NUTRITION : PREPARATION A UN CONCOURS

HardWork

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Les objectifs d'une préparation à un concours :
■ Maintenir ou augmenter la masse musculaire maigre.
■ Augmenter la vascularité.
■ Brûler les réserves de graisse du corps.
■ Améliorer la séparation et strie de la musculature.
■ Surveiller et ajuster la symétrie.
Cela semble presque stupide à lire, non ? Vous seriez très surpris de voir combien les culturistes invétérés connaissaient ces objectifs, mais ont échoué à les atteindre. Beaucoup diminue simplement les calories et/ou ajoute une activité aérobique et espèrent que ce sera suffisant.

Pire encore, la nouvelle tendance est en train de devenir des ajustements de symétrie faits au dernier moment avec plusieurs centaines de ML de Synthol (Oh, mais qui est contre les règles maintenant !). Habituellement, cela se traduit par un physique déchiré avec des sacs d'huile :eek:évidents dans certaines régions.

STRATÉGIE DIÈTE
Il semble une évidence de bon sens que l'évolution musculaire chimique a joué un rôle majeur dans le plan de préparation au concours pour les athlètes, mais le régime alimentaire était encore beaucoup plus important. A titre d'exemple, l'approche de l'alimentation généralement approuvée en mettant l'accent sur une diminution du nombre de calories par jour était le plus sûr chemin vers la perte musculaire et l'échec.

LE PLAN
Après un arrêt complet d'entrainement de 10-14 jour et un mois d'interruption de toute la chimie, notre athlète est prêt à commencer. Environ 4 semaines avant son régime alimentaire ou la période de préparation au concours, le nombre de calories par jour a été réduit d'environ 500 calories par jour dans des intervalles hebdomadaires. Notre athlète a commencé à 6000 calories par jour en semaine # 1, puis égalait 5500 calories par jour en semaine # 2 égalée par jour 5000 calories, etc., etc ..

...ET LA SCULPTURE COMMENCE
Notre exemple sera le suivant : un athlète de 308 LBS, avec 12% de BF, soit une masse maigre théroique de 271 LBS.
Notre athlète a 37 livres de graisse et environ 15 LBS d'eau à perdre. Ce dernier sera perdu, en partie, les 3 derniers jours avant concours.

De manière réaliste, il ne perdra pas l'ensemble des 37 livres de graisse corporelle. Mais la perte de poids est une base pour ce régime. Si tout va parfait, il pèsera 250-256 LBS quand il entre sur scène et environ 4% de graisse corporelle.

S'il était un culturiste naturel, les paramètres de régime serait différent d'un athlète chimiquement améliorée. Il commencerait par déterminer son taux métabolique de base (BMR). Le BMR est le nombre de calories qu'un corps a besoin pour maintenir l'homéostasie au repos.

Un procédé pour suivre un régime est un BMR de 6,5 calories par livre de poids de la masse maigre. Pour notre athlète ce serait 271 LBS x 6,5 cal = 1761.5 calories nécessaires au repos. Rappelez-vous, « au repos », les calories que le métabolisme brule tous les jours avec zéro mouvement. Nous ne comptons pas le gras dans l'équation parce que la graisse ne brûle pas de calories.

Ensuite, je compte pour les calories brûlées par jour en raison de l'activité. Un entrainement de musculation brûle entre 250-450 calories, selon l'intensité de la formation et la durée de chaque travail.

Il y a aussi des activités quotidiennes normales à expliquer, car ils induisent aussi une dépense calorique. À titre d'exemple, un utilisateur de canapé:D a seulement besoin de 300 calories supplémentaires par jour au-dessus de son BMR, mais une personne active peut exiger plus de 750 calories supplémentaires au-dessus de leur BMR pour maintenir l'homéostasie. Ces calories supplémentaires (nécessaires pour les activités quotidiennes normales) créeraient initialement un déficit calorique. Le calcul est assez simple ... BMR plus les calories de travail à haute intensité nécessaires serait égale à 2211 calories par jour (1761c pour BMR + 450c pour chaque entrainement = 2211 calories).

Ainsi, en utilisant un nombre de calories échelonnées de 3 jours autour de cette figure de base permettrait un décalage du jour # 1 -2500c; jour # 2-2350c; jour # 3 2200c, puis répéter. Depuis notre athlète est modérément actif, il utilise environ 500 calories par jour pour les activités normales, de sorte que son déficit calorique net serait d'environ 2500 calories au total
tous les 7 jours.

Cela se traduirait par une perte de « graisse » d'environ 1 livre par semaine ou environ 12-17 + LBS sur ses 12 semaines de préparation avant concours. S'il avait ajouté un produit thermogénique tel que tout produit à base d'éphédrine, le résultat aurait été d'environ 1 à1,5 LBS supplémentaires de perte « gras » par semaine. Ajouter une forme d'activité intervalle aérobie / anaérobie 5 fois par semaine pendant 20 à 30 minutes à chaque session et notre athlète serait prêt dans 12 semaines, facile...
Je ne peux pas insister assez sur l'importance du compte de calories en quinconce. Cette méthode empêche le corps de s'adapter trop rapidement au protocole de déficit alimentation / calories. Normalement, un déficit calorique entraînera une diminution de l'activité hormonale de la thyroïde endogène. Cela modifie rapidement négativement le BMR de l'athlète.

De toute évidence, le nombre de calories par jour serait ajusté dans le cas où la perte de graisse n'est pas dans les paramètres de protocole de l'alimentation. Pendant les 2 premières semaines de perte de poids réel dépasse le paramètre 2-3 LBS simplement en raison de la graisse combinée et la perte d'eau. Le corps stocke 2,5-3 grammes d'eau par gramme de glycogène (glucides) stockés. Donc, pour un athlète naturel plus de 2-3 LBS de perte de poids réel est acceptable jusqu'à la semaine # 3.

Soit dit en passant, vous devez réaliser maintenant, que la perte de graisse de base se produit à moins de 10 calories par livre de poids corporel par jour.

De nombreux bodybuilders emploient des médicaments qui ont des effets importants sur le résultat d'un régime. Les thermogéniques augmentent la quantité de calories de graisse utilisées pour produire de la chaleur, les hormones thyroïdiennes augmentent le BMR, et la GH
augmente le pourcentage de calories de graisse utilisé pour la consommation calorique totale.
Ajoutez à cela le fait que certains AAS aident dans le maintien de la masse maigre, ou même augmenter la masse maigre pendant la préparation de concours, et vous comprendrez pourquoi il y a tant de pros sur le statut monstre. (Mon cul naturel!)

Avez-vous souvent lu des régimes pro sur 4500 calories par jour ? Faites le calcul et vous vous
rendrez compte que la plupart des athlètes naturels gagneraient, et non perdraient du poids avec ce nombre de calories par jour.

La première priorité dans un régime de préparation du concours doit être protéines. Après tout, la masse maigre était composée principalement de protéines, non ? Les chercheurs ont prouvé que la perte de graisse se produira s'il y a un déficit calorique.

Cependant, la science a prouvé que pendant des périodes limitées régime, la meilleure rétention de la masse musculaire maigre nécessite au moins 1 gramme de protéines complètes par livre de poids corporel maigre par jour. Pour un concurrent naturel, cela arriverait à 271 grammes de bonnes protéines par jour, soit 1084 calories provenant du seul apport en protéines.

Les pourcentages macronutriments seraient donc briser comme ceci :
Jour # 1: 30% de protéines, glucides 60% de matières grasses et de 10%.
Jour 2: 35% de protéines, glucides 55%, et les matières grasses de 10%.
Jour # 3: 45% de protéines, glucides 45% et les matières grasses de 10%.
L'apport quotidien en protéines demeurerait constant à 271 grammes.

Alors combien de protéines ?

Cependant, les athlètes chimiquement améliorés ont influencé leur Ptor et fait de meilleur progrès quand ils ont utilisé une formule d'apport quotidien en protéines : masse maigre en livres
multiplié par 1,818 au minimum. Dans le cas de notre exemple, cela équivalait à 492,6 grammes de protéines par jour (271 LBS x 1,818 = 492,678 g), soit environ 2000 calories de protéines complètes seul jour.

A suivre...
 
Les hormones thyroïdiennes altèrent l'apport en protéines
Selon la production naturelle ou endogène des hormones thyroïdiennes (T3/T4), un dosage exogène de T-4 / T-3 en général modifie le BMR significativement. Bien sûr, cela a été difficile d'expliquer mathématiquement sans profil hormonal (qui a fourni des informations sur la production d'hormones de la thyroïde normale). Mais les individus en moyenne produisent de manière endogène environ 26mcg par jour de T3.

Donc 50-100 mcg de Cytomel administré quotidiennement a donné lieu à environ 125-200% par rapport à un BMR normal ainsi qu'une augmentation correspondante du Ptor.
De toute évidence, il aurait été tout à fait contre-productif pour notre athlète d'ingérer moins de protéines par jour que son Ptor quotidien requis.

Cela signifie que, dans de nombreux cas, un athlète aura besoin d'augmenter son apport en protéines totales de 25-100% et de réduire l'apport en glucides pour maintenir l'apport calorique quotidien correct comme moyen de suivre son Ptor augmenté.

Glucides et les lipides ... La partie facile
Le nombre de l'apport en glucides par jour nécessaire égalait la dépense calorique de notre athlète correspondant à ses entrainements journaliers, soit environ 450
calories (112,5 g) de glucides. Son apport en matières grasses est resté tous les jours à 10% du total des calories par jour.

Cela signifiait que le jour de son plus bas nombre de calories était d'environ 2 700 calories. En utilisant cette information de base, le décalage de calories ressemblait à ceci (apport calorique en quinconce :
Jour 1: 3245 calories
Jour 2: 2971 calories
Jour 3: 2700 calories
Ce décalage de calories était basée sur le poids maigre de masse de notre athlète. Le jour # 1 a permis 2 calories supplémentaires par livre de poids corporel et le jour # 2 a permis 1 calorie supplémentaire par livre par jour. Comme je l'ai dit plus tôt, ce fut une " base" du nombre de calories. Il est parfois nécessaire d'ajuster lorsque les paramètres de perte de perte / poids de graisse ne sont pas entre 2-3 livres par semaine.

Si le corps est incapable d’utiliser ou de convertir suffisamment de graisse en énergie, une fois le muscle et les réserves de glycogène dans le foie provenant des glucides sont épuisées, le corps va éliminer les protéines / amino-acides (comme euh, du muscle) de leurs composants azotés et utilisent la source de calories pour l'énergie. Cela s'appelle la désamination.

C’est également très grave lorsque l’objectif est la rétention de masse maigre. Lorsque suffisamment de protéines est fourni, le corps utilisera les acides aminés entrants de la protéine pour créer du glycogène par un processus appelé néoglucogenèse. Donc c'était
primordial qu'un apport en calories de glucides ajusté pour maintenir une perte de poids de 2-3 livres par semaine. Habituellement, j’ai ajusté les calories en ajoutant ou en soustrayant 200 calories à chacun des trois jours du compte échelonné.

Vous seriez probablement surpris de voir combien d’individus simplifient ceci plus loin en ne mangeant que du thon et de la poitrine de poulet sans peau avec du riz brun cuit à la vapeur et quelques cuillerées d'huile d'olive extra vierge. Hé, ça marche plutôt bien si on ajoute une bonne poudre de protéine complète. Ils feraient mieux cependant s'ils échangaient une partie de ce riz par des légumes, de l’huile de MCT et du CLA.

Une sèche ne convient pas à tous (mais cela fonctionne pour la plupart)
Pour beaucoup, la baisse soudaine de calories était juste un peu trop difficile à supporter. Personnellement, je perdais trop rapidement en utilisant le dispositif décrit précédemment. (La plupart des gens n'ont pas de problème avec cela). Si tel était le ça, notre athlète aurait commencé sa phase de régime 16 ou même 20 semaines avant le concours avec un nombre de calories par jour initial de 6000 calories.

A suivre...
 
Pour beaucoup, la baisse soudaine de calories était juste un peu trop difficile à supporter. Personnellement, je perdais trop rapidement en utilisant le dispositif décrit précédemment. (La plupart des gens n'ont pas de problème avec cela). Si tel était le ça, notre athlète aurait commencé sa phase de régime 16 ou même 20 semaines avant le concours avec un nombre de calories par jour initial de 6000 calories avec l'apport quotidien en protéines constant à 1.818 grammes par livre de poids de masse maigre et les lipides seraient restées à 10% du total des calories par jour.

Cependant, les calories d'hydrates de carbone aurait été diminué d'environ 250 calories par jour chaque semaine en utilisant toujours le décalage de calories de 3 jours
nécessaire.
Ainsi, sur 20 semaines, le décalage aurait ressemblé à ceci:
Semaine # 20 = Jour # 1 -6000c, Jour # 2-5750c, Jour # 3-5500c et répéter pour Jour # 4-5-6. Jour # 7-5750c.
Semaine # 19 = Jour # 1 5750c, Jour # 2 5500c, Jour # 3-5250c, et répéter pour la Journée # 4--5-6. Jour # 7 5250c.

Cette diminution de 250 calories aurait continué jusqu'à ce qu'un décalage de calories pour le jour # 1-3245c, Jour # 2-2971c, Jour # 3-2700c a été atteint. A ce moment, le compte de calories resterait constant (3245-2971-2700).

De toute évidence, l'apport calorique serait ajustée pour répondre à une « moyenne » de perte de poids hebdomadaire de 2-3 livres par la suite. Pour de nombreux athlètes, les triglycérides à chaîne moyenne (MCT) est une excellente option de calories lors des réglages de calories car ils brûlent assez proprement. Le corps a du mal à le stocker sous forme de graisse, et il fournit une bonne énergie conséquemment. Si un athlète n'a pas assez d'énergie pour s'entrainer de manière intensive, les résultats du régime seront pauvres.
Rappelles toi; les déficits en calories sont relatifs et non absolus!
Combien de fois manger ? 6-12 fois par jour. Chaque repas, liquide ou solide, ne devrait pas être au dessus de 500 calories. Le corps digère mieux la nourriture lorsqu'ils sont ingérés en petites portions. De plus, à chaque fois que des calories sont ingérées, le corps augmente son métabolisme. J'ai eu plusieurs clients qui ont mangé tout simplement de très petits repas liquides ou solides toutes les heures à travers la journée. Cela permet de laisser la faim au large:p.
Personnellement, je mangeais toutes les 2 heures une fois que mon nombre de calories par jour était tombé à 4000 calories et moins. Il était vraiment très simple de s'alimenter avec succès sans les problèmes de stress et d'attitude.

INSULINE ET GLUCIDES
De nombreux soi-disant experts croient que les glucides sont l'ennemi de la perte de graisse avec succès. Ils affirment que manger des glucides fait grossir. Ceci est basé sur la théorie selon laquelle les régimes d'admission élevée en glucides provoquent des niveaux de libération élevés d'insuline, et que le taux de libération élevé d'insuline conduisent à des niveaux de stockage riches en matières grasses.
Ils soulignent le fait que l'insuline est la principale hormone de stockage du corps. Et après tout, la graisse est le principal lieu de stockage d'énergie du corps. A l'exception des sucres simples, c'est une grosse connerie.
Le fait est que, pendant une période de déficit calorique (toute période pendant laquelle moins de calories que sont ingérées que brûlées), le corps n'a pas d'inclinaison vers le stockage des graisses de toute macronutriments. Réfléchissez y un peu. Comment le corps peut stocker si il épuise actuellement ses réserves ? Quand il est question de la perte ou le gain de graisse, le nombre de l'apport calorique par rapport au nombre de dépenses en calories est le facteur déterminant le plus important.
Mais pour les sceptiques (et / nutritionniste) diététiciens qui se moquent de cela, lisez l'étude " Les différences de résistance à l'insuline ne permettent pas de prédire la perte de poids en réponse aux régimes hypocaloriques chez les femmes obèses en bonne santé » McLaughlin, T., et al (1999) Journal du métabolisme endocriniennes clinique 84:. 578-581.

SOURCES DE PROTÉINES
Les sources de protéines sont d'une importance unique pour la construction musculaire. La nécessité pour le profil d'acides aminés des protéines complètes / correcte a été détaillé dans un autre feed, donc nous allons passer à des aliments entiers. Les viandes maigres sont les meilleures sources de protéines alimentaires entiers.
Qu'est-ce maigre?
Filet de bœuf tendre, bavette, veau et filet tendre de porc, poulet sans peau ou la poitrine de dinde, le thon, et les blancs d’œufs. Le lait est mauvais au cours des phases de régime, car il est la nourriture la plus hyper allergénique que je connaisse.
La plupart des athlètes apparaissent plus maigres après seulement 2 semaines sans produits laitiers.

SOURCES DE GLUCIDES
Tous les glucides ne sont pas égaux. Les sucres simples et d'autres glucides à indice glycémique élevé ne parviennent pas à fournir un niveau d'énergie durable. L'ingestion fréquente de glucides simples se traduit par une augmentation des enzymes de stockage des graisses. Pour cette raison, il y a un effet de partitionnement pour les nutriments loin des muscles et vers les réserves de graisse.
Le fructose est mauvais. Je pourrais écrire un livre sur les effets négatifs causés par les régimes riches en fructose, y compris une augmentation du processus de vieillissement et les problèmes de radicaux libres.

Les meilleurs choix sont la combustion lente des glucides complexes comme le riz brun, les pains à grains multiples, et les ignames (oui, ils contiennent une teneur en fructose,
mais il est le plus souvent médié par d'autres glucides complexes contenus). Méfiez-vous d'une source de glucides qui a plus de 20% de teneur en fructose.
Beaucoup de légumes sont un must. Le manque d'apport de fibres alimentaires adéquate entraînera une constipation ... ce qui signifie une mauvaise absorption des nutriments.

SOURCES DE LIPIDES
Les viandes maigres permettent en générales de fournir les 10% de lipides journaliers pendant la période de préparation au concours. Cependant, il est tout simplement pas sain pour éliminer les acides gras essentiels qui fournissent l'EPT de l'huile d'olive
extra vierge, huile de canola, l'huile d'onagre, ainsi que l'huile de poisson ou l'huile de lin.
Comme je l'ai dit. Rester simple.

A suivre...
 
PHARMACOLOGIQUES DES DEPOTS DE GRAISSE
(un bref cours de science)​

L'adénosine triphosphate (ATP) est ce que notre corps utilise le plus pour alimenter les contractions musculaires et l'influx nerveux. Il est évident que nous mourrions sans elle.

Cependant, notre niveau et notre fonction ATP dictent également la façon dont nous sommes développés et les dépôts de graisse dans une grande mesure. Comme nous le savons, le corps a besoin d'un approvisionnement constant d'ATP.

Lorsque l'ATP est utilisé comme énergie, il perd une molécule de phosphate qui crée l'adénosine diphosphate (ADP). L'ADP se tourne vers les magasins de créatine phosphate (CP) pour la molécule de phosphate manquante et de l'ATP est à nouveau fabriqué. Ceci est bien sûr pourquoi les produits de créatine aident à la force et les gains de tissus maigres.

Le corps peut produire de l'ATP à partir de protéines, le glucose, ou des graisses. Ceci est possible grâce aux mitochondries cellulaires. Lorsque les magasins d'ATP cellulaires sont bas, comme après une corpulente:D séance de squats, les niveaux d'ADP augmentent,les cellules doivent subir une phosphorylation oxydative et transfert d'électrons pour restaurer l'ATP.

la phosphorylation oxydative est le procédé d'addition d'un groupe phosphate à l'ADP pour produire l'ATP. Le transfert d'électrons est le processus ou la manière produire cela. Les mitochondries pompent les ions d'hydrogène à partir de l'intérieur vers l'extérieur de nos cellules. Cela crée un déséquilibre où il y a un plus grand nombre d'ions d'hydrogène à l'extérieur de la mitochondrie qui se traduit par l'appariement de l'ADP avec un groupe phosphate supplémentaire. Ouf !

Nous obtenons ainsi de l'ATP et de l'énergie cellulaire, ce qui nous permet de vivre et de s'entrainer un jour de plus:D. Les électrons pour le transfert d'électrons proviennent de NADH (bêta-nicotinamide adénine dinucléotide), qui est fabriqué à partir des macronutriments.

Comme vous le savez, les macronutriments sont des protéines, des glucides et des graisses, qui deviennent évidemment de la nourriture cellulaire circulatoire: acides aminés, glucose / glycogène, et acides gras.

Ainsi, la série va comme ceci:
1. NADH donne des électrons vers les mitochondries pour le transfert.
2. Le transfert d'électrons crée un déséquilibre d'ions d'hydrogène.
3.Le déséquilibre alimente le "couplage" de l’ADP et d’un groupe phosphate, ce qui entraîne de l'ATP. (Encore une fois, Ouf!)

Nul doute que vous vous souviendrez du terme « couplage » au cours du processus ADP / ATP de la phosphorylation oxydative. Eh bien, la « désolidarisation » est en termes simples, une méthode de rendre ce processus plus difficile. Dans le cas de la phosphorylation oxydative, il est question que les mitochondries travaillent très dur pour créer le déséquilibre d'ions d'hydrogène.

Les petits ''goodies'' responsables de cette désolidarisation sont des protéines de désaccouplement, qui se trouvent dans les cellules musculaires et les cellules adipeuses brunes. Lorsque ces protéines découplées font leur chemin dans les mitochondries, la réaction résultante est que les mitochondries doivent faire des heures supplémentaires:D en essayant de pomper des ions d'hydrogène de l'intérieur vers l'extérieur de la cellule.

Ceci est dû à l’effet de découplage des protéines permettant aux ions d'hydrogène de migrer. Depuis que le processus a gaspillé les électrons de NADH et qu'aucune ATP n'a été fabriquée, le processus doit tout recommencer.

Les protéines de découplage dans les cellules musculaires régulent les acides gras libres dans les myocytes. Et les protéines de découplage dans la graisse brune ont un effet régulateur sur le corps température / thermogenèse. Le résultat de ce découplage est que les mitochondries consomme beaucoup plus d’acides gras et, dans une moindre mesure, plus de glucose pour normaliser et régénérer les niveaux d'ATP. Lorsque tout cela se produit, il est évident qu'un athlète brûle plus calories (dont la plupart proviennent de réserves de graisse) et devient beaucoup plus sec.

Les athlètes chimiquement améliorés avaient utilisé de nombreux médicaments qui influencent le processus de désaccouplement: DNP, hormones thyroïdiennes T-4 / T-3, les amphétamines, l'éphédrine, la noréphédrine (phénylpropanolamine) et de la caféine pour n'en citer que quelques-uns. Avant de poursuivre, permettez-moi de dire que les amphétamines sont vraiment une mauvaise idée en toutes circonstances. Ils brulent les graisses mais rendent les athlètes insensés, comme fous:eek:.

En plus de cela, ils sont ''sales''. La «méthamphétamine» du marché noir était et est
fabriqué en utilisant du phosphore rouge dans le cadre du processus. Ce n'est pas correctement retiré ou purifié à tout moment du processus. Le phosphore rouge cause le cancer et détruit les facteurs de la fonction immunitaire! Les utilisateurs ont souvent des plaies étranges et semblent attraper chaque rhume et grippe.

A suivre...
 
EPHEDRINE-NOREPHEDRINE-CLENBUTEROL

Ces trois composés sont appelés agonistes bêta, ce qui signifie qu'ils stimulent le récepteur bêta sous types 2 et 3. Le clenbutérol est un récepteur bêta-2 agoniste spécifique. Cela signifie que son effet sur la combustion des graisses est due à une stimulation spécifique des récepteurs bêta-2. Éphédrine est un agoniste des récepteurs bêta non spécifique.

La signification de ces effets est dus à la stimulation des récepteurs bêta 1,2, et 3. Noréphédrine (phenylpropanolamine) est un agoniste des récepteurs bêta non spécifique également, mais semble agir sur les récepteurs bêta 2 d'une manière légèrement différente.

Tous les agonistes bêta affectent le processus de combustion des graisses par thermogenèse douce, ce qui implique bien sûr le processus de désolidarisation.
L'administration de Clenbuterol avait tendance à provoquer la régulation de l'activité des récepteurs bêta-2. Les récepteurs bêta 2 sont des régulateurs majeurs de la matière grasse dans le processus de décomposition (lipolyse).

L'administration continue de Clenbuterol a permis au médicament de perdre son efficacité au niveau du système nerveux central après seulement quelques semaines. Quelle que soit la dose. Pour cette raison, un protocole de jour 2 jours on 2 off était
nécessaire lors de l'utilisation Clenbuterol. Cette approche a ralenti la réponse adaptative négative sur les récepteurs bêta-2.

S'il vous plaît soyez patient. Je vais vous expliquer toutes les choses concernant les « récepteurs » dans quelques minutes. Contrairement à Clenbuterol, Éphédrine et Noréphédrine ne provoquent pas une réaction d'adaptation excessive et a donc continué à produire une activité thermogénique pendant des mois. Les deux induisent la libération de « Noradrénaline », ce qui stimule les trois sous-types de récepteurs
bêta, et les deux peuvent stimuler les mêmes récepteurs-sites directement à un certain degré.

Les produits à base d'éphédrine induisent l'effet thermogénique par stimulation de tous
sous-types de récepteurs, mais 35 à 40% de leurs effets stimulateurs concernent le type de récepteur bêta 3.
C’est important parce que la réponse qui régit l’activité diminue la régulation des récepteurs bêta-2 qui ne sont pas possibles avec les récepteurs bêta-3. Donc, les produits d'éphédrine ont une efficacité potentielle à long terme. La stimulation des récepteurs bêta-3 augmente la décomposition des graisses. Cela entraîne également une augmentation des niveaux de protéines de découplage. Il faut noter que les produits à base d’éphédrine augmentent la conversion de T-4 en T-3 par le foie. Waouh !

CAFÉINE
Lorsque les composés agonistes bêta sont utilisés, le corps libère l'adrénaline et la noradrénaline, qui est sécrétée en raison de la stimulation des nerfs sympathiques. En fin de compte, le corps a une réponse adaptative qui régule l'activité à long terme de l'agoniste bêta et donc leur valeur thermogénique (effet de combustion des graisses).

Méthylxanthines comme la caféine, enprofylline, la forskoline, et la théophylline, bloquent ou inhibent la réponse adaptative à un degré convenable de l'organisme. L'administration concomitante de méthylxanthines avec Clenbuterol, éphédrine ou noréphédrine a donné lieu à un effet plus long et plus puissant.

Normalement, le rapport le plus efficace de l'éphédrine ou la caféine noréphédrine à était d'environ 1 à 10(20 mg d'éphédrine avec 200 mg de caféine.). La chimie sous-jacente est assez complexe, mais l'action de base est :

les agonistes bêta modulent leur signal de ventilation des graisses au moyen d'un précurseur de l'énergie au sein de la cellule appelée adénosine monophosphate cyclique (AMPc). Les composés appelés phosphodiestérases contre-agissent en décomposant ce AMPc et le signal de perte de graisse diminue ou s'arrête. Les méthylxanthines inhibent ou bloquent phosphodiestérase qui est l'enzyme qui
dégrade l'AMPc en phosphate. Par conséquent, l'effet de combustion des graisses du
signal bêta-agoniste choisi continue.

LES RÉCEPTEURS
La plupart des cellules et organes dans le corps possèdent une distribution des récepteurs adrénergiques. Ces récepteurs ont des types sous type : ALFA Sub-2, et bêta Sub-1,2,3 et 4.
Les récepteurs qui nous intéressent d'abord pour la perte de graisse sont ALFA Sub-2 et bêta Sub-2 et 3. Ce sont les récepteurs adrénergiques ayant le plus grand effet initial sur la perte de graisse.
La stimulation des récepteurs bêta Sub-2 crée une réponse anti-catabolique qui signifie économie des protéines. Malheureusement, les récepteurs bêta 2 chutent leur régulation après 2-3 semaines de stimulation continue. Action / réaction, souvenez-vous ?
La stimulation de Alfa 2 bloque les récepteurs pour la mobilisation des réserves de graisse. Le blocage de ces récepteurs avec yohimbine augmente les dépenses de matières grasses.

Fait intéressant: les femmes ont un plus grand nombre de récepteurs Alfa-sub-2 (ainsi que les récepteurs d'estrogènes) dans leurs corps par rapport aux hommes. C'est pourquoi les femmes ont tant de mal à perdre de la graisse dans ces domaines.

Si j'avais conçu le ratio récepteur et la distribution, les femmes de ce monde aurait des ratios significativement plus élevés d’Alfa 2 adrénergique et peu de récepteurs d’œstrogènes. Je voudrais aussi réduire considérablement la production de 16-ahydroxyestrone de sorte que les femmes puissent avoir d'excellents supports, une incidence moindre de cancer du sein et rester mince en mangeant des biscuits et de la crème glacée. Mais c'est une autre histoire ...

Il y a quelques composés qui bloquent les récepteurs Alfa 2 (antagonistes) et empêchent donc la perte de graisse en raison d'un effet inhibiteur. Pur yohimbine est un bon exemple. Il inhibe en fait la boucle de rétroaction négative qui inhibe la perte continue de graisse. Malheureusement, les effets de yohimbine sont atténués par la libération d'insuline (ou l'administration). Cela signifie que yohimbine est efficace comme un antagoniste des récepteurs Alfa 2, si l'athlète l'utilise dans un état jeûné (comme avant le petit déjeuner).

Comme indiqué avant, les produits d'éphédrine permettent 35-40% d'augmentation de
combustion des graisses l'activation des récepteurs bêta 3. Cependant, à un degré moindre, ils ne stimulent pas la thermogenèse par l'activation des récepteurs bêta 1.

Étant donné que l'activité des récepteurs bêta 2 de manière significative, chute après seulement quelques semaines de stimulation continue, la question de « combien de
temps avant que l'activité des récepteurs bêta 3 chute » devrait nous titiller l'esprit.

Après environ quatre semaines d'utilisation de l'éphédrine / caféine, les taux d'hormones de la thyroïde, augmentent. A environ 12 semaines d'utilisation les taux d'hormones de la thyroïde diminuent en dessous des niveaux normaux. Comme indiqué avant, les produits à base d'Éphédrine augmentent la conversion de l'hormone T-4 vers l'hormone T-3 plus puissant. Malheureusement, cela aussi possède une boucle de
rétroaction négative qui se déclenche à environ 12 semaines d'utilisation continue de l'éphédrine.

Devinez quoi ? On a les récepteurs adrénergiques bêta Sub-4 qui passe outre et qui poursuivent le processus de combustion des graisses, même avec des niveaux d'hormones thyroïdiennes circulatoire inférieurs.

En fait, les effets thermogénique d'une pile éphédrine / caféine est mieux à 12 semaines d'utilisation et reste significativement efficace jusqu'à 50 semaines.
Cela est dû à la capacité du corps à augmenter le nombre de récepteurs bêta Sub-3 et 4 en réponse à une régulation négative de la bêta sub-1 et 2. Cool ! Par ailleurs, l'enzyme qui convertit T-4 en T-3 est le 5-déiodinase. Un faible apport en sélénium réduit considérablement les effets de cette enzyme.

Il y a deux hormones thyroïdiennes facilement reconnues. T-4 (thyroxine) et T-3 (triiodothyronine). En réponse à TSH (Thyroid Stimulating Hormone) la glande thyroïde libère l'hormone T-4, et à un degré moindre que l'hormone T-3.

La production quotidienne de T-4 est normalement d'environ 76 mcg, et la production T-3 est d'environ 26 mcg par jour. La majorité de la production de l'hormone T-3 est due à la conversion de T-4 en T-3 par l'enzyme 5-déiodinase, principalement dans le foie et les reins. T-3 est d'environ 5-10 fois plus actif que T-4. Rappelez-vous que seule la testostérone non liée ou libre peut déclencher une réaction ?

Bien environ 0,02% de T-4 circulatoire est non liée et d'environ 0,30% de T-3 est non liée ou libre. Seuls les hormones thyroïdiennes libres ou non liés peuvent fusionner avec et activer les sites récepteurs d'hormones thyroïdiennes.
Les hormones thyroïdiennes augmentent les niveaux de protéines désaccouplées. Ils augmentent également l'ATP en stimulant les enzymes que la conduction de l'influx nerveux à comme effet.

Une grande partie de la recherche soutient l'idée que les sites des récepteurs d'hormones thyroïdiennes sont directement liés aux gènes qui régulent la quantité de
protéines produites découplées. Il semblerait évident que les hormones de la thyroïde ont joué un rôle important dans un concours d'athlètes chimiquement améliorés dans la plupart des cas.

Mon opinion est que quelques semaines d'utilisation d'hormones de la thyroïde exogène était beaucoup plus sain que de longues périodes de restriction calorique. Mais ce n'était que mon opinion et non une recommandation. Comme indiqué avant, l'aide
agoniste bêta dans la conversion de T-4 à T-3, donc il y avait une synergie existante en se référant à la perte de graisse ou de gains de masse maigre.

A suivre...
 
J'ai conscience que ce qui suit, ne devrait pas être dans cette section mais pour la cohérence complète du feed concernant un protocole de sèche en vue d'une compétition, je pense que séparé serait dommage pour la compréhension. J'espère que les modo me pardonneront:confused:.

Chimie
Les objectifs de préparation à un concours de toute évidence inclus le maintien de la masse maigre ou son accroissement. Combien de concurrents avez-vous vu faire 60-90 minutes d'aérobie deux fois par jour et s'entrainer comme des bêtes pendant la
préparation au concours, tout en conservant la masse maigre ? Eh bien, pour un être humain naturel moyen, cela entraînerait un grave surentraînement et la perte le sa masse maigre à un rythme très élevé.

Tous ceux qui avaient administré toutes les semaines 2-4 grammes d'androgènes aussi longtemps que leur régime alimentaire était le plus utilisé. Mais il y avait des protocoles, qui ont fourni pour la santé, des résultats bien supérieurs. Toutes ces molécules ont été examinées à fond sur ce forum, mais un bref rappel peut-être nécessaire.

La testostérone : en période de préparation, la testostérone a assuré un haut niveau d'androgènes qui a donné lieu à l'intensité et la récupération importante des trainings. La testostérone inhibe également l'enzyme qui permet des dépôts d'acides gras dans les cellules adipeuses (comme les poignées d'amour). Tant que le contrôle des œstrogènes était adéquat, la testostérone a aidé à fournir une dureté supérieure à la musculature tout en stimulant les bons gains de force pour un entraînement intensif et la stimulation de la fibre musculaire maximale nécessaire.

La plupart des AAS ont augmenter le nombre de globules rouges et donc la vascularité.
Une raisonnable augmentation de la pression sanguine à partir de composés androgéniques ont aidé à obtenir un aspect vascularisé.

Les stéroïdes à haut anabolisme : un stéroïde très anabolisant une synthèse accrue des protéines musculaires tout en réduisant le taux catabolique. Certains AAS ont bien fonctionné dans un environnement de déficit calorique.

C'était primordial pour le maintien de la masse maigre ou son augmentation. Ceux qui donnent les meilleurs résultats sont : Parabolan, Finabolan, Masteron, Primobolan Depot, Deca Durabolin, Winstrol et Equipoise.

Cependant, certaines combinaisons ont créé une synergie qui a permis d'améliorer la séparation musculaire / masse maigre / strie et la croissance ou la rétention des tissus.

A titre d'exemple, Winstrol, utilisé comme un protocole d'injection de site, avec Propionate de testostérone a été la cause de nombreux striures pec et delto profondes et des séparations spectaculaires.

L'hormone de croissance: une fois correctement en couches au cours de la préparation de concours, GH a apporté un nouveau niveau de qualité à un physique. Il a augmenté l'utilisation des réserves de graisse pour l'énergie, a agi à la fois anaboliquement et comme anti-catabolique. GH a également aidé dans la prévention des blessures.
La recherche a montré que aussi peu que 2iu de GH par jour peut réduire les réserves de graisse d'environ 35% lorsqu'il est utilisé avec un régime restreint en calories. Les régimes ont besoin néanmoins de calories égales aux dépenses quotidiennes « normales ». Il y a certaines recherches qui indiquent que l'administration de GH augmente la synthèse de testostérone endogène. Mais dire que cela seul aurait des qualités régénératrices de l'axe HPTA est probablement très exagéré.

Il y a une différence notable entre la méthode d'utilisation GH par rapport à un gain de masse et la préparation au concours. Cela est dû au direct et indirect effet.
GH se réfère à l'hormone de croissance, qui est une sorte de substance principale produite par la glande pituitaire. Il a un peu la qualité d'une prohormone en ce qu'il déclenche la production de plusieurs autres hormones actives (effet indirect) tout en maintenant la capacité de déclencher des activités métaboliques (effet direct) lui-même.

Indirect
GH initie le processus de la synthèse d'IGF-1 dans le foie et d'autres tissus, ainsi que d'avoir un effet sur la synthèse des autres sept facteurs de croissance. IGF-1 est un anabolisant incroyablement puissant avec la possibilité d'augmenter le nombre de cellules satellites et l'inclusion d'un nombre réel augmenté cellules / fibre musculaire.

Direct
Pour la plupart, la GH a un effet direct le plus notable sur le tissu adipeux (graisse). Un fragment de la molécule de GH stimule les récepteurs B-3 sur les cellules adipeuses. Cela déclenche alors la lipolyse (combustion des graisses) tout en bloquant simultanément le stockage des graisses.
* Les chercheurs travaillent actuellement sur la création du fragment de GH unique, engagé à la stimulation des récepteurs B-3 sur le tissu adipeux pour un médicament de perte de graisse.

GH et masse
Au cours de tout type de phase de masse il y a une forte augmentation de l'apport calorique pour faciliter une nouvelle croissance.

Lorsque GH est administré pendant des périodes de forte teneur en calories, il y a peu d'accumulation de graisse par rapport aux protocoles de masse qui ne disposent pas de la drogue.
Cela est dû au fait que, oui, GH contribue à bloquer l'accumulation de graisse dans cet environnement, mais il ne parvient pas à augmenter de manière significative les dépenses de matières grasses. Cela est dû au fait que la nourriture augmente la libération d'insuline qui bloquue à son tour la libération d'acide gras dans les cellules adipeuse.

GH et préparation au concours
Pendant la préparation la libération totale quotidienne d'insuline diminue en raison d'une diminution de l'apport calorique. En conséquence, il y a une diminution correspondante du taux de glucose dans le sang qui prédit ces faibles périodes
d'insuline.
En règle générale administration de GH pendant une période où il existe une lecture au glucomètre inférieure à 65, il en résulte une augmentation significative de la dépense en graisse. Beaucoup ont suivi cette pratique et suivi des séances de cardio pour augmenter l'effet. Intéressant, hein? Il a été judicieux de garder les comprimés de glucose à proximité au cas où l’hypoglycémie s’installe.

PGF-2 / IGF-1: de toute évidence, l'IGF-1 était à la fois anabolisants et anti-catabolique. Cependant quand il est associé ou empilé avec PGF-2, une réponse synergique a été réalisée. La combinaison était parfaite pour les ajustements de
symétrie lors d'un régime pré-concours simplement parce que les deux étaient relativement site spécifique dans l'action.
Les différents muscles d'un athlète ont un Ptor unique et différent, ce qui signifie des domaines tels que ses bras (dans le cas de notre exemple) perdent de la masse plus rapidement que d'autres. La pile PGF- 2 / IGF-1 a augmenté de manière significative l'anabolisme dans ces domaines ou soit qu'il a suivi un régime bas en calories au cours des 3 dernières semaines avant son concours.

A suivre...
 
Dernière édition:
Les hormones thyroïdiennes : T-4 et T-3 ont augmenté le BMR et le Ptor tout en augmentant de manière significative l'absorption et l'utilisation des nutriments. Ils ont également eu une réponse très synergique notable avec les AAS et GH / IGF-1. Depuis que T-4 et T-3 ont augmenté le BMR, et qu'une alimentation riche en protéines a été utilisé avec la chimie anabolisante, le résultat a été une perte de graisse plus rapide (également une meilleure rétention de la masse maigre et la croissance).

Les thermogéniques : ils augmentent le nombre de calories brûlées comme dépense de chaleur. Clenbuterol et Éphédrine avaient aussi des qualités anti-cataboliques qui a également agi en synergie avec la GH. La caféine a considérablement étendu la période de temps pour l'efficacité de combustion des graisses de la plupart des thermogéniques.

Anti-estrogènes : le contrôle des œstrogènes était absolument nécessaire lors de la préparation de concours. Toute augmentation de l'activité des œstrogènes aurait pu conduire à des dépôts de graisse tenaces (ou même les dépôts de graisse modèle ''femme''), gynécomastie, et la rétention d'eau importante. Vous savez bien que l’œstrogène conduit à une boucle de rétroaction négative qui inhibe la fonction HPTA.
Toutefois, étant donné que les cycles de préparation à une compétition sont si longs, le post-cycle de régénération HPTA était tout à fait nécessaire, de toute façon.

La suppression du cortisol : Pendant les périodes de déficit en calories, le corps augmente la production d'hormones cataboliques. Le cortisol, la principale hormone catabolique du corps augmente le gaspillage des tissus à base de protéines en
déclenchant la libération des acides aminés à partir de cellules musculaires. Les acides aminés sont supprimés de leurs composants d'azote et ensuite utilisés comme source d'énergie. Lorsque la suppression du cortisol a été utilisé le corps a augmenté l'utilisation des graisses pour le carburant.

La suppression totale du cortisol aurait été contre-productif car il existait une synergie évidente entre le cortisol et la croissance chimique, ainsi que la fonction immunitaire.
L'utilisation prolongée de médicaments supprimant le cortisol aurait potentiellement entraîné de graves boucles de feed-back négatif.

DNP : DNP a affecté le cycle de Krebs en faisant que les mitochondries créent de la chaleur au lieu de l'ATP (énergie). Elle l'a fait en introduisant beaucoup d'ions d'hydrogène entre les deux membranes cellulaires externes. Le cycle de Krebs est une série de réactions chimiques qui se produisent dans les mitochondries qui sont responsables de la dégradation de molécules de nutriments pour former de l'eau et du dioxyde de carbone, ainsi que l'ATP. En bref, DNP désaccouple le processus.

A propos plus de 50% d'augmentation du taux métabolique ont eu lieu avec l'utilisation de 5mg/kg de DNP par jour. Pour la plupart des compétiteurs cela se traduit par une perte de graisse jusqu'à 6-10LBS dans une période de 7 jours.

La plupart de cette chaleur est la chaleur de surface et non la chaleur interne, il était donc nécessaire de surveiller sa température corporelle; 101-102 degrés n'était pas rare (chaleur de surface). Aussi il était fréquent de dormir dans une chambre climatisée ou avec un ventilateur sur son visage pendant le sommeil. Bien que je ne prétendrai jamais que DNP soit sûr, je vais dire qu'une dose maximale de 5mg/kg par jour, n'apparait pas être dangereux pour la plupart des individus.

À une dose aussi faible que 8mg/kg par jour, DNP aurait pu être MORTEL!!!

Pendant les périodes d'utilisation de DNP, notre athlète a connu des périodes de grandes soif de glucides. Habituellement 25-50 grammes de peptide ou L-Glutamine résout le problème. L'arginine a bien fonctionné aussi, mais nous avons eu une autre utilisation pour cet acide aminé de la masse musculaire, dont nous discuterons plus tard.

Un autre facteur qui m'a fasciné par DNP est sa capacité à éviter une accumulation de graisse pendant l'utilisation de l'insuline. Elle l'a fait en ''vissant'' la forme de la molécule d'insuline. Cela signifie également qu'il était beaucoup plus difficile
de devenir hypoglycémiant lors de l'utilisation combinée de DNP et de l'insuline

De toute évidence, l’utilisation de DNP a augmenté le PTOR, ce qui a donc permis ensuite une augmentation de la disponibilité des nutriments dans les cellules.

Je croyais personnellement que DNP était très utile, mais qu'il devait être utilisé avec prudence et sérieux. Certains utilisateurs ingéraient simplement 5mg/kg en une prise le matin.
D'autres ont éclaté en 2 doses également divisées. J'ai aimé la capacité de DNP à effacer les sites récepteurs. Cela a été particulièrement efficace pour la clairance et la numération des récepteurs aux androgènes, avec une régulation à la hausse.

Tout en utilisant DNP, notre athlète a dû s'entrainer avec les séries supérieures et des charges de poids inférieures. En effet, les utilisateurs de DNP ont connu des crampes musculaires graves et des larmes:( en raison de l'interférence avec l'ATP ré-synthètisée et d'autres facteurs.

Augmentation des globules rouges : les AAS tels que Anadrol-50 ont parfois été utilisés comme un procédé d'augmentation du nombre des globules rouges. Cela a permis à une bête de paraître beaucoup plus complet et vascularisé parce qu'il y
avait plus de sang pour développer le tissu vasculaire (comme les veines et les muscles).

Il y a bien sûr une corrélation entre le nombre de globules rouges et l'hématocrite. Je l'ai souvent vu, des athlètes ayant un hématocrite dépassant de plus de 52, la plage de référence plus sûr. Au lieu d'utiliser l'un des nombreux médicaments de contrôle de l'hématocrite, il a toujours été tellement plus sain de faire un don de sang simplement. La réduction est immédiate et efficace ... et beaucoup plus saine.

Eprex est une protéine qui a aidé à induire une augmentation du nombre de globules rouges. Il a aussi été utilisé pré-concours pour créer une meilleure vascularisation et une musculature plus complète. Il a fallu environ un mois pour devenir efficace lors de l'utilisation des doses quotidiennes de 1000 UI / j en sous-cutanée. Les injections SC étaient beaucoup plus efficaces quand Eprex était le médicament utilisé. 60 jours d'utilisation totale était une période d'utilisation maximale

Une augmentation de la viscosité du sang trop élevée aurait pu entraîner des lésions cardiaques, vasculaires et cérébrales.

Eprex a souvent été utilisé comme méthode d'augmentation de soutien vasculaire pour un nouveau potentiel de croissance. Comme je l'ai expliqué à mainte reprise, un nouveau tissu ne pousse que s'il y a une offre existante de vascularité, de tissu
nerveux, ainsi que suffisamment de sang / nutriments pour l'alimenter adéquatement. S'il y a une incapacité existante pour les nerfs de communiquer avec les cellules ou un manque de tissu vasculaire pour fournir le sang, aucune croissance ne se produit.

Eprex était employé par quelques athlètes, mais d'autres l'ont sagement évité.

PGE-1 : PGE-1 est une prostaglandine du même groupe (mais pas de la série) comme PGF-2. La différence était que la taille créée par les injections profondes du site était principalement cosmétique et entraîne une augmentation de la taille durant 4-6 heures. Quand 10-20 mg de PGE-1 ont été injectés directement dans un muscle, un gonflement s'est produit dans les 10 minutes environ. Utiliser pour les bras comme par exemple, 10 à 20 mg ont été injectés profondément dans chaque biceps / triceps, ce qui a entraîné une augmentation de la taille de 1-2" (2,5-5cm) par bras.

Cela a été utilisé comme une « solution de dernière minute » pour les parties du corps en retard évident. PGE-1 est venu dans des vials de 1cc, fournissant 10 ou 20 mg. Nollatil, Kaverject (ampoules de 5cc) et PGE-1 générique. Ils sont tous deux utilisés en médecine pour induire l'érection du pénis pour ceux qui ont des problèmes. Je trouve intéressant que la recherche a constaté que l'utilisation régulière, à cet effet, a donné des gains de taille permanents. Oui, là aussi. La question des couches, non compris la fondation AAS et le contrôle des œstrogènes, était une question de l'amélioration des résultats synergiques.

A suivre...
 
Et si nous commencions ?
Après ces quelques rappels, il est tant de construire un protocole digne de notre athlète.

En commençant par la fondation AAS, notre athlète a utilisé des périodes ou des phases de 2 à 6 semaines. je pense qu’il n’était pas nécessaire d’administrer des méga-doses d'AAS pendant les périodes de calories restreintes. Cela était dû au fait qu'il n'y avait tout simplement pas assez de calories pour soutenir beaucoup de croissance ...

C'est pour cette raison, que la fondation inclus environ 2-3 mg / lb par semaine d'une testostérone à action rapide, 1 à 2 mg / lb par semaine d'un AAS anabolique / androgénique modéré et 1 mg / lb par semaine d’anaboliques / anabolisants élevés
pendant les 6 premières semaines.

La deuxième période de 6 semaines comprenait un niveau légèrement plus élevé de testostérone, 1-2mg / lb / semaine d'un haut anabolisant / bas androgène AAS et 1-1,5 mg / lb hebdomadaire d'un stéroïde androgène très élevé qui a aidé à la rétention de la
masse maigre et l'augmentation de la perte de graisse dans un état restreint en calories .
Pour l'AAS androgène très élevé, Primobolan, Masteron, Finabolan, acétate de trenbolone, ou Primobolan Depot (pas dans cet ordre) étaient de bons choix. Souvent Winstrol a été ajouté au cycles pré concours préparation pour la même raison. Je dois admettre que la qualité accrue des muscles et de la séparation quand il a été utilisé pour les injections de site comme dans les pecs.

Les résultats auraient pas été tout aussi impressionnant, mais quelques athlètes ont utilisé une fondation d'AAS beaucoup plus économique.
2 à 3 mg / lb de propionate de testostérone par semaine ou un peu de testostérone
Enanthate. Nous avons ajouté 2 mg / lb de Deca Durabolin par semaine et la base a été fixée.
Certains croyaient que les nandrolones laissaient un athlète plat. C'était en fait un facteur de faible activité de la DHT associée à une charge en glycogène inappropriée.

La deuxième période de 6 semaines a fourni 2,5 à 3,5 mg / lb de testostérone par semaine Propionate ou énanthate, 1 mg / lb par semaine de Deca ou Equipoise, et 1 mg / lb par semaine de Primobolan Depot. Le Primo avait également été remplacé par Masteron ou Finabolan, mais cela est devenu un autre problème de coût.

Plus tard, j'expliquerai comment toute la préparation du concours avait été réduite à 9 semaines ou moins pour les athlètes qui ne s'étaient pas permis de devenir trop gras. C'était principalement une question de qualité musculaire acquise pendant la phase de gain de masse.

VIAL # 1 (100 ml Vial)
Deca 16,5 ml (100 mg / ml)
Equipoise 33 ml (50 mg / ml)
Propionate de testostérone 33 ml (100 mg / ml)
Synthol 1 ml
Alcool benzylique 0,5 ml
Total = 84 ml
* 2 ml par jour pendant 42 jours

VIAL # 2 (100 ml Vial)
Parabolan 33 ml (100 mg / ml)
Equipoise 33 ml (50 mg / ml)
Propionate de testostérone 39 ml (100 mg / ml)
Alcool benzylique 0,5 ml
Total = 105,5 ml
*2,5 ml par jour pendant 42 jours

La vial # 1 a permis l'injection de 2 ml par jour. Diviser ces en 2 x 1 ml de chaque côté d'une partie du corps entrainé ce jour-là. La testostérone grimpe vraiment jusqu'à l'intensité de l'entrainement, tout en aidant à la récupération après l'effort. Equipoise a bien fonctionné comme un médicament de rétention de masse maigre tout en ajoutant à la synthèse supérieure des protéines et en épargnant les effets de Deca. Je pense que Deca attire trop d'eau lorsqu'il est utilisé par certaines personnes, même avec une bonne couche de suppression d’œstrogène. C'est mon avis, Il n'a pas été mon « meilleur choix » personnel au cours des dernières semaines avant un concours.

La vial # 2 autorise 2,5 ml par jour, de toute évidence divisé en 1,25 ml de chaque côté de chaque partie du corps entrainée dans la journée. Parabolan est un incroyable AAS. Il a considérablement augmenté la dureté, la force, et a aidé à la combustion des graisses. Cependant, il était rugueux sur les reins, et notre athlète avait besoin d'augmenter sa consommation d'eau jusqu'au deux dernières jours de la préparation. (Masteron était par quelques uns employés avec succès pour remplacer Parabolan tout comme Finabolan / trenbolone lorsque les facteurs de synchronisation sont pris en compte).

Exemple 1
L'exemple suivant de couches est assez simple. La couche AAS a été suivi avec un contrôle strict des œstrogènes.

Les périodes prolongées AAS ont entraîné une augmentation significative du taux de production d'aldostérone due à l'activité œstrogénique et à la stimulation des reins / des glandes surrénales. Le contrôle était une obligation ou notre athlète aurait semblé lisse et gorgé d'eau. Nolvadex seul ne le fais pas complètement.

GH a été intégré à la fondation AAS avant 8 à 12 semaines avant la compétition. La date du concours selon un protocole quotidien qui augmente ou augmente progressivement les doses. Ceci a aidé à maintenir l'activité ou contré la régulation à la hausse résultante de somatostatine. L'acide aminé arginine a été inclus pour faciliter le contrôle de la somatostatine.

La GH a été retirée 6 à 7 jours avant le jour de la compétition car de nombreux athlètes retiennent l'eau sous-cutanée pendant son utilisation. Cela prend 5-6 jours pour que cela soit effacé.

En raison de la restriction calorique et l'utilisation de GH, l'activité hormonale de la thyroïde a diminué comme la résultante de la conversion endogène. Pour quelques athlètes triacana a été utilisé avec succès pour restaurer et élever légèrement les niveaux T-3 jusqu'aux derniers jours avant un spectacle.

La dose efficace la plus courante est de 1 mg / 50 lb de poids corporel par jour répartis en 4 doses égales. Plus ne fera pas augmenter l'activité hormonale de la thyroïde. Triacana a également été utilisé sur les jours sans Cytomel pour assurer les niveaux T-3 adéquats. Rappelez-vous: triacana avait une demi-vie de 6 heures.

Cytomel (T-3) a été stratifiée en début de 6-8 semaines avant une compétition. Ce fut beaucoup pour la plupart des athlètes, à moins qu'ils avaient obtenu trop de gras pendant les phases de masse. L'objectif était d'être maigre et déchiré, ne pas
être hypothyroidique pour la vie ou agir contre tout ce qui anabolisant / chimie anti-catabolique. (Les chances de ce genre sont très faibles, mais la pridence est pas un choix judicieux).

Les dosages d'hormones thyroïdiennes ont dû être ajustés en ce qui concerne les dosages chimiques anabolisants / anti-cataboliques. Pas l'inverse. C'est ainsi des niveaux de dosage efficaces ont été dépassés et le potentiel de croissance à long terme détruit. Un pas après l'autre!!

Cytomel a été utilisé 2 jours ON 2 jours OFF dans le protocole jusqu'au 20-30 derniers jours avant la compétition.Donc, à partir de 6 semaines lors d’une préparation au concours de 12 semaines, les dosages étaient: semaine 7-8 50-100 mcg / j, # 9-10 75-150 mcg / j, # 11-12 100-200 mcg / j. Triacana a été utilisé de manière efficace les jours sans Cytomel et à raison de 100 à 200 µg / j de Cytomel a été utilisé quotidiennement les 20 derniers jours sans interruption.

Il est évident que la synergie entre AAS et GH a augmenté la rétention de la masse maigre et / ou de croissance (lorsque l'utilisation d'hormones de la thyroïde n'a pas été excessive) et la métabolisation des graisses est importante.

Au cours des 3 dernières semaines avant un concours, il est couramment utilisé PGF- 2 et / ou IGF-1 pour faire apparaître les parties du corps faibles. Comme mentionné avant, certaines parties du corps perdent de la masse plus rapidement que d'autres pendant des périodes limitées en calories. Ce serait évidemment potentiellement détruire la symétrie. PGF-2 a également aidé dans un effet de durcissement et de perte de graisse. Cela était dû à une réponse synergique avec T-3 et GH, mais aussi par une voie métabolique différente. J'ai vu des athlètes ajouter 2-3 pouces à leurs bras et / ou à leurs mollets au cours des 3 dernières semaines avant un spectacle.

D'autres groupes musculaires ont également eu cette réponse à PGF-2 / IGF-1 lors d'une administration spécifique au site. La dose d'IGF-1 efficace minimale moyenne était de 0,10 mcg / kg 3- 5xd. La posologie pour les PGF-2 était de 2 mg 3-5xj.

A suivre...
 
A partir de 8 semaines avant un concours, on a utilisé Clenbuterol et une pile éphédrine / caféine en rotation tous les 2 jours. Cela a également aidé dans la conversion de T-4 en T-3, tout en offrant des qualités anti-cataboliques et thermogénique augmentés
.
A partir de 8 semaines, au cours de la préparation du concours de 12 semaines, un exemple de pile ressemblait à ceci:
Semaine # 5-6 Clen. 80-100mcg /j -Eph 25 mg + Caff. 250 mg 3xj;
Semaine # 7-8 Clen. 100-120 mcg /j -Eph. 25 mg + Caff. 250 mg 3xj,
Semaine # 9-10 Clen. 120-140 mcg /j - Eph. 25 mg + Caff. 250 mg 3xj;
Semaine # 11 - 12 Clen. 140-160 mcg /j -Eph. 25 mg + Caff. 250 mg 3xj.

Si notre athlète n'utilise pas PGF-2, il a augmenté la posologie de Clenbuterol de 20 mcg supplémentaire pour chaque segment de 2 semaines. Certains athlètes utilisent 50-100% des doses plus élevées, mais pourquoi éviter un seuil efficace plus que nécessaire?

les doses de clenbutérol ont été divisés en 2-4 doses quotidiennes égales en raison de du risque d'éprouvé un certain malaise à l'estomac avec des protocoles de dosage unique.

Il est nécessaire de contrôler régulièrement sa température corporelle pour garantir la dose efficace et la santé. Plus de 101 degrés était trop élevé, sous 99,6 degrés était trop bas (les taux d'hormones thyroïdiennes surélevés ont également augmentés la
température corporelle).

• La GH a été stoppée les 6-7 derniers jours avant la compétition. Cela a aidé dans le chargement des glucides et de l'épuisement de l'eau.
• Au cours des 1-2 derniers jours, on utilise 40 mg/j de Lasilix pour éliminer l'excès d'eau.
• On a également utilisé avec succès 8-10 iu Humalog 2xd avec 10 g de créatine, 75 g de dextrose, 25 g de glutamine, 400 mg d'acide lipoique pendant la période de chargement des hydrates de carbone les 2-3 derniers jours.
• Certains compétiteurs ajoutent PGF-2 semaines # 10 2 mg 3xj, #11 2 mg 4xj, # 12 - 2 mg 5xj.

EXEMPLE 1
Week 1 Vial # 1-2 ml/d GH 2 iu/2xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 20mg/d
Week 2 Vial # 1 -2 ml/d GH 2 iu /2xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 20mg/d
Week 3 Vial # 1-2 ml/d GH 2 iu/2xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 20mg/d
Week 4 Vial # 1-2 ml/d GH 2 iu/2xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 20mg/d
Week 5 Vial # 1-2 ml/d GH 2 iu/3xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 30mg/d
Week 6 Vial # 1-2 ml/d GH 2 iu/3xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 30mg/d
Week 7 Vial # 1 -2 ml/d GH 2 iu/3xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 30mg/d
Week 8 Vial #2- 2 . 5 ml/d GH 2 iu/3xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 30mg/d
Week 9 Vial #2- 2 . 5 ml/d GH 2 iu/4xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 40mg/d
Week 10 Vial #2- 2 . 5 ml/d GH 2 iu/4xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 40mg/d IGF-1 3xd
Week 11 Vial # 2 - 2 . 5 ml/d GH 2 iu/4xd Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 40mg/d IGF-1 4xd
Week 12 Vial #2- 2 . 5 ml/d Arimidex 1.5mg/d Nolvadex 40mg/d IGF-1 5xd

• Certains n'ont pas répondu à GH jusqu'à ce que les doses quotidiennes étaient au moins de 9iu
• Arimidex possédait «certaines» qualités de contrôle anti-catabolique / cortisol. Cependant, il a été plus efficace quand il a été empilé avec un inhibiteur de cortisol les 4 dernières semaines avant un concours. 2 jours on, 2 jours off était toujours le meilleur. Pour cela, nous pouvions employer trois choix:
1. Cytadren-500 mg / j la semaine 9, 750 mg / j la semaine 10, 1000 mg / j semaine 11 - 12.
2. Metryapone-500 mg / j semaine 9-12.
3. trilostane -120 mg / j la semaine 9, 180 mg / j la semaine 10, 240 mg / j semaine 11 - 12.
• Mirtazapine 15mg / j a été utilisé avec succès pour cette raison au cours des 3 dernières semaines.

Il convient de noter que les périodes d'utilisation prolongées à haute dose d'inhibiteurs de cortisol (sauf Mirtazapine) influence la production d'ACTH qui induit des problèmes de cortisol non contrôlés.

L'utilisation de différents médicaments de suppression de cortisol sur les horaires alternatifs ou consécutifs, aurait été théoriquement plus bénéfique pour retarder Action / Facteurs de réaction et des boucles de feed-back négatif.

Un exemple utilisé par quelques athlètes était que Metryapone inhibe l'hydroxylation 11-bêta- dans le cortex surrénal alors que trilostane inhibe l'enzyme isomérase 3-bêta- delta hydroxystéroïde déshydrogénase 5,4.

Cela a été deux voies métaboliques différentes qui ont accompli le même objectif de suppression du cortisol et / ou l'inhibition des œstrogènes.
Notre athlète avait besoin de régénérer le bon fonctionnement de son axe HPTA après la compétition puisque ce protocole a été long. Cela signifiait HCG, Teslac et Proviron ou l'une des méthodes.

Proviron a également été universellement utilisé avec succès au cours de 3-8 dernière semaine avant le concours pour améliorer la dureté.

A suivre...
 

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