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Dépression saisonnière

Nord

Nord

Member
Bonjour,

Je souhaiterais avoir les conseils de personnes, qui comme moi, sont sujettes à la dépression saisonnière et qui ont réussi à y palier.

Je sens que le phénomène a déjà commencé à opérer (baisse de motivation, fatigue) et comme chaque année, cela va s'intensifier jusqu'à la fin mars - début avril. Ce qui est vraiment très pénalisant.

J'ai déjà essayé pas mal de choses pour y remédier mais rien n'a vraiment été très efficace, hormis le fait d'augmenter fortement l'éclairage chez moi (ce n'est pas à proprement parlé de la luminothérapie mais cela stimule mon cerveau) et de partir dans un pays chaud au courant du mois de février, quand je suis déjà presque à bout.

J'ai testé la marche en forêt, la vitamine D, la caféine, les nootropiques (Modafinil) mais rien n'a été concluant sur le long terme (4-5 mois de l'année). Mon bilan sanguin est normal et je n'ai jamais pris d'anabolisants. Je n'ai jamais pris d'antidépresseurs non-plus et de base ne suis pas vraiment partant pour essayer (surtout quand je lis les problème récurant de perte de libido) mais reste ouvert à la discussion car j'en ai vraiment marre.

Toute aide, proposition ou solution est la bienvenue. Merci d'avance !

Nota:
"Les symptômes classiques de la dépression saisonnière sont :
  • Problèmes d'humeur tels que la tristesse, l'ennui ou l'irritabilité.
  • Besoin accru de sommeil
  • Fatigue et manque d'énergie
  • Augmentation de l'appétit, avec des envies de glucides (comme le pain, les pâtes, les sucreries), ce qui peut entraîner une prise de poids.
  • Une tendance à vouloir éviter les situations sociales, ainsi qu'à être plus sensible au rejet.
  • Perte d'intérêt ou de plaisir dans les activités
Dans le cas de symptômes plus graves, on peut également noter des sentiments de désespoir ou d'impuissance.

Les symptômes réapparaissent à l'automne et en hiver (quand il y a moins de soleil)."
 
Paul33 à dit:
Voir un psy
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Malheureusement, cela ne solutionne rien. C'est bien quelque chose de "physique" et de "cyclique", qui ne se résout pas avec une thérapie.

Je pose la question sur ce forum car peut-être que des personnes ont déjà essayé quelque chose d'efficace et qui a fonctionné pour eux-mêmes ou pour des connaissances à eux.

Je pensais peut-être tout de même à tester un antidépresseur (Bupropion), du Proviron, voir de l'HCG à faible dose jusqu'à mars-avril.


Si d'autres personnes ont des propositions, je suis preneur !

Nota: J'ai des prises de sang assez complètes et rien de concluant là-dessus (ça fait des années que je cherche) mais je vais encore en faire une pour contrôler mon SHBG, Estradiol et Prolactine (juste pour avoir une idée)
 
Matsor à dit:
Tu dis qu’un psychiatre ne peut pas régler ton problème mais tu veux essayer l’automédication avec des medicaments qui n’ont pour les deux derniers aucun rapport avec ton état? ça n’a aucun sens.
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Parce que ça a un rapport avec l'énergie, le bien-être et la vitalité et pas avec un trauma ou un non-dit.

Je suis certain qu'une cure de testostérone saisonnière ferait très bien le boulot mais comme je n'ai pas encore d'enfants (et que j'en désire), je ne souhaite pas trop tenter le diable de ce côté là. Du coup j'avais pensé possiblement à d'autres facteurs qui pourraient influer sur ce côté "énergétique". Proviron pour la baisse de Estradiol ou monothérapie HCG pour la hausse de la testostérone sans complètement flinguer mon axe.
 
Dernière édition:
Nord à dit:
Parce que ça a un rapport avec l'énergie, le bien-être et la vitalité et pas avec un trauma ou un non-dit.

Je suis certain qu'une cure de testostérone saisonnière ferait très bien le boulot mais comme je n'ai pas encore d'enfants (et que j'en désire), je ne souhaite pas trop jouer de ce côté là.
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« Une cure de testostérone saisonnière »…
On dirait que tu compares les AAS a la petite cure de vitamine D que te prescrit ton médecin traitant à l’approche de l’hiver parce que tu vas manquer d’exposition au soleil…
 
Viper à dit:
« Une cure de testostérone saisonnière »…
On dirait que tu compares les AAS a la petite cure de vitamine D que te prescrit ton médecin traitant à l’approche de l’hiver parce que tu vas manquer d’exposition au soleil…
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Justement non. Je dis que mon "mal" est saisonnier (dépression saisonnière) donc il ne me faudrait un palliatif que pour cette période. Le reste de l'année est okay.

Et je ne souhaite pas prendre de testostérone, ou autres produits, qui seraient trop puissants par rapport à ce dont j'ai besoin. Le Proviron et HCG seraient à faibles doses. Rien de supra-physiologique.

Est-ce que tu aurais une possible proposition ou solution, après tout ce que tu as pu lire sur le forum ? Peut-être que j'ai loupé quelque chose, bien qu'ayant essayé avec différents mots-clés la fonction de recherche.
 
Matsor à dit:
Je vois pas le rapport avec la dépression.

Ce que je vois c’est juste que tu veux faire des expériences avec certains produits.
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Ce n'est pas une dépression à proprement parler, c'est une "dépression saisonnière" ou TAS pour Troubles Affectifs Saisonniers, qui revient chaque année depuis une décennie et dont je ne supporte plus les effets et souhaite y échapper. Je n'ai pas de pensée suicidaire, je n'ai pas de traumas, ni rien nécessitant un psychiatre.

J'ai testé la luminothérapie, qui aide mais ne fait pas tout. Je prend des surdoses de vitamine D et C, je vais au spa, je fais des balades en forêt, je prend du Tongkat Ali et du Boron pour essayé de jouer sur mes hormones, des comprimés de safran (jusqu'à me rendre jaune...). Bref j'ai essayé toutes les choses proposées en première instance, qui ont chacune leurs petits effets, à la marge, mais qui ne règlent toutefois pas le problème.

C'est pour cela que j'ai posté ce sujet sur ce forum. Je souhaite passer à l'étape juste au-dessus en ayant la certitude que les hormones y sont pour beaucoup dans cette phase de moins bien. D'où mon appel à la communauté.

Traitement des troubles affectifs saisonniers
 
Dernière édition:
La dépression saisonnière n'a aucun fondement scientifique, ça a été créé en 2005 par une chaîne de télévision britanique pour justement promouvoir les agences de voyages et pousser les gens à voyager dans des pays chauds pendant l'hiver.

Vouloir moins sortir pace qu'il fait mauvais temps ou trop froid c'est... normal.

La prise d'anabo va accentuer ta dépression ou ton manque de moral de façon significative, pas le contraire à part peut-être 1-2 molécules mais c'est au cas par cas.

L'idée du psy est pas mal, si t'es vraiment 6 pieds sous terre l'idée du bupropion est pas si bête, ça fait des années que je tourne avec depuis le covid-long et ça fait le taff, pas ou peu d'effets secondaires et très léger au niveau du ressenti.
 
Dernière édition:
Avant d'aller voir un psychiatre lol, peut-être qu'un psychologue ferait l'affaire.

Et sache qu'un trauma profond lié à l'enfance et à une période donnée de l'année peut te provoquer ça de façon chronique.

Un soucis intervenu en période hivernale (et dont tu n'as aucun souvenir probablement car très très enfoui dans ton subconscient) pourrait être la raison de ton pbm.

Je ne dis pas que c'est ça mais ça y ressemble fortement.

Et par contre, utiliser des anabos pour contrer ça.... Non, je ne préfère pas répondre.
 
Federal_Pin à dit:
La dépression saisonnière n'a aucun fondement scientifique, ça a été créé en 2005 par une chaîne de télévision britanique pour justement promouvoir les agences de voyages et pousser les gens à voyager dans des pays chauds pendant l'hiver.

Vouloir moins sortir pace qu'il fait mauvais temps ou trop froid c'est... normal.

La prise d'anabo va accentuer ta dépression ou ton manque de moral de façon significative, pas le contraire à part peut-être 1-2 molécules mais c'est au cas par cas.

L'idée du psy est pas mal, si t'es vraiment 6 pieds sous terre l'idée du bupropion est pas si bête, ça fait des années que je tourne avec depuis le covid-long et ça fait le taff, pas ou peu d'effets secondaires et très léger au niveau du ressenti.
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Je pense que tu confonds avec le "Blue Monday".

La dépression saisonnière est étudiée depuis plus de 50 ans. C'est une espèce de "sous-genre" de la dépression mais plus circonstancielle. C'est pour cela qu'une thérapie ne résoudrait pas le problème.

www.axaprevention.fr

Trouble affectif saisonnier : le lien santé mentale-saison décrypté

Largement employé dans le langage courant, le concept de « dépression saisonnière » est pourtant débattu scientifiquement.
www.axaprevention.fr www.axaprevention.fr
 
olivierf57 à dit:
Avant d'aller voir un psychiatre lol, peut-être qu'un psychologue ferait l'affaire.

Et sache qu'un trauma profond lié à l'enfance et à une période donnée de l'année peut te provoquer ça de façon chronique.

Un soucis intervenu en période hivernale (et dont tu n'as aucun souvenir probablement car très très enfoui dans ton subconscient) pourrait être la raison de ton pbm.

Je ne dis pas que c'est ça mais ça y ressemble fortement.

Et par contre, utiliser des anabos pour contrer ça.... Non, je ne préfère pas répondre.
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J'ai eu une éducation "à la dure" mais pas de trauma particulier et si je parlais de psychiatre, c'est en rapport à la prescription médicamenteuse qu'un psychologue ne peux pas faire.

Je pensais creuser du côté des hormones car c'est un facteur important de l'humeur, du bien être, de l'émotivité, etc.

Voici, par exemple, ce qui est indiqué sur le site d'un fournisseur présent sur le forum en parlant du Proviron:

​

"Avantages du Mesterolone pour le corps​

Le Mesterolone (Proviron) présente plusieurs avantages potentiels, notamment dans le traitement des déficiences en androgènes et des conditions connexes. Voici quelques-uns des principaux avantages associés au Proviron :

Remplacement des androgènes​

Le Proviron peut efficacement supplémenter les niveaux d'androgènes chez les hommes souffrant d'une déficience en androgènes ou d'une hypogonadisme, contribuant à soulager des symptômes tels que la libido réduite, la dépression, la fatigue et la perte de masse musculaire.

Amélioration de la libido et de la fonction sexuelle​

L'un des avantages les plus notables du Mesterolone est sa capacité à améliorer la libido et la fonction sexuelle, ce qui peut être diminué. Contrairement à certaines autres formes de thérapie de remplacement de la testostérone, le Proviron a un effet direct sur la libido en raison de ses propriétés androgéniques.

Bien-être psychologique et physique​

L'augmentation des niveaux d'androgènes due au Proviron (Mesterolone) peut contribuer à un sentiment général de bien-être, à une amélioration de l'humeur et à une augmentation des niveaux d'énergie. Les effets androgéniques soutiennent également le maintien ou l'augmentation de la masse musculaire et de la force, contribuant à une meilleure condition physique.

Soutien à la fertilité​

Le Proviron a été utilisé pour améliorer la quantité et la qualité du sperme chez certains hommes ayant des problèmes de fertilité, bien que son efficacité puisse varier. On pense qu'il améliore la fertilité en augmentant les niveaux de hormone lutéinisante (LH) et de hormone folliculo-stimulante (FSH), qui stimulent la production de spermatozoïdes.

Utilisation dans le sport​

Les bodybuilders et les athlètes ont utilisé le Mesterolone (Proviron) pour son effet de durcissement musculaire, pour améliorer la puissance d'autres stéroïdes utilisés en cycles grâce à ses propriétés anti-œstrogéniques et à la réduction de la SHBG (globuline liant les hormones sexuelles), et pour aider à maintenir la libido hors-cycle."
 
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