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En plus, si tu as des abcès comme ça, faut être bien DTR pour monter sur scène.
Parce que à ce stade tu as la fièvre et c'est compliqué à gérer.
 
J'avais choppé un abcès stérile que j'avais ponctionné moi même.

C'était une belle horreur
J'ai vu un pompier chargé avec un abcès énorme, le type était blanc/vert à la salle.
Il pensait que ça allait partir, un pompier t'imagines...

Je pense qu'il ne voulait pas aller aux urgences, à cause de son taf.
Il a finit par m'écouter et y aller...

Quelques semaines après, il était revenu et s'entraînait en manches longues :D
 
Il pense que...C'est bien ça le problème, personne ne sait vraiment.
Ce qu'on sait, c'est que beaucoup en utilisent, chez Derek c'était assez flagrant par contre, donc pas de doute.
oui, si tu regardes sur Shawn, tu verras aussi des bosses comme sur la capture d'ecran de Derek mais moins prononcé. Ivan dit que la progression impressionnante de Shawn est p'tet lié aussi à l'entrainement, mais aussi et surtout à l'injection de synthol pour expliquer que ses dorsaux ont doublé de volume en 1 an.
 
oui, si tu regardes sur Shawn, tu verras aussi des bosses comme sur la capture d'ecran de Derek mais moins prononcé. Ivan dit que la progression impressionnante de Shawn est p'tet lié aussi à l'entrainement, mais aussi et surtout à l'injection de synthol pour expliquer que ses dorsaux ont doublé de volume en 1 an.
C’est difficile à dire, si on regarde en arrière les photos de sa progression sur l'année, on ne voit pas de signes distincts.
Comme dit, c'est possible qu'il en met, mais la progression est globale, ça se voit bien.
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je ne connais pas cette molécule (ni les autres esiclene etc), mais on peut imaginer que la bosse apparait et disparait ensuite, que ça ne reste pas figé.. d'où les bosses chez Derek qu'on voit bien sur ta capture et qui n'apparaissent plus ensuite. Je suppose que c'est bien connu et bien "géré" à leur niveau même si c'etait effrayant chez Derek lol. ça n'engage que moi, mais je pense que les bras de Derek sont plein de produits (inflammation+++, ballon de baudruche)
 
Un SEO l'huile reste, mais le problème d'injection peut arriver en fin de prépa, vu que les mecs sont secs et sous diurétiques.
L'esiclène par contre c'est temporaire, tu l'utilises juste avant le show.
Ils utilisent peut-être aussi d'autres trucs...
 
Après, les histoires de SEO, c'est comme les histoires de gros dosages, on s'en doute, mais il n'y a qu'eux qui savent vraiment ce qu'ils se mettent.
Les SEO sont utilisés depuis longtemps dans le body, ça par contre c'est certain.
J'avais un pote qui en mettait dans ses mollets (Syntherol), le problème c'est l'aspect du muscle ensuite, ça se voit quand même à force.
 

View: https://www.youtube.com/watch?v=S9WWIKfFR48


Stratégies PED en offseason qui peuvent réellement évoluer.

L’objectif n’est pas seulement de grossir vite, mais de pouvoir maintenir la progression, préserver la santé et continuer à être productif sur le long terme.

1️⃣ Erreurs fréquentes après une compétition (post-show → offseason)​


  • ❌ Escalader trop vite les doses : Beaucoup augmentent brutalement les produits dès la fin de la préparation.
  • ❌ Manque d’analyse : Peu d’athlètes ou de coachs se demandent « Qu’est-ce que j’ai utilisé la dernière fois ? Est-ce que ça a réellement fonctionné ? »
  • ❌ Auto-coaching trop agressif : Certains pensent que “plus = mieux”, sans se baser sur des données ou des marqueurs de progrès.

✅ Ce qu’il faut faire :


  • Examiner les cycles précédents et leurs résultats.
  • Évaluer la réponse (croissance réelle, effets secondaires, santé).
  • Ajuster de manière incrémentale au lieu de tout changer brutalement.



2️⃣ Principe clé : la croissance prend du temps​


Luke insiste : le tissu musculaire s’accumule lentement.
Vouloir tout accélérer mène souvent à la stagnation ou à la régression.


“Les meilleurs physiques sont ceux construits avec de la patience et des ajustements progressifs, pas avec des sauts de 3g/semaine du jour au lendemain.”



3️⃣ Comment juger si on doit augmenter les PED​


Indicateurs :​


  • Le progrès (poids, performances, visuel) ralentit clairement malgré une exécution optimale du reste (nutrition, sommeil, entraînement).
  • Les marqueurs de santé sont stables (pression, bilans sanguins).
  • Tous les autres leviers (repos, technique, alimentation) sont déjà optimisés.

⚖️ Philosophie :​


John et Luke parlent “d’avoir gagné le droit” d’augmenter les doses — seulement quand tout le reste est maîtrisé.




4️⃣ Cas concrets évoqués​


  • Certains athlètes progressent encore avec très peu (ex : 400 mg d’anaboliques + GH 7 IU) simplement parce qu’ils s’entraînent mieux qu’avant.
  • D’autres, avec des génétiques “moyennes”, doivent aller bien plus haut (jusqu’à 3–3.5 g/semaine dans des cas extrêmes).

Plus un athlète est avancé, plus chaque gain de muscle coûte cher en “levier” chimique.



5️⃣ Ajustements typiques et escalades​


  • Augmentations progressives de 10 à 25 % d’un cycle à l’autre si la progression ralentit.
  • Les top pros (génétiquement doués) ont souvent besoin de moins que les amateurs très motivés mais moyens.
  • On adapte les doses à la réalité biologique (taille, masse, tolérance, marqueurs de santé).



6️⃣ Approche sur la montée des doses dans un cycle​


Autre point central du podcast :


Avant :​


“On commençait à pleine dose dès la première semaine.”

Aujourd’hui :​


“On escalade sur 4 à 5 semaines pour atteindre le pic de dosage.”

Raisons :​


  • Moins de stress cardio et rénal (montée plus douce de la pression, du poids, de la rétention).
  • Moins d’impact sur le sommeil et la santé générale.
  • Meilleure synchronisation avec la montée de l’appétit, du volume d’entraînement et des besoins métaboliques.

Exemple :


  • On peut démarrer EQ (boldenone) à dose pleine (vu son ester long).
  • Puis augmenter testostérone et DHT (mast, primo) progressivement selon la réponse et les analyses.



7️⃣ Différences selon le type de produits​


  • Ésters longs (Test E, EQ) : plus stables, montent lentement → favorisent une progression linéaire.
  • Ésters courts / oraux (Propionate, etc.) : réponse plus rapide, mais plus de fluctuations hormonales et de stress systémique.

Ils préfèrent des esters longs pour la gestion et la stabilité, sauf cas particulier (mini-pushs courts).




8️⃣ Message final​


  • Plus n’est pas toujours mieux.
  • La planification, l’observation, et le contrôle de la santé sont les vrais facteurs de succès.
  • Les meilleurs athlètes apprennent à maximiser les faibles doses avant de penser à en ajouter.

➤ L’offseason se construit sur la patience et la cohérence.
➤ On ajuste les PED seulement quand tout le reste est optimisé.
➤ L’escalade progressive des doses protège la santé et améliore la productivité à long terme.
➤ Les “pros” ont souvent besoin de moins que les amateurs impatients.
 
Après, les histoires de SEO, c'est comme les histoires de gros dosages, on s'en doute, mais il n'y a qu'eux qui savent vraiment ce qu'ils se mettent.
Les SEO sont utilisés depuis longtemps dans le body, ça par contre c'est certain.
J'avais un pote qui en mettait dans ses mollets (Syntherol), le problème c'est l'aspect du muscle ensuite, ça se voit quand même à force.

Comme Luki avec ses biceps sur PM. Au début c'était bien, après c'est devenu assez spécial disons
 
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