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Oui, surment aucune passion
L'un n'empêche pas l'autre. Toi-même, tu as essayé d'éclairer samsrah sur le coté addictif des cures ->
Exactement, c'est toujours la même musique.

Je devais faire un cycle moi aussi, maintenant j'ai 10ui de GH, 2 g de stéroïdes et 5 médicaments pour pas en mourir... Et un divorce mais c'est bonus
Une autre fois -ça m'a marqué- tu avais hâte d'entrer en blast, et tu as dit, en substance : "quand je suis bien musclé, je suis MOI".

Je te lis avec intérêt et je constate que parfois tu es lucide et parfois tu te voiles la face, c'est étrange.
 
L'un n'empêche pas l'autre. Toi-même, tu as essayé d'éclairer samsrah sur le coté addictif des cures ->

Une autre fois -ça m'a marqué- tu avais hâte d'entrer en blast, et tu as dit, en substance : "quand je suis bien musclé, je suis MOI".

Je te lis avec intérêt et je constate que parfois tu es lucide et parfois tu te voiles la face, c'est étrange.

Honnêtement, je te vois souvent dire pas mal de conneries sur la muscu ou autres, et pourtant je te reprends pas à chaque fois sauf sur les énormités qui sortent du chapeau.

Ton message, là, il donne l'impression que les bodybuilders sont juste des junkies aux produits, genre 100 % dopés, 0 % passion. Comme si tout était chimique, sans rien derrière. Mais faut être réaliste : sans une vraie passion, t’endures pas une diète à 5000 ou 6000 kcal, t’enchaînes pas des entraînements intenses toute l’année, t’encaisses pas les effets secondaires ni les injections quotidiennes.

Tu crois qu’on fait ça juste pour "se voir gros" ? Non. Y’a un feu derrière, un engagement, une discipline. Et c’est pas parce qu’on est lucide sur les risques qu’on fait ça n’importe comment.

Donc ouais, "l’un n’empêche pas l’autre", mais ton message laisse surtout croire que chez les autres, y’a que l’un.

Et comme on dit :
“Y a ceux qui parlent, et y a ceux qui font.”
 
Tu crois qu’on fait ça juste pour "se voir gros" ? Non. Y’a un feu derrière, un engagement, une discipline. Et c’est pas parce qu’on est lucide sur les risques qu’on fait ça n’importe comment.
y'a de l'effort, de la passion, des risques assumés, de la discipline pour un objectif physique. Tu as dit que tu voulais passer la barre des 100kg propre et, eventuellement, faire des compet..

Si c'était juste la passion du training et de la diet, tu n'aurais pas besoin de curer.
 
y'a de l'effort, de la passion, des risques assumés, de la discipline pour un objectif physique. Tu as dit que tu voulais passer la barre des 100kg propre et, eventuellement, faire des compet..

Si c'était juste la passion du training et de la diet, tu n'aurais pas besoin de curer.

Pour moi, dire que si c’était juste la passion du training et de la diète, on ne curerait pas, c’est mal poser le problème.

En réalité, c’est justement parce que la passion est là qu’on finit par cycler. C’est pas un manque. C’est une intensité.

Tu peux aimer profondément t’entraîner, vivre pour ça même… mais à un moment, quand t’as tout optimisé, tout structuré, et que t’as encore cette envie d’aller plus loin bah tu cherches les leviers qui te le permettent. Et dans ce monde-là, les produits en font partie.

Ce n’est pas que la passion ne suffit pas. C’est qu’elle ne s’arrête pas. Et c’est là que les cycles apparaissent. Pas comme un raccourci, mais comme un prolongement.

Y’en a qui aiment la course et qui s’arrêtent au footing du dimanche. Et y’en a qui finissent par faire des ultras en montagne. Est-ce qu’on peut dire que le gars qui court 120 km a moins d’amour pour le sport que celui qui en trottine 5 ? Pas vraiment.

La muscu, c’est pareil. Certains aiment soulever, progresser, se sentir bien et ça leur suffit. D’autres ont un objectif plus extrême, parfois plus démesuré. Et à ce niveau-là, la passion ne disparaît pas. Elle devient juste plus exigeante.
 
quand t’as tout optimisé, tout structuré, et que t’as encore cette envie d’aller plus loin bah tu cherches les leviers qui te le permettent.
qu'est-ce que tu appelles "aller plus loin" ?
sur ton précédant message, à aucun moment tu n'as parlé de ton physique.. y'a pas de honte à reconnaitre que le Bodybuilding c'est le culte et le developpement du corps. Tu es bodybuilder, pas powerlifter ou halterophile.

Peut-être que tu aimes vraiment t'entrainer, mais si ton physique se mettait à régresser malgré tous tes efforts, malgré tous les risques , tu continuerais tout pareil et tu serais bien dans tes basquets ?
 
qu'est-ce que tu appelles "aller plus loin" ?
sur ton précédant message, à aucun moment tu n'as parlé de ton physique.. y'a pas de honte à reconnaitre que le Bodybuilding c'est le culte et le developpement du corps. Tu es bodybuilder, pas powerlifter ou halterophile.

Peut-être que tu aimes vraiment t'entrainer, mais si ton physique se mettait à régresser malgré tous tes efforts, malgré tous les risques , tu continuerais tout pareil et tu serais bien dans tes basquets ?

Tu sais, je crois que t’opposes des choses qui coexistent.

Évidemment que le bodybuilding, c’est le développement du corps. Y’a zéro honte à le reconnaître, et je le revendique autant que toi.

Mais “aller plus loin”, pour moi, c’est pas juste avoir un tour de bras de plus. C’est continuer à repousser mes limites : physiques, mentaux, structurels, métaboliques. C’est comprendre ce que je suis capable d’encaisser, de construire, d’aligner pas juste ce que je suis capable de montrer.

Et pour ta question : oui, si mon physique régressait malgré tout, je continuerais. Parce que ce que j’ai gagné avec ce mode de vie dépasse largement les pectoraux : confiance, discipline, résilience, cadre.

Le physique est la conséquence visible d’un ensemble de choix et de sacrifices. Mais c’est pas le seul moteur. C’est pas juste une question d’image. C’est une construction identitaire.

Alors oui, je suis bodybuilder. Mais je le suis pour ce que ça forge, pas juste pour ce que ça reflète.
 
Atteindre 10 clients ? C’est là que le chaos commence.

Tout le monde dit vouloir 20 clients. Mais la plupart des coachs s’épuisent à 10.


Pourquoi ?



Parce que l’effort, la personnalisation et l’accompagnement individuel ne sont pas évolutifs. La logique, si.


Le coaching devient un goulot d’étranglement quand…



→ Tes bilans prennent trop de temps parce que chaque plan est construit à partir de zéro
→ Tu donnes trop émotionnellement et pas assez stratégiquement
→ Tu n’as ni limites ni système — donc tout semble urgent
→ Les clients disparaissent ou stagnent… et tu ne comprends même pas pourquoi


C’est ce qu’on appelle le piège de l’effort.
Ça fonctionne avec 3 à 5 clients.
Ça s’effondre dès que tu grandis.




À quoi ressemble un coaching scalable ?​


Dans J3U Coaching, voici comment on construit des systèmes qui grandissent sans perdre en qualité :




1. Un Processus de Bilan Structuré
→ Les mêmes questions, les mêmes visuels de suivi, le même déroulé chaque semaine
→ Tu repères des schémas — pas besoin de tout recréer de mémoire




2. La Logique Décisionnelle avant l’Énergie
→ Quand un bilan déraille, tu sais par quoi commencer :
→ Tendance du poids
→ Carnet d’entraînement
→ Indicateurs de récupération
→ Adhérence
→ Tu suis une hiérarchie — pas ton instinct




3. L’Automatisation comme Support, pas comme Remplaçant
→ Rappels de calendrier, modèles de formulaires, SOPs pour l’audit des plans
→ Tu n’as pas besoin de 10 heures. Tu as besoin de 10 exécutions intelligentes d’un bon système




4. Un Rythme Hebdomadaire, pas une Panique Quotidienne
→ C’est toi qui définis le tempo du coaching. Pas l’anxiété du client.




Anticipe l’échec avant qu’il n’arrive​


Si tu vois ces signaux d’alerte, ton système a besoin d’être retravaillé :


✅ Tu passes plus de temps dans les DM que sur les bilans
✅ Les clients envoient leur bilan en retard — ou pas du tout
✅ Réécriture constante des plans, sans système pour évaluer ce qui a marché
✅ Des décisions basées sur l’émotion, pas sur les données




La solution ?
Construis un système solide.


Un système qui aligne ton niveau de service avec un flux de travail répétable pour 20, 40, voire 100+ clients.


On n’a pas improvisé ce système.
On l’a construit dans J3U.


Et si tu coaches déjà — ou veux scaler — c’est par là que ça commence.




Entraîne intelligemment, progresse stratégiquement.

John Jewett, MS, RD founder, J3U.
 
Dernière édition:
Et pour ta question : oui, si mon physique régressait malgré tout, je continuerais. Parce que ce que j’ai gagné avec ce mode de vie dépasse largement les pectoraux : confiance, discipline, résilience, cadre.
Ok, je te le souhaite, je te souhaite aussi d'être bien dans ta peau avec un physique moins massif et propre, car ça arrivera bien un jour (pente descendante). C'est comme la beauté féminine, c'est pas éternel et certaines vivent mal de vieillir, surtout si toute leur vie a reposé sur leur apparence.

Juste pour préciser, dans mon cas, la motivation était mon physique, remplir mes vetements, avoir de gros muscles. Le reste était un moyen et j'avais pas vraiment de plaisir à m'entrainer. Je sais c'est pas bien, je n'étais pas "un vrai". Je crois que Flex Wheeler et Dexter Jackson (donc parmi l'élite) n'aimaient pas trop s'entrainer.
 
Ok, je te le souhaite, je te souhaite aussi d'être bien dans ta peau avec un physique moins massif et propre, car ça arrivera bien un jour (pente descendante). C'est comme la beauté féminine, c'est pas éternel et certaines vivent mal de vieillir, surtout si toute leur vie a reposé sur leur apparence.

Juste pour préciser, dans mon cas, la motivation était mon physique, remplir mes vetements, avoir de gros muscles. Le reste était un moyen et j'avais pas vraiment de plaisir à m'entrainer. Je sais c'est pas bien, je n'étais pas "un vrai". Je crois que Flex Wheeler et Dexter Jackson (donc parmi l'élite) n'aimaient pas trop s'entrainer.
Ok, bon désormais je pense qu’on peut arrêter le HS et revenir au sujet du topic.
 
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