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Empiler les oraux dans les dernières semaines, ce n’est pas une stratégie… c’est une réaction.

Je le vois chaque année : les compétiteurs réalisent qu’ils sont à la traîne… alors ils balancent tout ce qu’ils peuvent trouver.

Anavar pour la force.
Winstrol pour “affiner la peau”.
Proviron pour durcir l’apparence.

Mais voici la vérité : si ta perte de graisse, ton entraînement et ta récupération n’étaient pas maîtrisés il y a déjà plusieurs semaines, aucune combinaison de produits de dernière minute ne pourra corriger ça.

Les PED (produits dopants) sont bien plus efficaces quand ils sont planifiés, pas utilisés dans la panique.

Chez J3U, on apprend aux athlètes à réfléchir à leur stratégie en matière de substances avec logique, pas avec émotion. Quand ajouter, quand retirer, et comment faire en sorte que chaque décision compte.
 
« N'aggravez pas le problème avec un refeed »

On est tous passés par là.



Le client a l’air plus "flasque".
Le sommeil est perturbé.
Le poids sur la balance est en hausse.


Et la première pensée qui vient ?
« Il a peut-être besoin d’un refeed. »


Mais voici la réalité :


Toute fatigue n’est pas liée au glycogène.
Parfois, ce n’est pas une question de nourriture.
C’est une question de charge d’entraînement.


C’est une erreur que j’ai vue chez beaucoup de coachs —
et que j’ai moi-même déjà faite.


On réagit à une baisse visuelle ou un ralentissement de la perte de graisse
en ajoutant des glucides…


Mais ce dont l’athlète avait réellement besoin,
c’était d’une pause.




Voici comment j’analyse la situation aujourd’hui :​


Étape 1 : Évaluer les performances, l’apparence et la récupération​


  • Est-ce que les charges sont maintenues sur l’ensemble des exercices ?
  • Est-ce que le client n’est pas “plat” ?
  • Est-ce que certaines zones du corps retiennent de l’eau à cause de l’inflammation due à l’entraînement ?
  • La digestion est-elle ralentie ? Le sommeil perturbé ?
  • La motivation à s’entraîner est-elle en baisse ? L’énergie quotidienne est-elle faible ?

Si c’est le cas — ce n’est pas seulement un manque de glycogène.
C’est de la fatigue systémique.




Étape 2 : Analyser la charge d’entraînement, pas seulement les macros​


La plupart des compétiteurs accumulent des pas, du cardio et un volume d’entraînement élevé en fin de préparation.


Cette charge s’accumule — et finit par dépasser la capacité de récupération.


Ajouter de la nourriture sans réduire la charge ?
Cela aggrave l’apparence et fait perdre des jours de perte de gras.




Étape 3 : Comprendre le type de fatigue auquel vous avez affaire​


  • La fatigue locale (glycogène) nécessite du carburant.
    C’est le cas quand les séances faiblissent sur la fin, et que l’athlète est très "plat".
  • La fatigue systémique (système nerveux, charge de stress) nécessite du repos.
    Faire la différence change tout.

Et si c’est systémique ?




La solution, c’est une journée de “décharge”


  • Pas de cardio
  • Réduction du volume d’entraînement ou repos complet
  • Maintien des apports alimentaires
  • Accent sur la récupération parasympathique

Cela peut aller de 1 à 3 jours consécutifs de repos.


Bien appliqué, j’ai vu des clients se raffermir, retrouver de l’énergie, et perdre du poids en 24 à 48 hsans refeed.




C’est ce type de décision stratégique qu’on enseigne chez J3U.


Parce que le coaching, ce n’est pas réagir.
C’est diagnostiquer.


Et parfois, la meilleure décision
ce n’est pas d’ajouter de la nourriture —
c’est de freiner.

John Jewett MS RD
 
Dernière édition:
« N'aggravez pas le problème avec un refeed »

On est tous passés par là.



Le client a l’air plus "flasque".
Le sommeil est perturbé.
Le poids sur la balance est en hausse.


Et la première pensée qui vient ?
« Il a peut-être besoin d’un refeed. »


Mais voici la réalité :


Toute fatigue n’est pas liée au glycogène.
Parfois, ce n’est pas une question de nourriture.
C’est une question de charge d’entraînement.


C’est une erreur que j’ai vue chez beaucoup de coachs —
et que j’ai moi-même déjà faite.


On réagit à une baisse visuelle ou un ralentissement de la perte de graisse
en ajoutant des glucides…


Mais ce dont l’athlète avait réellement besoin,
c’était d’une pause.




Voici comment j’analyse la situation aujourd’hui :​


Étape 1 : Évaluer les performances, l’apparence et la récupération​


  • Est-ce que les charges sont maintenues sur l’ensemble des exercices ?
  • Est-ce que le client n’est pas “plat” ?
  • Est-ce que certaines zones du corps retiennent de l’eau à cause de l’inflammation due à l’entraînement ?
  • La digestion est-elle ralentie ? Le sommeil perturbé ?
  • La motivation à s’entraîner est-elle en baisse ? L’énergie quotidienne est-elle faible ?

Si c’est le cas — ce n’est pas seulement un manque de glycogène.
C’est de la fatigue systémique.




Étape 2 : Analyser la charge d’entraînement, pas seulement les macros​


La plupart des compétiteurs accumulent des pas, du cardio et un volume d’entraînement élevé en fin de préparation.


Cette charge s’accumule — et finit par dépasser la capacité de récupération.


Ajouter de la nourriture sans réduire la charge ?
Cela aggrave l’apparence et fait perdre des jours de perte de gras.




Étape 3 : Comprendre le type de fatigue auquel vous avez affaire​


  • La fatigue locale (glycogène) nécessite du carburant.
    C’est le cas quand les séances faiblissent sur la fin, et que l’athlète est très "plat".
  • La fatigue systémique (système nerveux, charge de stress) nécessite du repos.
    Faire la différence change tout.

Et si c’est systémique ?




La solution, c’est une journée de “décharge”


  • Pas de cardio
  • Réduction du volume d’entraînement ou repos complet
  • Maintien des apports alimentaires
  • Accent sur la récupération parasympathique

Cela peut aller de 1 à 3 jours consécutifs de repos.


Bien appliqué, j’ai vu des clients se raffermir, retrouver de l’énergie, et perdre du poids en 24 à 48 hsans refeed.




C’est ce type de décision stratégique qu’on enseigne chez J3U.


Parce que le coaching, ce n’est pas réagir.
C’est diagnostiquer.


Et parfois, la meilleure décision
ce n’est pas d’ajouter de la nourriture —
c’est de freiner.

John Jewett MS RD
Un post qui tombe à pic :)
 
j'sais pas toi, mais perso, je préfère les originaux à tous les remake (mac giver, magnum, les mysterieuses cités d'or etc).. sans doute la nostalgie d'une epoque et le charme de l'ancien (musique, rythme etc).

Et le choix des acteurs aussi et toujours et la
mode de pensée unique dans les productions récentes.

J’ai regardé le nouveau superman, je l’ai pas aimé dutout autant sur le choix des acteurs, le scénario, etc..

J’ai vu des bandes annonces des 4 fantastiques et la guerre des roses, de ce que j’ai vu ça v pas me plaire.
 
Je crois que c'était aux alentours des 1200 $ pour le niveau 1 et ça varie si il fait une promo.
Après, c'est vraiment axé coaching, donc pour former des futurs coach.
Ah ouais ça tabasse bien, après faut voir le contenu, mais je comprends mieux comment s’est financé la viper
 
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