Question : «J’ai utilisé la trenbolone acétate avec beaucoup de succès. Mais maintenant j’ai souvent une terrible «toux de tren» pendant mes injections. Normalement cela dure 30 s mais c’est tellement fort que je me demande si je vais survivre. Je sais bien que oui mais à cet instant il me semble que non. Que se passe-t-il et que puis-je faire?»
Bill Roberts : L’acétate de trenbolone a la propriété inhabituelle d’être irritante pour certains tissus. Sur la langue, elle est très épicée. Si vous avez, ne serait-ce qu’une trace dans votre main, lavez-les bien avant de toucher votre viande et vos patates car c’est très irritant.
Je crois que l’acétate de trenbolone à forte concentration est même irritant pour les poumons.
Normalement les taux sanguins ne sont pas proches du niveau qui provoque la toux de Tren. Mais certaines injections peuvent faire passer un peu d’huile directement dans un petit vaisseau sanguin ou un peu d’acétate de trenbolone entre immédiatement dans le système lymphatique. Le corps et les poumons la ressentent alors très fort et déclenche la toux de Tren.
Si la toux de Tren apparait ou non lors d’une injection est une affaire de chance.
Un autre facteur est la formule de votre injection. De hautes concentrations d’acétate de trenbolone ainsi que l’alcool benzylique semblent créer plus souvent le problème.
Pour réduire la toux de tren, j’utiliserais seulement 50 mg/mL ou au maximum 75 mg/mL, de préférence sans alcool benzylique. Pour 50 mg/mL il n’est besoin de rien d’autre que l’acétate de trenbolone et de l’huile végétale ou d’oléate d’éthyle. Le benzoate benzylique est facultatif. A 75 mg/mL, si on n’utilise pas d’acétate benzylique, le benzoate benzylique est obligatoire. Je vous suggère de le concentrer à 20%.
Si une toux de tren se déclenche quand même, il ne vous reste plus qu’à serrer les dents. Cela s’arrête relativement vite. Le pire que j’ai enduré était de 90 s et ça a été la seule fois où ça a dépassé 60s.
Bill Roberts est un spécialiste mondialement reconnu pour son expertise sur les stéroïdes anabolisants et les médicaments améliorant la performance. Bill possède un Diplôme universitaire en Microbiologie et Cytologie, et a accompli les critères éducationnels et de recherche pour l’obtention d’un PhD en Chimie Médicinale dans une université Américaine réputée.
Bill intégra l’industrie des compléments nutritionnels avant de finir sa thèse de doctorat, mais son parcours éducatif était tellement inestimable au point de pouvoir concevoir et améliorer des compléments nutritionnels, vu que c’était dans le domaine de la conception de molécules de médicaments, et secondairement quelques travaux dans l’administration transdermique.
Son éducation n’a pas été particulièrement « orientée » vers les stéroïdes anabolisants autrement qu’une expertise avec des principes pharmacologiques qui disposent de larges applications. Ceci a permis à Bill de fournir un aperçu unique dans le domaine de la pharmacologie des anabolisants, avec une connaissance des points qu’il n’aurait connu autrement.
Leave a Reply