Le point.fr diffèrents articles qui concernent les stero.

Mdr il va ramasser malheureusement pour lui ^^ on connait sa marque de roro? Enfin ses marque apparement. Comme quoi faire plusieurs nom de labs juste pour tromper le client c'est monnaie courante ;)
 
Pour le moment deux d’entre eux sont encore dehors car je l’ai croise parfois...
 
C'est toujours la même chose, on survole, on se focalise sur un cas ou deux et rien n'est abouti. Dommage!
 
Il y a peut-être un meso qui a l'abonnement
Qui peut nous le mettre en screenshot
Dopage : les autorités face à une nouvelle « criminalité organisée »
Pour les gendarmes de l'Oclaesp, les réseaux qui trafiquent des anabolisants utilisent les mêmes méthodes que les barons de la drogue. Enquête.
PAR MARC LEPLONGEON
Modifié le 01/12/2017 à 12:19 - Publié le 01/12/2017 à 11:22 | Le Point.fr

L'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp) réclame des techniques d'enquêtes spéciales pour lutter contre les trafiquants de produits dopants. © PATRICK KOVARIK / AFP/ PATRICK KOVARIK
L'affaire n'a pas été ébruitée. Il y a quelques mois, c'est pourtant une antenne du GIGN – les gros bras de la gendarmerie – qui avait été envoyée pour procéder à l'arrestation. L'homme qui attire ainsi les foudres des autorités est un gros poisson : il gérait, depuis la France, des laboratoires de conditionnement de produits dopants implantés en Europe de l'Est. Les produits, achetés 6 euros l'unité en Chine, étaient revendus près de 45 euros sur Internet.

Un business très lucratif : selon une source proche du dossier, l'homme roulait en MacLaren et transférait ses importants revenus vers des comptes en banque situés dans des paradis fiscaux. Des armes ont été retrouvées à son domicile. Confiée aux gendarmes de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp), cette enquête pour trafic d'anabolisants, en cours d'instruction, est une des plus grosses jamais ouvertes en France.

Des saisies de plus en plus spectaculaires

Depuis trente ans, les saisies d'anabolisants sont de plus en plus spectaculaires. En 1989, André Pépin, un soudeur canadien de 41 ans, est le premier citoyen québécois à être condamné pour vente de stéroïdes. « Le réseau qu'il dirigeait approvisionnait une cinquantaine de centres au Québec. Il offrait une gamme de produits allant des hormones de croissance humaine aux engrais vétérinaires, en passant par les diurétiques et la nitroglycérine », relève le quotidien La Presse. En 1992, un autre scandale éclate en France. « 23 médecins et dix pharmaciens impliqués dans un trafic d'anabolisants », titre Le Monde.

À la tête du réseau basé en Lorraine : un infirmier de 120 kilos de muscles, qui se procurait sa marchandise auprès de ses collègues médecins et pharmaciens un peu trop crédules. La fin des années 90 connaît également son lot d'affaires. À l'époque, les douanes saisissent des dizaines de milliers de gélules et ampoules injectables. En juillet 2002, les autorités belges mettent la main sur une demi-tonne de stéroïdes anabolisants, soit un stock d'une valeur de 137,5 millions d'euros sur le marché noir. Un record en Europe occidentale !

Laboratoires clandestins et substances bizarroïdes
« Lors d'un séminaire Interpol, en mai 2017, des policiers américains ont fait forte impression en diffusant des photos qu'ils avaient prises de laboratoires clandestins d'Europe de l'Est, aux conditions d'hygiène déplorables », s'alarme une source au sein de la gendarmerie française. Cette dernière ajoute : « Nous-mêmes avons pu constater, après avoir analysé des substances perquisitionnées chez des culturistes, que certains s'injectent des produits composés de solutions huileuses à base d'huile de pépin de chez Lidl ! »

Les sportifs amateurs qui veulent prendre du muscle consomment tout et n'importe quoi. Au tribunal correctionnel de Paris, fin novembre 2017, Karim M., un bodybuilder très connu surnommé « Big M », a dressé la liste impressionnante des substances utilisées par lui et ses amis. Le produit phare ? La boldenone, un anabolisant à usage vétérinaire que l'on trouve sous le nom d'equipoise, et qui est normalement… un « produit pour les chevaux », a-t-il concédé.

Des référents antidopage dans les fédérations sportives
Le phénomène a pris une telle importance que les enquêteurs réclament désormais des techniques spéciales d'enquête (captation des données informatiques, géolocalisation en temps réel, sonorisation des lieux, etc.) pour faire face à cette nouvelle « criminalité organisée ». Cela nécessite une évolution législative. Parmi les réformes envisagées, la pénalisation de la consommation de produits dopants. Le gouvernement réfléchit également à mettre au point une plateforme de déclaration des ordonnances volées que pourraient renseigner les professionnels de santé. Une autre piste consisterait, sur le modèle danois, à créer un label pour les salles de sport respectueuses des bonnes pratiques : des campagnes de prévention seraient placardées partout et les coachs sportifs qui y travaillent pourraient être contrôlés à n'importe quel moment.

Enfin, certains militent pour installer des référents antidopage dans chaque fédération sportive. Des gens qui connaîtraient aussi bien les sportifs que les directeurs techniques, les représentants du ministère des Sports et les enquêteurs. « On a besoin de quelqu'un qui puisse nous faire remonter des informations, sourit un gendarme. Quelqu'un qui puisse nous dire : celui-là, il courait comme une chèvre. Depuis quelque temps, il pète tous les chronos. »

Repenser les actions de prévention
Patrick Trabal, sociologue à l'université Paris-Nanterre et spécialiste du dopage, estime qu'il faut repenser les actions de prévention. « On ne peut pas rester avec notre éternelle affichette. Il faut faire un effort pour pénétrer dans les milieux concernés, sur Internet, notamment, insiste-t-il. Les préventologues devraient être sur Facebook, sur les forums. Distribuer des pin's et des tee-shirts, ça peut parfois paraître un peu décalé par rapport à la situation. C'était le début de l'une de nos recherches : évaluer les outils de prévention. Que dire à un ado de 16 ans qui prend de la « whey » et qui veut prendre quelque chose d'un peu plus sérieux ? Que ce n'est pas bon pour la santé ? Que c'est grave ? Que ce n'est pas éthique ? »

Et le chercheur de poursuivre : « Qu'est-ce que l'on fait ? Qu'est-ce que l'on dit ? Qu'est-ce qui est raisonnable ? La charge symbolique autour du dopage est trop forte. C'est forcément mal. Mais on n'essaie pas de comprendre vraiment ce qui a pu se passer. » Certains athlètes testent un produit pour se remettre plus vite d'une blessure ou suivre tout simplement la cadence infernale imposée par l'économie du sport et les fédérations.

« Les règlementations antidopage n'ont jamais été faites en discussion avec les sportifs, s'étonne Patrick Trabal. Cela donne des comportements idiots comme sur la route : un conducteur tiendra difficilement un 90 kilomètres/heure si c'est tout droit et qu'il n'y a personne. Il ralentira juste quand il sait qu'il y a un radar et fera des appels de phare aux autres conducteurs s'il y a un contrôle routier. C'est un jeu totalement stérile. Aujourd'hui, on devrait chercher d'autres leviers que la peur de la sanction ou des slogans sur l'éthique. »
 
Je veux bien comprendre que dans les compétitions à haut niveau il faut qu'il y ai des contrôles, pour une question d'éthique, pour une question d'égalité, bien que ça ne sert à rien vu qu'ils se dopent tous.

Mais qu'ils cherchent absolument à pouvoir sanctionner les consommateurs amateurs je trouve ça abusé.

Chacun est libre de faire ce qu'il veut de sa santé.

Qu'ils commencent par faire le ménage dans le sport international avant de vouloir venir taper sur le pauvre petit consommateur, qui fait ça pour lui et qui n'a strictement rien à y gagner.

Quand on voit ce que sont capables de faire les nations pour remporter le max de medailles aux JO, mettre en place des protocoles de dopages imposés par l'état, faire intervenir leur service secret afin de remplacer les prélèvement effectués sur les sportif dopés, pour qu'aux test ils soient clean.

Et après on va venir te casser les couilles par ce que tu achètes quelques vials pour toi, pour ta satisfaction personnelle.

Quelle vaste plaisanterie.o_O
 
Je veux bien comprendre que dans les compétitions à haut niveau il faut qu'il y ai des contrôles, pour une question d'éthique, pour une question d'égalité, bien que ça ne sert à rien vu qu'ils se dopent tous.

Mais qu'ils cherchent absolument à pouvoir sanctionner les consommateurs amateurs je trouve ça abusé.

Chacun est libre de faire ce qu'il veut de sa santé.

Qu'ils commencent par faire le ménage dans le sport international avant de vouloir venir taper sur le pauvre petit consommateur, qui fait ça pour lui et qui n'a strictement rien à y gagner.

Quand on voit ce que sont capables de faire les nations pour remporter le max de medailles aux JO, mettre en place des protocoles de dopages imposés par l'état, faire intervenir leur service secret afin de remplacer les prélèvement effectués sur les sportif dopés, pour qu'aux test ils soient clean.

Et après on va venir te casser les couilles par ce que tu achètes quelques vials pour toi, pour ta satisfaction personnelle.

Quelle vaste plaisanterie.o_O
Ben le truc c'est que vu qu'il y a des ES sur la santé (notamment au niveau cardio-vasculaire) et que la sécu paie pour ce genre de maladies, la démarche peut se comprendre... mais dans ce cas il faudrait aller au bout des choses dans un soucis de cohérence idéologique : alcool et tabac prohibés... ou arrêter de rembourser certaines pathologies liées à une consommation de produits sur une certaine liste et soumette ça à une décision d'experts.
Bref, tout ça pour dire que c'est une question épineuse...

Après je suis 100% d'accord dans le fond. Sur la question du dopage, il y a une hypocrisie phénoménale !
 
Grave mais pas que.

Tu parle de possibilité de maladie cardiovasculaire, donc du coup sa justifierai, entre autre, cette chasse à la sorcière.
Effectivement tu site le tabac et l'alcool qui peuvent avoir la même incidence mais qui eux sont tolérés, pourquoi?
Car l'état y touche sa part, comme le chantait un groupe que j'aimais bien quand j'étais plus jeune, "matmatah"

"L'alcool et le tabac ont le droit de tuer
Car aux comptes de l'état apportent leurs deniers
Messieurs dames mourrez donc d'alcool et de fumée
La patente est payée , la mort autorisée"

Facile de venir faire la chasse aux stero pour le politiquement correct, quand on voit le nombre de mort causé par le tabac et l'alcool chaque année, en comparaison les stero serait un petit rhume face à un cancer.

Quelle blague, juste une supercherie de plus.
 

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