Q: “Je suis très intéressé par votre programme avec un cycle sur le schéma «2 semaines avec et 2 /4 sans» vu que je n’aime pas les longues phases de relances et les récupérations prolongées. Les composés que je recherche sont essentiellement l’Anadrol, le Dianabol, et l’Anavar.
- Dans un cycle uniquement oral, devrais-je administrer 50 à 100 mg d’Anadrol ou 50mg de Dianabol par jour avec 50 mg d’Anavar, ou est-ce que vous modifierez quelque chose dans cette posologie?
- Si je vais faire 3 cycles de 2 semaines avec et 2 semaines sans, devrais-je changer les composants à chaque fois?
- Conseillez-vous de faire un pont avec une faible dose d’Anavar et de Dianabol pendant la phase de relance si le cycle était seulement oral ? En supposant qu’on prend des suppléments pour la protection hépatique (Liv52DS, TUDCA).”
A: Tout d’abord, je préfèrerais éviter un stack seulement oral, car dans un tel stack 100% du dosage de stéroïdes anabolisants sont hépatotoxiques.
Mais ceci dit, si vous allez vous y mettre, je préfèrerais en général l’association proposée de Dianabol et d’Anavar (oxandrolone) à une association Anadrol/Anavar. Cette dernière association peut être très efficace, mais les taux d’œstrogènes vont chuter profondément. Des cycles de deux semaines permettent plus de marge à ceci plutôt que des cycles plus longs. L’une ou l’autre façon sont possibles, dépendant de vos préférences. Si aucun inhibiteur de l’aromatase n’est disponible, l’association Anadrol/Anavar serait préférable.
Les raisons de changer les composés vont des nouvelles connaissances, de la réponse aux besoins face à des objectifs différents à la disponibilité d’autres médicaments. Il n’y a aucun avantage à changer à cause de l’utilisation des mêmes stéroïdes anabolisants dans le cycle précédent. C’est tout à fait ok, vu que l’effet a été tel qu’il a été désiré au cours de l’occasion précédente. Si l’effet n’était pas désiré, cependant, il y aura vraiment une raison de changer.
Dans la plupart des cas, je ne conseille pas de faire le pont entre vos cycles. Si vous le faites, je préfère des doses faibles de stéroïdes injectables: des doses pas plus élevées que la moitié, et plus typiquement seulement environ un quart à un tiers de la fourchette modérée pour la THR (hormonothérapie). Par exemple, une fois que la production de testostérone naturelle a été restaurée, 50mg par semaine de Masteron peuvent généralement faire l’affaire, parfois 100 mg/semaine.
Ceci ne fonctionne que lorsque les taux d’œstradiol sont maintenus à la limite inférieure de la normale.
Bill Roberts est un spécialiste mondialement reconnu pour son expertise sur les stéroïdes anabolisants et les médicaments améliorant la performance. Bill possède un Diplôme universitaire en Microbiologie et Cytologie, et a accompli les critères éducationnels et de recherche pour l’obtention d’un PhD en Chimie Médicinale dans une université Américaine réputée.
Bill intégra l’industrie des compléments nutritionnels avant de finir sa thèse de doctorat, mais son parcours éducatif était tellement inestimable au point de pouvoir concevoir et améliorer des compléments nutritionnels, vu que c’était dans le domaine de la conception de molécules de médicaments, et secondairement quelques travaux dans l’administration transdermique.
Son éducation n’a pas été particulièrement « orientée » vers les stéroïdes anabolisants autrement qu’une expertise avec des principes pharmacologiques qui disposent de larges applications. Ceci a permis à Bill de fournir un aperçu unique dans le domaine de la pharmacologie des anabolisants, avec une connaissance des points qu’il n’aurait connu autrement.
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