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Totalement d’accord avec @sosodef13
J’aurais tendance à penser que en force, les deux derniers facteurs qu’il cite sont assez primordial, et c’est ceux qui entravent vraiment la progression.
La fatigue physique peut être présente certes, mais si on a un mode/hygiene de vie qui est focalisé sur ce sport, c’est moins fréquent (Sommeil/recup, alimentation, management du stress…).
Et de toute façon quand tu fais fasse à une fatigue tu le sens tout de suite sur ta montée de gamme lors de l’échauffement, tes barres sensées être légères ne le sont pas du tout.
Pour ce qui est des blessures, c’est clairement un frein à la performance et sur 2021 j’avais traîné une tendinite au coude droit… sur le bench en début de mouvement après la claque quand la barre est posée, la douleur me lançait et je perdais sacrément en perf, alors que lors de la montée de la barre j’avais plus de douleurs.
J’avais vu quelque part comme quoi, lors de certains types de blessures, le corps c’est comme si y se mettait une sécurité lui même pour se préserver et qu’en gros t’arrivais pas à avoir un influx nerveux optimal.
Comme si il s’auto régulait, en soit t’as la force mais y veut pas que tu puisses la délivrer pour pas te flinguer encore plus…
J’ai essayé d’expliquer avec mes mots, pas trop scientifique j’avoue.
J’aurais tendance à penser que en force, les deux derniers facteurs qu’il cite sont assez primordial, et c’est ceux qui entravent vraiment la progression.
La fatigue physique peut être présente certes, mais si on a un mode/hygiene de vie qui est focalisé sur ce sport, c’est moins fréquent (Sommeil/recup, alimentation, management du stress…).
Et de toute façon quand tu fais fasse à une fatigue tu le sens tout de suite sur ta montée de gamme lors de l’échauffement, tes barres sensées être légères ne le sont pas du tout.
Pour ce qui est des blessures, c’est clairement un frein à la performance et sur 2021 j’avais traîné une tendinite au coude droit… sur le bench en début de mouvement après la claque quand la barre est posée, la douleur me lançait et je perdais sacrément en perf, alors que lors de la montée de la barre j’avais plus de douleurs.
J’avais vu quelque part comme quoi, lors de certains types de blessures, le corps c’est comme si y se mettait une sécurité lui même pour se préserver et qu’en gros t’arrivais pas à avoir un influx nerveux optimal.
Comme si il s’auto régulait, en soit t’as la force mais y veut pas que tu puisses la délivrer pour pas te flinguer encore plus…
J’ai essayé d’expliquer avec mes mots, pas trop scientifique j’avoue.
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