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JEUNE ET CANCÉROLOGIE
il me semble important de comprendre qui est le professeur HENRI JOYEUX
il a été très longtemps président de FAMILLE DE FRANCE qui a des positions chrétienne très controversé
la majorité de ses publications sur le sujet qui nous préoccupe ne sont pas des publications dans des revues scientifiques a impacts mondiale
mais des livres édité par la maison d'édition chrétienne française François-Xavier de Guibert
dans la communauté scientifique,il est largement décrié
UN EXEMPLE PARMI D'AUTRES
Ses positions sur la dangerosité du lait ont été contredites par des scientifiques et d'autres scientifiques considèrent que les corrélations que fait Joyeux entre la consommation de lait et la survenances de maladies auto-immunes, de cancers et d'allergies sont loin d'être établies
je vous passe ses déclarations sur les homosexuels,le rôle des femmes,l'approche de la sexualité,etc,parce que c'est pas le sujet
EN CLAIR
je respecte toutes les personnes croyantes quelques soit leurs religions
mais quant on se sert de sa légitimité scientifique pour orienter des gens vulnérables sur un certains style de vie ,je ne peux adhérer
de plus quant on utilise le mélange des genres,entre la frontière scientifique et croyance,je crois très sincèrement que cela nuit a la recherche pure.
NECESSITE DU JEUNE EN CANCEROLOGIE????
quant des équipes de renommées mondiales dans differents pays arriverons a ce genre de conclusion,je serais le premier a le croire
pour l'instant ,il me semble que c'est pas le cas
ce ne sont pas les études qui dérangent,mais les extrapolations qui en sont faites
De source scientifique, le rôle du métabolisme(fabrication d’énergie a partir de la nourriture) émerge comme un facteur majeur dans l'origine et l’évolution des cancers. cependant les études sont beaucoup trop préliminaire essentiellement sur modèles animaux et in vitro pour établir des conclusions fiables dans quelque sens que ce soit. Les résultats sont très ponctuels restreints a certains modèles et types cellulaires. En particulier le rôle dans les cellules souches cancéreuses, vecteur important des progressions tumorales et échappement ou rechutes aux traitement est encore sous exploré. Enfin aucun essai clinique a ce jour, y compris de phase I n'a encore évalué l'importance chez les patients de cette question.
pour le jeune,une seule étude a évalué chez la souris et sur des lignés in-vitro,le rôle de cycle court du jeune sur l'efficacité de chimiothérapie
,avec des résultats contradictoires
.................................................................................................................................................................................
Point sur le jeûne thérapeutique et ses effets combinés à la chimiothérapie
Depuis la publication, en février 2012, d’une étude expérimentale évaluant chez la souris l’effet du jeûne sur des tumeurs cancéreuses (Lee, 2012. Fasting cycles retard growth of tumors and sensitize a range of cancer cell types to chemotherapy), de nombreuses personnes posent la question de l’intérêt de cette pratique chez les patients atteints de cancer.
Cette note a pour objectif de présenter l’étude réalisée, ses principaux résultats, et d’en éclairer l’interprétation.
Le jeûne consiste en un arrêt total d’alimentation, avec maintien ou non d’une consommation d'eau.
L’étude, réalisée par une équipe américaine, s’est intéressée aux effets du jeûne chez des souris porteuses de tumeurs induites par des cellules tumorales. Les cellules étudiées étaient des cellules cancéreuses de sein, de mélanome, de gliome et de l’ovaire. Les souris ont subi plusieurs cycles de jeûne, c’est-à-dire qu’elles ont été privées à plusieurs reprises d’alimentation pendant 48 à 60 heures, alors que les apports en eau ont été conservés.
Les résultats ont montré que :
Des études antérieures réalisées chez l’animal (études précliniques) ont rapporté des résultats contradictoires, voire une toxicité supérieure des traitements de chimiothérapie en cas de carence nutritionnelle.
Cette étude a été réalisée sur quelques souris (petit échantillon) et en conditions expérimentales. A ce stade de la recherche, il n’est pas possible de transposer les résultats en l’état à l’Homme.
Les études expérimentales chez l’animal comportent en effet certaines spécificités qui font que les effets observés ne sont pas directement transposables à l’Homme :
Des essais cliniques chez l’Homme sont donc nécessaires pour confirmer la faisabilité du jeûne combiné à une chimiothérapie dans le traitement de certains cancers.
Une étude est actuellement en cours aux Etats-Unis chez quelques patientes atteintes de cancer du sein, de cancer du canal urinaire ou de l’ovaire (étude de phase 1) ; les résultats de cette étude seront présentés prochainement lors d’un congrès scientifique et médical. Cette fiche sera mise à jour en fonction de ces résultats.
Il est fortement recommandé aux patients atteints de cancer, pendant la maladie et ses traitements, de maintenir un poids optimal grâce à l’activité physique et à une alimentation diversifiée (voir fiche Alimentation et cancer) : il est en effet essentiel pour les patients d’éviter la dénutrition, qui peut engendrer de graves complications, altérer l’état général et la qualité de vie, et/ou perturber le bon fonctionnement des traitements (voir à ce sujet le site du réseau NACRe).
Auteur : Unité cancer environnement
Relecteur : P.... M..... (réseau NACRe), O...... T..... (oncologue médical, Centre Léon Bérard), P...... B........ (responsable de l'unité Nutrition et Diététique, Centre Léon Bérard)
......................................................................................................................................................................................voila a l'heure actuelle,ce qui est concret
j'ai finalisé cette bafouille avec l'aide d'une caution scientifique(directeur d'une équipe de recherche) et après une discussion avec un médecin concerné
je peux en MP auprès d'un MODO ou PHOENIX citer le DR de recherche,si les gens sont sceptiques
celui ci ayant du mal a accepter que son nom soit associé a certaines de nos pratiques(produits)
PS:c'est la que TITO me manque,il connait indirectement ma source
PS
par contre,par correction pour d’éventuels lecteurs de ce pavé,je précise que je suis athé
il me semble important de comprendre qui est le professeur HENRI JOYEUX
il a été très longtemps président de FAMILLE DE FRANCE qui a des positions chrétienne très controversé
la majorité de ses publications sur le sujet qui nous préoccupe ne sont pas des publications dans des revues scientifiques a impacts mondiale
mais des livres édité par la maison d'édition chrétienne française François-Xavier de Guibert
dans la communauté scientifique,il est largement décrié
UN EXEMPLE PARMI D'AUTRES
Ses positions sur la dangerosité du lait ont été contredites par des scientifiques et d'autres scientifiques considèrent que les corrélations que fait Joyeux entre la consommation de lait et la survenances de maladies auto-immunes, de cancers et d'allergies sont loin d'être établies
je vous passe ses déclarations sur les homosexuels,le rôle des femmes,l'approche de la sexualité,etc,parce que c'est pas le sujet
EN CLAIR
je respecte toutes les personnes croyantes quelques soit leurs religions
mais quant on se sert de sa légitimité scientifique pour orienter des gens vulnérables sur un certains style de vie ,je ne peux adhérer
de plus quant on utilise le mélange des genres,entre la frontière scientifique et croyance,je crois très sincèrement que cela nuit a la recherche pure.
NECESSITE DU JEUNE EN CANCEROLOGIE????
quant des équipes de renommées mondiales dans differents pays arriverons a ce genre de conclusion,je serais le premier a le croire
pour l'instant ,il me semble que c'est pas le cas
ce ne sont pas les études qui dérangent,mais les extrapolations qui en sont faites
De source scientifique, le rôle du métabolisme(fabrication d’énergie a partir de la nourriture) émerge comme un facteur majeur dans l'origine et l’évolution des cancers. cependant les études sont beaucoup trop préliminaire essentiellement sur modèles animaux et in vitro pour établir des conclusions fiables dans quelque sens que ce soit. Les résultats sont très ponctuels restreints a certains modèles et types cellulaires. En particulier le rôle dans les cellules souches cancéreuses, vecteur important des progressions tumorales et échappement ou rechutes aux traitement est encore sous exploré. Enfin aucun essai clinique a ce jour, y compris de phase I n'a encore évalué l'importance chez les patients de cette question.
pour le jeune,une seule étude a évalué chez la souris et sur des lignés in-vitro,le rôle de cycle court du jeune sur l'efficacité de chimiothérapie
,avec des résultats contradictoires
.................................................................................................................................................................................
Point sur le jeûne thérapeutique et ses effets combinés à la chimiothérapie
Depuis la publication, en février 2012, d’une étude expérimentale évaluant chez la souris l’effet du jeûne sur des tumeurs cancéreuses (Lee, 2012. Fasting cycles retard growth of tumors and sensitize a range of cancer cell types to chemotherapy), de nombreuses personnes posent la question de l’intérêt de cette pratique chez les patients atteints de cancer.
Cette note a pour objectif de présenter l’étude réalisée, ses principaux résultats, et d’en éclairer l’interprétation.
Le jeûne consiste en un arrêt total d’alimentation, avec maintien ou non d’une consommation d'eau.
L’étude, réalisée par une équipe américaine, s’est intéressée aux effets du jeûne chez des souris porteuses de tumeurs induites par des cellules tumorales. Les cellules étudiées étaient des cellules cancéreuses de sein, de mélanome, de gliome et de l’ovaire. Les souris ont subi plusieurs cycles de jeûne, c’est-à-dire qu’elles ont été privées à plusieurs reprises d’alimentation pendant 48 à 60 heures, alors que les apports en eau ont été conservés.
Les résultats ont montré que :
- Deux cycles de jeûne retardaient la croissance de certaines cellules cancéreuses (sein, mélanome, gliome) aussi efficacement que la chimiothérapie, et la combinaison de deux cycles de jeûne et de la chimiothérapie était plus efficace que la chimiothérapie seule.
- De multiples cycles de jeûne [nombre de cycles non précisé dans l’étude] augmentaient la sensibilité des cellules cancéreuses aux traitements de chimiothérapie, ce qui augmentait la survie globale des souris, et leur survie sans progression.
- Le jeûne favorisait l’activité de régulation des gènes impliqués dans la croissance des cellules normales et cancéreuses. Une réduction du nombre de cellules cancéreuses a ainsi été observée in vitro.
- La combinaison du jeûne et de la chimiothérapie favorisait les cassures d’ADN dans les cellules cancéreuses, ce qui potentialisait les effets de la chimiothérapie, c’est-à-dire augmentait son efficacité.
Des études antérieures réalisées chez l’animal (études précliniques) ont rapporté des résultats contradictoires, voire une toxicité supérieure des traitements de chimiothérapie en cas de carence nutritionnelle.
Cette étude a été réalisée sur quelques souris (petit échantillon) et en conditions expérimentales. A ce stade de la recherche, il n’est pas possible de transposer les résultats en l’état à l’Homme.
Les études expérimentales chez l’animal comportent en effet certaines spécificités qui font que les effets observés ne sont pas directement transposables à l’Homme :
- ces études sont souvent réalisées avec de fortes doses de la substance étudiée (dans cette étude, la durée des cycles de jeûne, par exemple) ;
- les conditions d’expérimentation en laboratoire permettent d’isoler les effets de la substance étudiée, alors que ces conditions ne sont pas réalisables dans les études cliniques chez l’Homme ;
- les conditions expérimentales ne reflètent pas les conditions dans lesquelles l’Homme serait placé. Par exemple, elles ne prennent pas en compte ses antécédents médicaux, son état de santé général, son état de fatigue, etc.
Des essais cliniques chez l’Homme sont donc nécessaires pour confirmer la faisabilité du jeûne combiné à une chimiothérapie dans le traitement de certains cancers.
Une étude est actuellement en cours aux Etats-Unis chez quelques patientes atteintes de cancer du sein, de cancer du canal urinaire ou de l’ovaire (étude de phase 1) ; les résultats de cette étude seront présentés prochainement lors d’un congrès scientifique et médical. Cette fiche sera mise à jour en fonction de ces résultats.
Il est fortement recommandé aux patients atteints de cancer, pendant la maladie et ses traitements, de maintenir un poids optimal grâce à l’activité physique et à une alimentation diversifiée (voir fiche Alimentation et cancer) : il est en effet essentiel pour les patients d’éviter la dénutrition, qui peut engendrer de graves complications, altérer l’état général et la qualité de vie, et/ou perturber le bon fonctionnement des traitements (voir à ce sujet le site du réseau NACRe).
Auteur : Unité cancer environnement
Relecteur : P.... M..... (réseau NACRe), O...... T..... (oncologue médical, Centre Léon Bérard), P...... B........ (responsable de l'unité Nutrition et Diététique, Centre Léon Bérard)
......................................................................................................................................................................................voila a l'heure actuelle,ce qui est concret
j'ai finalisé cette bafouille avec l'aide d'une caution scientifique(directeur d'une équipe de recherche) et après une discussion avec un médecin concerné
je peux en MP auprès d'un MODO ou PHOENIX citer le DR de recherche,si les gens sont sceptiques
celui ci ayant du mal a accepter que son nom soit associé a certaines de nos pratiques(produits)
PS:c'est la que TITO me manque,il connait indirectement ma source
PS
par contre,par correction pour d’éventuels lecteurs de ce pavé,je précise que je suis athé
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