Husspoof
Member
Bonjour à tous !
Comme indiqué dans ma présentation, je vais ici vous parler de ma TRT.
Je suis un pratiquant et passionné de powerlifting depuis maintenant 10 ans. J’ai commencé durant mon adolescence à l’âge de 14 ans.
Ma progression a toujours été correcte, cela sûrement grâce à l’approfondissement constant de mes connaissances dans les domaines qui nous importent en tant que pratiquants.
J’ai cependant remarqué à mes 19 ans de réels soucis, je m’explique:
À partir de cet âge, j’ai commencé à faire face à des soucis psychiques que je n’avais pas rencontré avant (crises d’angoisse, sautes d’humeur, état dépressif) ainsi qu’une perte considérable de libido, de motivation, une perte de force, de muscle et une prise de gras au niveau du ventre, des hanches et des pectoraux.
N’ayant jamais soupçonné un souci de testostérone, je me suis comme n’importe qui tourné vers un psychiatre qui m’a prescrit un traitement à base d’antidépresseurs.
Je n’ai jamais été vraiment pour, mais j’ai fait confiance au spécialiste.
J’ai donc été traité de mes 19 ans à mes 24 ans (tout récemment donc) aux antidépresseurs. Je n’ai pas cessé durant ces années d’expliquer à mon psychiatre que ça n’avait pour effet seul que de supprimer les crises d’angoisses, et d’amoindrir l’état dépressif, sans pour autant changer les autres symptômes. Cela m’a également rendu plutôt léthargique, lent, manquant de motivation, moi qui pourtant est, de nature, tout l’inverse de cette description.
J’ai donc décidé de changé de psychiatre ainsi que de médecin traitant, tout ceci afin d’avoir d’autres avis sur la question.
Ce dernier étant très consciencieux et très professionnel m’a immédiatement questionné sur la réalisation d’un bilan hormonal (ce que je n’ai jamais fait).
Il a donc décidé de contrôler la thyroïde, et bien évidemment, les niveaux de testostérone.
Bingo, les niveaux sont largement sous la norme.
Il décide donc de m’envoyer chez un urologue afin d’en discuter et de faire des analyses complémentaires. Il est de son côté assez convaincu que les soucis que je rencontre depuis mes 19 ans peuvent être liés à ce faible taux et avoir déclenché des symptômes psychiques annexes.
Selon l’urologue, mes taux auraient chuté après la puberté, engendrant donc un développement physique à peu près normal (j’entends par là su niveau des attributs sexuels, de la voix, de la taille et du poids), bien que certains points soient en retard selon lui.
Je n’ai plus exactement le détail des analyses commanditées par l’urologue en tête, mais il s’agissait de nombreuses prises de sang, ainsi que d’une IRM du cerveau (prévue en mars) afin de s’assurer que l’hypophyse n’est pas touchée. J’imagine que c’est la procédure.
L’urologue m’a donc placé sous Androtardyl 250mg, à raison d’une injection par mois pour le moment, avec un contrôle des niveaux hormonaux toutes les 2 semaines afin d’adapter au mieux le traitement.
Cela fait maintenant 10 jours que ma première injection à été faite, et la différence est pour moi et mes proches, assez nette. Les premiers jours ont été compliqués (sûrement trop d’hormones d’un coup ?) mais la suite est superbe.
L’humeur est bien meilleure, je mange mieux, je dors mieux, je ris, je suis motivé, je suis plus vif d’esprit, bref, je me retrouve.
Le psychiatre à décidé de supprimer progressivement le traitement antidépresseur, le temps que les hormones se stabilisent correctement. Nous l’avons déjà fortement réduit, et tout se passe pour le mieux, ce qui est une franche réussite pour moi qui ait fait face à plusieurs « rechutes » au cours de mon aventure, ayant toujours eu la volonté d’arrêter la médication aux hypnotiques.
Voilà où j’en suis actuellement. Mon prochain rendez-vous déterminera la suite du traitement, à savoir un passage éventuel à 250mg d’Androtardyl toutes les 2 semaines.
J’ai pu lire ça et là que le protocole français n’était pas génial, au vu du pic conséquent d’hormones à la première injection et de la descente progressive de celles-ci durant le mois.
J’ai effectivement pu constater les effets secondaires les premiers jours. Je n’ai encore rien constaté 10 jours après concernant la baisse des mes taux.
Auriez-vous des conseils ? D’autres personnes dans mon cas ? Est-il possible, pour la dose prescrite par mon spécialisé évidemment, de fractionner celle-ci toutes les semaines ?
Je tiendrais ce topic comme un journal de ma TRT si cela est autorisé dans cette section.
Au plaisir de vous lire,
Belle journée à tous.
Comme indiqué dans ma présentation, je vais ici vous parler de ma TRT.
Je suis un pratiquant et passionné de powerlifting depuis maintenant 10 ans. J’ai commencé durant mon adolescence à l’âge de 14 ans.
Ma progression a toujours été correcte, cela sûrement grâce à l’approfondissement constant de mes connaissances dans les domaines qui nous importent en tant que pratiquants.
J’ai cependant remarqué à mes 19 ans de réels soucis, je m’explique:
À partir de cet âge, j’ai commencé à faire face à des soucis psychiques que je n’avais pas rencontré avant (crises d’angoisse, sautes d’humeur, état dépressif) ainsi qu’une perte considérable de libido, de motivation, une perte de force, de muscle et une prise de gras au niveau du ventre, des hanches et des pectoraux.
N’ayant jamais soupçonné un souci de testostérone, je me suis comme n’importe qui tourné vers un psychiatre qui m’a prescrit un traitement à base d’antidépresseurs.
Je n’ai jamais été vraiment pour, mais j’ai fait confiance au spécialiste.
J’ai donc été traité de mes 19 ans à mes 24 ans (tout récemment donc) aux antidépresseurs. Je n’ai pas cessé durant ces années d’expliquer à mon psychiatre que ça n’avait pour effet seul que de supprimer les crises d’angoisses, et d’amoindrir l’état dépressif, sans pour autant changer les autres symptômes. Cela m’a également rendu plutôt léthargique, lent, manquant de motivation, moi qui pourtant est, de nature, tout l’inverse de cette description.
J’ai donc décidé de changé de psychiatre ainsi que de médecin traitant, tout ceci afin d’avoir d’autres avis sur la question.
Ce dernier étant très consciencieux et très professionnel m’a immédiatement questionné sur la réalisation d’un bilan hormonal (ce que je n’ai jamais fait).
Il a donc décidé de contrôler la thyroïde, et bien évidemment, les niveaux de testostérone.
Bingo, les niveaux sont largement sous la norme.
Il décide donc de m’envoyer chez un urologue afin d’en discuter et de faire des analyses complémentaires. Il est de son côté assez convaincu que les soucis que je rencontre depuis mes 19 ans peuvent être liés à ce faible taux et avoir déclenché des symptômes psychiques annexes.
Selon l’urologue, mes taux auraient chuté après la puberté, engendrant donc un développement physique à peu près normal (j’entends par là su niveau des attributs sexuels, de la voix, de la taille et du poids), bien que certains points soient en retard selon lui.
Je n’ai plus exactement le détail des analyses commanditées par l’urologue en tête, mais il s’agissait de nombreuses prises de sang, ainsi que d’une IRM du cerveau (prévue en mars) afin de s’assurer que l’hypophyse n’est pas touchée. J’imagine que c’est la procédure.
L’urologue m’a donc placé sous Androtardyl 250mg, à raison d’une injection par mois pour le moment, avec un contrôle des niveaux hormonaux toutes les 2 semaines afin d’adapter au mieux le traitement.
Cela fait maintenant 10 jours que ma première injection à été faite, et la différence est pour moi et mes proches, assez nette. Les premiers jours ont été compliqués (sûrement trop d’hormones d’un coup ?) mais la suite est superbe.
L’humeur est bien meilleure, je mange mieux, je dors mieux, je ris, je suis motivé, je suis plus vif d’esprit, bref, je me retrouve.
Le psychiatre à décidé de supprimer progressivement le traitement antidépresseur, le temps que les hormones se stabilisent correctement. Nous l’avons déjà fortement réduit, et tout se passe pour le mieux, ce qui est une franche réussite pour moi qui ait fait face à plusieurs « rechutes » au cours de mon aventure, ayant toujours eu la volonté d’arrêter la médication aux hypnotiques.
Voilà où j’en suis actuellement. Mon prochain rendez-vous déterminera la suite du traitement, à savoir un passage éventuel à 250mg d’Androtardyl toutes les 2 semaines.
J’ai pu lire ça et là que le protocole français n’était pas génial, au vu du pic conséquent d’hormones à la première injection et de la descente progressive de celles-ci durant le mois.
J’ai effectivement pu constater les effets secondaires les premiers jours. Je n’ai encore rien constaté 10 jours après concernant la baisse des mes taux.
Auriez-vous des conseils ? D’autres personnes dans mon cas ? Est-il possible, pour la dose prescrite par mon spécialisé évidemment, de fractionner celle-ci toutes les semaines ?
Je tiendrais ce topic comme un journal de ma TRT si cela est autorisé dans cette section.
Au plaisir de vous lire,
Belle journée à tous.