Indice Glycémique / Indice Insulinique / Charge glycémique.

D'ailleurs, si on regarde bien le Fromage blanc 0% a un fort indice insulinique, donc pas top pour une prépa sèche !!

j'aimerais savoir avec les expériences de chacuns, quels sont selon vous, les meilleurs aliments avec un IG bas, mais une charge glycémique importante ??
 
pour moi cela dépend de plein de paramètre ,la classification des sources de glucides en sucres « lents » ou « rapides » en vigueur n'est pas vraiment fiable En effet, quelque en soit la forme, il faut compter trente minutes avant que les glucides ne commencent à être utilisés par l’organisme.

Ce qui différencie un index glycémique faible d’un élevé, c’est la quantité de glucides qui pénétrera dans le sang en même temps.
Ainsi, un glucide à index glycémique faible entrera dans le sang aussi rapidement qu’un glucide a index glycémique élevé, mais en plus petite quantité, ce qui provoquera une élévation davantage progressive de la glycémie.

car Cette classification est loin d’être parfaite et susceptible de subir des altérations d’origines divers.
- Les quantités mesurées par les scientifiques sont très inférieures à celles qu’utilise un sportif (25g à 50g). Sa réponse glycémique sera dès lors davantage élevée que ce qu’elle fût lors des études
- La réponse glycémique varie en fonction de l’origine et de la cuisson des aliments. Ainsi, l’indice glycémique du riz varie de 42 à 112
- Les glucides ne sont pas consommés seuls, mais en association avec des protéines et des lipides, ce qui influe sur la réponse glycémique. En consultant le tableau des index glycémiques, il est possible de constater que les aliments composés essentiellement de protéines (viande, poisson, œuf, produits laitiers) ont un indice proche, ou égal à « zéro ».
Cependant, des recherches plus récentes ont démontré qu’ils généraient tout de même une élévation de l’insuline, spécialement lorsque leur teneur en L-leucine est élevée. Par ailleurs, le lait, ainsi que les autres produits laitiers contenant du lactose (sucre simple), à savoir le fromage blanc et les yaourts, provoquent une importante élévation de la glycémie (comparable à celle induite par l’ingestion d’une barre chocolatée), malgré un indice glycémique faible (15).
L’indice de certaines céréales consommées habituellement en culturisme pour leur faible impact sur la glycémie (flocons d’avoine ou d’orge) est donc totalement faussé (plus élevé) lorsque elles sont consommées en association avec ces formes de produits laitiers
- La température des aliments influence leur index glycémique. Plus elle est basse et plus celui-ci diminue
- Les aliments acides, tels que le vinaigre (de préférence de vin rouge ou de cidre) influencent positivement la réponse glycémique des glucides. De plus, bien qu’ils soient acides au goût, ils provoquent une réaction basifiante dans l’organisme . Il apparaît donc judicieux de les joindre aux glucides, lorsque l’objectif est d’abaisser leur indice glycémique
- L’ajout de fibres aux glucides abaisse leur réponse glycémique (légumes verts, cannelle,...)

Tableau de l’index glycémique des aliments :http://www.montignac.com/fr/ig_tableau.php
 
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Donc au final consommer un aliment a ig bas ou haut ne changeras quasiment rien si il est couplé a des protéines lipides et fibres vue que l'ig va enormement varier?
 
Bonjour

Je sais que l'indice glycérique monte après cuisson des aliments. Mais disons que l'aliment a subit un refroidissement de 24h après et sera consommé froid, qu'en est-il ? Quel sera son indice glycemique ?

Logiquement son indice restera élevé selon moi mais comme j'en suis pas sûr et certain je préfère avoir d'autres avis.

Exemple simple j'ai entendu dire que pour le porridge on dit de le faire chauffer mais attendre son refroidissement complet pour abaisser son indice glycémique.

Des avis ?
 
J'avais lu exactement la même chose sur des forums us, à savoir qu'à si tu consommais froid du riz qui avait un peu trop cuit (donc dont l'IG avait augmenté), cela réduisait son IG. Cependant j'ai eu beau chercher, je n'ai pas trouvé d'études qui confirment cela.
Ce post m'intéresse donc beaucoup aussi!

Désolé @Volcano de ne pas apporter de véritable reponse :oops:
 
Ca me rend fou de pas savoir.
Car j'ai une recette de malade mental que j'ai crée pour un cake protéiné healthy a 100%.
Si quelqu'un pourrait me confirmer l'abaissement de la glycémie. Je lance la production à la semaine !
 
  • La cuisson augmente l’index glycémique de l’aliment en solubilisant davantage l’amidon présent. C’est pourquoi on évoque souvent l’exemple de l’index glycémique des pâtes « al dente » comme étant moins élevé que celui des pâtes très cuites. De même, certains régimes ont longtemps préconisés la consommation d’aliments glucidiques refroidis plusieurs jours après leur cuisson, l’amidon cuit ayant alors subi ce que l’on appelle une « rétrogradation » rendant l’action des enzymes digestives plus difficile.
 
perso, j avais entendu que refroidir brutalement( rinçage à l eau froide ) direct en sortie de cuisson faisait fortement baisser l IG !!!????
 
Te prends pas trop la tête avec l'IG il faut savoir que rajouter des lipides ralentissent la digestion (assimilation) donc la monté d'insuline, pareil en ajoutant des protéines et encore pareil en ajoutant des aliments contenant des fibres

Donc l'IG est vite faussé quand le repas est complet d'où l'intérêt de toujours manger un repas contenant protéine glucide lipides !

Dans le cas de ton gâteau hyper protéiné les protéines devrait limiter l'IG de ton gâteau donc no stress :) et je suppose qu'il y aura des oeufs donc encore moins de stress à avoir !
 
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La physiologie de l'absorption instestinale
La clé du métabolisme !
La digestion c’est l’ensemble des processus mécaniques et biochimiques par lesquels les aliments ingérés sont transformés en substances nutritives susceptibles d’être assimilées.

Après avoir été mastiqué et avalé, le bol alimentaire parvient dans l’estomac où les nutriments subissent des modifications permettant leur absorption ultérieure éventuelle.

Puis la digestion se poursuit dans l’intestin grêle sous l’action des enzymes digestives, par la transformation des glucides en glucose, des lipides en acides gras et en monoglycérides et des protéines en acides aminés
L’absorption de ces nutriments se fait à travers la barrière intestinale pour se retrouver dans le flux sanguin.

Cependant, contrairement à certaines idées reçues, l’absorption des macro-nutriments ne se fait pas pendant des heures sur la totalité de l’intestin grêle dont la longueur est de 6 mètres environ. Il importe de savoir que 80% de l’absorption des glucides et des lipides et 50% des protéines se font sur les 70 premiers centimètres de l’intestin grêle.

D’aucun pourrait croire que la totalité des glucides, des lipides et des protéines du bol alimentaire sont absorbés une fois transformés. C’est pourquoi la plupart des nutritionnistes et autres diététiciennes laissent entendre à leurs patients que toutes les calories présentes (et calculées) dans l’assiette seront disponibles dans l’organisme dès lors que les aliments correspondants auront été digérés. Là encore, il s’agit d’une croyance trompeuse, car la réalité est toute autre.

Absorption des glucides

La digestion des glucides se fait sous l’action des enzymes digestives, les alpha-amylases salivaires et pancréatiques. Mais l’hydrolysation des sucres, c’est-à-dire leur transformation en glucose assimilable, dépend directement de leur index glycémique.

L’index glycémique d’un glucide mesure la capacité d’un glucide à élever la glycémie, c’est-à-dire la quantité de glucose dans le sang. Mais on peut aussi considérer qu’il mesure la capacité du glucide en question à être hydrolysé et ainsi à être transformé en glucose assimilable.

En d’autres termes, l’index glycémique (IG) mesure le taux de glucide transformé en glucose qui sera absorbé et se retrouvera ainsi dans le flux sanguin.

Si l’index glycémique ( IG ) du glucose est de 100, cela veut dire que dès lors qu’il est présent dans l’intestin grêle il sera absorbé en totalité (100%).
En revanche si l’IG du pain blanc est de 70, cela veut dire que 70% de son contenu en glucide pur (l’amidon) sera hydrolysé et traversera la barrière intestinale sous forme de glucose.

De la même manière, si l’IG des lentilles est de 30, on peut considérer que 30% seulement de son contenu en amidon sera absorbé sous forme de glucose.
Ainsi, pour une même quantité calorique de glucide dans l’assiette, les proportions qui franchissent la barrière intestinale sous forme de glucose peuvent aller du simple au double selon l’IG du glucide.
Voilà pourquoi on peut dire que l’index glycémique d’un glucide mesure la biodisponibilité du contenu glucidique de ce glucide.


Pour bien faire comprendre ce phénomène il peut être utile de l’interpréter dans le langage courant des nutritionnistes traditionnels qui est celui des « calories ».

"Calories » dans l’assiette pour 100g de glucide pur
Index glycémique
Calories disponibles dans l’organisme sous forme de glucose après absorption

Sirop de glucose
400 Kcal /100 /400 Kcal
Pomme de terre frite 400 Kcal /95 /380 Kcal
Pain blanc 400 Kcal /70 /280 Kcal
Lentilles 400 Kcal /30 /120 Kcal"

Nous voyons donc dans le tableau ci-dessus que si l’on consomme des pommes de terre frites au lieu des lentilles (à proportion de glucide pur égale) le nombre de « calories » qui seront réellement disponibles dans l’organisme après la digestion sera trois fois plus important avec les frites qu’avec les lentilles.
Il serait même plus judicieux de présenter cela dans le sens inverse en disant que, à quantité de glucide égale, la consommation de lentilles apporte trois fois moins de « calories » disponibles.

Par ailleurs, il a été expérimentalement démontré que la consommation de sucre en fin de repas (dans des proportions très raisonnables) n’avait que peu, voire pas, d’incidence sur la résultante glycémique du repas. Compte tenu de la complexité des repas, et notamment du taux de fibres et de protéines ingérés précédemment, l’absorption du sucre (IG 70) serait donc réduite.
Il en va naturellement tout à fait autrement lorsque le sucre est ingéré seul à jeun dans une boisson sucrée (soda, coca) par exemple. Dans ce cas, l’absorption intestinale du glucide est quasi totale.

Ce point est extrêmement important !


D’abord parce qu’il constitue un des fondements de la Méthode Montignac. Il permet en effet de comprendre comment on peut perdre du poids en mangeant autant (en quantité) dès lors que l’on mange différemment.

Mais ce point est surtout important parce qu’il remet en cause la croyance aveugle et naïve de la diététique traditionnelle selon laquelle toutes les calories dans l’assiette sont disponibles dans l’organisme après ingestion.

De nombreux nutritionnistes ont intégrés depuis quelques années le concept d’index glycémique. Mais ils ont fait l’erreur de penser qu’il permettait seulement de mesurer l’amplitude du pic de glycémie. L’intérêt d’un glucide à IG bas (comme les lentilles) revient donc pour eux à éviter l’élévation du pic de glycémie en prolongeant l’absorption du glucose dans le temps, ce qui nous ramène ainsi à la notion de « sucre d’absorption lente » qui est totalement erronée comme l’ont montré plusieurs auteurs, et en particulier le Professeur G.Slama .


Or comme nous l’avons expliqué par ailleurs, en reprenant notamment la démonstration de Jenkins, l’IG mesure la surface du triangle de la glycémie induite par l’ingestion d’un aliment glucidique, ce qui correspond bien à une proportion de glucose qui a traversé la barrière intestinale. Il est donc évident que plus l’index glycémique d’un aliment est bas, plus la proportion de glucose que libérera la digestion de cet aliment à travers la barrière intestinale sera réduite.

En conclusion nous pouvons dire que l’index glycémique d’un glucide (outre la glycémie) mesure le taux d’absorption du glucide, donc sa biodisponibilité et qu’ainsi, l’élévation du niveau de la glycémie n’est que le témoin de la proportion de glucide qui a été absorbée après avoir été transformée en glucose.
 
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Définition de l'index glycémique
L'index glycémique mesure la capacité d'un glucide donné à élever la glycémie après le repas par rapport à un standard de référence qui est le glucose pur.

Définition de la glycémie
La glycémie, c’est la quantité de « sucre », (en réalité du glucose) contenu dans le sang. Lorsque l’on est à jeun, la glycémie est environ de 1g de glucose par litre de sang.
Mais si l’on mange un glucide, celui-ci se transforme par la digestion en glucose, ce qui se traduit par une augmentation de la glycémie.

Le niveau de la glycémie dans le sang est d'une importance capitale par rapport à la prise ou la perte de poids. Car la glycémie qui apparaît après la digestion induit la sécrétion d'une hormone, l'insuline, qui en fontion de son importance, est susceptible de déclencher ou non le processus de prise de poids.

Calcul de l'index glycémique
Pendant longtemps, on a cru que tous les glucides, pour une même portion consommée, entraînaient une réponse glucidique identique. A partir du milieu des années 70, Crapo, un chercheur californien de l’Université de Stanford, a montré que pour un même contenu en glucide pur, chaque glucide entraînait une élévation différente de la glycémie.
Il convenait donc de mesurer le pouvoir hyperglycémiant de chaque glucide (son potentiel glycémique en quelque sorte) pour les comparer ensuite entre eux.

C’est Jenkins qui ensuite, en 1981 a mis au point les index glycémiques, à partir des travaux réalisés depuis 1976 par Crapo .

Plutôt que de considérer simplement l’importance de la glycémie induite par chaque glucide, Jenkins a pris en compte la surface du triangle d’hyperglycémie déterminée par la totalité de la courbe de glycémie induite par l’aliment testé et pris isolément à jeun.
IGbasethaut-diagrammes.gif


Pour construire l’échelle des index glycémiques, Jenkins a donné arbitrairement au glucose l’index 100 (comme on avait par exemple fixé arbitrairement le 0° du thermomètre centigrade). La valeur 100 correspond par ailleurs aux 100% de l’absorption intestinale du glucose ingéré.


L’index glycémique mesure donc le pouvoir glycémiant d’un glucide, c’est-à-dire sa capacité à libérer une certaine quantité de glucose après la digestion. On peut dire alors que l’index glycémique mesure bien la biodisponibilité d’un glucide qui correspond à son taux d’absorption intestinale.



Si l’index glycémique est élevé (ce qui est le cas de la pomme de terre) le taux d’absorption du glucide correspondant induira une réponse glycémique élevée.

Si au contraire l’index glycémique est bas (ce qui est le cas des lentilles) le taux d’absorption du glucide correspondant induira une réponse glycémique faible, voire insignifiante.

C’est ainsi que par rapport à l’index de référence 100 du glucose, les pommes de terre frites ont un index glycémique (IG) de 95 alors que l’IG des lentilles vertes est de 25.

Cependant, il faut savoir que l’index glycémique d’un glucide n’est pas fixe. Il peut en effet varier en fonction d’un certain nombre de paramètres tels que l’origine botanique ou sa variété pour une céréale, le degré de mûrissement pour un fruit, leur traitement thermique, leur hydratation etc.


Quel est l'intérêt de L'index glycémique (IG)?
Comme nous l'avons évoqué précédemment, l'IG indique le potentiel glycémiant d'un glucide, et donc sa capacité à induire une sécrétion d'insuline en rapport. Or nous savons que plus la réponse insulinique est élevée, et plus le risque de prise de poids est important.

La grave erreur des nutritionnistes actuels
Malgré les mises en garde de certains spécialistes des Index glycémiques comme le Professeur Gérard Slama, la communauté des nutritionnistes continue dans son ensemble à faire référence, à propos des glucides, à leur vitesse d’absorption.
En fait, il y a deux catégories de nutritionnistes:

  • La première sont les « indécrottables » traditionalistes. Ce sont ceux qui ignorent encore les index glycémiques, ou qui, même s’ils en ont entendu parler, n’ont rien compris à leur intérêt métabolique. Ils continuent donc impunément à s’exprimer à propos des glucides en termes de « sucres lents » et « sucres rapides » . Ils sont nombreux, notamment, dans la corporation des diététiciens en particulier parmi ceux qui s’occupent de sport et plus encore ceux qui font du journalisme. Ils contribuent donc par leur ignorance à entretenir auprès du grand public une conception totalement erronée de la nutrition.
  • La deuxième catégorie est celle des hypocrites, encore que la plupart d’entre eux le sont le plus souvent par ignorance ou incompréhension.
    Ils ont bien admis et intégré dans leur discours la nouvelle classification des glucides à partir de leur index glycémique, mais ils continuent obstinément à faire un amalgame avec l’ancienne classification "sucres-lent / sucres rapides".
Pour eux, la notion d’index glycémique ne sert qu’à mesurer la vitesse d’absorption d’un glucide. Dans cette optique, la totalité du contenu glucidique de l’aliment serait toujours transformé en glucose, mais plus l’index glucidique est bas, plus l’absorption intestinale serait lente, entraînant ainsi une glycémie plus faible mais d’une durée plus longue dans le temps. L’index glycémique ne servirait donc pour eux qu’à mesurer l’étalement dans le temps de l’absorption intestinale du glucose.

Or, cette conception est totalement erronée car elle ne correspond à aucune réalité physiologique.
Au contraire, toutes les expérimentations sur les index glycémiques, et en particulier celles de Jenkins, montrent bien qu’un index glycémique bas révèle bien qu’une moindre quantité de glucose a été absorbée et non pas un plus long étalement dans le temps d’une même quantité.

Cette conception erronée de la notion d’index glycémique est malheureusement largement partagée par la communauté scientifique qui la diffuse maladroitement tout azimut .
Dans son livre « La diététique du cerveau » publié en avril 2003 chez Odile Jacob, le Pr. Jean-Marie Bourre, qui est membre de l’Académie de Médecine Française, dit clairement que l’index glycémique mesure la vitesse d’absorption du glucose, ce qui est totalement faux.

En conclusion, on peut donc déplorer une méconnaissance du corps médical du phénomène de l’index glycémique mais surtout de son importance par rapport à la sécrétion d’insuline qui reste le facteur déterminant dans la prise de poids et la constitution du diabète.

Je ne sais plus quoi penser a propos de l'IG.
Apparament rien à voir avec la vitesse d'assimilation mais simplement le taux de glucides que l'on arrive a assimilés le reste étant évacué dans les selles...
 
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;)
Tu en penses quoi ? Toi qui est callé en diet :D
Les glucides seraient tous assimilé à la même vitesse (30min) mais les quantité assimilé "réellement" changeraient selon l'IG.. et donc les calories des aliments ne voudrait plus dire grand chose si on ne prend pas en compte se facteur qui est la charge glycémique.

400kcal pour un IG à 50 seraient en réalité 200kcal bio-disponible le reste n'étant pas assimilé. Donc d'un glucide à un autre il faudrait augmenter ou diminuer les calories selon l'IG pour avoir le nombre de calorie "réel" voulu o_O

Exemple :
Prendre 20g de malto en post training avec un IG de 100 ou prendre 40g de riz basmati avec un IG de 50 reviendrai strictement au même les glucides etant assimilé à la meme vitesse (à 5min prés)
 

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