Matsor
Well-Known Member
Uniquement question de nombre à mon avis. Les utilisateurs des anabolisants doivent être minoritaire par rapport à d’autres drogues. Et l’impact de leur utilisation n’est pas encore visible sur une échelle globale.@Mastor
on ne s'est pas compris,
je ne demande a ce que l'on me prescrive des hormones ou autres, un encadrements c'est pas une tutelle, on ouvre bien volontiers des salles de shoot pour les toxicos, on a des lignes vertes pour les consommateurs de drogues, on a même des chapiteaux dans pas mal de lieux festifs qui teste gratuitement les drogues que l'on souhaite consommer dans ces soirées !!!,
pourquoi les utilisateurs d'AAS n'ont pas autant de béquilles ?
moi j'aimerais bien avoir un lieu pour faire tester mes vials, un lieux ou on me file des seringues gratos, une ligne téléphonique pour parler de problèmes qui n'en sont pas .....etc ....
pourquoi ça n'existe pas ?
parce qu’un mec chargé d'AAS ne renvoi pas l'image d'un toxico aux crack ....c'est uniquement pour ça...l'image,
pourtant tu es le premier a dénoncer les ravages de toutes ces drogues, d'ou le besoin d'encadrer, pour ma part.
Aussi il y a une dépendance psychologique aux anabolisants mais les autres drogues ont un effet de dépendance physique et psychologique qui entre en jeu dans la décision de l’encadrement.