TRT

Perso 44ans: j'ai testé 125mg Testoviron par semaine le dimanche en SC. pendant 1 année, je n'ai rien remarqué de significatif toutes mes constantes était dans la norme.

Je test 250mg par semaine depuis 3 mois. Après consultation avec mon Endo. il n'y a rien d'alarmant ma Testo est que 15% en-dessus la norme et e2 normale. Cependant, j'ai effectivement une meilleure libido et une perte de gras significative.

Il y a 3 ans j'avais testé 250mg en IM mais j'ai commencé à avoir les tétons sensible preuve que le IM doit être bien plus efficient.
 
Bonjour,

Si vous décidez de faire seul sans votre endocrinologue ( ce que je vous déconseille ), je vous conseille d'augmenter progressivement les fréquences d'injections, c'est à dire essayer d'abord une fois tous les 18 jours, puis toutes les 2 semaines, puis tous les 10 jours etc, en réduisant les doses pour que le dosage sur plusieurs injections reste le même.

Moins vous ferez d'injections mieux vous vous porterez, 2 injections par semaines pour beaucoup ( la majorité ) des patients, ce n'est pas nécessaire, attendez de voir ce dont VOUS avez besoin, l'idéal étant de faire la prise de sang juste avant la prochaine injection.
 
Perso 44ans: j'ai testé 125mg Testoviron par semaine le dimanche en SC. pendant 1 année, je n'ai rien remarqué de significatif toutes mes constantes était dans la norme.

Je test 250mg par semaine depuis 3 mois. Après consultation avec mon Endo. il n'y a rien d'alarmant ma Testo est que 15% en-dessus la norme et e2 normale. Cependant, j'ai effectivement une meilleure libido et une perte de gras significative.

Il y a 3 ans j'avais testé 250mg en IM mais j'ai commencé à avoir les tétons sensible preuve que le IM doit être bien plus efficient.
Ton endo t as prescrit une injection de 250mg par semaine?
 
Bonjour,

Si vous décidez de faire seul sans votre endocrinologue ( ce que je vous déconseille ), je vous conseille d'augmenter progressivement les fréquences d'injections, c'est à dire essayer d'abord une fois tous les 18 jours, puis toutes les 2 semaines, puis tous les 10 jours etc, en réduisant les doses pour que le dosage sur plusieurs injections reste le même.

Moins vous ferez d'injections mieux vous vous porterez, 2 injections par semaines pour beaucoup ( la majorité ) des patients, ce n'est pas nécessaire, attendez de voir ce dont VOUS avez besoin, l'idéal étant de faire la prise de sang juste avant la prochaine injection.

Voilà le 'travail' de son médecin

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Il monte à presque à 30ng au début puis fini a zéro, j'ai pas la prétention d'être aussi caler qu'un endocrinologue mais c'est n'importe quoi

avec ma façon de faire il va ce retrouver avec un taux stable qui sera dans la norme haute, après on peu encore baisser le dosage si on veut avoir un taux plus bas.
 
Mon Endo m'avait préscrit 125mg/semaine

Je fais le protocole 250/semaine à mes propres risques est périls.

Pour l'instant mes e2 sont dans la norme sans AI

Je referai un test sanguin dans 2 mois pour me faire une idée difinitive.
 
Pour tester les pours et contres du protocole.

Et aussi pour avoir une vision empirique du produit.

Pour avoir fréquenté plusieurs coachs dans le domaine du bodybuilding. Les cures anabolisantes de la Testo commence à 500mg/semaine (selons eux...). En-dessous en reste encore dans du wellness.
 
Dernière édition:
Pour tester les pours et contres du protocole.

Et aussi pour avoir une vision empirique du produit.

Pour avoir fréquenté plusieurs coachs dans le domaine du bodybuilding. Les cures anabolisantes de la Testo commence à 500mg/semaine. En-dessous en reste encore dans du wellness.
500mg semaine eux là c'est Juste énorme a part si tu veux atteindre plus de 100kg propre
Perso je suis en Cruise 125mg tout les 5jours depuis 4mois j’ai deja pris 5kg propre et je fais pas de body
 
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Voilà le 'travail' de son médecin

Regarde la pièce jointe 13331

Il monte à presque à 30ng au début puis fini a zéro, j'ai pas la prétention d'être aussi caler qu'un endocrinologue mais c'est n'importe quoi

avec ma façon de faire il va ce retrouver avec un taux stable qui sera dans la norme haute, après on peu encore baisser le dosage si on veut avoir un taux plus bas.

Bonjour,

Je suis bien au courant des calculateurs comme steroidcalc.com.

Il y a trois choses que vous devez prendre en compte :

- Le statu d'endocrinologue fait que la prescription de testostérone enanthate est encadré à minima par les modalités de prescriptions qui ont été définies lors de sa mise sur le marché. S'il est tout simplement impossible pour un endocrino de commencer à 250mg ( ou même 125mg ) par semaine, il est en revanche possible d'augmenter la posologie ou de réduire l'intervalle entre les injections si les bilans montrent des fluctuations ou des taux insatisfaisants.
Le profile de tolérance clinique encore incertain même si globalement rassurant ( la communauté scientifique n'étant toujours pas convaincue de façon certaine du caractère anodin sur le plan cardio vasculaire d'une supplémentation "physiologique" en terme de quantité par exemple ) force également à une approche plus prudente - et donc souvent plus lente pour le patient.
En l'occurrence son endocrino l'a visiblement déjà prévenu que l'intervalle serait réduit, ce qui je pense on peut le dire est du bon boulot.
Attention je ne dis pas que c'est la méthode idéale, mais c'est celle qui résulte aussi d'un système de soin comme le notre, avec des inconvénients comme celui ci certes mais des avantages inégalés.

- La posologie efficace la plus faible est toujours recherchée, a fortiori quand le mode d'administration ( intra musculaire ) est source d'effets secondaires locaux-régionaux fréquents. De la même façon, plus la prise médicamenteuse est espacée, meilleure est l'observance, soyez certain que la majorité des patients préféraient une injection par mois si c'était possible.

- Le graphique utilisé ne tient absolument pas compte des différences de métabolisation entre les individus, ni de toute autre variantes.
Le decanoate ou l'enanthate par exemple ont déjà étés retrouvés comme ayant une demi vie plus longue après une administration chronique comparé à une administration de quelques mois ( une pensée pour les bodybuildeurs sous testo E ou P qui en réalité font donc des bridges de plus en plus court ).
La vitesse d'élimination, les variantes génétiques des différents cytochromes impliqués, la clope, l'âge, les différences ethniques et autres sont imputables d'une variance qui va du simple au double en terme de demie vie.
Pour chaque patient qui se retrouve dans le graphique que vous avez posté, il en existe un qui sera lui largement surdosé au moins la moitié du temps, et seul les résultats sanguins pourront réellement permettre de poser la pharmacocinétique propre du patient en question.



J'espère avoir été clair.
 
Bonjour,

Je suis bien au courant des calculateurs comme steroidcalc.com.

Il y a trois choses que vous devez prendre en compte :

- Le statu d'endocrinologue fait que la prescription de testostérone enanthate est encadré à minima par les modalités de prescriptions qui ont été définies lors de sa mise sur le marché. S'il est tout simplement impossible pour un endocrino de commencer à 250mg ( ou même 125mg ) par semaine, il est en revanche possible d'augmenter la posologie ou de réduire l'intervalle entre les injections si les bilans montrent des fluctuations ou des taux insatisfaisants.
Le profile de tolérance clinique encore incertain même si globalement rassurant ( la communauté scientifique n'étant toujours pas convaincue de façon certaine du caractère anodin sur le plan cardio vasculaire d'une supplémentation "physiologique" en terme de quantité par exemple ) force également à une approche plus prudente - et donc souvent plus lente pour le patient.
En l'occurrence son endocrino l'a visiblement déjà prévenu que l'intervalle serait réduit, ce qui je pense on peut le dire est du bon boulot.
Attention je ne dis pas que c'est la méthode idéale, mais c'est celle qui résulte aussi d'un système de soin comme le notre, avec des inconvénients comme celui ci certes mais des avantages inégalés.

- La posologie efficace la plus faible est toujours recherchée, a fortiori quand le mode d'administration ( intra musculaire ) est source d'effets secondaires locaux-régionaux fréquents. De la même façon, plus la prise médicamenteuse est espacée, meilleure est l'observance, soyez certain que la majorité des patients préféraient une injection par mois si c'était possible.

- Le graphique utilisé ne tient absolument pas compte des différences de métabolisation entre les individus, ni de toute autre variantes.
Le decanoate ou l'enanthate par exemple ont déjà étés retrouvés comme ayant une demi vie plus longue après une administration chronique comparé à une administration de quelques mois ( une pensée pour les bodybuildeurs sous testo E ou P qui en réalité font donc des bridges de plus en plus court ).
La vitesse d'élimination, les variantes génétiques des différents cytochromes impliqués, la clope, l'âge, les différences ethniques et autres sont imputables d'une variance qui va du simple au double en terme de demie vie.
Pour chaque patient qui se retrouve dans le graphique que vous avez posté, il en existe un qui sera lui largement surdosé au moins la moitié du temps, et seul les résultats sanguins pourront réellement permettre de poser la pharmacocinétique propre du patient en question.



J'espère avoir été clair.
Effectivement chaque personnes réagit différemment c'est pour cela que les prises de sang sont tellement importante à tous les niveaux
 
Bonjour,

Je suis bien au courant des calculateurs comme steroidcalc.com.

Il y a trois choses que vous devez prendre en compte :

- Le statu d'endocrinologue fait que la prescription de testostérone enanthate est encadré à minima par les modalités de prescriptions qui ont été définies lors de sa mise sur le marché. S'il est tout simplement impossible pour un endocrino de commencer à 250mg ( ou même 125mg ) par semaine, il est en revanche possible d'augmenter la posologie ou de réduire l'intervalle entre les injections si les bilans montrent des fluctuations ou des taux insatisfaisants.
Le profile de tolérance clinique encore incertain même si globalement rassurant ( la communauté scientifique n'étant toujours pas convaincue de façon certaine du caractère anodin sur le plan cardio vasculaire d'une supplémentation "physiologique" en terme de quantité par exemple ) force également à une approche plus prudente - et donc souvent plus lente pour le patient.
En l'occurrence son endocrino l'a visiblement déjà prévenu que l'intervalle serait réduit, ce qui je pense on peut le dire est du bon boulot.
Attention je ne dis pas que c'est la méthode idéale, mais c'est celle qui résulte aussi d'un système de soin comme le notre, avec des inconvénients comme celui ci certes mais des avantages inégalés.

- La posologie efficace la plus faible est toujours recherchée, a fortiori quand le mode d'administration ( intra musculaire ) est source d'effets secondaires locaux-régionaux fréquents. De la même façon, plus la prise médicamenteuse est espacée, meilleure est l'observance, soyez certain que la majorité des patients préféraient une injection par mois si c'était possible.

- Le graphique utilisé ne tient absolument pas compte des différences de métabolisation entre les individus, ni de toute autre variantes.
Le decanoate ou l'enanthate par exemple ont déjà étés retrouvés comme ayant une demi vie plus longue après une administration chronique comparé à une administration de quelques mois ( une pensée pour les bodybuildeurs sous testo E ou P qui en réalité font donc des bridges de plus en plus court ).
La vitesse d'élimination, les variantes génétiques des différents cytochromes impliqués, la clope, l'âge, les différences ethniques et autres sont imputables d'une variance qui va du simple au double en terme de demie vie.
Pour chaque patient qui se retrouve dans le graphique que vous avez posté, il en existe un qui sera lui largement surdosé au moins la moitié du temps, et seul les résultats sanguins pourront réellement permettre de poser la pharmacocinétique propre du patient en question.



J'espère avoir été clair.


au dela des variabilités inter individuelles, ce qui me derange le plus avec ce genre de calculateur c est qu on a le pic de testo au moment de l injection, ce qui, d un point de vue pharmacocinetque est faux.
 
Je vois que beaucoup injectent en SC, quelle différence ? Il me semblait que la testo c'était IM, c'est d'ailleurs ce qui est écrit sur les notices medicales de landrotardyl
 
Je vois que beaucoup injectent en SC, quelle différence ? Il me semblait que la testo c'était IM, c'est d'ailleurs ce qui est écrit sur les notices medicales de landrotardyl
D apres ce que j ai pu lire la seule différence notable c est la durée d assimilation du produit qui est un peu plus longue pour le sc, mais cela reste possible que pour de tres petite dose comme la trt sinon ca fait des boules sous la peaux.
 
Je vois que beaucoup injectent en SC, quelle différence ? Il me semblait que la testo c'était IM, c'est d'ailleurs ce qui est écrit sur les notices medicales de landrotardyl
Moi, je déconseille en sous cutané, c'est plus douloureux qu'en intra musculaire, ou alors peut-être de très petites doses.
 
Perso : le SC me convient bien, le truc c'est de ne pas dépasser 0.5ml par spot.

La diffusion se fait très lontement, ce qui évite les piques de œstrogènes (théorie personnelle)

Avec les IM j'avais les tétons sensibles preuves que mes œstrogènes étaient montés.
 
Y a une video sur youtube du dr john crisler qui évoque la trt par sc et qu il s' administre sur cette video tres intéressante mais j arrive pas a metyre le lien.
 

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