frozon13
Well-Known Member
salut les amis, j'ai consommé des benzos pendant 1 ans environ à des doses extrêmes (du genre 80mg de valium pendant 4mois pour redescendre 40/30 mg les 6 mois suivants) j'ai eu une cette forte consommations de médicaments car j'ai mal géré un gros soucis de santé psychologiquement et je me suis en enfuie dans la défonce avec les benzo pour oublier mon malheur.
J'utilisais limite ca comme un soin palliatif en fait, je faisais durant cette même période une demande d'euthanasie qui n'a pas aboutie autant vous dire que dans cette état d'esprit vous auto détruire est le derniers de vos soucis sur le moment car vous vous voyez plus de ce monde dans les prochains mois et vous souhaitez juste vous apaisez le plus possible avec des plaisirs éphémères (les drogues en l'occurrence) , à quoi bon prendre soin d'un corp abimé qu'on va bientôt perdre je me disais, le soucis est que finalement je suis restais en vie, et vers la fin (juin 2020) j'ai commençais à trouvez que les benzos avait de gros effet sur ma cognition, j'ai donc eu un gros déclic, tout arrêter !
le soucis c'est que quand j'ai un déclic, je fonctionne un peu trop fort et j'ai décidé de tout stoppé d'un coup sans diminution progressive qui sont limite obligatoire en fait, suite à ce sevrage forcé qui ne m'a pas spécialement marqué sur le moment finalement car peu de symptômes mise à part petite insomnie mais la mélatonine m'aidez bien.
suite à ce sevrage forcé, mon cerveau a littéralement pété un câble et s'est mis en mode OFF, du coup gros soucis de mémoire, anhédonie, perte de personnalité comme si j'étais totalement détaché de la personne que je suis et que j'aime beaucoup, mémoire à court terme horrible, intelligence sociale inexistante, en gros impossible de recréer des connexions avec les gens alors que de base je suis une personne de très sociable, impossible de me concentrer dans un film en sous titré par exemple alors que c'étais mon occupation principale depuis mon soucis d'audition de regarder Netflix avec les sous titres, j'ai beaucoup de mal à trouver mes mots quand je dois parler, etc
fin mon cerveau s'est vraiment détraqué et en 6 mois d'arrêts y'a pas eu de réel améliorations(je sais que la récupérations peut être longue avec les benzos)
au début de ce mois, ma pathologie qui m'a fait tomber dans les benzos a grandement empiré et psychologiquement j'ai pas tenue longtemps et j'ai craqué avec le valium après 6 mois de convalescence, je m'en veux à un point pour l'instant, j'en ai pris sur 10/12 jours à des doses comprises entre 10 et 30 mg je crois, mon cerveau étant déjà perturbé par le sevrage brusque j'ai aucune idée si je peux me permettre de quitter les benzos du jours au lendemain ou de faire une diminution progressive pour pas trop perturber mon cerveau de ces 10 jours de rechute, pensez vous que je devrez faire une diminution progressive ou tout stopper d'un coup car 10 jours c'est pas énorme non plus quoi, je suis tellement perdu, j'aimerai tellement retrouver mon cerveau.
et avez vous connu ce genre d'expérience avec les benzos ?
J'utilisais limite ca comme un soin palliatif en fait, je faisais durant cette même période une demande d'euthanasie qui n'a pas aboutie autant vous dire que dans cette état d'esprit vous auto détruire est le derniers de vos soucis sur le moment car vous vous voyez plus de ce monde dans les prochains mois et vous souhaitez juste vous apaisez le plus possible avec des plaisirs éphémères (les drogues en l'occurrence) , à quoi bon prendre soin d'un corp abimé qu'on va bientôt perdre je me disais, le soucis est que finalement je suis restais en vie, et vers la fin (juin 2020) j'ai commençais à trouvez que les benzos avait de gros effet sur ma cognition, j'ai donc eu un gros déclic, tout arrêter !
le soucis c'est que quand j'ai un déclic, je fonctionne un peu trop fort et j'ai décidé de tout stoppé d'un coup sans diminution progressive qui sont limite obligatoire en fait, suite à ce sevrage forcé qui ne m'a pas spécialement marqué sur le moment finalement car peu de symptômes mise à part petite insomnie mais la mélatonine m'aidez bien.
suite à ce sevrage forcé, mon cerveau a littéralement pété un câble et s'est mis en mode OFF, du coup gros soucis de mémoire, anhédonie, perte de personnalité comme si j'étais totalement détaché de la personne que je suis et que j'aime beaucoup, mémoire à court terme horrible, intelligence sociale inexistante, en gros impossible de recréer des connexions avec les gens alors que de base je suis une personne de très sociable, impossible de me concentrer dans un film en sous titré par exemple alors que c'étais mon occupation principale depuis mon soucis d'audition de regarder Netflix avec les sous titres, j'ai beaucoup de mal à trouver mes mots quand je dois parler, etc
fin mon cerveau s'est vraiment détraqué et en 6 mois d'arrêts y'a pas eu de réel améliorations(je sais que la récupérations peut être longue avec les benzos)
au début de ce mois, ma pathologie qui m'a fait tomber dans les benzos a grandement empiré et psychologiquement j'ai pas tenue longtemps et j'ai craqué avec le valium après 6 mois de convalescence, je m'en veux à un point pour l'instant, j'en ai pris sur 10/12 jours à des doses comprises entre 10 et 30 mg je crois, mon cerveau étant déjà perturbé par le sevrage brusque j'ai aucune idée si je peux me permettre de quitter les benzos du jours au lendemain ou de faire une diminution progressive pour pas trop perturber mon cerveau de ces 10 jours de rechute, pensez vous que je devrez faire une diminution progressive ou tout stopper d'un coup car 10 jours c'est pas énorme non plus quoi, je suis tellement perdu, j'aimerai tellement retrouver mon cerveau.
et avez vous connu ce genre d'expérience avec les benzos ?