LordGeorges
Member
Le mythe des morphotypes :
Une vision que je voulais partager avec vous, c’est un sujet qui pourrait nécessiter plus de développement et d’argumentation ultérieur bien sûr
Enfin afin de prévenir tous commentaires toxiques sachez que ça ne me plait pas d’avoir le mauvais rôle de l’ingrat mais je dois bien le jouer malgré moi puisque vous me provoquez suffisamment pour cela.
La vérité ça me fait chier de devoir se critiquer pendant les vacances alors que j’ai presque tout appris de vous. Et je ne suis pas ingrat car :
Rare sont les forums qui peuvent transformer votre vie et vous donnez envie de dépasser vos limites ou de combler un vide ou un parcours de vie qui ne vous convient tout simplement pas.
Donc déjà un grand merci pour vos coups de gueules, vos délires, vos témoignages si importants pour la communauté et la personnalité de chacun qui trahissent aussi, selon les parcours vécu, nos faiblesses mais aussi d’où viennent nos forces, et c’est ce côté humain qui est si important pour le forum et qui nous oblige toujours à accepter nos conditions de simples mortels sur terre car notre sport nous force à découvrir les limites physiques et mentale de notre corps.
Pour tous ça et plein d’autres raisons je voulais vous dire merci à tous, voilà.
Ensuite sans transition voilà enfin le sujet écrit en 1 heure et sans prétentions autres que d’apporter ma modique vue du plus beau sport du monde.
Il n’y a pas morphotype :
C’est un concept néanmoins vrai à l’instant T il existe bien un morphotype au sens où il existe une morphologie distincte et immédiate selon les groupes d’individus qu’on peut classer en 3 critères déterminés par des ratios ( mince, grand, dépense énergétique ect ou encore le gras localisé). Mais ces critères sont déterminés en grande partie à travers les habitudes et vies de chacun et non selon une génétique prédéterminée (cela compte mais pas autant qu’on le pense, et une bonne génétique n’est pas forcément gage de santé car après 30 ans ils encaissent beaucoup moins la rechute qu’elle est d’autant plus forte à gérer).
En définitive il n’y a pas de petit trapus ou de grand mince mais de simples habitudes alimentaires et sociales ancrées et donc difficiles à changer car biologiquement bloquées à un « état physique idéal » pour le corps humain et le cerveau
Votre morphologie si on s’en tient à son sens étymologique du terme désigne votre forme visuel de votre corps, vous pouvez donc être « catalogué » dans le groupe des ectomorphes longilignes aux métabolismes rapides mais cela signifie seulement que vos besoin alimentaires sont faibles et que donc, au prorata de ce que vous manger, vous aurez moins à dépenser et donc vous entrez dans la catégorie des « métabolismes rapides ».
Mais si vos besoin alimentaire augmentent ou sont déréglés pour une raison quelconque durant votre vie (et cela arrive irrémédiablement avec l’âge et la dégradation cellulaire lié à la plus lente reconstitution de vos cellules : elles vivent moins longtemps et se reconstituent moins rapidement) alors toutes les dépenses énergétiques que vous aviez avant n’augmenteront pas dans la même proportion et surtout pas de façon équitable à travers tout le corps et enfin certainement pas de la même façon selon l’activité que vous déciderez d’adopter.
La dépense calorique journalière 2200 kl tient compte des besoins de l’activité physique quotidienne ainsi que des besoins caloriques dont votre corps a besoin pour fonctionner. Ainsi sur les 2200 calories disons que vous n’en utiliserez que la moitié pour votre activité physique. Quand votre corps augmente son appétit d’un facteur 1 c’est donc par un facteur x2 que vous devriez ensuite augmenter votre activité physique.
Prenons un exemple prosaïque : imaginez que vous vous lancez dans la natation en faisant votre craw tous les matins pour compenser une très grosse augmentation de l’appétit apparût au fils des années:
Vous développerez donc les muscles sollicités durant cette nage (dorsaux, grand rond, petit rond, triceps s’actionnent mais pas au même niveau, et vos ischios et vos quadriceps aussi mais pas à la même intensité. (L’ischios travaille plus que le quadri) mais toujours moins que les abducteurs ou adducteurs par exemple qui eux ne sont presque pas sollicités qu’en faisant office de gouvernail en stabilisant votre corps.
Ainsi vous finirez par developer au fils des ans les muscles les plus sollicités et donc vous pourrez contrecarrer le gras sur les endroits précisément travailler mais en aucun cas les autres muscles ne pourront perdre du gras et finiront par prendre géographiquement dans les zones musculaires délaissées (selon le principe de dégradation et de reconstitution cellulaire, une cellule ne peut stocker le glucose que pour elle seule et ne peut pas en donner à sa voisine de quelques centimètres plus éloignés, seul le foie le peu)
Une vision que je voulais partager avec vous, c’est un sujet qui pourrait nécessiter plus de développement et d’argumentation ultérieur bien sûr
Enfin afin de prévenir tous commentaires toxiques sachez que ça ne me plait pas d’avoir le mauvais rôle de l’ingrat mais je dois bien le jouer malgré moi puisque vous me provoquez suffisamment pour cela.
La vérité ça me fait chier de devoir se critiquer pendant les vacances alors que j’ai presque tout appris de vous. Et je ne suis pas ingrat car :
Rare sont les forums qui peuvent transformer votre vie et vous donnez envie de dépasser vos limites ou de combler un vide ou un parcours de vie qui ne vous convient tout simplement pas.
Donc déjà un grand merci pour vos coups de gueules, vos délires, vos témoignages si importants pour la communauté et la personnalité de chacun qui trahissent aussi, selon les parcours vécu, nos faiblesses mais aussi d’où viennent nos forces, et c’est ce côté humain qui est si important pour le forum et qui nous oblige toujours à accepter nos conditions de simples mortels sur terre car notre sport nous force à découvrir les limites physiques et mentale de notre corps.
Pour tous ça et plein d’autres raisons je voulais vous dire merci à tous, voilà.
Ensuite sans transition voilà enfin le sujet écrit en 1 heure et sans prétentions autres que d’apporter ma modique vue du plus beau sport du monde.
Il n’y a pas morphotype :
C’est un concept néanmoins vrai à l’instant T il existe bien un morphotype au sens où il existe une morphologie distincte et immédiate selon les groupes d’individus qu’on peut classer en 3 critères déterminés par des ratios ( mince, grand, dépense énergétique ect ou encore le gras localisé). Mais ces critères sont déterminés en grande partie à travers les habitudes et vies de chacun et non selon une génétique prédéterminée (cela compte mais pas autant qu’on le pense, et une bonne génétique n’est pas forcément gage de santé car après 30 ans ils encaissent beaucoup moins la rechute qu’elle est d’autant plus forte à gérer).
En définitive il n’y a pas de petit trapus ou de grand mince mais de simples habitudes alimentaires et sociales ancrées et donc difficiles à changer car biologiquement bloquées à un « état physique idéal » pour le corps humain et le cerveau
Votre morphologie si on s’en tient à son sens étymologique du terme désigne votre forme visuel de votre corps, vous pouvez donc être « catalogué » dans le groupe des ectomorphes longilignes aux métabolismes rapides mais cela signifie seulement que vos besoin alimentaires sont faibles et que donc, au prorata de ce que vous manger, vous aurez moins à dépenser et donc vous entrez dans la catégorie des « métabolismes rapides ».
Mais si vos besoin alimentaire augmentent ou sont déréglés pour une raison quelconque durant votre vie (et cela arrive irrémédiablement avec l’âge et la dégradation cellulaire lié à la plus lente reconstitution de vos cellules : elles vivent moins longtemps et se reconstituent moins rapidement) alors toutes les dépenses énergétiques que vous aviez avant n’augmenteront pas dans la même proportion et surtout pas de façon équitable à travers tout le corps et enfin certainement pas de la même façon selon l’activité que vous déciderez d’adopter.
La dépense calorique journalière 2200 kl tient compte des besoins de l’activité physique quotidienne ainsi que des besoins caloriques dont votre corps a besoin pour fonctionner. Ainsi sur les 2200 calories disons que vous n’en utiliserez que la moitié pour votre activité physique. Quand votre corps augmente son appétit d’un facteur 1 c’est donc par un facteur x2 que vous devriez ensuite augmenter votre activité physique.
Prenons un exemple prosaïque : imaginez que vous vous lancez dans la natation en faisant votre craw tous les matins pour compenser une très grosse augmentation de l’appétit apparût au fils des années:
Vous développerez donc les muscles sollicités durant cette nage (dorsaux, grand rond, petit rond, triceps s’actionnent mais pas au même niveau, et vos ischios et vos quadriceps aussi mais pas à la même intensité. (L’ischios travaille plus que le quadri) mais toujours moins que les abducteurs ou adducteurs par exemple qui eux ne sont presque pas sollicités qu’en faisant office de gouvernail en stabilisant votre corps.
Ainsi vous finirez par developer au fils des ans les muscles les plus sollicités et donc vous pourrez contrecarrer le gras sur les endroits précisément travailler mais en aucun cas les autres muscles ne pourront perdre du gras et finiront par prendre géographiquement dans les zones musculaires délaissées (selon le principe de dégradation et de reconstitution cellulaire, une cellule ne peut stocker le glucose que pour elle seule et ne peut pas en donner à sa voisine de quelques centimètres plus éloignés, seul le foie le peu)
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