Journal de Samsrah - Cycle 1

Ça par contre non, loin de là même. Tu as les opioïdes forts en tête du classement. Cocaïne, crack, alcool, benzos, les amphétamines... Et j'en oubli surement d’autres.

Ce n est pas pareil que c est drogues dure, festives ... biensur, c est plus specifique.

problème est souvent plus durable que pour la cocaïne ou l’alcool... parce que la dépendance est à la fois physique ET liée à l’identité corporelle.
 
La dépendance aux AAS est surtout psychologique. La dépendance physique est liée à la suppression hormonale, mais comme pour toute dépendance dans tout les cas : La volonté > Le produit.

Est-ce plus difficile d'avoir la volonté d'arrêter les AAS, plutôt que la coc' ou l'alcool ? Mhh... J'en suis pas si sur.
 
La dépendance aux AAS est surtout psychologique. La dépendance physique est liée à la suppression hormonale, mais comme pour toute dépendance dans tout les cas : La volonté > Le produit.

Est-ce plus difficile d'avoir la volonté d'arrêter les AAS, plutôt que la coc' ou l'alcool ? Mhh... J'en suis pas si sur.
Quand tu a l apparence d un super heros difficile de revenir en arriere
 
La dépendance aux AAS est surtout psychologique. La dépendance physique est liée à la suppression hormonale, mais comme pour toute dépendance dans tout les cas : La volonté > Le produit.

Est-ce plus difficile d'avoir la volonté d'arrêter les AAS, plutôt que la coc' ou l'alcool ? Mhh... J'en suis pas si sur.

Et pourtant, ta pas commencé que tu penses déjà à la prochaine
 
Et pourtant, ta pas commencé que tu penses déjà à la prochaine
Oui, mais ce n'est pas comparable. Ce n'est pas pour minimiser la dépendance aux stéroïdes. Mais il y a un projet derrière, un but, un objectif.

Maintenant si le gus qui s'est défoncé tout les organes internes à cause de cette substance (ou une autre), qu'il est en danger de mort s'il n'arrête pas et ne trouve pas la force pour mettre fin à sa consommation. C'est comme dit plus haut : Une question de volonté.
 
Oui, mais ce n'est pas comparable. Ce n'est pas pour minimiser la dépendance aux stéroïdes. Mais il y a un projet derrière, un but, un objectif.

Maintenant si le gus qui s'est défoncé tout les organes internes à cause de cette substance (ou une autre), qu'il est en danger de mort s'il n'arrête pas et ne trouve pas la force pour mettre fin à sa consommation. C'est comme dit plus haut : Une question de volonté.
arrêt de l’addiction n’est pas seulement une question de volonté, ce serait trop simple sinon. et ça s’applique encore plus aux stéroïdes.
 
Dernière édition:
Oui, mais ce n'est pas comparable. Ce n'est pas pour minimiser la dépendance aux stéroïdes. Mais il y a un projet derrière, un but, un objectif.

Maintenant si le gus qui s'est défoncé tout les organes internes à cause de cette substance (ou une autre), qu'il est en danger de mort s'il n'arrête pas et ne trouve pas la force pour mettre fin à sa consommation. C'est comme dit plus haut : Une question de volonté.

C’est une question de neurobiologie, de conditionnement, de récepteurs, de circuits de récompense et souvent de souffrance enfouie. La volonté rentre en compte mais pas au premier plan il me semble.
 
@Matsor C’est un très bon moteur pour un arrêt. Mais comme pour tout moteur : Il lui faut de l’essence et la volonté ? C’est quelque chose qui s’alimente.

@GiantMuscle Tu fais sûrement référence aux cerveaux addict, ça tombe bien. Je suis un ancien dépendant à l’une des substances listées plus haut.

Mon cas n’en est pas un autre, cependant chez tout les dépendants que j’ai rencontré au cours de mon existence (et j’en côtoie encore), ils avaient tous un point commun : Une volonté fragile (réduite à néant à la moindre contrariété) voire inexistante. Ce qui les empêchait d’avancer. Cerveau addicte ou pas.
 
@Matsor C’est un très bon moteur pour un arrêt. Mais comme pour tout moteur : Il lui faut de l’essence et la volonté ? C’est quelque chose qui s’alimente.

@GiantMuscle Tu fais sûrement référence aux cerveaux addict, ça tombe bien. Je suis un ancien dépendant à l’une des substances listées plus haut.

Mon cas n’en est pas un autre, cependant chez tout les dépendants que j’ai rencontré au cours de mon existence (et j’en côtoie encore), ils avaient tous un point commun : Une volonté fragile (réduite à néant à la moindre contrariété) voire inexistante. Ce qui les empêchait d’avancer. Cerveau addicte ou pas.

Non je suis pas expert, mais j'étais très dur sur ce sujet et j'ai eu des explications expliquant que la volonté suffisait pas.
 
Tu as une vision assez simpliste.
Si tu le dis écoutes. Après tout c’est un sujet qui m’est inconnu.

Les seules exceptions que je n’intègre pas à ma propre expérience ce sont les cas pathologiques (et les troubles psy’ nécessitant un traitement à vie).
 
Non je suis pas expert, mais j'étais très dur sur ce sujet et j'ai eu des explications expliquant que la volonté suffisait pas.
C’est la volonté qui amènes vers le sevrage, le sevrage fera son job à condition qu’on acceptes d’encaisser le manque (quelque chose de plutôt « doux » de nos jours).

Au delà pour prévenir d’une rechute (ce qui est extrêmement fréquent) il faut avoir une ligne directrice, redonner un sens à sa vie et mettre les outils à sa disposition pour pouvoir tenir cette ligne. Un cadre (ça réclame une vraie stratégie). Et c’est là où ça coince pour beaucoup.

Ça veux aussi parfois dire : repartir à poil et de zéro (une note salée pour beaucoup de monde). Et à partir du moment où la personne estime que la vie était moins compliqué quand elle avait le crâne explosé h24, hop terminé, rideau, c’est reparti pour un tour.

Je ne dit pas que c’est quelque chose de facile, ça ne l’est clairement pas.

Mais aucun médecin et aucun psychiatre ne sortira un dépendant de sa dépendance, quelque soit l’addiction. Ils peuvent être une aide, mais le gros du travail c’est du ressort du concerné.
 
Dernière édition:
C est vrai mais le dependant a besoin du medecin pour prendre les medicaments pour le sevrage et le suivi, tous seul c est presque impossible.
Rien que la clope tellement rare les gens qui arrete sans rien prendre
 
Dernière édition:
V est vrai mes le dependant a besoin du medecin pour prendre les medicaments pour le sevrage et le suivi, tous seul c est presque impossible.
Rien que la clope tellement rare les gens qui arrete sans rien prendre
Ah oui mais attention. Je n’ai jamais dit que la volonté seule faisait tout. Juste que c’est elle qui donnes le déclic, elle qui t’amènes vers les démarches nécessaires pour te tirer proprement d’affaires. Si le concerné en est dépourvu : Ça ne fonctionnera juste pas.

Ce n’est pas pour rien que les centres de sevrages aujourd’hui refuse de traiter des personnes contre leur volonté (genre à la demande d’un proche) c’est voué à l’échec.
 
@Matsor C’est un très bon moteur pour un arrêt. Mais comme pour tout moteur : Il lui faut de l’essence et la volonté ? C’est quelque chose qui s’alimente.

@GiantMuscle Tu fais sûrement référence aux cerveaux addict, ça tombe bien. Je suis un ancien dépendant à l’une des substances listées plus haut.

Mon cas n’en est pas un autre, cependant chez tout les dépendants que j’ai rencontré au cours de mon existence (et j’en côtoie encore), ils avaient tous un point commun : Une volonté fragile (réduite à néant à la moindre contrariété) voire inexistante. Ce qui les empêchait d’avancer. Cerveau addicte ou pas.
si tu as un tempérament à être addict (comme moi),
les stéros sont la pire chose à prendre
je dis ça je dis rien
ça va décupler toutes tes addictions en toi
je parle par expérience
tu n'as pas encore commencé ta cure, tu peux encore mettre ton projet pour une autre vie
tu revendras sans problème tes prods en plus
 
si tu as un tempérament à être addict (comme moi),
les stéros sont la pire chose à prendre
je dis ça je dis rien
ça va décupler toutes tes addictions en toi
je parle par expérience
tu n'as pas encore commencé ta cure, tu peux encore mettre ton projet pour une autre vie
tu revendras sans problème tes prods en plus
Effectivement pour le premier point. Je te remercie pour ton intervention et ta mise en garde, c’est apprécié. :)

Je ne pense pas que ça jouera sur les addictions passées, car comme dit elles sont passées, ça ne me semble pas possible de pouvoir décupler quelque chose qui n’existes plus. En vérité ce n’est pas/plus quelque chose que je redoute.

Je n’ai jamais retoucher à quoi que ce soit depuis mon arrêt.

Objectivement je suis plutôt confiant. Peut-être que je me trompe ou me sur-estime, mais… Je pense que le jour où je voudrais arrêter : Je n’aurais pas besoin de grand chose pour y parvenir. Mon vécu me l’a prouvé.

C’est un choix réfléchi et une décision arrêtée.
 
Je ne pense pas que ça jouera sur les addictions passées, car comme dit elles sont passées, ça ne me semble pas possible de pouvoir décupler quelque chose qui n’existes plus. En vérité ce n’est pas/plus quelque chose que je redoute.

Je n’ai jamais retoucher à quoi que ce soit depuis mon arrêt.
Tu étais addict à quoi ? si tu veux en dire plus...
ça fait un peu "pappy gateux qui radotte" mais perso j'ai curé (à faible dosage) qcq mois et j'ai arrété sans problème, du jour au lendemain (p'tet que j'etais pas fait pour le bodybuilding, p'tet que les doses et progrès etaient trop faibles pour me rendre addict, mais surtout j'avais la certitude d'emprunter une mauvaise voie o_O )

perso j'ai 2 remarques à faire :
1- tu as dit que tu voulais curer parceque tu voulais faire de la compet' de BB et bien figurer, voire gagner : moi j'ai tjrs trouvé cette motivation très superficielle/discutable.

2- tu dis que tu as une volonté forte et que tu vas arreter sans souci les cures si tu le veux. Je te propose un petit exercice "mental" : Aurais-tu la volonté mentale de reculer ta 1ere cure à cet hiver ? Je sais que tu vas balayer ma proposition mais ce serait un bon test de volonté mentale de décider de renoncer à curer, même de façon provisoire.
 
Si le BB est superficiel tout les sports ou presque le sont. On pourrait débattre des heures de tout ce qui est superficiel ou pas et de ce que les gens sont prêts à faire pour ou non. En fait en partant de ce principe toutes les motivations sont toujours discutables.

Pour le point numéro 2 oui je le pourrais. Le ferais-je ? Non.

Pourquoi le ferais-je ? Quel serait l’intérêt de rester en maintenance pendant X mois ? Parce que là ce ne serait pas juste décaler une date, ce serait gelé mon schéma de cut/masse pendant plusieurs mois. Je ne peux pas repartir en masse, sinon à l’hiver prochain ma composition sera moins idéale pour curer.

Tu sait… Ça fait bientôt 2/3 mois que tout les produits sont chez moi. Ils sont toujours au chaud dans leur boite, je n’ai pas avancé la date fixée pour pouvoir les utiliser plus vite (et pourtant j’aurais pu, j’étais assez sec pour) du coup je ne vois pas pourquoi je ferais l’inverse.

En fait nous sommes sur un forum pour utilisateurs de stéroïdes, je comprend l’intérêt de faire de la prévention et de la dissuasion, mais je pense qu’à partir du moment où la personne a verrouillée son choix il faut laisser couler.
 
Dernière édition:

Publicité Stéroïdes

Haut