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ALORS POUR L'ARRET DE LA CIGARETTE
certains effets sont quasi immédiats : par exemple la disparition de la nicotine et du monoxyde de carbone (en vingt-quatre heures). Cela signifie entre autres que disparaissent rapidement les risques de spasme et de thrombose, ainsi que la réduction du taux d'oxygène dans le sang lié au monoxyde de carbone
Des effets rapides
Après la dernière cigarette
20 minutes après la dernière cigarette : retour au niveau de base des chiffres de tension artérielle et du rythme cardiaque,
8 heures après la dernière cigarette : normalisation de l'oxygénation des cellules, taux de monoxyde de carbone dans le sang divisé par 2, diminution du risque de spasme coronaire.
24 heures après la dernière cigarette : début de diminution du risque d'infarctus du myocarde. La nicotine est éliminée de l'organisme, les poumons commencent à évacuer le mucus et les résidus de fumée.
48 heures après la dernière cigarette : amélioration du goût et de l'odorat, de la qualité du sommeil.
72 heures après la dernière cigarette : respirer devient plus facile. Les bronches commencent à se relâcher et l'énergie augmente.
2 semaines à 3 mois après la dernière cigarette : diminution de la toux et de la fatigue, amélioration du souffle, les terminaisons gustatives repoussent.
1 à 9 mois après la dernière cigarette les cils bronchiques repoussent. L'essoufflement diminue de plus en plus et la fonction pulmonaire est améliorée.
1 an après la dernière cigarette : risque d'accident vasculaire cérébral équivalent à celui d'une personne n'ayant jamais fumé. Risque d'infarctus du myocarde diminué de moitié.
5 ans après la dernière cigarette*: risque de cancer du poumon divisé presque par 2. Risque d'infarctus du myocarde équivalent à celui des non-fumeurs.
10 à 20 ans après la dernière cigarette : risque de cancer de la bouche, de l'œsophage et de la vessie proche de celui des non-fumeurs. L'espérance de vie redevient identique à celle des personnes n'ayant jamais fumé*.
* En particulier chez les personnes qui ont arrêté de fumer tôt. Un fumeur qui arrête entre 35 et 44 ans retrouve une espérance de vie équivalente à celle des non-fumeurs (étude des British Doctors de Richard Doll : Doll R, Peto R et al. BMJ 2004; 328: 1519-28).
D'après Drs Kamel Abdennbi et Nadia Lahlou
Arrêt du tabac, Médi-Text Éditions
certains effets sont quasi immédiats : par exemple la disparition de la nicotine et du monoxyde de carbone (en vingt-quatre heures). Cela signifie entre autres que disparaissent rapidement les risques de spasme et de thrombose, ainsi que la réduction du taux d'oxygène dans le sang lié au monoxyde de carbone
Des effets rapides
Après la dernière cigarette
20 minutes après la dernière cigarette : retour au niveau de base des chiffres de tension artérielle et du rythme cardiaque,
8 heures après la dernière cigarette : normalisation de l'oxygénation des cellules, taux de monoxyde de carbone dans le sang divisé par 2, diminution du risque de spasme coronaire.
24 heures après la dernière cigarette : début de diminution du risque d'infarctus du myocarde. La nicotine est éliminée de l'organisme, les poumons commencent à évacuer le mucus et les résidus de fumée.
48 heures après la dernière cigarette : amélioration du goût et de l'odorat, de la qualité du sommeil.
72 heures après la dernière cigarette : respirer devient plus facile. Les bronches commencent à se relâcher et l'énergie augmente.
2 semaines à 3 mois après la dernière cigarette : diminution de la toux et de la fatigue, amélioration du souffle, les terminaisons gustatives repoussent.
1 à 9 mois après la dernière cigarette les cils bronchiques repoussent. L'essoufflement diminue de plus en plus et la fonction pulmonaire est améliorée.
1 an après la dernière cigarette : risque d'accident vasculaire cérébral équivalent à celui d'une personne n'ayant jamais fumé. Risque d'infarctus du myocarde diminué de moitié.
5 ans après la dernière cigarette*: risque de cancer du poumon divisé presque par 2. Risque d'infarctus du myocarde équivalent à celui des non-fumeurs.
10 à 20 ans après la dernière cigarette : risque de cancer de la bouche, de l'œsophage et de la vessie proche de celui des non-fumeurs. L'espérance de vie redevient identique à celle des personnes n'ayant jamais fumé*.
* En particulier chez les personnes qui ont arrêté de fumer tôt. Un fumeur qui arrête entre 35 et 44 ans retrouve une espérance de vie équivalente à celle des non-fumeurs (étude des British Doctors de Richard Doll : Doll R, Peto R et al. BMJ 2004; 328: 1519-28).
D'après Drs Kamel Abdennbi et Nadia Lahlou
Arrêt du tabac, Médi-Text Éditions