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Pour des intermédiaires/avancés hein lol.
Les débutants peuvent rester à 3-0 RIR.
Mais tu sais que les débutants commencent avec un - 3 RIR lol sur tous les exercices et toutes les séances. Et pour les plus DTR avec stéroïdes dès la première semaine.
 
Dernière édition:
Dans la recherche, un RIR inférieur à 3 est sous optimal pour la croissance. Donc un RPE avec comme minimum 6 ou 7, pour moi ça n'est pas une série "dure".
Pour ma part, je ne considère les séries effectives de travail qu’à partir de RPE 8.
Le RPE 10 (voire 11-12, donc au-delà de l’échec avec du rest pause ou une autre technique), souvent je ne le fais que sur une série sur les mouvements composés, car après je suis HS et à moins d’avoir des temps de repos très conséquent, c’est compliqué d’avoir la même intensité derrière.
Sur les mouvements d’isolation, j’ai une approche un peu différente par contre.

Les facultés de récupération sont également différentes d’un individu à l’autre (si j’omet ici la chimie en plus), et pour ma part, je préfère limiter à 3 séries par exercice pour être sûr de me donner à fond :)
 
Quand on voit des fois les programmes des mecs, on peut douter de l'intensité qu'ils y mettent...

Ou alors ce sont tous des "golden genetics" de la récupération lol.
Je penche plutôt pour la première hypothèse...
 
Quand on voit des fois les programmes des mecs, on peut douter de l'intensité qu'ils y mettent...

Ou alors ce sont tous des "golden genetics" de la récupération lol.
Je penche plutôt pour la première hypothèse...

Non mais, ils se crament vite, et cherchent même pas d’où ça vient et passent aux produits. Ou si ils sont déjà chargés, ils augmentent les doses.
 
Effectivement, quand je vois des séances jambes avec 35-40 séries, je me demande si les gars mettent des poids sur les barres/machines…

Généralement très peu de poids, ou une amplitude à la ramasse.

Jai tourné avec des gars a la presse, ils pouvaient rajouter aisément 40/60 kilos sur la presse mais ils restent sur du confort.
 
**Qu’est-ce qui dure quand la condition s’estompe ?**

J’ai grandi à l’ère de l’hypermasculinité.

Stallone. Van Damme. Arnold.

Ajoutez à cela l’agressivité du nu-metal des années 2000, et vous commencez à comprendre comment l’identité — du moins pour les jeunes hommes — s’est construite autour de ce qu’on pouvait montrer. La force. Le muscle. La dureté. L’endurance sans émotion.

Et d’une certaine manière, c’est ce qui m’a conduit au bodybuilding.

Pendant des années, mon identité était liée à mon apparence. À ce que je réalisais. À ce que je pouvais endurer.

Mais voici une vérité que j’ai dû apprendre :

Ce genre d’identité n’est pas durable.

Que se passe-t-il quand tes centres d’intérêt changent ?
Quand ton physique évolue ?
Quand tes objectifs se transforment ?

Si tu n’es défini que par ce que tu fais, tu finiras par te perdre.

Alors j’ai commencé à redéfinir ce que signifie l’identité.

Aujourd’hui, je ne me vois plus seulement comme un athlète.
Je me vois comme un homme de valeurs — et c’est ce qui me garde les pieds sur terre.

- Traiter les gens avec respect.
- Montrer l’exemple.
- Être constant, même quand c’est contraignant.
- Être quelqu’un sur qui les autres peuvent compter.
- Élever les autres au lieu de les rabaisser.

Ces choses-là ne dépendent ni de ma masse musculaire, ni de ce que je soulève, ni de ce que je publie.
Ce sont des principes qui tiennent, même quand tout le reste s’effondre.

C’est pour cela que le mentorat est si important.

Dans le bodybuilding, le business ou la vie — il ne s’agit pas seulement de connaissances.
Il s’agit d’être entouré d’hommes qui incarnent ce que tu veux devenir.

Quand j’étais plus jeune, j’aurais aimé que quelqu’un m’encourage davantage à chercher ces personnes-là :

Des mentors qui ne se contentaient pas d’avoir des titres ou des trophées, mais qui avaient une véritable intégrité.

Aujourd’hui, c’est ce que nous avons intégré à J3U.

Pas seulement un programme — mais une culture.

Oui, nous enseignons l’amélioration physique.
Mais nous montrons surtout comment le faire avec des valeurs — en tant qu’athlètes, coachs, et hommes qui dirigent avec un but.

Tu peux toujours t’identifier comme un athlète.
Mais ne laisse pas tes performances te définir.
Laisse ton caractère te guider.

C’est cette identité qui perdure.

John Jewett, MS, RD founder, J3U.
 
En somme devenir la meilleure version de soi-même (physique et caractère)..
Quel homme ce John Jewett :cool:

ps : perso je n'ai plus mal au bas du dos (vertebres lombaires) depuis que je fais du gainage tous les jours, depuis qcq semaines :cool:
 
J'ai le même problème et quand je bosse encore la nuit, je traîne un peu en rentrant chez moi.

Par contre depuis que je training entre midi et deux, j'ai quand même plus mes soirées on va dire.
Et je me mets moins la pression pour finir plus tôt le soir.

Le deuxième effet kiss cool, c'est que j'en profite pour bosser plus longtemps et au final je termine plus tard mes journées :D

Mais au moins le training a été fait et avec moins de fatigue qu'après une journée de taf !
Et quand je suis en off training, je tape une sieste entre midi et deux, ça compense un peu.
 
J'ai le même problème et quand je bosse encore la nuit, je traîne un peu en rentrant chez moi.

Par contre depuis que je training entre midi et deux, j'ai quand même plus mes soirées on va dire.
Et je me mets moins la pression pour finir plus tôt le soir.

Le deuxième effet kiss cool, c'est que j'en profite pour bosser plus longtemps et au final je termine plus tard mes journées :D

Mais au moins le training a été fait et avec moins de fatigue qu'après une journée de taf !
Et quand je suis en off training, je tape une sieste entre midi et deux, ça compense un peu.

C’est le piège hein : tu t’entraînes entre midi et deux, t’es content, t’as ta séance de calée, t’es moins cramé qu’en fin de journée… mais derrière tu te remets à bosser tranquillou… et bim, tu finis plus tard que prévu sans t’en rendre compte

Et les jours off avec la sieste… propre. Faut que j’arrive à faire pareil sans tomber dans le coma de 2h haha.
 
C’est le piège hein : tu t’entraînes entre midi et deux, t’es content, t’as ta séance de calée, t’es moins cramé qu’en fin de journée… mais derrière tu te remets à bosser tranquillou… et bim, tu finis plus tard que prévu sans t’en rendre compte

Et les jours off avec la sieste… propre. Faut que j’arrive à faire pareil sans tomber dans le coma de 2h haha.
C'est un cercle vicieux voilà, je me sens plus "frais" pour une bonne séance.

J'ai beaucoup de manutention selon certaines périodes, donc fin de journée, c'est des fois difficile de remettre un coup quand tu as le dos en compote.

Maintenant, je mets les opérations de manut les aprèm, comme ça no stress pour la séance du midi.

Et pour la sieste, je fais 1hr et ça le fait pour moi.
 
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