j'ai payé ma commande, toujours en statut "processing" ..... c'est la première fois que je commande sur ce site vous autres vous avez reçu vos commandes au bout de combien de temps ?
 
7 jours que j'ai payé ma commande, toujours en statut "processing" ..... c'est la première fois que je commande sur ce site vous autres vous avez reçu vos commandes au bout de combien de temps ?

Comme je te l'ai écrit en MP, ta commande est passée en statut "payée" vendredi, après que tu t'en sois occupé jeudi. Le week-end, la source est fermée donc il ne se passe rien.

Le décompte a donc commencé lundi. On est aujourd'hui au début du jour 4, la commande sera expédiée sous peu.

Il faut un minimum de patience, ce n'est pas encore Amazon.
 


Comment la Testostérone Influence Réellement la Personnalité ?

Introduction

La personnalité est souvent perçue comme quelque chose de figé : ce que nous sommes, nos réactions instinctives, notre manière d'être au quotidien. Pourtant, en y regardant de plus près, elle est le fruit d'un savant mélange entre notre patrimoine génétique, nos expériences de vie... et notre biologie hormonale.

Parmi ces facteurs biologiques, la testostérone occupe une place de choix, en particulier chez l’homme. Alors, en quoi la testostérone influence-t-elle vraiment notre personnalité ? Est-il possible de "changer" en modifiant son statut hormonal ? Voici un tour d’horizon sérieux et sans fioritures.

La Testostérone et la Construction de la Personnalité

La personnalité se forge sur deux piliers principaux :
- L’inné : notre génétique, notre neurochimie de base, dont fait partie notre environnement hormonal dès la gestation.
- L’acquis : l’ensemble des expériences et apprentissages qui viennent "sculpter" cette base au fil du temps.

La testostérone agit donc très tôt, influençant dès l'enfance certains comportements typiquement masculins (exploration, prise de risque, combativité). Mais ses effets ne s'arrêtent pas là : tout au long de la vie adulte, le niveau de testostérone continue de modeler notre énergie mentale, notre style relationnel, nos ambitions et notre manière de gérer les conflits.

High-T vs Low-T : Deux Dynamiques de Personnalité

Chez les hommes à fort taux de testostérone, on observe :
- Plus d’assertivité et de capacité à s’imposer dans les interactions sociales.
- Un goût prononcé pour les défis, la compétition, la prise de décisions rapides.
- Une propension à prendre des risques mesurés, à sortir de leur zone de confort.
- Un niveau de confiance plus élevé, parfois perçu comme du charisme naturel.
- Une stabilité émotionnelle plus marquée, avec moins de variations d'humeur.

À noter que l'agressivité, souvent associée à tort à la testostérone, est plus subtile qu'on le pense. Elle se traduit bien souvent par une "agressivité sociale" positive : ambition, volonté de protection, leadership.

Chez les hommes à faible taux de testostérone, on note souvent :
- Une baisse de la motivation générale, avec un retrait vis-à-vis des défis.
- Plus d'émotivité, de sensibilité aux critiques et aux stress sociaux.
- Un comportement plus passif dans les situations conflictuelles.
- Une diminution de la libido et de l’estime de soi.
- Une tendance accrue à l’anxiété, aux épisodes dépressifs et à l’isolement.

Ces tendances ne font pas d'un homme Low-T un "moins bon homme", mais elles influencent nettement son positionnement social, professionnel et personnel.

Peut-on Modifier Sa Personnalité en Agissant sur la Testostérone ?

Lorsque des niveaux de testostérone faibles sont corrigés (par thérapie ou moyens naturels), on observe :
- Un retour progressif vers une plus grande vitalité physique et mentale.
- Un regain d’ambition, de combativité saine et de résilience face au stress.
- Une amélioration notable de la confiance sociale et de la libido.
- Une capacité accrue à "faire face" plutôt qu'à "subir".

Cependant, certaines dimensions profondes de la personnalité restent stables. La "teinte émotionnelle" de base (plutôt optimiste ou plutôt pessimiste, par exemple) est difficile à remodeler, car elle est fortement ancrée dès les premières années de vie.

Pourquoi Les Taux de Testostérone Sont-ils en Baisse Aujourd'hui ?

Aujourd'hui, un constat s'impose : les niveaux moyens de testostérone chez les hommes ont chuté de façon significative depuis les années 80. Les raisons sont multiples :
- Exposition massive aux perturbateurs endocriniens (plastiques, pesticides, produits chimiques du quotidien).
- Sédentarité généralisée et diminution du travail physique.
- Alimentation industrielle pauvre en nutriments essentiels (zinc, magnésium, vitamines liposolubles).
- Surpoids et obésité abdominale qui favorisent la conversion de la testostérone en œstrogènes via l’aromatase.
- Stress chronique qui élève le cortisol, antagoniste naturel de la testostérone.

À cela s’ajoute un phénomène souvent sous-estimé : l’augmentation du SHBG (Sex Hormone Binding Globulin), une protéine qui capture la testostérone circulante et la rend inutilisable par les cellules cibles.

Améliorer Son Statut Hormonal : Les Fondamentaux

Avant même de parler de TRT ou de supplémentation, les bases restent incontournables :
- Alimentation dense et riche en nutriments (œufs, viandes rouges, fruits de mer, légumes verts, bons gras).
- Activité physique régulière, surtout musculation lourde et travail en résistance.
- Gestion du stress par le sommeil de qualité, la respiration, et l’évitement des surcharges mentales inutiles.
- Exposition au soleil pour maintenir des taux optimaux de vitamine D (indispensable à la production de testostérone).

Conclusion

La testostérone n’est pas seulement une hormone de "virilité" ou de "libido" : c’est un véritable moteur comportemental qui influence profondément notre manière d’interagir avec le monde.

Est-ce qu'augmenter sa testostérone change qui l'on est fondamentalement ?
Non. Mais cela peut réveiller des traits latents étouffés, renforcer notre énergie vitale, et révéler une version de nous-mêmes plus affirmée, plus stable, plus connectée à notre potentiel naturel.

Dans une époque où la mollesse est érigée en norme, cultiver son statut hormonal est un acte de responsabilité envers soi-même.
 


La désillusion du « junk food » : pourquoi la modération peut devenir un piège

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Introduction
Ces dernières années, il est devenu presque « branché » de promouvoir le junk food en salle de sport ou sur les réseaux : un bout de pizza, un donut, un soda… avec la promesse que tout est possible, du moment qu’on reste « modéré ». Mais derrière ce slogan séduisant se cache souvent une réalité plus complexe : pour un grand nombre d’entre nous, la modération n’est pas synonyme de contrôle, mais bien plutôt de frustration, de fringales incontrôlées et, au final, d’un échec sur la durée.

Dans cet article, je vous explique pourquoi la modération ne suffit pas toujours, comment la malbouffe agit sur notre physiologie et notre psychologie, et surtout comment vous pouvez reprendre la main : non pas pour vous priver à vie, mais pour vous construire une relation plus saine et durable avec la nourriture.

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1. Qu’est-ce que la « malbouffe » ?
On parle souvent de « junk food », « hyperpalatable », « ultra-transformée »…
  • Faibles en volume et en nutriments, mais très caloriques.
  • Riches en sucres rapides, en graisses hydrogénées ou saturées, et en additifs destinés à vous rendre « accro ».
  • Très peu rassasiants, ce qui pousse votre cerveau à réclamer encore plus.
Tous les aliments transformés ne sont pas à bannir : yaourts nature, protéines en poudre, charcuteries de qualité peuvent faciliter la vie sans déclencher d’addiction. L’important est de distinguer le « fonctionnel » de l’« obésogène ».

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2. Les conséquences sur le corps et l’esprit
2.1. Une prise de masse insidieuse
Les études montrent qu’un régime majoritairement ultra-transformé conduit à une surconsommation de 400–500 kcal par jour, bien plus qu’un simple snack occasionnel.

2.2. Inflammation, hormones et déprime
  • Inflammation chronique : ingrédients industriels favorisent un état inflammatoire nocif pour la santé.
  • Baisse de testostérone : un pic de sucre peut réduire vos niveaux hormonaux de près de 25 % pendant plusieurs heures.
  • Altération du microbiote : déséquilibre des bonnes bactéries, impactant la régulation de l’appétit et de l’humeur.

2.3. Dépendance alimentaire
Les fabricants de junk food ciblent vos circuits de la récompense : sucres, graisses, sel… Un cocktail qui vous fait perdre votre notion de satiété, à l’image d’une addiction comportementale.

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3. Pourquoi la modération peut échouer
  • Le coup de fouet initial ne calme pas toujours la fringale : on en veut encore.
  • Le comptage calorique ne supprime pas l’envie : la volonté s’épuise, la culpabilité augmente.
  • La sensation de « prison » d’un droit limité finit souvent par un craquage massif.
Si votre physiologie ou votre microbiote ne tolère pas ces aliments, vous passerez plus de temps à lutter qu’à profiter.

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4. Les alliés « transformés » et comment les choisir
  • Yaourts et kéfirs sans sucres ajoutés (probiotiques, rassasiants)
  • Protéines en poudre (soutien anabolique sans lourdeur)
  • Sauces et condiments « allégés » (moutarde, vinaigrettes édulcorées)
  • Alternatives à faible IG (pâtes de légumineuses, riz de chou-fleur)
Astuce : utilisez-les comme « véhicules » (tacos, bols) plutôt que comme grignotage permanent.

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5. Édulcorants : ennemis ou alliés ?
Les faux sucres (sucralose, stevia, érythritol) offrent un goût sucré sans calories.
  • Ils n’entraînent généralement pas de fringales ni d’élévation glycémique.
  • Comparés aux additifs du soda classique, ils représentent souvent une meilleure option.
Comme toujours, basez-vous sur votre ressenti : si un édulcorant accentue la faim, évitez-le.

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6. Le « test fruits et baies »
Remplacez un encas sucré par un bol de fruits rouges, une pomme ou une poire :
  • Volume : plus rassasiant.
  • Nutriments : antioxydants, fibres, vitamines.
  • Douceur naturelle : rééducation des papilles.
Si vous retrouvez le plaisir du fruit, c’est le signe que votre palais peut se réhabituer aux saveurs authentiques.

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7. Deux approches pour une perte de poids durable
Approche 1 : qualité avant tout
  • Principe : volumétrie (légumes, fruits, protéines maigres).
  • Avantages : pas de comptage, moins de fringales.
  • Inconvénients : risque de surconsommer des « sains » (noix, avocat).

Approche 2 : inclusion totale
  • Principe : tout permis, mais on compte calories et macros.
  • Avantages : flexibilité, apprentissage alimentaire.
  • Inconvénients : dépendance à l’appli, lassitude psychologique.

Conseil : si l’une ne fonctionne pas, essayez l’autre ; vous pourrez découvrir celle qui vous correspond.

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8. Nutrition, junk food et usage de stéroïdes : une synergie sous influence
  • Impacts métaboliques : sans apports protéiques et micronutrition, les stéroïdes perdent de leur effet anabolique.
  • Fluctuations hormonales : un pic de sucre baisse la testostérone naturelle, rendant votre cycle plus instable.
  • Risque cardiovasculaire : stéroïdes + régime riche en sel et mauvaises graisses multiplient les risques d’athérosclérose.
  • Optimiser votre diète : aliments anti‑inflammatoires, apport protéique élevé (1,8–2,2 g/kg), hydratation et électrolytes.
  • Après le cycle : alimentation de qualité pour revenir à la production naturelle de testostérone et stabiliser le poids.

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Conclusion
La modération du junk food peut devenir un frein à la perte de poids et au bien‑être si vous êtes sensible à ses effets addictifs et inflammatoires. En revanche, une alimentation basée sur la volumétrie, les aliments anti‑inflammatoires et une utilisation judicieuse des produits transformés vous offre un levier puissant pour atteindre vos objectifs sans frustration permanente. Testez, ajustez, et trouvez l’équilibre qui vous permettra de tenir sur la durée !
 
De la part de l'équipe DuncanPharma :

Bonjour MesorX,

Nous souhaitons vous informer que nous avons enregistré un grand nombre de commandes ces dernières semaines, mais avons malheureusement reçu peu de retours de votre part.

Votre avis est précieux pour nous : n’hésitez pas à partager vos impressions, suggestions ou critiques afin que nous puissions améliorer nos produits et services. Des photos seraient un bonus pour nous !

Merci d’avance pour votre collaboration !
 

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