sosodef13
Well-Known Member
Pour moi le 16/8 toute la semaine par contre je bois tjrsJe suis sur du fasting aussi. 1 jour sur 2 en moyenne. Tantôt jeûne hydrique, tantôt jeûne sec, d'environ 14-15h.
Pour moi le 16/8 toute la semaine par contre je bois tjrsJe suis sur du fasting aussi. 1 jour sur 2 en moyenne. Tantôt jeûne hydrique, tantôt jeûne sec, d'environ 14-15h.
Il me semble car je n'ai pas revu la vidéo, qu'il ne dit pas que le jeûne soit anabolique, mais que la nutrition qui suit un entrainement après un jeûne l'est.Il dit même que l'on se trouve en phase catabolique et en stress métabolique durant un jeûne; d'ailleurs il le dit dans de nombreuses vidéos, notamment les plus récentes car bien-entendu, il a beaucoup évolué à ce sujet avec les années.Quoiqu'il en soit, merci pour le partage @HardWork. Ça a le mérite qu'on y jette un œil.
Mon avis sur la question :
Le jeûne est un outil thérapeutique puissant qui peut avoir de nombreux bénéfices sur la santé. De là à dire que le jeûne est anabolique, je ne suis pas d'accord.
Le jeûne est une phase catabolique. Face à l'entrainement en résistance, le corps sait qu'il doit préserver sa masse musculaire. Comment il le fait ? En boostant sa production de T et de GH par exemple. Mais cette production va juste suffire à limiter le catabolisme des protéines musculaires. De là à dire que parce que le corps génère 10 ou 100 fois plus d’hormones anaboliques on va pouvoir construire beaucoup plus de muscle, c'est un raccourci erroné. Il ne faut pas confondre anti-catabolisme et anabolisme...
À un moment, il dit qu'en jeûne il y a moins de perte de muscle qu'en non jeûne... Thierry, tu dépasses les bornes des limites là...
C'est comme la mobilisation des IMTG (graisses intramyocellulaires), osef un peu là, non ?
Quand il parle de différence colossale, je trouve ça un peu exagéré... Une différence colossale peut s'obtenir avec des aas, pas en s'amusant juste avec le timing des prises alimentaires. Si bénéfice il doit y avoir, la différence est minime, sinon ces techniques seraient répandues dans le milieu depuis un moment.
J'avais déjà vu quelque part que le corps avait une plus forte réponse anabolique suite à l'ingestion d'un repas qui faisait suite à un training effectué à jeun. À creuser...
Après, Thierry Casasnovas a au moins le mérite de mettre beaucoup de références dans ses vidéos, il ne balance pas ses arguments sauvagement sans backup. Mais à mon sens, il manque de recul et de connaissance globale de la physiologie pour taper dans le 1000 sur tout ce qu'il dit.
Donc oui, ses vidéos peuvent être intéressantes, mais il ne faut surtout pas prendre pour argent comptant tout ce qu'il dit.
Pour finir, il y a un truc sur lequel je suis d'accord avec lui, c'est que s'entrainer alors que le corps est encore en phase de digestion est contre-productif. Pour ma part je consomme ma collation pre-workout environ 2h avant de m'entrainer.
Au final le message qui ressort de sa vidéo, c'est que jeûner permet d'optimiser la prise de muscle. Constat avec lequel je ne suis pas d'accord.Il me semble car je n'ai pas revu la vidéo, qu'il ne dit pas que le jeûne soit anabolique, mais que la nutrition qui suit un entrainement après un jeûne l'est.Il dit même que l'on se trouve en phase catabolique et en stress métabolique durant un jeûne; d'ailleurs il le dit dans de nombreuses vidéos, notamment les plus récentes car bien-entendu, il a beaucoup évolué à ce sujet avec les années.
C'est clair qu'avec une petite injection de testo, les lois du catabolisme naturel volent en éclat...Il n'a même pas conscience je pense qu'il y a des athlètes sous aas et en tout cas, il est de part son vécu et son expérience, absolument contre toute forme de chimie et se ''bat'' pour faire évoluer les mentalités vis à vis des labos pharmaceutiques officiels, alors pour les UG...
Et elle est intéressante. Il ne dit pas que de la merde. J'ai regardé d'autres vidéos sur sa chaîne YT dans la foulée, et il y a matière à creuser.Enfin, pour finir, c'est comme tout, il faut être capable de trier le bon pour soi, du mauvais. je ne souhaite pas être son porte parole, mais j'ai trouvé que son approche de santé ''globale'', pouvait en intéresser certains.
Une fois dans le sang, l’aluminium est essentiellement transporté via une protéine, la transferrine, notamment en fonction de la présence de certaines molécules considérées comme des ligands, dont le citrate ou le phosphate. Les deux tissus susceptibles de contenir le plus d’aluminium seraient la langue et les os, puis le foie, les poumons, les reins, le système immunitaire et le cerveau. Les mécanismes d’accumulation selon les tissus sont peu connus et non homogènes. La distribution de l’aluminium peut être variable d’un organe à un autre, mais il est désormais établi qu’il est présent… partout.
- La toxicité la plus reconnue est le risque d’encéphalopathie en cas de dialyse réalisée chez des personnes souffrant d’insuffisance rénale, parfois constatée en cas de concentration élevée en aluminium dans l’eau de ville ou lors de défaillance du système de traitement de l’eau de dialyse. À cette complication neurologique peuvent être associées d’autres conséquences, dont une atteinte osseuse et une anémie.
- L’aluminium à l’état libre est, comme de nombreux métaux, extrêmement réactif. Il représente donc un initiateur de stress oxydatif majeur. Il favorise ainsi l’amplification et la pérennisation de l’inflammation dans de nombreuses pathologies comme la sclérose en plaques, la maladie de Crohn, l’asthme, l’autisme, le défaut de fertilité, l’épilepsie ou encore la myofasciite à macrophages.
- L’aluminium est dit « exocytotoxique ». En d’autres termes, il s’agit d’un composé hautement toxique pour les cellules, notamment au niveau cérébral. Il peut perturber plus de 200 réactions biologiques, expliquant ainsi son incrimination dans la maladie de Parkinson, d’Alzheimer ou de manière générale dans les neuro-inflammations.
- Puissant immunostimulant, l’aluminium est utilisé dans la grande majorité des vaccins pour potentialiser les effets des antigènes inoculés. Or, à ce jour, il existe peu de données permettant d’en expliquer le mécanisme et par voie de conséquence ses effets toxiques potentiels. De manière simplifiée, l’aluminium peut être considéré comme une forme de catalyseur de l’action des cellules immunitaires, d’où l’intérêt des laboratoires pharmaceutiques envers ce dernier afin d’optimiser les coûts de fabrication. Il semble surtout exister une forte prédisposition individuelle.
- L’aluminium est reconnu comme un mutagène, en particulier dans le cadre des cancers du sein, du poumon et de la vessie chez les travailleurs de l’aluminium. Il est également fortement incriminé pour ses risques tératogènes (de fausse couche) et ses effets sur le développement du fœtus, fortement exposé pendant la grossesse.
- Limiter la consommation de thé (idéalement, rechercher un thé peu contaminé auprès d’un spécialiste du thé disposant d’analyses).
- Certains produits transformés contenant des additifs, notamment le pain, les biscuits, la charcuterie ou encore certains fromages.
- Une majorité de produits céréaliers et de préparations à faire cuire au four contiennent entre 5 et 10 mg d’aluminium par kilo, notamment les viennoiseries industrielles et les barres de céréales (7,2 mg/kg).
- Le chocolat peut contenir jusqu’à plus de 50 mg/kg, 3,7 mg/kg en moyenne. Si l’usage du papier d’aluminium n’arrange rien, la présence d’aluminium est avant tout liée au cacao lui-même.
- Certains légumes tels que les champignons, les épinards, les radis, les bettes ou la laitue contiennent de 5 à 10 mg d’aluminium par kg d’aliments. Les cornichons (présence de sels d’aluminium dans les saumures). Certaines épices, surtout quand elles sont conservées dans une boite en aluminium. Les fruits secs et les oléagineux apportent en moyenne 4,1 mg d’aluminium/kg. Les algues peuvent capturer facilement l’aluminium selon leur origine.
- Les crustacés et les mollusques (en moyenne 17,1 mg/kg).
- Les laits maternisés. Selon 60 millions de consommateurs, un nourrisson de six mois consommant 4 biberons de 210 ml/jour ingère en moyenne 897 μg d’aluminium par semaine. Dans un avis publié en 2008, l’EFSA indiquait que l’exposition d’un nourrisson de 3 mois à l’aluminium était de 0,6 mg/kg pc/semaine quand il était nourri avec les préparations à base de lait, de 0,75 mg avec celles à base de soja et de moins de 0,07 mg en cas d’allaitement.
Des sels d’aluminium sont utilisés pour traiter l’eau du robinet contre les agents infectieux, améliorer sa couleur et sa turbidité. Toutefois, la présence de silice dans certaines eaux permet d’en limiter les conséquences. Selon l’ANSES, l’eau de robinet contribue à hauteur de moins de 1% de la contamination moyenne en aluminium de la population. Vérifier la teneur en aluminium de l’eau de la commune.
- Tous les aliments cuits dans le papier d’aluminium (notamment en présence d’acides, comme par exemple lors de cuisson en papillote avec du vin blanc ou du citron) ou dans des récipients en aluminium, surtout pendant de longues durées, lorsque les aliments sont acides (tomates, rhubarbe, abricots, etc. ou en présence importante de sel.
- Les aliments conservés dans des ustensiles contenant de l’aluminium, des canettes, des capsules de café à percolation, des saladiers en aluminium ou encore les boites Tetrapak®.
- Les poêles, casseroles et ustensiles en téflon en contiennent de fortes quantités et peuvent facilement migrer dès lors que la pellicule de protection est rompue par une rayure. Certaines restaurations collectives n’hésitent pas à utiliser de vieilles poêles usagées. Même si leur contrôle est quasi-impossible, c’est toujours bon de le savoir…· Transférer les aliments dans des contenants en verre (y compris pour les cuissons, surtout concernant les aliments acides ou cuits dans un milieu acide comme vinaigre, citron, vin blanc, etc.).
- Les médicaments antiacides et l’aspirine tamponnée : se référer à votre médecin pour limiter leur usage dans la mesure du possible. Renforcer les mesures hygiéno-diététiques, voire l’usage du bicarbonate de soude.
- Certains produits de chimiothérapie.
- L’utilisation de sels d’aluminium dans les déodorants anti-transpirants peut être à l’origine d’une application cutanée jusqu’à 2g d’aluminium par jour et d’une persistance pendant 24h. La pierre d’alun est à utiliser avec modération.
- Crèmes solaires : jusqu’à 5g par jour d’aluminium peuvent être appliqués sur la peau.
- Rouges à lèvres sous forme colloïdale.
- Certains dentifrices.
- Plus de 25 composés à base d’aluminium sont présents dans les produits cosmétiques : se référer à la base européenne CosIng. La réglementation n’a pas pris de position claire, considérant que les études actuelles ne sont pas suffisantes. Pour autant, dès 2011, l’ANSM (anciennement Afssaps) recommandait de ne pas utiliser de cosmétiques contenant de l’aluminium sur des peaux abimées et de manière générale de diminuer la teneur dans les produits commercialisés à 0,6% du maximum (certains produits contenaient jusqu’à 20% de sels d’aluminium).
Selon les zones géographiques, le niveau d’exposition peut s’avérer très variable. Considéré comme sain jusqu’à environ 1,4 μg par jour, sa concentration dans l’air peut atteindre jusqu’à 1,4 mg dans certaines régions industrialisées (soit 1000 fois plus) ou selon le type d’activité. La fumée de cigarette (mais aussi de cannabis, voire la cocaïne et l’héroïne) sont des sources complémentaires, au même titre que les résidus de déodorants anti-transpirants.
- Limiter votre exposition dans la mesure du possible grâce aux conseils ci-dessus.
- Éviter toutes les sources mentionnant des sels d’aluminium solubles : chlorure, nitrate, lactate ou sulfate d’aluminium.
- Consommer une eau riche silice au quotidien : Rozanna, Chateldon, Volvic, Badoit, Vichy Célestins.
- Il existe des méthodes de chélation chimique (par le DMPS ou DMSA), actuellement sous contrôle médical en France et interdites dans la plupart des situations (voir les méthodes naturelles dans l’encadré).
- En cas d’accumulation d’aluminium ou de pathologie associée à cette dernière : l’acétyl-L-carnitine est reconnue pour optimiser la production énergétique par les mitochondries et la neuro-protection. Son usage en supplémentation a été largement étudié et validé, notamment en cas de maladie d’Alzheimer ou de neuropathies, dans le cadre d’apports entre 1,5 et 3 g/jour en 2 à 3 prises, idéalement en dehors des repas.
- Le Fer peut réduire l’assimilation de l’aluminium par compétition mais les quantités apportées par l’alimentation sont trop faibles pour avoir un effet spécifique. A l’inverse, une supplémentation en calcium ou en vitamine D favoriserait l’assimilation de l’aluminium, de même qu’une alimentation riche en acides organiques (citrates, malates, etc.) chez la souris.
C'est quasiment impossible d'ailleurs, tellement de facteurs entrent en jeu.Le problème, c'est qu'il n'y a pas d'étude fiable permettant d'isoler l'aluminium dans les pathologies suspectées, notamment les pathologies cérébrale.
C'est comme pour beaucoup de choses poto, on ne peut plus se mettre à l'abri de toute forme de pollution tant il y en a partout autour de nous. Mais je pense qu'on a les moyens de limiter son exposition, et d'aider le corps à se détoxifier.Réduire sa consommation d'aluminium me paraît illusoire tant il est partout.
Il y a 70 50 ans, tout les ustensiles de cuisine ou presque étaient en alu, cela est-il la cause des maladie type Alzheimer ou Parkinson, ça mérite des vrai études.
Ça pue les chèvres de toute façon !au point de tout plaquer pour partir élever des chèvres dans le Larzac,
attention à l'argent aussiYo les potos,
Voici un super article sur l'aluminium dans notre alimentation, ses effets, et comment lutter contre :
http://www.sante-et-nutrition.com/aluminium-alimentation/
Pour résumer un peu, voici les points les plus intéressants à retenir :
Que devient l’aluminium une fois dans l’organisme ?
Quels sont les effets suspectés de l’aluminium sur la santé ?
Quels sont les aliments à surveiller ?
Que penser de l’eau du robinet ?
Que penser des emballages et ustensiles de cuisson ?
Quels sont les médicaments riches en aluminium ?
Et les cosmétiques ?
Quels sont les risques d’inhalation ?
Comment limiter les effets de l’aluminium ?
Bon dimanche à ceux qui passeront par ici.
Je récupérerai bien ses cendres à celui là, y a moyen d'en faire un lingot
Très bon sujetMoi j’en ai un !
Les protéines en poudre ( whey, caséine, oeuf )
Sont-elles vraiment inférieur aux protéines solides actuelles ?
Surtout quand on voit la qualité et la provenance de certaines protéines en poudre maintenant.
Le bodybuilding est contre nature.contre nature l’histoire.
Très bon sujet
Surtout que perso je commence à douter de toutes ces poudres je m’explique.
Il y a plusieurs mois j’ai fais un essai de feed sport, oui je sais c’est de la merde, mais je voulais tester car des fois j’ai un manque de temps pour manger donc là ça m’a paru pratique à l’occasion.
Comme je suis ma diet au cal prêt, je remplacai le repas en question par un feed au même niveau de cal, svt je complétai avec de l’avoine ou autre pour respecter même les proportions en terme de macro pour vous jusqu’où allait le délire.
Tout ce qui en est ressorti, c’est que quand je prenais un feed au lieu de repas solide, et bien mon poids avait tendance à baisser. En tout cas il y avait un impact réel sur le poids.
Ce qui m’amène à me poser la question sur tous les nutriments en poudre et leur possible mauvaise assimilation par le corps.
Si on pousse le raisonnement plus loin, ça devient logique je m’explique.
Vous avez une machine (le corps) programmer pour casser des nutriments complexe étape par étape, d’une manière assez complexe. Et nous a l’inverse, on lui file des nutriments tout prêt à assimiler, ça parait de suite contre nature l’histoire...
Les barres Feed, des meal replacement de qualité douteuseC’est quoi un feed ?
Ton poids a baissé mais de combien ?
Se doper c’est contre nature pour le corps aussi et pourtant il évolue tres bien
Les barres Feed, des meal replacement de qualité douteuse