Q: «Je programme un cycle de prise de masse à une posologie d’environ 1 g de stéroïdes par semaine. J’ai de l’énanthate de testostérone à 200 mg/mL, beaucoup de Dianabol et aussi un peu d’oxandrolone. Je n’ai pas envie de prendre des stéroïdes oraux pendant plus de 6 semaines en tout. Comment planifier leur dosage semaine par semaine pour un cycle de stéroïdes de 8 semaines?»
A: Parce qu’il s’agit d’un cycle de prise de masse et que vous aurez besoin d’aide pour vos gains au cours des dernières semaines plus que pour les premières, je programmerais la prise des stéroïdes oraux pour les 6 dernières semaines.
Je commencerais les deux premières semaines avec seulement de la testostérone, et un anti-aromatase pour le contrôle sur les œstrogènes.
Le dosage convenable pour une prise continuelle serait de 200 mg en intramusculaire à l’aide d’une aiguille à insuline et ce, cinq jours par semaine. Les deux jours sans injections seraient distants de 3 ou 4 jours. Dans un exemple, les jours sans injections pourraient être les mardis et les samedis.
Si vous préférez des injections moins fréquentes mais plus massives, je vous recommanderais 500 mg deux fois par semaine.
Dans l’autre cas, je ferais un « frontload » pour que la première injection contienne 700 mg de plus que vos injections courantes. Donc par exemple, si les injections continues sont de 200 mg en une fois, votre première injection serait de 900 mg.
La raison est que durant un cycle, habituellement, votre corps obtiendra non seulement ce qui vient d’être injecté, mais aussi une quantité restante issues des injections précédentes. Lors de la première injection, vous n’avez rien qui soit issu d’injections précédentes. Le frontload apporte la quantité adéquate dans votre corps lors de la première injection.
Au début de la 3ème semaine, j’ajouterais du Dianabol à 50 mg/jour, et je réduirais la testostérone à 800 mg/semaine. L’association des deux est considérablement plus puissante que 1000 mg/semaine de testostérone; vous pouvez être rassuré quand à cette petite réduction dans le dosage de la testostérone.
La seule raison éventuelle à ne pas réduire le dosage de la testostérone à ce stade serait qu’à ce point, vous n’êtes pas vraiment satisfait des résultats d’une dose plus élevée. Si auparavant, vous aviez effectué plusieurs cycles à des doses hebdomadaires d’un gramme et plus, cela pourrait se produire. Dans ce cas, vous pouvez maintenir le dosage de la testostérone à 1000 mg/semaine tout en ajoutant le Dianabol.
Je terminerais les injections de testostérone à la moitié de la 7ème semaine. Le but de cela est qu’au début de la 9ème semaine ou aussitôt après, les concentrations seront assez faibles pour que la relance puisse commencer.
Je renforcerais la 8ème semaine avec de l’oxandrolone pour compenser les concentrations décroissantes de testostérone injectée. Soit j’utiliserais 50 mg/jour d’oxandrolone au cours de la 8ème semaine, ou je commencerais à 50 mg/jour et poursuivrais avec 75 mg/jour dans les 3 ou 4 derniers jours du cycle. La manière de s’y prendre dépend de la quantité d’oxandrolone que vous avez et de vos préférences. Pour l’une ou l’autre façon, le résultat final sera identique.
Ce cycle restera efficace au cours de la totalité des 8 semaines, puis il y aura une transition quasi-immédiate vers des concentrations d’androgènes exogènes assez faibles pour permettre une reprise rapide. Ce cycle de prise de masse sera très efficace pour quiconque n’ayant pas déjà atteint une phase de plateau à ce stade de l’utilisation des stéroïdes.
Bill Roberts est un spécialiste mondialement reconnu pour son expertise sur les stéroïdes anabolisants et les médicaments améliorant la performance. Bill possède un Diplôme universitaire en Microbiologie et Cytologie, et a accompli les critères éducationnels et de recherche pour l’obtention d’un PhD en Chimie Médicinale dans une université Américaine réputée.
Bill intégra l’industrie des compléments nutritionnels avant de finir sa thèse de doctorat, mais son parcours éducatif était tellement inestimable au point de pouvoir concevoir et améliorer des compléments nutritionnels, vu que c’était dans le domaine de la conception de molécules de médicaments, et secondairement quelques travaux dans l’administration transdermique.
Son éducation n’a pas été particulièrement « orientée » vers les stéroïdes anabolisants autrement qu’une expertise avec des principes pharmacologiques qui disposent de larges applications. Ceci a permis à Bill de fournir un aperçu unique dans le domaine de la pharmacologie des anabolisants, avec une connaissance des points qu’il n’aurait connu autrement.
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