Effets secondaires GH

Ça peut toujours arriver, chez les naturels ou chez ceux qui prennent des hormones. Et dans les deux cas et très souvent ça ne vient pas d’un problème hormonal meme si l’augmentation de la dose des hormones améliore les symptômes. Très souvent il s’agit d’autres facteurs qu’il faut chercher et traiter.

Il y a aussi le fait qu’on accepte pas de vieillir, Et qu’on court derrière une jeunesse qu’on retrouvera jamais malgré les produits. Alors on se contente du fait que les produits cache les symptômes de vieillissement et font penser que ça peut être une bonne chose à long-terme.

Matsor, c'est bien de prévenir des dangers et des illusions qui laissent imaginer une vie meilleure avec une utilisation abusive des stéroïdes.

Je le pense sincèrement, et je te félicite de ne pas lâcher l'affaire, surtout auprès des jeunes générations.

Mais en ce qui concerne l'après 50 ans, tu reconnaîtra que le rapport risques/bénéfices d'utilisation de stéroïdes n'a pas vraiment été creuser à fond de façon purement scientifique.
Les études existent mais restent très généraliste.

C'est une recherche complexe et fastidieuse car comme tu l'as dit, chaque cas est différent et on ne peut pas établir de règles générales.
Mon endocrinologue lui-même le reconnais, il n'a reçu de formation pour le " confort après 50 ans"
Il soigne et c'est déjà énorme !

Il est facile d'imaginer que les grands laboratoires n'ont pas envie de financer ce genre d'investigations car le marché du vieillissement tel qu'il est est bien plus avantageux qu'une optimisation hormonales avec une testostérone à 30 euros par mois ( la même chose pour la GH).

Reculer les méfaits de l'age ?
Affirmatif ! Je le revendique

Je trouve que ma démarche à le mérite d'être accompagnée d'examens médicaux régulier qui me coûte une blende et que sans prétention aucune si je peux, par ma petite expérience personnelle, apporter une pierre à l'édifice du mieux être ( mental et physique) des seniors, j'en serais heureux.

Bien entendu, je mettrais en avant tout les problèmes, sans les laisser sous silence pour que l'on ne voit que la partie visible de l'iceberg ( un beau physique qui souffre de l'intérieur).

C'est d'ailleurs la raison de mon post, évoquer mes problèmes et pouvoir échanger avec d'autres pour faire avancer de façon constructive une prise de stéroïdes.
 
Mais en ce qui concerne l'après 50 ans, tu reconnaîtra que le rapport risques/bénéfices d'utilisation de stéroïdes n'a pas vraiment été creuser à fond de façon purement scientifique.

Peu importe l'âge c'est une balance déficitaire, comme 99% des membres tu essaies de minimiser, mais malheureusement c'est faux.
 
Si c'est le cas alors tu peux être sur, je me répète, que j'aurais l'honnêteté de le confirmer.
Mais le problème c’est que tu ne peux confirmer avant un certain nombre d’années, et c’est le problème. Tout ce qu’ils suivent ce genre de protocole, ne peuvent confirmer que dans très longtemps et d’ici là on risque un problème de santé public, si les études qui montrent un effet négatif sur la santé des personnes âgées se confirment.

Mais ce qui font des protocoles aujourd’hui ni les cliniques qui en prescrivent ne s’y interdisent pas. Tout ce qui intéressent les prescripteurs et les utilisateurs, c’est le ressenti immédiats et la satisfaction à court et moyen terme. Et la je parles de l’utilisation anti age et pas dans le cas de carence hormonale.
 
Mais le problème c’est que tu ne peux confirmer avant un certain nombre d’années, et c’est le problème. Tout ce qu’ils suivent ce genre de protocole, ne peuvent confirmer que dans très longtemps et d’ici là on risque un problème de santé public, si les études qui montrent un effet négatif sur la santé des personnes âgées se confirment.

Mais ce qui font des protocoles aujourd’hui ni les cliniques qui en prescrivent ne s’y interdisent pas. Tout ce qui intéressent les prescripteurs et les utilisateurs, c’est le ressenti immédiats et la satisfaction à court et moyen terme. Et la je parles de l’utilisation anti age et pas dans le cas de carence hormonale.
Je comprends

Alors, pour être pratique, à quel problèmes je peux m'attendre, qui ne peuvent pas être décelés avant une aggravation irreversibile ?

Et malgré des contrôles réguliers ( analyses, échographie, électrocardiogramme) ?
 
Pour te contextualiser ma remarque concernant la gh et tes résultats qui me paraissent peu probables je suis sou gh 5ui depuis 2020 et 10ui depuis quelques mois.
 
Je comprends

Alors, pour être pratique, à quel problèmes je peux m'attendre, qui ne peuvent pas être décelés avant une aggravation irreversibile ?

Et malgré des contrôles réguliers ( analyses, échographie, électrocardiogramme) ?
Difficile à dire, tout peut très bien se passer. Mais on a pas assez de recul, encore moins avec les hormones de croissance. En ce qui concerne les stéroïdes, je peux penser à une accélération de certaines cancers qu’en temps normal sont de progression lents, ou des problèmes cardiovasculaires comme durcissement artérielle, juste pour donner quelques exemples. Et pour igf et GH, j’en ai deja posté plus haut.
 
Pour te contextualiser ma remarque concernant la gh et tes résultats qui me paraissent peu probables je suis sou gh 5ui depuis 2020 et 10ui depuis quelques mois.

Peut être que les résultats ne sont pas aussi flagrant pour toi car les effets d'autres stéroïdes peuvent "masquer " un début de prise de GH.
et que du coup il faut des valeurs plus élevés pour avoir un ressenti plus évident.

C'est une supposition, bien sûr ( je ne connais pas ton protocole ni depuis combien de temps tu prends des stéroïdes).

Noublie pas que j'ai commencé la GH à 58 ans et que je suis moins exigeant sur les résultats qu'un bodybuilder.

Comme je l'ai dit je n'ai pas "explosé" mais j'ai bien vu sur une année une réelle amélioration. L'association avec la testosterone a été très perceptible.

Après je ne vois pas mon intérêt de raconter des salades.

Tu as pu noter que c'est mon premier post sur le forum.
J'ai plutôt l'habitude de lire sans intervenir car j'estime que je débute dans le domaine.
 
Difficile à dire, tout peut très bien se passer. Mais on a pas assez de recul, encore moins avec les hormones de croissance. En ce qui concerne les stéroïdes, je peux penser à une accélération de certaines cancers qu’en temps normal sont de progression lents, ou des problèmes cardiovasculaires comme durcissement artérielle, juste pour donner quelques exemples. Et pour igf et GH, j’en ai deja posté plus haut.
D'accord, et j'imagine que cela ne dépend pas du niveau et de la diversité de stéroïdes qu'on utilise.
Même a mon niveau, avec ma testostérone et ma GH, je cours les mêmes risques que n'importe quel utilisateur si je comprends bien.
 
D'accord, et j'imagine que cela ne dépend pas du niveau et de la diversité de stéroïdes qu'on utilise.
Même a mon niveau, avec ma testostérone et ma GH, je cours les mêmes risques que n'importe quel utilisateur si je comprends bien.
Justement les risques ne sont pas les mêmes pour tous. Et c’est la que je parle de génétique et prédispositions plutôt que de chance. Il faut toujours pesé le pour et le contre et pas qu’à court terme. On est pas tous égaux, on a pas tous les mêmes réactions, ni les mêmes capacités de supporter les produits, ni les mêmes attentes.
 
Je vais suivre le conseil de Giant, j'arrête la GH, ce n'est pas pour moi.

Je comprends votre scepticisme à propos de mes résultats avec la GH ( combiné avec la testostérone)

Mais en y regardant bien, un vieux qui a toujours fait du sport, qui a suivi une bonne hygiène de vie, une bonne alimentation, sans alcool et sans cigarettes et qui obtient des résultats tangibles avec de faibles doses ça ne me surprend pas plus que ça.

Je suis beaucoup plus étonné des effets psychologique négatifs car on promet monts et merveilleux pour le mental avec la GH.
Mais j'ai peut-être deux explications.

La première est que j'ai été fragilisé de 2017 a 2020 par un sevrage de benzodiazepine. Certains s'en sorte en 2/3 mois, moi je suis parti en enfer pendant 2 ans.
Pour ceux qui ne connaissent pas les méfaits des benzos, ils bousillent le fonctionnement des GABA.
Je reste donc très fragile au niveau des mécanismes du cerveau.

La seconde c'est l'introduction d'anastrazole il y a 1 ans et demi.
J'ai vraiment galèré pour trouver un protocole satisfaisant avec ce petit cachet
J'ai tout essayé pour m'en passer pendant près de 2 ans et demi mais preuve à l'appuie, j'aromatise beaucoup, même sans testostérone.

Du coup j'ai retrouvé une sexualité mais, je pense, au prix d'un confort mental ( mon cerveau n'a pas aimé le sevrage benzo et je lui rajoute une couche avec un sevrage d'estradiol...)

Ce ne sont que des supposition, mais cela pourrait expliquer cette hyper sensibilité psychique à la GH

Pour finir je dirais que sur le plan physique, testostérone + GH c'est super dans mon cas mais côté mental...bof, pas vraiment la joie.

Merci en tout cas pour vos messages !
On croit avoir appris des choses mais il en reste des tonnes à découvrir... et c'est seulement pour 2 molécules....
 
Je viens de lire un article de Bill Roberts à-propos de la GH où il indique qu'il ne supporte pas plus de 10 UI par semaine ( 1,5 U jour a peu près).

Ce serait intéressant de savoir si cette intolérance est physique ou psychologique
 
Merci pour ta réponse Giant

Mais comme quoi je ne suis pas le seul.

Et de ton côté, tu n'as pas coaché des personnes de plus de 50 ans qui débutées avec la GH ?

En 12 ans j'ai tout vu, des gars qui supporte pas plus de 250mg de testostérone, des gars qui ont trop d'ES avec la GH également.

Parfois la molécule est juste pas faite pour la personne et faut lâcher l'affaire.
 

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