La myostatine bloque-t-elle vos gains ? (Séparer les FAITS de la FICTION)

Cette vidéo explore en profondeur le concept de la myostatine, une protéine régulatrice négative de la croissance musculaire, et son interaction avec les stéroïdes anabolisants et l'entraînement physique. Steve, l'animateur, décrit la myostatine comme faisant partie de la super famille des facteurs de croissance transformants beta, produite directement dans le muscle squelettique pour réguler la taille et le nombre des fibres musculaires. Des mutations génétiques dans la myostatine peuvent entraîner une masse musculaire anormale, même sans entraînement spécifique à l'hypertrophie ou l'usage de stéroïdes anabolisants.

1. Rôle de la myostatine: La myostatine agit comme un frein naturel sur la croissance musculaire, assurant que la croissance et le développement musculaires ne dépassent pas un certain seuil. Sa présence contribue à maintenir l'homéostasie musculaire et à empêcher une hypertrophie excessive, qui pourrait autrement entraîner des conséquences négatives pour la santé.

2. Opposants à la myostatine: La follistatine, en se liant à la myostatine, joue un rôle crucial dans la promotion de la croissance musculaire en inhibant les effets restrictifs de la myostatine. Cette interaction suggère que manipuler les niveaux de follistatine pourrait offrir une stratégie pour surmonter les limites naturelles de la croissance musculaire imposées par la myostatine.

3. Effets des stéroïdes: Bien que les stéroïdes anabolisants puissent initialement augmenter les niveaux de myostatine, ce qui pourrait théoriquement limiter leur efficacité en matière de croissance musculaire, l'entraînement physique régulier semble réduire les niveaux de myostatine. Cela indique que les effets des stéroïdes sur la myostatine peuvent être modulés par l'activité physique, suggérant une interaction complexe entre les stéroïdes, la myostatine et l'exercice.

4. Importance de l'entraînement: L'exercice physique régulier est essentiel pour moduler les niveaux de myostatine et favoriser la croissance musculaire. Les exercices de résistance, en particulier, sont efficaces pour stimuler la production de follistatine et réduire les niveaux de myostatine, créant ainsi un environnement propice à la croissance musculaire.

5. Thérapies géniques: La recherche sur les thérapies géniques ciblant la myostatine et la follistatine ouvre des possibilités pour traiter les maladies musculaires et améliorer la régénération tissulaire. Ces approches pourraient révolutionner le traitement des conditions de dégénérescence musculaire, offrant une nouvelle espérance pour les individus affectés.

6. Relation entre myostatine et follistatine: Une compréhension approfondie de l'équilibre entre myostatine et follistatine est essentielle pour développer des stratégies visant à optimiser la croissance musculaire. Cet équilibre régule finement le développement musculaire, et sa manipulation pourrait permettre de maximiser les résultats de l'entraînement et des interventions thérapeutiques.

7. Influence de l'exercice: L'exercice a un impact significatif sur les niveaux de myostatine, avec une réduction notable après l'entraînement en résistance. Cela montre que l'exercice peut être une intervention naturelle pour influencer positivement la capacité du corps à développer et à maintenir la masse musculaire.

8. Réduction naturelle de la myostatine: Certains composés naturels, comme l'allicine trouvée dans l'ail, ont été montrés pour réduire les niveaux de myostatine. Ces découvertes suggèrent que le régime alimentaire et les suppléments peuvent jouer un rôle dans la modulation de la biologie musculaire.

9. Rôle des hormones: Les hormones sexuelles, telles que la testostérone et les œstrogènes, peuvent influencer les niveaux de myostatine, suggérant une autre couche de régulation complexe impliquant des facteurs hormonaux dans le contrôle de la croissance musculaire.

10. Importance de la recherche: Les connaissances actuelles sur la myostatine, la follistatine, les stéroïdes, et leur interaction avec l'exercice restent incomplètes et parfois contradictoires. Une recherche plus approfondie est nécessaire pour démêler ces relations complexes et pour développer des stratégies optimales de croissance musculaire basées sur des preuves solides.


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A partir de combien de semaines de cycle vous sentez une perte de vitesse et un frein au niveau des gains ?
 
S9/10 pour moi, ensuite je montais en dosage sur les 2 ou 3 dernières semaines, + kcals.
Tu as vu celle-là ? Je viens de la regarder, avec les sous titres ça va :D

View: https://www.youtube.com/watch?v=hJ7XWtHebH0&ab_channel=AnabolicBodybuilding


J'ai vu mais bon, c'est Fake a 100%

*Absolument. Tout au long de ma carrière, j'ai maintenu un niveau de testostérone entre 500 et 600 mg. Je n'ai jamais ressenti le besoin de dépasser les 750 mg, car une fois que vous atteignez une certaine taille musculaire, les doses plus élevées ne sont pas nécessaires pour la maintenir..."

C'est une réalité dans un sens, mais aujourd'hui tous les gros qui disent qu'ils prennent plus grand chose, ils gardent également pour eux le fait qu'ils ont construit leur masse avec plus de 4/5g.

Jordan Peters est un bel exemple de tout ça.


Guy Ciisternino n'a jamais ressenti le besoin de dépasser 750 mg de testostérone par semaine pendant sa carrière. Il a tenté 1000 mg pour quelques semaines sans noter de différence significative. Pour la plupart de sa carrière, son dosage oscillait entre 500 et 600 mg. Ils soulignent qu'une fois qu'un certain niveau de développement physique est atteint, les augmentations massives de dosage ne sont plus nécessaires. Au contraire, cela peut nuire à la physique.

Nick Walker mentionne préférer des dosages modérés pour l'hors-saison, incluant testostérone, EQ (Équipoise) et NPP (Nandrolone Phénylpropionate), sans préciser les quantités exactes. Pendant la préparation aux compétitions, les dosages peuvent devenir plus agressifs, avec l'introduction d'oraux vers la fin.

Cependant, ils évitent les stéroïdes oraux durant l'hors-saison pour minimiser le stress sur le foie et les reins. Guy Cisternino évoque un cycle typique de l'hors-saison comprenant Sustanon, Anadrol, EQ, et NPP.

Pour la préparation aux compétitions, les substances peuvent inclure testostérone, EQ, Masteron, parfois Trenbolone, et Primo, avec des ajustements vers la fin pour inclure des orales comme Winstrol, Halotestin, Proviron, et Anavar.

Ils discutent également de l'utilisation d'Anadrol à la fin des préparations pour "gonfler" l'apparence physique, bien que cette pratique ne soit pas universelle.
 
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J'ai vu mais bon, c'est Fake a 100%

*Absolument. Tout au long de ma carrière, j'ai maintenu un niveau de testostérone entre 500 et 600 mg. Je n'ai jamais ressenti le besoin de dépasser les 750 mg, car une fois que vous atteignez une certaine taille musculaire, les doses plus élevées ne sont pas nécessaires pour la maintenir..."

C'est une réalité dans un sens, mais aujourd'hui tous les gros qui disent qu'ils prennent plus grand chose, ils gardent également pour eux le fait qu'ils ont construit leur masse avec plus de 4/5g.

Jordan Peters est un bel exemple de tout ça.


Guy Ciisternino n'a jamais ressenti le besoin de dépasser 750 mg de testostérone par semaine pendant sa carrière. Il a tenté 1000 mg pour quelques semaines sans noter de différence significative. Pour la plupart de sa carrière, son dosage oscillait entre 500 et 600 mg. Ils soulignent qu'une fois qu'un certain niveau de développement physique est atteint, les augmentations massives de dosage ne sont plus nécessaires. Au contraire, cela peut nuire à la physique.

Nick Walker mentionne préférer des dosages modérés pour l'hors-saison, incluant testostérone, EQ (Équipoise) et NPP (Nandrolone Phénylpropionate), sans préciser les quantités exactes. Pendant la préparation aux compétitions, les dosages peuvent devenir plus agressifs, avec l'introduction d'oraux vers la fin.

Cependant, ils évitent les stéroïdes oraux durant l'hors-saison pour minimiser le stress sur le foie et les reins. Guy Cisternino évoque un cycle typique de l'hors-saison comprenant Sustanon, Anadrol, EQ, et NPP.

Pour la préparation aux compétitions, les substances peuvent inclure testostérone, EQ, Masteron, parfois Trenbolone, et Primo, avec des ajustements vers la fin pour inclure des orales comme Winstrol, Halotestin, Proviron, et Anavar.

Ils discutent également de l'utilisation d'Anadrol à la fin des préparations pour "gonfler" l'apparence physique, bien que cette pratique ne soit pas universelle.
Oui ils n'ont pas construit leurs physiques avec les dosages de forums lol.
Mais sur les oraux hors saison, ça confirme un constat que nous faisons aussi.
Et sur le choix des molécules aussi, rien de sorcier, on sait ce qui marche.
C'est bien de le rappeler sur le forum.
 
Oui ils n'ont pas construit leurs physiques avec les dosages de forums lol.
Mais sur les oraux hors saison, ça confirme un constat que nous faisons aussi.
Et sur le choix des molécules aussi, rien de sorcier, on sait ce qui marche.
C'est bien de le rappeler sur le forum.

Beaucoup tournent sur de la boldenone haut dosage maintenant, ça semble même prendre le pas sur la nandrolone parfois.

Perso je suis méfiant sur cette molécule
 
Pour ma pars en fin de prepa je stop la testo et la tren je gardais juste la gh et ,primo,winstrol, masteron ,Halotestin, Proviron.
Anavar en fin de prepa je voie aucun intérêt.
Et oui l'ajoute du dianabol ou oxy ça peut être intéressant, mais faux vraiment gérer la décharger et charge potassium sodium sinon tu flingues ta prépa.


Oui, je suis du même avis la boldo, il faut balancer minimum 2 à 3 g mets les gains sont propres.
Après tous dépens aussi si tu fais un FL ou pas.
Et il faut gérer le taux hématocrites.
 
Perso après mes cycles, je continuais la gh (4ui/j) avec une base de testo E ou C 200mg/ e10d ou le meilleur testo200mg/e10d et primo 300mg/e10d.

Si tu as du véritable primo, c'est vraiment l'idéal.

Pour moi la différence d'un cycle pour faire de la viande ou une seche ses juste la diet qui fera la différence.
j'aime beaucoup la testo p pour active la testo e en cycle.
j'ai jamais depasser les 1g/s en testo.
Pare contre pour les 19nor sont extrêmement top, mais faux absolument faire gaffe surtout quand tu combines la nandrolone avec la trenbo et chek la prolactine.

Après avec le recule j'ai remarqué que j'avais plus de résultat avec les synergies mets c'est mon avis.
 
Perso après mes cycles, je continuais la gh (4ui/j) avec une base de testo E ou C 200mg/ e10d ou le meilleur testo200mg/e10d et primo 300mg/e10d.

Si tu as du véritable primo, c'est vraiment l'idéal.

Pour moi la différence d'un cycle pour faire de la viande ou une seche ses juste la diet qui fera la différence.
j'aime beaucoup la testo p pour active la testo e en cycle.
j'ai jamais depasser les 1g/s en testo.
Pare contre pour les 19nor sont extrêmement top, mais faux absolument faire gaffe surtout quand tu combines la nandrolone avec la trenbo et chek la prolactine.

Après avec le recule j'ai remarqué que j'avais plus de résultat avec les synergies mets c'est mon avis.

C'est quoi la synergie avec Trenbolone et Nandrolone ? D'une manière scientifique et factuelle
 
je ne suis pas médecin , tous mes protocoles mon ete, donnez a l'époque pars un coach.
Pour moi les gains étais plus durable que faire une prisse de mass avec la nandrolone seul ou combine avec du dianabol.
si tu parle des effets quelle donne sur les hormone je sais plus y répondre cela date.
 
vous en connaissez surement plus que moi sur, c'est sujet.
Je partage juste mon expérience
A l'epoque j'avais vraiment du mal a progressez et prendre un g de muscle , apres j'ai jamais ete si massif 117kg si je me souvien bien
 

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