Matsor
Well-Known Member
En tout cas la réalité est que maintenant
Dire que « les endocrinologues prescrivent encore systématiquement 250 mg toutes les 3 semaines » occulte la réalité clinique : les prescripteurs modernes individualisent la dose et la fréquence en fonction des symptômes, des résultats biologiques et du profil pharmacocinétique du produit. Les recommandations cliniques insistent sur la titration du traitement pour atteindre des taux sériques ciblés et sur un suivi régulier (hématocrite, PSA, lipides…), pas sur une posologie unique standardisée pour tous.
Je suis toujours pas d’accord, la réalité est que les prescriptions standard suivent toujours les préconisations des autorités et des labo, et ça n’a toujours pas changé. Qu’on le veuille ou pas, que les études montrent un avantage autrement ou pas, et que vos médecins soient assez conciliants pour sortir de ce standard ou pas. C’est le standard aujourd’hui, ça l’était hier et je pense ça le restera encore longtemps, pour les raison que j’ai donné plus haut.
