Cycle d'essai Testosterone pour hypogonadisme : besoin d'avis

- Pour le côté dosage ridicule (@GLAC) : J'imagine en effet que pour les standards du forum c'est complètement pété comme dosage (même pour une TRT) mais pour cette première "mise en jambe" je vais bien être obligé de suivre les conseils du docs (surtout qu'il y'a des analyses à 3 et 6 mois pour voir la progression).

Ce dosage n’est pas ridicule. C’est le dosage standard pour un TRT et c’est ajusté par la suite par ton médecin selon tes analyses. Mais ce que les gens appellent un TRT sur ce forum n’a rien davoir un TRT médicalement justifié.
 
oui c'est vraiment au cas par cas comme toujours sur la nutrition
mais comme justement il a un problème avec sa testo, ça vaut peut être le coup d'essayer de monter les prots ou un peu les cals dans le total de la journée.

Pour la testostérone ce qui importe c’est les calories et le cholestérol. Les protéines moins.
 
C'est surprenant que tu veuilles acheter de L'UG alors que tu as un suivi médical.

Donc forcément une ordonnance !

Entre le poto qui a sa médecin Roumaine qui lui fait des ordonnances à l'œil et la pharmacie qui le livre pour je sais plus combien de mois...

Je comprends pas pourquoi tu veux taper de L'UG...
En plus, tu n'as pas l'ère bête du tout, donc là !
Tu peux expliquer ? Car je pige pas...
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Alors il y a un malentendu ou c'est moi qui me suis mal exprimé : C'était en réponse à Galac qui disait que le dosage était ridicule et que "soit on fait bien soit on ne fais pas" (sous entendu un plus gros dosage ou rien).
Ce que je voulais dire c'est que quand bien même en admettant qu'en le lisant je me dise "il a totalement raison, il faut que dès le début je charge plus" (donc ça signifie rajouter de la test hors prescription en supplément) je ne pourrais de toutes façons pas car je ne sais pas où en acheter, je n'ai pas les bases pour la chimie et ne sait même pas faire une injection (et en plus ça fausserai les analyses de sang prévues, aspect illégal, etc.).

Donc pour clarifier : ce n'est pas prévu du tout. Comme vous avez pu le constater, je flippe déjà comme une peureuse pour la demi ampoule mensuelle préscrite avec un suivi médical ce qui doit d'ailleurs en faire rire certains ici, alors imaginer de rajouter 2/3/4x la dose avec des produits underground.... Pas vraiment d'actualité lol.
 
Je peux te l'envoyer par mp en pdf le bouquin, mais ça va pas spécifiquement t'aider pour ce qui est de la trt.

Avec plaisir alors :) (j'ai essayé de regardé s'il y avait des ouvrages spécialement orienté sur la testo/TRT mais rien trouvé de concret ormis les 200 livres sur "comment booster naturellement votre testo" lol).
 
merci pour les précisions,
je voulais juste savoir si tu étais dans le même "délire" que nous!

donc apparemment tout est bien calé et tu prends soin de ta santé.
une chose me choque un peu, c'est 2000cals seulement?
c'est vraiment pas bcp, si tu étais une nana de 50kg OK mais là pour 73kg c'est peu.
si tu es sans arrêt en déficit calorique, au final ça finit toujours mal
110g de prots pour 73kg de pdc, ok tu es naturel mais tu peux aller à 140g
ok pour les lipides
il te reste env 200g d'hydrates env pour atteindre les 2000 cals, c'est peut être un peu light surtout que tu fais du cardio et des mouvements poly articulaires

c'est juste un avis perso, d'autres plus calés que moi pourront te répondre avec plus de précisions

A l'époque j'avais calculé mon TDEE de maintient pour calculer mon plan nutritionel de base et j'étais arriver à ça, avec le temps et le recul on est dans la cible.
Il m'arrive souvent de rajouter des carbs selon la forme et l'entrainement en pratique, mais je ne cherche pas à augmenter ma masse et au dessus de 2500+ kcal je vais vite prendre du gras ; Plus le même métabolisme qu'à 20 ans non plus :) )
 
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Réactions: dsv
A l'époque j'avais calculé mon TDEE de maintient pour calculer mon plan nutritionel de base et j'étais arriver à ça, avec le temps et le recul on est dans la cible.
Il m'arrive souvent de rajouter des carbs selon la forme et l'entrainement en pratique, mais je ne cherche pas à augmenter ma masse et au dessus de 2500+ kcal je vais vite prendre du gras ; Plus le même métabolisme qu'à 20 ans non plus :) )
si tu prends du gras au delà de 2500cals c'est qu'il y a un souci de métabolisme, je sais que ça arrive mais avec une activité physique c'est rare quand même
car tu penses prendre du gras, mais si tu n'essaies pas tu ne sauras pas,
attention je ne te force pas à bouffer!
juste une piste
tu as fais tester par ton doc ta fonction thyroidienne?
je pense que oui
 
Merci pour vos réponses !
Je suis assez client du style de dsv je dois dire, pas de détours ! :cool:

Pour répondre aux questions/commentaires :

- Pour le côté bouffe : c'est déjà bien au point depuis 10+ années, diète muscu somme toute classique et cadrée.
Je suis à 4x repas par jour, plan de base maintient à 2000 kcal / jour avec 110g de prot (pas besoin de plus en étant naturel et vu les entrainements), 75-80g de lipides et le reste en glucide (j'augmente ou baisse les glucides selon la forme et les entrainements).
Il y a 1.5 an je me suis dit "ça peut venir d'une carence" donc j'avais aussi repris à zéro tout le côté micronutriments et switché de fournisseur en passant sur du UNAE Elite pour le multivitamines pour être sur d'intégrer des produits de bonne qualité (ça a créer un léger mieux au début mais rien de transcendant).
Je me supplémente aussi depuis des années en magnesium, zinc, vitamine d3, omega 3, etc. donc pas de marge de progression ici non plus.
Et pour la bouffe industrielle, si je vais au mcdo ou fast food 1 fois par mois c'est déjà le bout du monde.
> Dans les questions de l'endocrino la bouffe a aussi été abordé, également le fait de est-ce que j'avais eu une perte de poids (ça peut baisser de beaucoup les hormones) mais ce n'est pas le cas pour moi.
Par contre j'ai très clairement mangé et bu de la merde industrielle en quantité jusqu'à mes 16 ans (avant que je commence la muscu), ça à surement contribué à accélerer le processus, je ne vais pas réécrire le passé par contre...

- Pour le côté sédentarité/sport : 4x séances par semaine (2x cardio et 2x full body avec du polyarticulaire type deadlift, squat, etc.), clairement mon objectif est plus axé santé que bodybuilding comparé à mes 20 ans (pas de page instagram à entretenir et encore moins de compétitions).
Pendant un moment j'avais tenté d'intégrer plus de séances muscu en pensant que ça pouvais stimuler/faire monter ma testo mais c'est l'inverse qui se produisant (mon corps récupère mal et crash complètement même en bouffant plus).
Pour le boulot je suis par contre le cul vissé sur une chaise de bureau tous les jours de toutes les semaines, après c'est très clairement un aspect que je ne vais pas pouvoir changer et devenir berger en plein air en marchant 30 km par jour ne va pas arriver lol

- Pour le côté évènement déclencheur : En effet ça a été demandé aussi par le doc du deuxième avis ("il a forcément dû se passer quelque chose à un moment") mais après avoir refait le film pas mal de fois je n'ai eu aucun évènement particulier (pas d'accident, pas de traitement médocs ou drogue dure, pas de mort traumatisante d'un proche, pas de prise de stéro ou que sais-je....).
J'ai juste eu un période d'une année et demi où j'ai bossé comme un esclave 50-60h semaine sans trop voir le soleil et avec du stress (cabinet d'audit) mais bon ce n'est plus le cas depuis 2+ ans maintenant donc je doute que ça ait eu un tel impact que ça ait complètement éteint mon système hormonal sans qu'il puisse repartir...
Par contre mon endocrino de consultation était plus à dire qu'il peut y avoir des dizaines de raisons possibles mais ce qui compte c'est de régler le problème : Soit effectivement un évènement particulier, la génétique, un traitement antérieur, prise de produits, environnement de manière général, un peu de tout ça combiné.... (on retrouve littéralement des microplastiques dans les prises de sang humain désormais et les perturbateurs endocriniens/plastique/microparticules de polution/additifs nocifs/etc. sont absolument partout aujourd'hui et depuis des dizaines d'années donc bon).

- Pour le côté génétique : Sur cet aspect on va pas se mentir, j'ai assez vite compris que génétiquement dans tous les cas je me situais plus près de Louis de Funes que de Hafþór Björnsson, bien malheureusement... lool :D
Après je suis pas un nain anorexique non plus (1m75, 73kg), pour l'anecdote je peux faire le tour de mon poignet et faire toucher mon pouce et index facilement (ne veut absolument rien dire en sois mais pour dire qu'on est clairement pas dans une génétique de viking alpha niveau structure osseuse haha).

- Pour le côté dosage ridicule (@GLAC) : J'imagine en effet que pour les standards du forum c'est complètement pété comme dosage (même pour une TRT) mais pour cette première "mise en jambe" je vais bien être obligé de suivre les conseils du docs (surtout qu'il y'a des analyses à 3 et 6 mois pour voir la progression).
Après vu mes niveaux actuels de vieillard, si j'arrive à passer sur un niveau de 18-20 nmol/L (donc pas dutout supraphysiologique) ça risque déjà de me changer la vie (en pourcentage on frôle le +100%).
Et pour la suite on verra, si malheureusement j'ai déjà des effets secondaires à ces faibles niveaux, inutile d'aller plus loin en chargeant plus de toutes manières.
Sachant que dans tous les cas je n'ai de toutes façons pas de source fiable pour acheter, je ne sais pas encore faire de piqûre IM (je dois passer par une infirmière pour les doses) et pas les connaissances assez solides pour le moment (je pense acheter "Anabolics" par William Llewellyn pour essayer d'avoir au moins des bases et ne pas dépendre totalement d'un docteur pour mon suivi, si vous avez des recommandations de bouquins sur le sujet n'hésitez pas ;)).

Voila pour le pavé du jour !
Fais 2200 , 2000 c'est trop leger
 
2500 calorie je suis propre.maintenace
3000 à 3500 calorie prise de masse pas plus.
2220 seche.
2000 calorie sèche pousse.
1800 sèche extrême.
1500 les derniers jours. Avant le rebond
 
Merci pour vos réponses !
Je suis assez client du style de dsv je dois dire, pas de détours ! :cool:

Pour répondre aux questions/commentaires :

- Pour le côté bouffe : c'est déjà bien au point depuis 10+ années, diète muscu somme toute classique et cadrée.
Je suis à 4x repas par jour, plan de base maintient à 2000 kcal / jour avec 110g de prot (pas besoin de plus en étant naturel et vu les entrainements), 75-80g de lipides et le reste en glucide (j'augmente ou baisse les glucides selon la forme et les entrainements).
Il y a 1.5 an je me suis dit "ça peut venir d'une carence" donc j'avais aussi repris à zéro tout le côté micronutriments et switché de fournisseur en passant sur du UNAE Elite pour le multivitamines pour être sur d'intégrer des produits de bonne qualité (ça a créer un léger mieux au début mais rien de transcendant).
Je me supplémente aussi depuis des années en magnesium, zinc, vitamine d3, omega 3, etc. donc pas de marge de progression ici non plus.
Et pour la bouffe industrielle, si je vais au mcdo ou fast food 1 fois par mois c'est déjà le bout du monde.
> Dans les questions de l'endocrino la bouffe a aussi été abordé, également le fait de est-ce que j'avais eu une perte de poids (ça peut baisser de beaucoup les hormones) mais ce n'est pas le cas pour moi.
Par contre j'ai très clairement mangé et bu de la merde industrielle en quantité jusqu'à mes 16 ans (avant que je commence la muscu), ça à surement contribué à accélerer le processus, je ne vais pas réécrire le passé par contre...

- Pour le côté sédentarité/sport : 4x séances par semaine (2x cardio et 2x full body avec du polyarticulaire type deadlift, squat, etc.), clairement mon objectif est plus axé santé que bodybuilding comparé à mes 20 ans (pas de page instagram à entretenir et encore moins de compétitions).
Pendant un moment j'avais tenté d'intégrer plus de séances muscu en pensant que ça pouvais stimuler/faire monter ma testo mais c'est l'inverse qui se produisant (mon corps récupère mal et crash complètement même en bouffant plus).
Pour le boulot je suis par contre le cul vissé sur une chaise de bureau tous les jours de toutes les semaines, après c'est très clairement un aspect que je ne vais pas pouvoir changer et devenir berger en plein air en marchant 30 km par jour ne va pas arriver lol

- Pour le côté évènement déclencheur : En effet ça a été demandé aussi par le doc du deuxième avis ("il a forcément dû se passer quelque chose à un moment") mais après avoir refait le film pas mal de fois je n'ai eu aucun évènement particulier (pas d'accident, pas de traitement médocs ou drogue dure, pas de mort traumatisante d'un proche, pas de prise de stéro ou que sais-je....).
J'ai juste eu un période d'une année et demi où j'ai bossé comme un esclave 50-60h semaine sans trop voir le soleil et avec du stress (cabinet d'audit) mais bon ce n'est plus le cas depuis 2+ ans maintenant donc je doute que ça ait eu un tel impact que ça ait complètement éteint mon système hormonal sans qu'il puisse repartir...
Par contre mon endocrino de consultation était plus à dire qu'il peut y avoir des dizaines de raisons possibles mais ce qui compte c'est de régler le problème : Soit effectivement un évènement particulier, la génétique, un traitement antérieur, prise de produits, environnement de manière général, un peu de tout ça combiné.... (on retrouve littéralement des microplastiques dans les prises de sang humain désormais et les perturbateurs endocriniens/plastique/microparticules de polution/additifs nocifs/etc. sont absolument partout aujourd'hui et depuis des dizaines d'années donc bon).

- Pour le côté génétique : Sur cet aspect on va pas se mentir, j'ai assez vite compris que génétiquement dans tous les cas je me situais plus près de Louis de Funes que de Hafþór Björnsson, bien malheureusement... lool :D
Après je suis pas un nain anorexique non plus (1m75, 73kg), pour l'anecdote je peux faire le tour de mon poignet et faire toucher mon pouce et index facilement (ne veut absolument rien dire en sois mais pour dire qu'on est clairement pas dans une génétique de viking alpha niveau structure osseuse haha).

- Pour le côté dosage ridicule (@GLAC) : J'imagine en effet que pour les standards du forum c'est complètement pété comme dosage (même pour une TRT) mais pour cette première "mise en jambe" je vais bien être obligé de suivre les conseils du docs (surtout qu'il y'a des analyses à 3 et 6 mois pour voir la progression).
Après vu mes niveaux actuels de vieillard, si j'arrive à passer sur un niveau de 18-20 nmol/L (donc pas dutout supraphysiologique) ça risque déjà de me changer la vie (en pourcentage on frôle le +100%).
Et pour la suite on verra, si malheureusement j'ai déjà des effets secondaires à ces faibles niveaux, inutile d'aller plus loin en chargeant plus de toutes manières.
Sachant que dans tous les cas je n'ai de toutes façons pas de source fiable pour acheter, je ne sais pas encore faire de piqûre IM (je dois passer par une infirmière pour les doses) et pas les connaissances assez solides pour le moment (je pense acheter "Anabolics" par William Llewellyn pour essayer d'avoir au moins des bases et ne pas dépendre totalement d'un docteur pour mon suivi, si vous avez des recommandations de bouquins sur le sujet n'hésitez pas ;)).

Voila pour le pavé du jour !
Avec tes 125 mg / mois ça ne fera rien augmenter du tout, ne crois pas que tu vas arriver à ces niveaux. Mais le but ça va être d'augmenter petit à petit jusqu'au bon dosage.
 
Dernière édition:
Ce dosage n’est pas ridicule. C’est le dosage standard pour un TRT et c’est ajusté par la suite par ton médecin selon tes analyses. Mais ce que les gens appellent un TRT sur ce forum n’a rien davoir un TRT médicalement justifié.
Oui pour commencer alors, mais ça devra être vite réévalué car cette dose est inutile sur le long terme. Mon endocrino a direct commencé à 250 toutes les 2 semaines, on est loin des 125 toutes les 4 semaines, mais bon je comprends qu'il faille y aller en douceur pour ne pas trop choquer l'organisme au début
 
Voici à quoi ressemblent les concentrations de testostérone, de DHT et d'œstrogènes dans le sérum sanguin après une petite dose de testostérone, par rapport à une dose de testostérone en bolus (par exemple, en prenant votre dose hebdomadaire de TRT en une seule fois).

test-graph-of-administration-of-Sustanon-TRT.png



Vous pouvez clairement voir comment une dose physiologique sensorielle de testostérone permet de maintenir les taux d'hormones dans la fourchette thérapeutique saine, alors qu'avec une dose bolus importante de testostérone, les taux d'hormones montent en flèche jusqu'à atteindre un niveau supraphysiologique, puis s'effondrent jusqu'à la prochaine injection du patient.

C'est ce qui se passe lorsque vous utilisez des injections de testostérone peu fréquentes.

Et plus les injections sont rares, plus le pic dans un territoire malsain est important, et plus la chute est brutale.

Le résultat est une aromatisation bien plus importante que nécessaire, ce qui conduira probablement à l'abus inutile d'inhibiteurs d'aromatase malsains, à une diminution de la testostérone libre et à une augmentation de la testostérone liée et rendue inutile, ainsi qu'à des hauts et des bas brutaux avec la possibilité de subir des effets secondaires provenant à la fois de taux de testostérone élevés hors normes et de symptômes d'hypogonadisme en phase descendante.
 
Voici à quoi ressemblent les concentrations de testostérone, de DHT et d'œstrogènes dans le sérum sanguin après une petite dose de testostérone, par rapport à une dose de testostérone en bolus (par exemple, en prenant votre dose hebdomadaire de TRT en une seule fois).

test-graph-of-administration-of-Sustanon-TRT.png



Vous pouvez clairement voir comment une dose physiologique sensorielle de testostérone permet de maintenir les taux d'hormones dans la fourchette thérapeutique saine, alors qu'avec une dose bolus importante de testostérone, les taux d'hormones montent en flèche jusqu'à atteindre un niveau supraphysiologique, puis s'effondrent jusqu'à la prochaine injection du patient.

C'est ce qui se passe lorsque vous utilisez des injections de testostérone peu fréquentes.

Et plus les injections sont rares, plus le pic dans un territoire malsain est important, et plus la chute est brutale.

Le résultat est une aromatisation bien plus importante que nécessaire, ce qui conduira probablement à l'abus inutile d'inhibiteurs d'aromatase malsains, à une diminution de la testostérone libre et à une augmentation de la testostérone liée et rendue inutile, ainsi qu'à des hauts et des bas brutaux avec la possibilité de subir des effets secondaires provenant à la fois de taux de testostérone élevés hors normes et de symptômes d'hypogonadisme en phase descendante.

Ceci est vrai pour des doses importantes mais pour une dose thérapeutique la fluctuation n’est pas forcement un problème.

En tout cas en body on aime bien reinventer les chose ou être perfectionniste mais la réalité c’est qu’il n’y a pas que le résultat qui compte en médecine mais aussi la qualité de vie des patients et le confort du patient et aussi adhésion du patient au protocole. Si en injectant une fois par mois le patient arrive a garder des taux raisonnable et ne voir l’infirmier qu’une fois par mois, il va peut être accepter plus facilement le traitement que de faire faire des injection multi-hebdomadaire. N’oublions pas que la
majorité des gens ne s’injectent pas tout seul.
 
Oui pour commencer alors, mais ça devra être vite réévalué car cette dose est inutile sur le long terme. Mon endocrino a direct commencé à 250 toutes les 2 semaines, on est loin des 125 toutes les 4 semaines, mais bon je comprends qu'il faille y aller en douceur pour ne pas trop choquer l'organisme au début

Non par que pour commencer avec 125mg par mois il peut se trouver dans la fourchette pour tout le mois et c’est ça que ses médecins recherchent, rien de plus. Je serais curieux de savoir à combien de testostérone tu te trouve avec tes 500mg par mois.
 
Non par que pour commencer avec 125mg par mois il peut se trouver dans la fourchette pour tout le mois et c’est ça que ses médecins recherchent, rien de plus. Je serais curieux de savoir à combien de testostérone tu te trouve avec tes 500mg par mois.

J'ai des doutes, surtout sur le long terme quand il y aura une petite suppression, m'enfin on peut débattre là dessus car à ce dosage la suppression doit être minime.
En tout cas à mon avis tu lui fais espérer une amélioration possible pour rien, je ne vois franchement pas l'intérêt de faire les choses à moitié, pour se retrouver en bas de la fourchette alors qu'on peut retrouver un taux plus intéressant qui résoudrait vraiment les symptômes, alors oui peut-être un peu moins naturel donc un corps qui s'abîme un peu plus vite, mais au moins tu vis pleinement.. enfin c'est mon avis. Je sais ce que c'est que d'avoir eu une testo dans les choux et crois moi tu ne vis absolument pas, tu traverses la vie comme un fantôme.

Pour un dosage à 500 par mois j'étais vers 940 de testo total, soit en haut des fourchettes selon les labos, par contre la biodisponible était de 1,3 (ref de 1 à 3,7) donc plus que mes 0,7 pré-TRT mais toujours bas avec pas vraiment d'amélioration.

Comme je t'en avais parlé actuellement je suis en cure (500/sem) et tous mes symptômes se sont envolés, érection tous les matins, intéressé par les filles, plus d'anhédonie, etc.
Je sais que c'est déraisonnable, mais j'ai vu que la situation n'était pas bloquée, je vais maintenant devoir trouver un dosage adapté qui prenne compte de la mauvaise utilisation de la testostérone par mon corps et de l'impact sur la santé.
Mon endocrino avait rapidement évoqué 250 par semaine (oui oui tu lis bien), mais probablement pas au bout de 3 mois de trt, et surtout je ne veux pas lui causer de soucis, elle a déjà reçu un appel de l'agence de santé (je crois que c'est cet organisme) car soit disant mon cas ne nécessitait pas ce traitement... sacré bande de crétins.. bon ok je n'ai pas envie de faire payer la société pour être simplement mieux (je n'avais pas de risque pour la santé, quoique ça se discute), mais au moins qu'on puisse payer pour y avoir accès.. du coup je vais faire les choses de mon côté.

En tout cas je t'invite à faire preuve de compréhension, d'un peu d'empathie (sur ce sujet, je ne dis pas que tu ne l'es pas de manière générale) pour te mettre à la place d'un déficient en testostérone, peut-être que ton discours serait différent.
 
Voici à quoi ressemblent les concentrations de testostérone, de DHT et d'œstrogènes dans le sérum sanguin après une petite dose de testostérone, par rapport à une dose de testostérone en bolus (par exemple, en prenant votre dose hebdomadaire de TRT en une seule fois).

test-graph-of-administration-of-Sustanon-TRT.png



Vous pouvez clairement voir comment une dose physiologique sensorielle de testostérone permet de maintenir les taux d'hormones dans la fourchette thérapeutique saine, alors qu'avec une dose bolus importante de testostérone, les taux d'hormones montent en flèche jusqu'à atteindre un niveau supraphysiologique, puis s'effondrent jusqu'à la prochaine injection du patient.

C'est ce qui se passe lorsque vous utilisez des injections de testostérone peu fréquentes.

Et plus les injections sont rares, plus le pic dans un territoire malsain est important, et plus la chute est brutale.

Le résultat est une aromatisation bien plus importante que nécessaire, ce qui conduira probablement à l'abus inutile d'inhibiteurs d'aromatase malsains, à une diminution de la testostérone libre et à une augmentation de la testostérone liée et rendue inutile, ainsi qu'à des hauts et des bas brutaux avec la possibilité de subir des effets secondaires provenant à la fois de taux de testostérone élevés hors normes et de symptômes d'hypogonadisme en phase descendante.

Est-ce que tu as le nom ou lien de l'étude ? Ca m'intéresse. Notament savoir quelle est la dose injectée.
-> D'ailleurs si quelqu'un a un lien vers des info/étude, j'ai cherché à connaitre la relation entre mg injecté et ng retrouvé dans le sang mais
Dommage que l'on n'ait pas les données après deux semaines par contre : On vois qu'à 14 jours on revient sur les niveaux de départ, mais est-ce que par la suite ça descend plus bas que le point de départ ou pas...

Après lectures et recherches il semble aussi y avoir un effet de seuil important : Que ce soit les ricains, British, UroFrance, etc. il semble que tout le monde s'accorde un peu près sur les mêmes seuils (à quelques % de variation près) :
- 15+ nmol/L -> idéal
- entre 12 et 15 nmol/L -> Perte de libido/énérgie (mais médicalement pas nécessaire de toucher)
- < 12 nmol/L -> Seuil à partir duquel il faut surveiller en endocrino, traitement à appliquer en fonction des symptômes (depression, etc.) et des résultats
- < 8 nmol/L -> Seuil "critique" à partir duquel les symptômes sont les plus retentissants et généralement admis qu'un traitement sera vraisemblablement bénéfique (sauf sur le LT pour patients agés ayant déjà d'autres problèmes/traitements).

Threshold-continuum-to-hypogonadism.png

-> Pour faire le lien avec les graphiques du message de GiantMuscle : Le niveau de réf. du début (approx. 400 ng/dL) correspond déjà à un taux dans la norme (15 nmol/L = 432 ng/dL) donc au niveau médical je pense qu'aucun docteur (en France en tous cas) ne recommanderai de traitement (après aux US ce serait différent de toute évidence).

Je ne retrouve plus l'étude en question mais j'avais aussi lu qu'au dela des seuils admis et en restant dans les bornes physiologiques, la relation n'est pas linéaire : Les patients qui dosent à 25nmol/L n'ont pas 50% en plus de libido ou masse musculaire que ceux qui dosent à 15 ou 20 (pour les personnes "lambda" donc).

Je suis aussi également assez de l'avis de Matsor - Le ressenti que j'ai c'est que ici au niveau médical le but est vraiment de traiter le moins possible, juste le minimum pour être dans le range physiologique et surtout ne pas prendre le risque de dépasser.
Après j'exclu l'approche US qui semble avoir un biais commercial important (de tout ce que j'ai pu lire, peu importe les résultats votre PDS vous avez 9 chances sur 10 de ressortir d'une "TRT clinic" avec une recommandation de traitement...).

Pour finir, quand j'étais en consultation avec l'endo je lui ai posé des questions sur les effets secondaire (axe HPTA qui va s'arrêter, acné, gyno, etc.) car je m'étais renseigné et je flippais : Sa réponse était que oui ces effets secondaires existent mais ça concerne les gens (pratique du BB, athlète de haut niveau, etc.) qui dosent beaucoup trop pour avoir des perf supraphysiologique et que ici on est absolument pas dans le même contexte (après est-ce qu'il a raison ou pas ça...).
 
J'ai des doutes, surtout sur le long terme quand il y aura une petite suppression, m'enfin on peut débattre là dessus car à ce dosage la suppression doit être minime.
En tout cas à mon avis tu lui fais espérer une amélioration possible pour rien, je ne vois franchement pas l'intérêt de faire les choses à moitié, pour se retrouver en bas de la fourchette alors qu'on peut retrouver un taux plus intéressant qui résoudrait vraiment les symptômes, alors oui peut-être un peu moins naturel donc un corps qui s'abîme un peu plus vite, mais au moins tu vis pleinement.. enfin c'est mon avis. Je sais ce que c'est que d'avoir eu une testo dans les choux et crois moi tu ne vis absolument pas, tu traverses la vie comme un fantôme.

Pour un dosage à 500 par mois j'étais vers 940 de testo total, soit en haut des fourchettes selon les labos, par contre la biodisponible était de 1,3 (ref de 1 à 3,7) donc plus que mes 0,7 pré-TRT mais toujours bas avec pas vraiment d'amélioration.

Comme je t'en avais parlé actuellement je suis en cure (500/sem) et tous mes symptômes se sont envolés, érection tous les matins, intéressé par les filles, plus d'anhédonie, etc.
Je sais que c'est déraisonnable, mais j'ai vu que la situation n'était pas bloquée, je vais maintenant devoir trouver un dosage adapté qui prenne compte de la mauvaise utilisation de la testostérone par mon corps et de l'impact sur la santé.
Mon endocrino avait rapidement évoqué 250 par semaine (oui oui tu lis bien), mais probablement pas au bout de 3 mois de trt, et surtout je ne veux pas lui causer de soucis, elle a déjà reçu un appel de l'agence de santé (je crois que c'est cet organisme) car soit disant mon cas ne nécessitait pas ce traitement... sacré bande de crétins.. bon ok je n'ai pas envie de faire payer la société pour être simplement mieux (je n'avais pas de risque pour la santé, quoique ça se discute), mais au moins qu'on puisse payer pour y avoir accès.. du coup je vais faire les choses de mon côté.

En tout cas je t'invite à faire preuve de compréhension, d'un peu d'empathie (sur ce sujet, je ne dis pas que tu ne l'es pas de manière générale) pour te mettre à la place d'un déficient en testostérone, peut-être que ton discours serait différent.

Je vais pas répondre à ton message en détail parce que il y a beaucoup à dire et je n’ai pas envie de débattre. Simplement tout ce que tu dis ici va à l’encontre des pratiques médicales. On commence toujours avec une dose faible qui peut mettre la personne dans la fourchette même basse . Ça peut améliorer les choses et limiter les effet secondaires. Ce nest pas selon les ressentis et les érections du matin qu’on évalue un traitement. D’ailleurs ton médecin se fait rappeler à l’ordre pour de bonnes raisons et pas à tort. Maintenant si tu penses que tout les médecins qui traitement les patients sont des cretins parce qu’ils veulent pas satisfaire leur patients avec des doses qui ne sont pas nécessaires, c’est ton droit. Mais faut pas venir dire qu’une dose thérapeutique prescrit par un endocrinologue ne sert à rien et de le pousser vers de plus forte doses ou de l’automédication.
 
Sinon pour revenir au sujet principal : Après une longue reflexion et avoir passé des jours entiers à lire/regarder tout ce que j'ai pu sur le sujet (c-à-d un peu près tout et son contraire) ainsi qu'avoir pesé le pour et le contre, j'ai décidé de suivre le doc et de faire le test.

Pour répondre par avance aux commentaires que je vois venir : La décision ne s'est pas prise en deux jours, j'ai en effet commencé à regarder sérieusement depuis février/mars quand j'ai vu que niveau analyses ça ne prenais pas la bonne direction (en plus de la persistence des symptômes depuis long) et que c'était pas vraiment parti pour s'améliorer avec le temps... Mon post sur ce forum arrivant en bout de reflexion pour obtenir l'avis de personnes directement concernées par les produits.

L'infirmière est passée ce matin pour la 1ère injection, maintenant j'attends et on verra la suite.
Dans tous les cas je ne manquerai pas de faire des mises à jour, et disons que même dans le pire des cas, ça pourra permettre à d'autres personnes dans la même situation qui tomberont sur ce post de prendre de meilleures décisions.

Merci pour toutes vos réponses en tous cas, même si personne n'est vraiment d'accord sur rien, ça m'aura malgré tout bien aidé ;)
 
Elle est sympa de venir un dimanche matin pour une injection de testo lol

lol venir le dimanche tout court je ne m'y attendais déjà pas perso (ils travaillent 7/7 en tournus, apparement ça l'arrangeait).
Juste senti un peu passé le liquide mais c'était bon après une petite heure (sur d'autres forum j'ai lu que certains ne supportent pas l'excipient huile de ricin).
Aucune idée d'à partir de quand quelque chose va commencer se manifester par contre... (que ce soit en bien ou en mal et si manifestation il y'a)
 
Je vais pas répondre à ton message en détail parce que il y a beaucoup à dire et je n’ai pas envie de débattre. Simplement tout ce que tu dis ici va à l’encontre des pratiques médicales. On commence toujours avec une dose faible qui peut mettre la personne dans la fourchette même basse . Ça peut améliorer les choses et limiter les effet secondaires. Ce nest pas selon les ressentis et les érections du matin qu’on évalue un traitement. D’ailleurs ton médecin se fait rappeler à l’ordre pour de bonnes raisons et pas à tort. Maintenant si tu penses que tout les médecins qui traitement les patients sont des cretins parce qu’ils veulent pas satisfaire leur patients avec des doses qui ne sont pas nécessaires, c’est ton droit. Mais faut pas venir dire qu’une dose thérapeutique prescrit par un endocrinologue ne sert à rien et de le pousser vers de plus forte doses ou de l’automédication.
C'est ton droit de penser qu'en France on a la bonne approche à ce niveau, ce n'est pas mon opinion.. j'ai quand même du mal à comprendre que parce que la médecine française dit ça on ne doit pas la remettre en question.
Cela dit ça évolue quand même un peu, mais ça reste timide :

View: https://www.youtube.com/watch?v=_Eil0N8nRcs&t=3930s
 

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