Kystes Ovariens et primo

Cline

Member
Bonjour à tous !

Je reviens ici car j'ai pu reprendre correctement mes entraînements suite à mon opération en avril ( je revis! Quel bonheur de pouvoir pousser à nouveau au DC sans douleurs! )

J'avais, comme certains le savent déjà, fait un mois de cure avec du primobolan Valkyrie. J'avais constaté une forte acné ainsi qu'une pilosité qui s'accroissait. J'ai donc arrêté après un mois de traitement car je me demandais si c'était dû au Primo (si tant est que c'en était...bien que Valkyrie soit une source fiable tout de même!).
Sauf que, rien ne s'est arrangé, j'ai été voir un Dermato pour avoir un traitement anti acné qui a bien fonctionné, cependant les poils sont restés (je parle là de poils au menton ainsi que sur la lèvre supérieure et non de duvet hein). Il m'a ensuite envoyée chez un gynéco pour avoir un réel diagnostic.. Il s'avère alors que j'aurais des kystes ovariens voire des ovaires poly-kystiques. Qui eux produisent des hormones mâles et donc -> poils + acné!
Pensez-vous que cela puisse être induit par la prise de stéros?

J'imagine que vous les hommes du forum n'êtes pas forcément concernés mais si certaines dames ici en ont fait l'expérience.. j'aimerai bien avoir des infos ! Surtout que bon.. il me propose de traiter les symptômes en recommancant simplement à prendre la pilule sans traiter le fond du problème :(
 
Ce "problème est tres fréquent chez les femmes
dire que c'est lié a la prise de produits,je connais pas d’études a ce sujet
le soucis du gyneco,c'est qu'il va surement vouloir te traiter pour avoir des cycles équilibré,des ovulations régulières,etc...
la pilosité est un des ES de ce type de "kystes"
vraiment,c'est difficile de répondre a ta question
le primo est peut etre un facteur aggravant,mais comme deja c'est un soucis qui touche enormement de femmes et qui joue d’ail leur sur leur "fertilité"
as tu joué carte sur table avec ton gyneco?
le traitement qu'il te donne est vraiment basique et logique,mais sait il tout ?
 
Non je ne lui en ai pas parlé car je n'y pense que maintenant que ça peut être un facteur aggravant, surtout en en ayant pris qu'un mois. . Après ce qui est d'autant plus bizarre c'est qu'apparemment lorsqu'on est "SOPK" càd ovaires polykystiques c'est de naissance. Sauf que j'ai jamais eu ces problèmes de poils, d'acné, de règles irrégulières etc. J'avais fait des tests sanguins qui indiquaient que ma Testostérone était trop basse (selon les normes féminines j'étais en dessous). Ils disent également être insulinorésistant ce qui n'est pas mon cas, en tout cas pour l'instant. Enfin ca me rend folle qu'on cherche à traiter les symptômes mais pas la cause.. Je vais essayer de me diriger chez un endocrinologue et lui parler de cette mini-cure de primo aussi.
J'ai cherché sur le forum et même sur les fofos américains mais personne n'en parle donc ce doit être moi qui me trompe :D
 
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une maladie fréquente chez les femmes en âge de procréer. Le diagnostic de cette maladie multiforme est complexe mais le perfectionnement des techniques d'imagerie et les innovations thérapeutiques ont amélioré sa prise en charge.
Le SOPK est la maladie la plus fréquente diagnostiquée chez les femmes en âge de procréer. Les premiers symptômes peuvent apparaître dès les premières règles ou chez la jeune femme adulte. Chez ces patientes, les ovaires produisent une quantité anormalement élevée d’hormones sexuelles mâles, appelées «androgènes», comme la testostérone. L’excès d’androgènes perturbe l'ovulation à chaque cycle menstruel et provoque la transformation des ovules en kystes, c'est-à-dire en petites poches remplies de liquide. Les kystes s'accumulent dans l’ovaire qui change de volume. Les causes de ce syndrome sont inconnues mais il existe certainement une composante génétique car des formes héréditaires du SOPK ont été observées.

Large éventail de symptômes
La liste des symptômes associés au SOPK est longue. Ils affectent l'abondance des règles, la taille des ovaires, la fertilité, le métabolisme, la pilosité et la peau, et peuvent varier d'une patiente à l'autre. Selon les recommandations émises en 2014 et 2015 par les sociétés américaine et européenne d'endocrinologie, au moins deux des trois signes cliniques suivants doivent être constatés pour diagnostiquer la maladie: une production élevée d'hormones mâles dans les ovaires, appelée en clinique «hyperandrogénie»; une ovulation moins fréquente voire absente lors du cycle menstruel qui devient irrégulier; une modification de la forme des ovaires, mesurée par échographie.

Le trouble le plus fréquemment lié à l'hyperandrogénie est une forte pilosité sur tout le corps appelée hirsutisme, qui se retrouve chez 70% des femmes avec un SOPK. Il a été démontré que l'hirsutisme était associé à des anomalies métaboliques, notamment à un dysfonctionnement dans la gestion du taux de sucre dans le sang. L'apparition de boutons d'acné ou la chute des cheveux sont aussi des signes d'hyperandrogénie.

Diagnostic étape par étape
Le diagnostic de SOPK est complexe dû à la grande hétérogénéité des symptômes d’une patiente à l’autre. L'évaluation des trois critères principaux – notamment celle de l'hyperandrogénie – pour établir le diagnostic d'un SOPK requiert beaucoup d’expérience de la part du clinicien qui doit parfois reconstruire l’histoire médicale de la famille. Les manifestations cutanées (acné, pilosité) par exemple peuvent être difficiles à évaluer car elles dépendent directement des origines ethniques de la patiente.

Le spécialiste doit aussi éliminer d’autres causes éventuelles de l’excès d'androgènes chez la femme ou des troubles du cycle menstruel. Par exemple, une tumeur qui fabrique des androgènes pourrait expliquer la progression rapide de troubles tels que l'hirsutisme, le changement de voix ou le grossissement du clitoris. Une anomalie du fonctionnement de la thyroïde, une glande située dans le cou, peut aussi expliquer la présence excessive d’androgènes.

A contrario, l'hirsutisme n'est pas toujours en lien avec une anomalie ovarienne. C'est pourquoi la mesure du taux d'hormones sexuelles mâles présentes dans les ovaires est un examen complémentaire pour évaluer cliniquement l'hyperandrogénie. L'interprétation du dosage, notamment celui de la testostérone, reste cependant compliquée. En particulier, les taux mesurés varient parfois d'un laboratoire à l'autre en fonction de la méthode utilisée.

Imagerie 3D et nouveaux médicaments
Le domaine qui a le plus évolué ces dernières années pour l'évaluation de la maladie est l'imagerie des ovaires, notamment grâce à l'émergence de l'échographie tridimensionnelle (3D). Cette avancée technologique a permis d'améliorer la précision du comptage des ovules non matures (follicules) et des kystes, ainsi que de la mesure du volume ovarien chez les femmes atteintes ou non du SOPK.

Concernant les traitements, l’hyperandrogénie, les irrégularités du cycle menstruel et surtout l'infertilité font l'objet de thérapies spécifiques distinctes. La contraception hormonale permet de soigner l'excès d'hormones mâles et les cycles irréguliers. Si celle-ci est contre-indiquée, on peut envisager d’autres traitements comme les inhibiteurs d'androgènes ou des interventions mécaniques – avec un laser par exemple – pour soigner l'hirsutisme. L'infertilité était traitée jusqu'à présent avec un médicament appelé clomifène citrate qui induit l'ovulation. D'autres molécules prometteuses ont émergé récemment. C'est le cas du létrozole qui a été démontré plus efficace que le clomifène dans une étude américaine publiée en 2014 dans leNew England Journal of Medicine.

Enfin, la perte de poids chez les patientes obèses ou en surpoids n'améliore pas les symptômes cutanés du syndrome ovarien mais elle est bénéfique pour les troubles du métabolisme et l'infertilité. Elle n'a aucun effet avéré chez les patientes de poids normal.

elements tirés de
«Syndrome des ovaires polykystiques: quoi de neuf?», Dr Maria Mavromati et Pr Jacques Philippe, Service d'endocrinologie, diabétologie, hypertension et nutrition, Département des spécialités de médecine, HUG. In Revue Médicale Suisse 2015;


je te poste cette article car c'est la vulgarisation de «Syndrome des ovaires polykystiques: quoi de neuf?
et il est ainsi compréhensible pour tous
perso,j'ai eu lue que jusqu"a dix pour cent des femmes pouvaient être touchées
je n'aime pas les diagnostiques a travers les claviers
dans ton cas ,c'est peut etre un empilement des deux et effectivement le primo aurait reveillé une pathologie plus ou moins en sommeil...
ce qui me fait dire cela,c'est que tu étais réglé avant et que tu ne soufrais pas de "désordres"menstruelles et donc de cycle d'ovulations.
consulte sur les deux tableaux endocrinologue et gyneco
tiens nous bien au courant,ton retour peut aider des membres féminineS
 
Dernière modification par un modérateur:
Bonjour,

J'ai une amie qui à suivis une cure de primo et d'anavar pendant et à la fin de sont cycle elle à eux pas mal de problèmes de peaux notamment beaucoup d'acnés sur le dos et épaules et ces cycles menstruelles c'était dérégler sa voix à enormements changer elle et très grave pour une femme sa la complexe et sa pilosité c'est elle aussi développer...
Malheureusement comme je lui avais dit et mis en garde on est à l'abris de rien tout peut arriver pendant comme après une cure faut vraiment peser le pour et le contre.
 
Ma copine pareil poil en plus et acné de dingue...
Je peux savoir quel traitement tu as utiliser pour l acné stp Céline ?
 
bordel du poils et voix grave , t'as l'impression que ta femme devient un bonhomme lol
bon courage cline
 
Bonjour,

J'ai une amie qui à suivis une cure de primo et d'anavar pendant et à la fin de sont cycle elle à eux pas mal de problèmes de peaux notamment beaucoup d'acnés sur le dos et épaules et ces cycles menstruelles c'était dérégler sa voix à enormements changer elle et très grave pour une femme sa la complexe et sa pilosité c'est elle aussi développer...
Malheureusement comme je lui avais dit et mis en garde on est à l'abris de rien tout peut arriver pendant comme après une cure faut vraiment peser le pour et le contre.
Oui mais moi ma "cure" si on peut l'appeler comme ça a duré deux semaines.. elle l'a faite combien de temps elle ?


Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une maladie fréquente chez les femmes en âge de procréer. Le diagnostic de cette maladie multiforme est complexe mais le perfectionnement des techniques d'imagerie et les innovations thérapeutiques ont amélioré sa prise en charge.
Le SOPK est la maladie la plus fréquente diagnostiquée chez les femmes en âge de procréer. Les premiers symptômes peuvent apparaître dès les premières règles ou chez la jeune femme adulte. Chez ces patientes, les ovaires produisent une quantité anormalement élevée d’hormones sexuelles mâles, appelées «androgènes», comme la testostérone. L’excès d’androgènes perturbe l'ovulation à chaque cycle menstruel et provoque la transformation des ovules en kystes, c'est-à-dire en petites poches remplies de liquide. Les kystes s'accumulent dans l’ovaire qui change de volume. Les causes de ce syndrome sont inconnues mais il existe certainement une composante génétique car des formes héréditaires du SOPK ont été observées.

Large éventail de symptômes
La liste des symptômes associés au SOPK est longue. Ils affectent l'abondance des règles, la taille des ovaires, la fertilité, le métabolisme, la pilosité et la peau, et peuvent varier d'une patiente à l'autre. Selon les recommandations émises en 2014 et 2015 par les sociétés américaine et européenne d'endocrinologie, au moins deux des trois signes cliniques suivants doivent être constatés pour diagnostiquer la maladie: une production élevée d'hormones mâles dans les ovaires, appelée en clinique «hyperandrogénie»; une ovulation moins fréquente voire absente lors du cycle menstruel qui devient irrégulier; une modification de la forme des ovaires, mesurée par échographie.

Le trouble le plus fréquemment lié à l'hyperandrogénie est une forte pilosité sur tout le corps appelée hirsutisme, qui se retrouve chez 70% des femmes avec un SOPK. Il a été démontré que l'hirsutisme était associé à des anomalies métaboliques, notamment à un dysfonctionnement dans la gestion du taux de sucre dans le sang. L'apparition de boutons d'acné ou la chute des cheveux sont aussi des signes d'hyperandrogénie.

Diagnostic étape par étape
Le diagnostic de SOPK est complexe dû à la grande hétérogénéité des symptômes d’une patiente à l’autre. L'évaluation des trois critères principaux – notamment celle de l'hyperandrogénie – pour établir le diagnostic d'un SOPK requiert beaucoup d’expérience de la part du clinicien qui doit parfois reconstruire l’histoire médicale de la famille. Les manifestations cutanées (acné, pilosité) par exemple peuvent être difficiles à évaluer car elles dépendent directement des origines ethniques de la patiente.

Le spécialiste doit aussi éliminer d’autres causes éventuelles de l’excès d'androgènes chez la femme ou des troubles du cycle menstruel. Par exemple, une tumeur qui fabrique des androgènes pourrait expliquer la progression rapide de troubles tels que l'hirsutisme, le changement de voix ou le grossissement du clitoris. Une anomalie du fonctionnement de la thyroïde, une glande située dans le cou, peut aussi expliquer la présence excessive d’androgènes.

A contrario, l'hirsutisme n'est pas toujours en lien avec une anomalie ovarienne. C'est pourquoi la mesure du taux d'hormones sexuelles mâles présentes dans les ovaires est un examen complémentaire pour évaluer cliniquement l'hyperandrogénie. L'interprétation du dosage, notamment celui de la testostérone, reste cependant compliquée. En particulier, les taux mesurés varient parfois d'un laboratoire à l'autre en fonction de la méthode utilisée.

Imagerie 3D et nouveaux médicaments
Le domaine qui a le plus évolué ces dernières années pour l'évaluation de la maladie est l'imagerie des ovaires, notamment grâce à l'émergence de l'échographie tridimensionnelle (3D). Cette avancée technologique a permis d'améliorer la précision du comptage des ovules non matures (follicules) et des kystes, ainsi que de la mesure du volume ovarien chez les femmes atteintes ou non du SOPK.

Concernant les traitements, l’hyperandrogénie, les irrégularités du cycle menstruel et surtout l'infertilité font l'objet de thérapies spécifiques distinctes. La contraception hormonale permet de soigner l'excès d'hormones mâles et les cycles irréguliers. Si celle-ci est contre-indiquée, on peut envisager d’autres traitements comme les inhibiteurs d'androgènes ou des interventions mécaniques – avec un laser par exemple – pour soigner l'hirsutisme. L'infertilité était traitée jusqu'à présent avec un médicament appelé clomifène citrate qui induit l'ovulation. D'autres molécules prometteuses ont émergé récemment. C'est le cas du létrozole qui a été démontré plus efficace que le clomifène dans une étude américaine publiée en 2014 dans leNew England Journal of Medicine.

Enfin, la perte de poids chez les patientes obèses ou en surpoids n'améliore pas les symptômes cutanés du syndrome ovarien mais elle est bénéfique pour les troubles du métabolisme et l'infertilité. Elle n'a aucun effet avéré chez les patientes de poids normal.

elements tirés de
«Syndrome des ovaires polykystiques: quoi de neuf?», Dr Maria Mavromati et Pr Jacques Philippe, Service d'endocrinologie, diabétologie, hypertension et nutrition, Département des spécialités de médecine, HUG. In Revue Médicale Suisse 2015;


je te poste cette article car c'est la vulgarisation de «Syndrome des ovaires polykystiques: quoi de neuf?
et il est ainsi compréhensible pour tous
perso,j'ai eu lue que jusqu"a dix pour cent des femmes pouvaient être touchées
je n'aime pas les diagnostiques a travers les claviers
dans ton cas ,c'est peut etre un empilement des deux et effectivement le primo aurait reveillé une pathologie plus ou moins en sommeil...
ce qui me fait dire cela,c'est que tu étais réglé avant et que tu ne soufrais pas de "désordres"menstruelles et donc de cycle d'ovulations.
consulte sur les deux tableaux endocrinologue et gyneco
tiens nous bien au courant,ton retour peut aider des membres féminineS

J'avais vu cet article il me semble, mais comme tu le dis ce truc de SOPK apparemment on NAIT avec, or jamais eu d'acné durant mon adolescence, pas de cycles irréguliers de poils etc auparavant. Je vais peut être consulter un endocrino histoire d'avoir un deuxième avis.
Faut én avoir une paire en étant femme pour se lancer dans les anabos...
Pleins de femmes se lancent dans les anabos, et dans certains bien plus costaux que le Primo ou l'Anavar.. Et n'ont pas pour autant des attributs masculins du moment où les doses restent correctes pour une femme...

@Calum je n'en doute pas hahaha! Mais bon c'est quand même pas évident pour moi d'avoir vu apparaître des poils sur mon menton.. certes ce n'est pas de la barbe mais tout de même.. et le jeu en vaut-il vraiment la chandelle? Je veux dire, on poursuit tous des objectifs, chacun différents.. mais me transformer en "mâle" je trouve que c'est cher payé en fait. Bref oui je connaissais les risques et je me suis arrêtée à temps, apparemment j'ai un organisme qui réagit très fort ^^

Merci en tout cas pour vos réponses, et désolé de ne répondre que maintenant mais je suis en panne d'ordinateur depuis un mois.. Je continue à investiguer sur quelques sites et forums américains pour voir s'il n'y aurait pas une corrélation :)
 
tiens nous au courant,stp
tu la souligné
le facteur a ne pas négliger,c'est sa réaction propre aux molecules
 
Ma femme a fait 9 semaines de primo, aucun es, sauf un tout petit peu d'acner a l'arret, mais rien de grave, et elle a exploser.

C'etait aussi du valkyrie
 

Publicité Stéroïdes

Haut