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Perso je m'en tape, ça n'est pas lui qui va m'inquiéter si demain je décide de faire du coaching.
Je suppose qu'il y a de la place pour TLM dans ce milieu "border line", où "on" valide des coaching avec des produits interdits et dangereux.. Par contre je pense que c'est important aussi, même si on a un très bon niveau de garder un peu d'humilité. :oops:
 
Je veux dire avec toutes ces années de pratiques et les conseilles qu on a donner ici et là meme sans parler de la chimie certains se font pleins d argent avec
Rien ne t'empêche d'écrire une petite phrase en bas ("signature") du style "Besoin de coaching ? passez en mp". Tu ne seras pas le premier ni le dernier à arrondir les fin de mois comme ça.
 
Je veux dire avec toutes ces années de pratiques et les conseilles qu on a donner ici et là meme sans parler de la chimie certains se font pleins d argent avec

En même temps une partie des conseils sont des cadeaux empoisonnés, qui va se refléter sur le coaching si la personne se mettait à coacher.
 
Je suppose qu'il y a de la place pour TLM dans ce milieu "border line", où "on" valide des coaching avec des produits interdits et dangereux.. Par contre je pense que c'est important aussi, même si on a un très bon niveau de garder un peu d'humilité. :oops:
C’est important aussi de ne pas être sans cesse péjoratif, envers les pratiquants de body.
 
j'essaie d'être sincère, mais comme tu n'es pas le 1er à me faire ce reproche, je vais en tenir compte, promis :cool:
Pour t'expliquer mon commentaire à propos d'Essan, c'est plus une question de moyens en terme de montage vidéo, qu'une question de compétences sur le reste.
Il est bon en com et c'est assez vendeur pour des débutants.

D'ailleurs il a plagiat le fait de dessiner sur les muscles, au fameux Jeff Cavaliere (Athlean-X), qui était dans le game longtemps avant lui (2006).
 
Pour t'expliquer mon commentaire à propos d'Essan, c'est plus une question de moyens en terme de montage vidéo, qu'une question de compétences sur le reste.
Il est bon en com et c'est assez vendeur pour des débutants.

D'ailleurs il a plagiat le fait de dessiner sur les muscles, au fameux Jeff Cavaliere (Athlean-X), qui était dans le game longtemps avant lui (2006).
Le charisme ca fait enormement
 
Le pire c’est je crois c’est qu’il y’a un points toutes les 2 semaines.

Je vous en dirais plus se soir lol
 


1. Introduction

John Jewett et Luke Miller présentent le sujet : la pertinence des deloads ("semaine de récupération") dans l'entraînement, en particulier pour l'hypertrophie musculaire.

2. Le contexte de l’étude scientifique principale (Coleman et al., 2023)

Étude récente : 50 sujets entraînés, hommes et femmes, comparant deux groupes sur 9 semaines.

- Groupe 1 : 4 semaines d'entraînement, 1 semaine de deload complet (zéro entraînement), puis 4 semaines d'entraînement.
- Groupe 2 : 9 semaines continues sans deload.

Objectifs évalués : hypertrophie (épaississement du quadriceps et mollet), force (isométrique/dynamique), perception de la fatigue, readiness (préparation subjective), niveau de courbatures.

Points méthodologiques : entraînements supervisés, à l’échec, sur 2 séances jambes + 2 jours haut du corps par semaine, avec un volume conséquent pour garantir un réel stress.

3. Résultats clés de l’étude

- Aucune différence significative d’hypertrophie entre les groupes après 9 semaines.
- Le groupe Deload a eu :
• Plus de courbatures après la reprise
• Moins d’énergie
• Des gains de force moindres

Conclusion : la semaine de "détraining" n’apporte pas de bénéfice mesurable en hypertrophie, productivité ou récupération, et semble même contre-productive à court terme.
Limites : méthode de deload (coupure totale, non réduction du volume), durée limitée de l’étude, pas de suivi long terme.
En pratique : un retour brutal après une coupure entraîne fatigue, raideur et retarde le retour au niveau antérieur.

4. Philosophie de la gestion des deloads selon les intervenants

- Historiquement, pratique du deload issue du powerlifting, peu du bodybuilding.
- Beaucoup d’idées reçues : le deload serait forcément bénéfique sur la croissance musculaire. L’évidence scientifique reste maigre.
- Plutôt que programmer des deloads fixes (toutes les 6–8 semaines), il vaut mieux :
• Individualiser selon fatigue réelle, mental, style de vie, etc.
• Prioriser le réactif plutôt que le "préventif systématique".

Les meilleurs athlètes s’entraînent souvent longtemps sans deload, et s’ajustent avec leurs propres feedbacks.

5. Utilisation pratique des deloads (exemples, conseils, nuances)

Quand le deload est utile
:
- Fatigue extrême persistante
- Motivation en berne
- Douleurs articulaires
- Stagnation / blessure mentale
- Ralentissement de la perte de masse grasse en sèche

Constat : le besoin de deload vient souvent d’un manque de sommeil, stress externe, vie pro, etc.
La vraie solution : ajuster volume/intensité/fréquence avant de couper totalement.

Exemples pratiques :
- Baisser la fréquence des séances plutôt que tout couper
- Réduire volume ou intensité
- Reprise progressive après coupure (évite courbatures et perte de perfs)
- Chez certains athlètes avancés : espacer le deload à 12–16 semaines ou plus si récupération/nutrition/stress sont optimisés.

6. Argumentation contre les deloads systématiques

- Aucune preuve de "super-compensation" magique après un deload
- Deloads systématiques = perte de temps d’entraînement productif
- Importance d’écouter les signaux du corps plutôt que suivre un tableau rigide

7. Recommandations finales

Le deload reste utile pour :
- Gestion mentale
- Prévention des blessures
- Gestion d’un quotidien trop stressant
- Relancer une perte de poids ou motivation

Clé : toujours préférer ajuster l’entraînement à la récupération du moment.
Le deload est un "check engine" : un signal qu’autre chose est à corriger dans l’organisation de vie/entraînement.

8. Conclusion

Les meilleurs résultats viennent d’un équilibre individualisé, d’ajustements fréquents, d’écoute active et d’une gestion du lifestyle globale.
La recherche avance, mais l’expérience terrain reste primordiale pour guider et ajuster la prescription des deloads dans la vraie vie.
 
1. Introduction

John Jewett et Luke Miller présentent le sujet : la pertinence des deloads ("semaine de récupération") dans l'entraînement, en particulier pour l'hypertrophie musculaire.

2. Le contexte de l’étude scientifique principale (Coleman et al., 2023)

Étude récente : 50 sujets entraînés, hommes et femmes, comparant deux groupes sur 9 semaines.

- Groupe 1 : 4 semaines d'entraînement, 1 semaine de deload complet (zéro entraînement), puis 4 semaines d'entraînement.
- Groupe 2 : 9 semaines continues sans deload.

Objectifs évalués : hypertrophie (épaississement du quadriceps et mollet), force (isométrique/dynamique), perception de la fatigue, readiness (préparation subjective), niveau de courbatures.

Points méthodologiques : entraînements supervisés, à l’échec, sur 2 séances jambes + 2 jours haut du corps par semaine, avec un volume conséquent pour garantir un réel stress.

3. Résultats clés de l’étude

- Aucune différence significative d’hypertrophie entre les groupes après 9 semaines.
- Le groupe Deload a eu :
• Plus de courbatures après la reprise
• Moins d’énergie
• Des gains de force moindres

Conclusion : la semaine de "détraining" n’apporte pas de bénéfice mesurable en hypertrophie, productivité ou récupération, et semble même contre-productive à court terme.
Limites : méthode de deload (coupure totale, non réduction du volume), durée limitée de l’étude, pas de suivi long terme.
En pratique : un retour brutal après une coupure entraîne fatigue, raideur et retarde le retour au niveau antérieur.

4. Philosophie de la gestion des deloads selon les intervenants

- Historiquement, pratique du deload issue du powerlifting, peu du bodybuilding.
- Beaucoup d’idées reçues : le deload serait forcément bénéfique sur la croissance musculaire. L’évidence scientifique reste maigre.
- Plutôt que programmer des deloads fixes (toutes les 6–8 semaines), il vaut mieux :
• Individualiser selon fatigue réelle, mental, style de vie, etc.
• Prioriser le réactif plutôt que le "préventif systématique".

Les meilleurs athlètes s’entraînent souvent longtemps sans deload, et s’ajustent avec leurs propres feedbacks.

5. Utilisation pratique des deloads (exemples, conseils, nuances)

Quand le deload est utile
:
- Fatigue extrême persistante
- Motivation en berne
- Douleurs articulaires
- Stagnation / blessure mentale
- Ralentissement de la perte de masse grasse en sèche

Constat : le besoin de deload vient souvent d’un manque de sommeil, stress externe, vie pro, etc.
La vraie solution : ajuster volume/intensité/fréquence avant de couper totalement.

Exemples pratiques :
- Baisser la fréquence des séances plutôt que tout couper
- Réduire volume ou intensité
- Reprise progressive après coupure (évite courbatures et perte de perfs)
- Chez certains athlètes avancés : espacer le deload à 12–16 semaines ou plus si récupération/nutrition/stress sont optimisés.

6. Argumentation contre les deloads systématiques

- Aucune preuve de "super-compensation" magique après un deload
- Deloads systématiques = perte de temps d’entraînement productif
- Importance d’écouter les signaux du corps plutôt que suivre un tableau rigide

7. Recommandations finales

Le deload reste utile pour :
- Gestion mentale
- Prévention des blessures
- Gestion d’un quotidien trop stressant
- Relancer une perte de poids ou motivation

Clé : toujours préférer ajuster l’entraînement à la récupération du moment.
Le deload est un "check engine" : un signal qu’autre chose est à corriger dans l’organisation de vie/entraînement.

8. Conclusion

Les meilleurs résultats viennent d’un équilibre individualisé, d’ajustements fréquents, d’écoute active et d’une gestion du lifestyle globale.
La recherche avance, mais l’expérience terrain reste primordiale pour guider et ajuster la prescription des deloads dans la vraie vie.
Je n'avais pas encore regardé la vidéo, donc merci pour le résumé ;)

Par contre il recommande les deload, mais pas avec un arrêt total systématique, sauf si vraiment c'est nécessaire.

À long terme :

- Blocs de volume périodisés
- Décharges
- Repos actifs

À court terme :

- Sessions à faible volume auto-régulées
- Charge/répétitions auto-régulées, choix d'exercice
- Décharges auto-régulées

Alors je t'avoues que je ne le faisais jamais avant, mais avec l'âge je me suis dit que ça ne pouvait que me faire du bien, donc j'applique ça à la lettre maintenant.
 
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