Le concept des cycles brefs alternés dont j’ai parlé précédemment a eu un intérêt considérable de la part des lecteurs. Ici, je donne l’exemple d’un programme réel qui a été utilisé avec succès. L’athlète qui a suivi ce programme particulier a complété quatre de ces cycles de 6 semaines (seules deux de chaque cycle de 6 semaines a impliqué l’usage appréciable de stéroïde), avec un gain musculaire net de 11,33 kg et une perte de graisse nette de 2,25 kg. Les trois derniers de ces cycles ont donné un gain de muscle net de 6,35 kg et une perte de graisse de 6,35 kg. Cela s’est passé sur 24 semaines consécutives et pourtant, il n’y a eu aucune diminution de la taille des testicules, malgré le fait que l’HCG n’a jamais été utilisée, ni perte de la fonction normale sous tous les aspects pendant les semaines sans administration (avec une seule exception). Ainsi, il semble que la production de LH est restée suffisante pour maintenir une production normale de testostérone au cours de quatre cycles consécutifs.
Ce programme n’a pas été exactement comme décrit pour les quatre cycles, mais a été légèrement modifié avec le temps. Ceci est la version la plus actualisée. L’athlète croit que cette version aurait pu être suivie depuis le début avec des résultats acceptables ou même supérieurs. Les différences ne sont pas vraiment significatives.
Ces renseignements ne sont pas fournis comme une recommandation que chacun doit suivre, mais à visée informative sur les idées courantes dans ce domaine. Nous ne défendons pas l’utilisation illégale des médicaments, mais sachez que beaucoup d’individus qui réussissent dans le culturisme s’engagent dans un tel usage et considérez que la diffusion de tels renseignements est dans l’intérêt d’un public averti.
Déroulement des exercices
Toutes les séries d’exercices sont généralement effectuées avec le même poids. La pause entre les séries est habituellement de 4 minutes, mais elle peut être prolongée à 5 minutes pour les soulevés de terre et les squats (quatre minutes si 10 séries sont effectuées). Les mollets reçoivent habituellement 2 minutes de repos. Le rythme est habituellement des négatives de 4 secondes avec des positives puissantes quelque peu explosives. Cependant, à la phase 5, les négatives durent seulement 2 secondes. Aux exercices de rameur et de traction, la contraction complète est maintenue pendant une seconde. Pendant les phases 3 et 4, sur la dernière série d’un exercice, la négative finale est généralement très lente, et si la position complètement abaissée donne un bon étirement, cet étirement est maintenu pendant 15 à 20 secondes après cette dernière répétition. Dans toutes les autres phases, la négative finale est normale.
Les squats sont seulement d’environ 2 secondes sur la négative. Il n’y a rien de mauvais avec des négatives de 4 secondes sur les squats, mais cet athlète ne peut pas les supporter psychologiquement. Les squats sont en dessous des parallèles, et sont effectués avec un Manta Ray.
En général, les séries multiples sont pour un même nombre de répétitions, mais pas forcément. Par exemple : quand on effectue 2 séries, la première série se terminerait probablement en une répétition courte et intense, mais la deuxième série serait maximale et aura probablement le même nombre de répétitions. Souvent, après avoir effectué trois séries, la série finale contiendra moins de répétitions que les deux premières. Cependant, les séries de cinq sont généralement effectuées avec le même nombre de répétitions pour chaque série, en utilisant l’expérience précédente comme un guide.
« Echec » – tenter et s’efforcer de soulever un poids qui ne peut plus être soulevé – est une action à éviter comme la peste. Il n’existe aucune preuve qui confirme que l’échec en lui-même stimule la croissance, et il semblerait qu’il résulte en un surentrainement nerveux, même avec moins de séries hebdomadaires que dans ce programme.
A la place, une fois qu’une répétition est trop difficile à compléter que le culturiste sait par expérience qu’il ne pourra pas soulever de nouveau, la série est à compléter avec une négative finale (dans les exercices qui le permettent). Il ne faut pas tenter de soulever le poids quand celui-ci ne peut plus être soulevé. Cela ne devrait se produire que dans des rares cas de sous-estimation de votre aptitude à effectuer une autre répétition.
Schéma Général d’Entrainement
Le cycle est composé de 5 phases qui sont quasi-identiques les unes des autres mais qui varient en fonction du poids utilisé. Les trois premières phases durent chacune 8 jours, et les deux dernières phases durent chacune 10 jours. Aussi, les cinq phases durent en tout 44 jours, ou juste sur 6 semaines.
Les augmentations de poids entre les phases sont divisées approximativement à part égales. Par exemple, la phase 4 pourrait être plus lourde de 9 kg que la phase 3, qui à son tour serait plus lourde de 9 kg par rapport à la phase 2, qui à son tour serait plus lourde encore de 9 kg par rapport à la phase 1. Généralement, la phase 5 n’a pas d’augmentation de poids par la phase 4, à moins qu’on ait effectué plus de répétitions que prévu dans la phase 4.
Les phases 1 et 2 sont effectuées dans des conditions naturelles ou avec l’utilisation de médicaments légers, avec des poids légers, ce qui amène à des poids plus lourds utilisés dans les semaines 3 et 4. Les répétitions seront assez élevées au cours de ces semaines : environ 9 à 14 répétitions pour le travail sur le haut du corps, et autant que 20 répétitions pour les squats. Certains exercices qui seront effectués dans les phases 3 et 4 sont omis, et souvent moins de séries sont effectuées.
Les phases 3 et 4 sont effectuées avec la totalité des médicaments listés. Les poids sont plus lourds, et les répétitions seront réduites à 5 ou 6.
La phase 5 est réalisée avec les mêmes poids que dans pour la phase 4, ou légèrement plus lourds s’il y avait plus de 6 répétitions dans la phase 4. Cependant, les négatives sont plus rapides, 2 secondes par répétition, et les séries seront moins nombreuses. L’utilisation de médicaments légers durant cette phase a donné de meilleurs résultats qu’en absence d’usage d’anabolisants.
Les poids qui sont donnés sont sous forme de pourcentage du maximum réalisé en phase 4 du cycle précédent, ou des antécédents personnels. Généralement, le nombre n’est pas atteint en une série, mais à deux séries consécutives. Ainsi, « 80% 5RM » signifierait 80% du poids pour lequel on a obtenu précédemment 5 répétitions sur la deuxième série de cet exercice.
Habituellement, dans les planifications périodiques, le % 1RM est utilisé comme référence, mais cet athlète n’a pas eu de valeurs de 1RM dans la plupart de ses lifts. Ainsi, des valeurs telles que 5 RM et 6RM ont été utilisées. Le concept global était qu’elle soit pour les phases 1 et 2 d’environ 60% et 68% 1RM, et pour la phase 3 d’environ 76% 1RM, et pour la phase 4 d’environ 84% 1RM. Cependant, des valeurs de 1RM auraient pu être sous-estimées, et non données ici, malgré que ces estimations aient été utilisées dans la planification du cycle.
Pour les machines hammer strength, seul le poids des disques est compté. Ceci entraine un certain manque de précision. Cependant, l’athlète n’a pas mesuré la tare de ces engins et ainsi, ceci n’est pas pris en compte.
Pour les squats, 75% du poids du corps est supposé être soulevé avec l’haltère, comme il est recommandé par Poliquin. Ainsi, si 5RM équivalent à 136 kg et que le lifter pèse 90 kg, dans les calculs, cela serait imaginé comme environ 204 kg. 67% de ceci (par exemple) équivaudrait à 136 kg. Cela nécessiterait un haltère de 61 kg dans cet exemple, vu que 61 kg de masse corporelle sont aussi soulevés, faisant un total de 136 kg. Cette formule est probablement précise pour les jambes mais imprécise pour le bas du dos : les charges seront d’un pourcentage plus petit que prévu. Quoi qu’il en soit, l’entrainement du bas du dos n’est pas l’objectif du squatting.
Sélection de médicaments
L’acétate de trenbolone (à 50 mg/jour) et le Dianabol (à 10 mg cinq fois par jour) sont les anabolisants sélectionnés pour tous les cycles, excepté pour le dernier cycle qui a aussi inclus 50 mg/jour de Winstrol Depot. Cette addition a résulté en gains égaux à ceux des cycles précédents malgré l’apport calorique considérablement réduit en comparaison aux cycles précédents. Le Clomid a été utilisé, généralement à une dose de 100 mg/jour avec l’utilisation de Dianabol à 50 mg/jour au total, sinon à 50 mg/jour. Le Cytadren a été utilisé à une dose de 250 mg/jour (125 mg au réveil et 62,5 mg six et douze heures plus tard), quand le Dianabol était utilisé à une dose totale de 50 mg/jour, et seulement à 125 mg/jour au réveil quand le Dianabol était pris à 20 mg/jour seulement. Le Primobolan Depot à 400 mg était utilisé au début de la 5ème semaine dans ces cycles quand les médicaments oraux ont été utilisés dans les 5 et 6èmes semaines. Aucun autre médicament n’a été utilisé.
Planification des prises de médicaments
Semaines 1 et 2: Clean, mais utiliser 50 mg/jour de Clomid s’il y a eu un cycle précédent. Facultativement, une dose faible d’anabolisant oral pourrait être utilisée dans la matinée : 10 mg de Dianabol au réveil et 10 mg quatre heures plus tard. Avec cette prise, prendre 125 mg de Cytadren au lever, 300 mg d’Androdiol avant les entrainements, mais surtout pas après 16h. (Je n’ai pas de preuve confirmant que l’inhibition de la LH surviendrait si l’Androdiol était pris plus tard, mais je suspecte que cela peut être le cas).
Semaines 3 et 4: L’acétate de Trenbolone et le Dianabol à 50 mg/jour, facultativement avec du Winstrol Depot à 50 mg/jour. Du Cytadren à 250 mg/jour et du Clomid à 100 mg/jour. Ce n’est pas sûr qu’il en faille autant : 50 mg pourraient suffire. Une double dose d’acétate de trenbolone a été utilisée le premier jour de la 3ème semaine, et aucune n’a été administrée le dernier jour de la 4ème semaine.
Semaines 5 et 6: Usage modéré, comme décrit comme facultatifs pour les 1ère et 2ème semaine, mais précédé de 400 mg de Primobolan Dépôt au début de la 5ème semaine. Pour deux des quatre cycles, il n’y a pas eu une telle utilisation. Dans un cas (le premier cycle), il n’y a pas eu de pertes, mais dans le second cas (le troisième cycle), il y en a eu. Dans les deuxième et quatrième cycles, l’usage modéré à la 5ème et à la 6ème semaines ont résulté en une absence de pertes, et en gains à la 5ème semaine. Pour cette raison, il est préférable, au moins pour ce bodybuilder en particulier, d’avoir le soutien de l’utilisation à doses faibles pendant les semaines d’arrêt, ou au moins pendant les deux premières semaines suivant les deux semaines chargées.
Programme de nutrition
Le schéma de base était que pour les semaines 1 et 2 de 12 calories par 400g de masse corporelle maigre, en utilisant un régime cétogène cyclique ou un régime isocalorique. Un gramme de protéines par lb LBM a été utilisé. Les semaines 3 et 4 ont habituellement impliqué un régime alimentaire lourd, avec au moins 55 g de protéines par repas et au moins 7 repas ou de milk-shakes protéinés par jour, habituellement avec l’augmentation de gras en conséquence. Toutefois, pour le quatrième cycle où le Winstrol a été utilisé, alors que les taux de protéines sont restés élevés, l’apport calorique a été maintenu très bas, ainsi, les calories totales étaient modérées, et il n’y a pas eu de gain de gras net. Les semaines 5 et 6 sont isocaloriques à des niveaux d’entretien, avec environ 55 g de protéines à chaque repas pour la 5ème semaine et 35 à 40 g pour la 6ème semaine.
Les seuls suppléments utilisés étaient le Met-Rx, le Met-Rx Protein Plus, les solutions de substrats d’Androdiol, l’éphédrine, la caféine et une mixture d’huiles de lin, de bourrache et de chanvre. L’éphédrine et la caféine étaient utilisées avant les entrainements dans tous les cas, et trois fois par jour durant les semaines 1 et 2 (les semaines de régime). Dans le futur, un supplément de DHEA à 50 mg/jour pourrait être ajouté, non pour des effets anabolisants, mais pour compenser les taux faibles de DHEA résultant de l’utilisation de stéroïdes.
Le programme complet, jour après jour
Les cinq entrées après chaque exercice renvoient respectivement aux phases 1, 2, 3, 4 et 5. Le 1RM utilisé est le même pour chaque entrée, mais la référence au nombre de répétitions n’est donné que pour la première entrée.
Jour 1
Phase | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 |
Développé Militaire Assis (sur un banc): | 2 séries, 68% 6RM | 2 séries, 80% | 3 séries, 92% | 3 séries, 104% | 2 séries, 104% |
DB Overhead Press (assis sur un banc): | Omis. | Omis. | 3 séries, 100% 5RM. | 3 séries, 108%. | 2 séries, 108% |
Smith Military Press, assis et un peu penché en arrière: | 2 séries, 67% 5RM. | 2 séries, 80%. | 3 séries, 93%. | 3 séries, 107%. | 2 séries, 107%. |
Hammer Calf: | 2 séries, 67% 7RM. | 2 séries, 80%. | 3 séries, 93%. | 3 séries, 107%. | 2 séries, 107%. |
(Repos de trois heures) | |||||
Développé couché: | 2 séries, 71% 4RM. | 2 séries, 82%. | 5 séries ne pas dépasser 10 reps, 66% avec une minute de repos, puis 5 de plus avec 4 minutes de pause. | Identique, mais avec 70%. | 5 séries de 5,4,3,2,1 reps respectivement, avec 92% à 113%, puis une série avec 102%. |
DB Front Raise Incliné: | Omis. | Omis. | 3 séries, 100% 8RM. | 3 séries, 120%. | 3 séries, 120%. |
Hammer Calf: | Omis. | Omis. | 10 séries de 10 avec 76% 7RM, une minute de repos. | 10 séries of 10 avec 80%, une minute de repos. | 2 séries à 100%, avec repos de 2 minutes. |
Hammer Incliné sur un banc: | 2 séries, 75% 5RM. | 2 séries, 84%. | 2 séries, 94%. | 2 séries, 103%. | 2 séries, 103%. |
Day 2
Phase | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 |
Hammer High Row (effectué comme une repetition, avec le ¼ additionnel en repetition du dernier, par contractée de la répétition): | 2 séries, 65% 4RM. | 2 séries, 78%. | 2 séries, 91%. | 2 séries, 105%. | 2 séries, 105%. |
Hammer Low Row: | 2 séries, 69% 5RM. | 2 séries, 81%. | 2 séries, 95%. | 2 séries, 107%. | 2 séries, 107%. |
Hammer Iso Row, un bras à la fois: | 2 séries, 66% 5RM. | 2 séries, 79%. | 2 séries, 91%. | 2 séries, 106%. | 2 séries, 106%. |
Med-X Pullover: | 2 séries, 66% 5RM. | 2 séries, 79%. | 2 séries, 93%. | 2 séries, 106%. | 2 séries, 106%. |
Wide Grip Soulèvements suivis immédiatement de Medium Grip Chins: | Omis. | Omis. | Trois séries. | Trois séries. | Deux séries. |
(Trois heures de repos) | |||||
Med-X Lying Leg Curl: | 2 séries, 67% 7RM. | 2 séries, 81%. | 2 séries, 95%. | 2 séries, 108%. | 2 séries, 108%. |
Med-X Leg Extension: | 2 séries, 66% 8RM. | 2 séries, 78%. | 2 séries, 92%. | 2 séries, 105%. | 2 séries, 105%. |
Med-X Seated Leg Curl: | 2 séries, 78% 8RM. | 2 séries, 93%. | 2 séries, 108%. | 2 séries, 123%. | 2 séries, 123% |
Med-X Leg Extension: | Omis. | Omis. | 2 séries, 92%. | 2 séries, 105%. | Omis. |
Soulevé de terre : | 1 série, 78% (5 séries de 5)RM. | 2 séries, 88%. | 5 séries, 100%. | 5 séries, 107%. | Cinq séries de 5,4,3,2,1 respectivement à 110% à 125%, puis une série avec 103%. |
Good Morning Assis : | 1 série, 74% 9RM. | 2 séries, 87%. | 2 séries facultatives, 100%. | 2 séries facultatives, 112%. | 2 séries facultatives, 112%. |
Med-X Abdominal: | Omis. | 1 série, 104% 10RM. | Deux séries, 106%. | Deux séries, 108%. | Deux séries, 108%. |
Jours 3 et 4:
Repos. Note – les phases 1 et 2 reçoivent un jour de plus de repos.
Jour 5 (ou 6, pour les phases 1 et 2)
Phase | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 |
Développé Couché : | 2 séries, 76% 4RM. | 2 séries, 87%. | 3-5 séries, 95%. | 3-5 séries, 105%. | 2 séries, 105%. |
Hammer Lying en Développé Couché: | 2 séries, 63% 5RM. | 2 séries, 76%. | 3 séries, 89%. | 3 séries, 105%. | 2 séries, 105%. |
Seated DB Overhead Press (sur un banc, les mains maintenus au centre, avec les extrémités externs des mains en dehors des disques): | 2 séries, 75% 5RM. | 2 séries, 83%. | 3 séries, 92%. | 3 séries, 100%. | 2 séries, 108% |
Hammer Calf: | Omis. | Omis. | 3 séries, 100% 7RM. | 3 séries, 113% 7RM. | 2 séries, 113% 7RM. |
Hang Epaulé, 8 reps: | 1 série, 74% 8RM. | 2 séries, 85%. | 3 séries, 96%. | 3 séries, 107%. | 2 séries, 107%. |
Hammer Seated Calf: | Omis. | Omis. | 2 séries, 100% 14RM. | 2 séries, 104%. | Omis. |
(Pause de 3 heures) | |||||
Développé Militaire Assis: | 2 séries, 72% 6RM. | 2 séries, 84%. | 3 séries, 96%. | 3 séries, 108%. | 2 séries, 108%. |
Hammer Calf: | 2 séries, 73% 7RM. | 2 séries, 87%. | 3 séries, 100%. | 3 séries, 113%. | 2 séries, 113%. |
Smith Shrugs: | 2 séries, 67% 5RM. | 2 séries, 81%. | 3 séries, 94%. | 3 séries, 107%. | 2 séries, 107%. |
Hammer Row: | 2 séries, 66% 6RM. | 2 séries, 80%. | 2 séries, 95%. | 2 séries, 109%. | 2 séries, 109%. |
Hammer Behind Neck Pulldown, un bras à la fois : | 1 série, 66% 5RM. | 2 séries, 81%. | 2 séries, 95%. | 2 séries, 110%. | 2 séries, 110%. |
Bent Row, Yates-style (courbé seulement d’environ à 20-30 degrésbent over only 20 to 30 degrees, tirant juste au dessus de la ceinture, sans hausser les épaules) : | 1 série, 64% 6RM. | 2 séries, 78%. . | 3 séries, 91%. | 3 séries, 104%. | 2 séries, 104% |
Jour 6 (ou 7, pour les phases 1 et 2)
Phase | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 |
Med-X Lying Leg Curl: | 2 séries, 74% 7RM. | 2 séries, 92%. | 2 séries, 102%. | 2 séries, 108%. | 2 séries, 108% |
Med-X Leg Extension: | 2 séries, 72% 8RM. | 2 séries, 84%. | 2 séries, 97%. | 2 séries, 106%. | 2 séries, 106%. |
Med-X Seated Leg Curl: | 2 séries, 85% 8RM. | 2 séries, 100%. | 2 séries, 115%. | 2 séries, 129%. | 2 séries, 129%. |
Med-X Leg Extension: | Omis. | Omis. | 2 séries, 97%. | 2 séries, 106%. | Omis. |
Squat: | 1 série, 85% (5 séries de 5)RM. | 2 séries, 92%. | 5 séries de cinq à 100% suivi de | 5 séries de 10 à 77%. Idem, mais à 106% et 83%. | 5 séries à 106%. |
Med-X Ab: | 1 série, 102% 10RM. | 2 séries, 104%. | 2 séries, 106%. | 2 séries, 108%. | 2 séries, 110%. |
Jours 7 et 8: repos.
(Note – les phases 1 et 2 reçoivent un jour de repos de plus).
Répétition des cycles
Le cycle suivant suivrait avec des poids plus lourds d’environ 5 à 8% en moyenne que celui qui vient d’être complété, mais des ajustements peuvent être faits si la tranche de poids de la répétition en nécessite.
Alors qu’un gain de 5 à 8% toutes les 6 semaines pourrait ne pas sembler assez pour un lifter débutant, pour un culturiste avancé, le fait d’assembler plusieurs de ces cycles entraine des gains impressionnants. C’est le secret de la planification – le corps expérimente constamment différents challenges, par exemple %RM – et dans la durée, les augmentations en poids sont signifiants mais possibles à atteindre. En revanche, pour un lifter avancé, le fait de tenter des entrainements similaires chaque semaines mais avec disons avec un poids élevé de 1% à chaque entrainement entraine rapidement une stagnation et une perte d’une répétition (ou une perte de forme de levage) en conséquence de l’augmentation de poids, mais aussi d’une absence d’une augmentation à long terme de la force. Il n’est pas non plus possible pour un lifter avancé qui soulève déjà avec un effort maximum pour un poids donné d’accomplir une répétition additionnelle par semaine.
La plupart des titres en force athlétique ont été gagnés par des individus qui suivaient des cycles d’entrainement planifiés et qui, dans les soulèvements, suivaient un modèle répétitif de cycle en cycle, mais un peu plus lourd à chaque fois. A part son succès avec l’athlète particulier qui a suivi le programme décrit ici, cette approche générale a été un succès pour beaucoup des sportifs de force.
Il semble toutefois quelque peu nouveau d’avoir un programme de médication qui intègre le programme d’entrainement dans le but de permettre une reprise totale de la production de testostérone naturelle à plus de la moitié de chaque cycle, et permettant ainsi aux cycles d’être répétés consécutivement plusieurs fois sans perte de la production normale de testostérone.
Bill Roberts est un spécialiste mondialement reconnu pour son expertise sur les stéroïdes anabolisants et les médicaments améliorant la performance. Bill possède un Diplôme universitaire en Microbiologie et Cytologie, et a accompli les critères éducationnels et de recherche pour l’obtention d’un PhD en Chimie Médicinale dans une université Américaine réputée.
Bill intégra l’industrie des compléments nutritionnels avant de finir sa thèse de doctorat, mais son parcours éducatif était tellement inestimable au point de pouvoir concevoir et améliorer des compléments nutritionnels, vu que c’était dans le domaine de la conception de molécules de médicaments, et secondairement quelques travaux dans l’administration transdermique.
Son éducation n’a pas été particulièrement « orientée » vers les stéroïdes anabolisants autrement qu’une expertise avec des principes pharmacologiques qui disposent de larges applications. Ceci a permis à Bill de fournir un aperçu unique dans le domaine de la pharmacologie des anabolisants, avec une connaissance des points qu’il n’aurait connu autrement.
Leave a Reply