WillBT
Well-Known Member
la les mecs vous chipoter pour 12h...
Pour 250 mg de testo E (testo pure prise en compte i.e. ester excepté) :Voila une formule intéressant, si quelqu'un un veut s y coller et nous faire un beau graphique...
steroid compounds , their half lives and activity levels
below is a breakdown of the most commonly available compounds, their half lives and activity percentages. Pretty rudimentary stuff, but alas missing from most knowledge databases.
The formula used for calculating the rate of compound release at a given day t is:
λ * N(t)
Where λ is the decay constant equal to ln(2)/h, h being the half life of the compound given in days; and N(t) is the half-life equation given by:
N(t) = n * e^(-t/λ)
Where n is the original dose of the compound in mg and t is given in days.
Ben si justement si j'ai bien compris, c'est cette cinétique là qui est donnée par cette formule, par contre, ce qui n'est pas pris en compte, c'est la cinétique "d'absorption". Corrigez-moi si je me trompe...oui mais la ou le bas blesse, c est que ca ne tient pas compte de la liberation progressive de la molecule de testo par l ester.
Juste pour info, je suis allé regarder dans la publi, c'est après une injection de 200 mg de testo E
Je ne comprends pas ce qui cloche alors poto... tu peux développer stp ?
Il y aura variation d'un individu à un autre effectivement.
D'ou le fait de jouer l'horloge pour la masse de gens est erronée, mais une molécule ne connaît pas cela.
De ce fait, il y aura effectivement une variation plasmatique en ne tenant pas un timing précis d'heures, mais surtout de jours.
Esther long nous en sommes pas à quelques heures évidemment.
Par contre, que veux tu dire par vitesse contante de augmentation?
Pas compris. Et j'ai relus plusieurs fois pourtant
C'était : pourquoi faire une injection de testo E toutes les 84 heures (i.e. tous les 3,5 jours) n'est pas viable ?Hello poto,
Qu'as tu pas compris ? Suis un perdu dans les commentaires là.
Attention mal de tronche en vue
Quand on prend un androgène. Il y a une augmentation de la concentration des récepteurs androgènes en "fmol / microgrammes d'ADN". Or l'augmentation, induite par les stéroïdes au niveau des récepteurs androgéniques, était spécifique aux dits androgènes et dépendait de la synthèse des protéines.
Le mécanisme de l'augmentation du récepteur est examiné par l'utilisation d'acides aminés isotopiquement denses pour déterminer les taux d'apparition et de dégradation du récepteur en présence ou en l'absence d'androgènes. En l'absence d'androgènes, la demi-vie du récepteur des androgènes était de "x" heures (dans les
3h de mémoire), avec une constante de vitesse "x"/ heure. En présence d'androgène, cependant, la demi-vie était de "y" heures (le double de mémoire).
La constante de vitesse pour la synthèse des récepteurs en l'absence ou la présence de d'androgènes a été calculée pour être de 1 à 3 (je simplifie c'est des chiffres à la con) fmol / microgrammes d'ADN / heure, respectivement.
Ainsi, l'augmentation des récepteurs d'androgènes induite par les androgènes s'explique par une augmentation à la fois de la demi-vie du récepteur et des taux de synthèse du récepteur concerné.
Donc en gros faut-il (infaisable à notre niveau) d'abord calculer la vitesse de "fonctionnement" de nos propres récepteurs androgéniques afin de calculer au mieux le timing de l'injection?
Je crois que j'ai perdu tout le monde là?
Attention mal de tronche en vue
Quand on prend un androgène. Il y a une augmentation de la concentration des récepteurs androgènes en "fmol / microgrammes d'ADN". Or l'augmentation, induite par les stéroïdes au niveau des récepteurs androgéniques, était spécifique aux dits androgènes et dépendait de la synthèse des protéines.
Le mécanisme de l'augmentation du récepteur est examiné par l'utilisation d'acides aminés isotopiquement denses pour déterminer les taux d'apparition et de dégradation du récepteur en présence ou en l'absence d'androgènes. En l'absence d'androgènes, la demi-vie du récepteur des androgènes était de "x" heures (dans les
3h de mémoire), avec une constante de vitesse "x"/ heure. En présence d'androgène, cependant, la demi-vie était de "y" heures (le double de mémoire).
La constante de vitesse pour la synthèse des récepteurs en l'absence ou la présence de d'androgènes a été calculée pour être de 1 à 3 (je simplifie c'est des chiffres à la con) fmol / microgrammes d'ADN / heure, respectivement.
Ainsi, l'augmentation des récepteurs d'androgènes induite par les androgènes s'explique par une augmentation à la fois de la demi-vie du récepteur et des taux de synthèse du récepteur concerné.
Donc en gros faut-il (infaisable à notre niveau) d'abord calculer la vitesse de "fonctionnement" de nos propres récepteurs androgéniques afin de calculer au mieux le timing de l'injection?
Je crois que j'ai perdu tout le monde là?