Covid-19, vaccins, et tout ce qui tourne autour...

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Vous ne le savez peut-être pas, mais vous l'avez peut-être déjà chopé sans le savoir. Beaucoup de gens chopent le Covid avec peu ou pas de symptômes... et dans ce cas la vaccination n'a aucun intérêt (sur le plan de la santé je parle).


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Ah oui tiens quand je clique de mon ordi sans me connecter ça s'affiche, de mon tél non. Au temps pour moi je détaille ça ;)
Et mon message ne veut pas passer avec un copié collé?
Je réessaie plus tard.
 
Je te respecte déa.
Ce que je vais te dire ne tient qu'à moi.
Lorsque le gouvernement, le système, bref ceux qui tiennent les rênes ont un ou des intérêts crois le ou pas,mais ils s'arrangent pour convaincre de grés ou de force la populace et font ce qu'ils veulent de nous.Et là la démocratie prend une autre tournure.Tu site des articles scientifiques certe.Mais qui te dit que les scientifiques sont unanimes ? Qui te dit que certains scientifiques prouvent le contraire ou sont réservés vis à vis de ces conclusions hâtives et non désintéressées ? La vie sur Terre n'est pas tout beau tout gentil. Elle est implacable et impitoyable lorsqu'elle est tenue par des gouverneurs et des systèmes qui sont impitoyables et implacables.
Exemple:tu te vaccine et tu ferme ta gueule. S'il t'arrive quelque chose tu assume et tu ferme ta gueule. Nous,le système pharmaceutique capitaliste et nous ceux qui gouvernent nous ne sommes pas responsable des effets du vaccin!
A bon entendeur.
Pour ce qui est de la grippe,toutes les grippe ne sont pas identiques. Mon père a fait un cas sévère de grippe dans les années 90 et crois moi il était entre la vie et la mort.Mon père était un gaillard qui ne se plaignait jamais mais je me rappelle ces jours il était à bout de nerf et de force.
Moi aussi je te respecte, pas de soucis.
C'est pas spécialement pour te convaincre toi ou certains membres du forum qui s'expriment déjà ^^
Tout comme tu ne me rallieras pas à ton point de vue non plus.
On s'est exprimé et je pense qu'on est d'accord qu'on ne mettra pas d'accord :D
Mais oui la comparaison avec la grippe me fait un peu réagir et je mets ça en complément pour ceux que ça intéressent et qui ne s'expriment pas forcément.
Bon du coup ça ne marche pas mais je retente ce soir ;)
 
L’arn m ne peut pas modifier l’ADN, c’est une certitude et c’est bien connu de la communauté scientifique.
Par contre… chose que l’on oublie et dont très peu parle, du moins ce qui en parle ne sont pas médiatisés va t on dire, l’arn m peut inclure l’adn grâce à l’aide de rétro virus dont nous pouvons être porteur. Nous pouvons tous être porteur de rétro virus en sommeil dans notre corps.

Posez vous donc la question de pourquoi des malades du sida ont été inclus dans la phase 3 pzifer, à part… avec un protocole bien spécifique. Les résultats, pas publié à ce jour… si quelque à réussi à mettre la main dessus je suis preneur d’ailleurs
 
Vous ne le savez peut-être pas, mais vous l'avez peut-être déjà chopé sans le savoir. Beaucoup de gens chopent le Covid avec peu ou pas de symptômes... et dans ce cas la vaccination n'a aucun intérêt (sur le plan de la santé je parle).


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Le COVID peut induire des atteintes cérébrales sur la durée, selon une étude britannique​

Ralf Ellis
22 juin 2021

Oxford, Royaume-Uni –
Une nouvelle étude menée par des chercheurs britanniques montre que le coronavirus peut entrainer des pertes cérébrales à long terme, ce qui pourrait expliquer pourquoi des patients perdent le goût et l’odorat.

« En résumé, l’étude suggère qu’il pourrait se produire des pertes de tissu cérébral sur le long terme à cause du Covid, qui aurait des conséquences dans le temps » a expliqué le Dr Scott Gottlieb, directeur sortant de la FDA à la chaine américaine CNBC.

« Vous pouvez compensez à la longue, ce qui fait que les symptômes peuvent disparaitre, mais vous ne récupérez jamais le tissu perdu s’il a été détruit par le virus » selon le Dr Gottlieb.

Dans cette étude, les chercheurs britanniques ont eu accès aux IRM d’environ 40 000 personnes datant d’avant le début de la pandémie à SARS-CoV-2 (UK Biobank).

En 2021, ils ont demandé à des centaines de personnes de revenir faire des examens. Près de 800 ont répondu. Sur ces patients, 404 ont été testés positifs pour le Covid-19, et 394 avaient des images exploitables avant et post pandémie.

La comparaison des images avant et après ont montré « des impacts significatifs du Covid-19 sur le cerveau avec une perte de matière grise » dans les endroits du cerveau connectés au goût et à l’odorat.

« Tous les résultats significatifs ont été trouvés dans les aires corticales limbiques liées au système gustatif et olfactif primaires, dans l’hémisphère gauche, d’après les données de matière grise (volume, épaisseur) » indique l’étude.

La perte du goût et de l’odorat est l’un des marqueurs de l’infection Covid-19. Cette recherche montre que ces symptômes peuvent durer jusqu’à 5 mois après l’infection.

« La diminution de tissu cortical intervient dans des régions du cerveau proches des aires responsables de l’odorat » considère le Dr Gottlieb. « Cela suggère que la perte de l’odorat résulte d’un processus initial, lequel consiste en un amoindrissement du tissu cortical. »
 
si quelque à réussi à mettre la main dessus je suis preneur d’ailleurs
Si cela peut t'aider

Le vaccin anti-COVID-19 de Pfizer-BioNTech donne des résultats encourageants chez des personnes séropositives


  • Rares sont les études traitant de personnes séropositives vaccinées contre la COVID-19
  • Des scientifiques d’Israël ont étudié 143 personnes séropositives qui avaient reçu le vaccin de Pfizer-BioNTech
  • L’équipe a constaté la présence de taux élevés d’anticorps contre le SRAS-CoV-2 après la deuxième vaccination
Même si plusieurs essais cliniques pivots des vaccins anti-COVID-19 de première génération ont été menés, les fabricants n’ont pas publié de rapports détaillés sur l’efficacité des vaccins chez des populations particulières, notamment les personnes vivant avec le VIH. Pour combler cette lacune, des études par observation sont en cours.

Une équipe de recherche d’Israël a rendu compte des résultats obtenus auprès de 143 personnes séropositives qui avaient reçu les deux doses du vaccin anti-COVID-19 de Pfizer-BioNTech. Selon l’équipe, les deux doses du vaccin ont réussi à déclencher la production d’anticorps pouvant s’attaquer au SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19. Les effets secondaires ont généralement été légers, et la charge virale en VIH n’a augmenté que très modestement chez 2 % des personnes vaccinées.

Détails de l’étude....​


Sinon une étude ici

We screened 3022 persons across seven sites and enrolled 2026 HIV-negative persons in the trial between June 24 and November 9, 2020. All participants except 5 who did not receive vaccine or placebo were included in the safety analysis. The initiation of enrollment coincided with the peak of the first Covid-19 wave in South Africa (Fig. S2). Overall, 1011 participants received the vaccine and 1010 received the placebo (Figure 1). A total of 1467 seronegative participants (750 assigned to the vaccine and 717 to placebo) were eligible for the primary efficacy analysis; reasons for exclusion are listed in Figure 1.

--------------------------------------------------------------------------------------

Nonetheless, relatively small numbers of people with HIV have been involved so far and the length of time they have been in the studies is relatively short. For this reason, specific data on people with HIV has not yet been released from most of the studies.
 
Merci @Tartiflette ;)

Et le deuxième qui me faisait buguer mon message à cause d'un lien.

COVID-19 : les mécanismes de l’anosmie enfin élucidés !​

France-- La perte soudaine de l’odorat chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2 a été signalée dans le monde entier dès le début de la pandémie, sans que l’on sache si le virus joue un rôle direct ou indirect dans ce symptôme. Aujourd’hui on y voit plus clair : des chercheurs français viennent d’élucider les mécanismes impliqués dans cette anosmie, leurs résultats ayant été publiés dans la revue Science Translational Medicine , le 3 mai 2021.

Cette nouvelle étude a été conduite auprès de patients ayant le COVID-19 et complétée par des analyses sur un modèle animal. Il en ressort plusieurs étapes chronologiques dans cette perte de l’odorat :

  1. Disparition des cils permettant la réception des molécules odorantes par les neurones sensoriels ;
  2. Présence de virus dans les neurones sensoriels ;
  3. Désorganisation de l’épithélium olfactif liée à l’apoptose (déstructuration des lamelles) ;
  4. Invasion du bulbe olfactif par le virus ;
  5. Présence d’une neuroinflammation et d’ARN viral dans plusieurs régions du cerveau.
Cette étude montre donc que les neurones sensoriels sont infectés par le SARS-CoV-2. Ensuite, le virus se propage à d’autres structures nerveuses où il induit une importante réponse inflammatoire. L’infection des neurones olfactifs pourrait donc constituer une porte d’entrée vers le cerveau et expliquer pourquoi certains patients développent diverses manifestations cliniques, d’ordre psychologique (troubles de l’anxiété, dépression) ou neurologique (déclin cognitif, susceptibilité à développer une maladie neurodégénérative).


« En effet nous avons constaté que les neurones sensoriels sont infectés par le SARS-CoV-2, mais aussi le nerf olfactif et les centres nerveux olfactifs dans le cerveau », a commenté Pierre-Marie Lledo, chercheur CNRS, responsable de l’Unité Perception et mémoire (Institut Pasteur/CNRS) et co-auteur responsable de l’étude, dans un communiqué.

Chez certains patients, l’anosmie peut durer plusieurs mois et serait liée à la persistance du virus et de l’inflammation dans la muqueuse olfactive. Cette étude a d’ailleurs montré que les tests classiques RT-PCR pratiqués sur les écouvillonnages nasopharyngés peuvent se révéler négatifs alors que le virus persiste au fond des cavités nasales, dans l’épithélium olfactif. Un diagnostic du SARS-CoV-2 par brossage nasal peut alors être envisagé pour compléter l’écouvillonnage nasopharyngé chez les patients présentant une perte d’odorat.

Ces résultats devront être pris en compte pour adapter le diagnostic et la prise en charge des manifestations à long terme du COVID-19, concluent les chercheurs.

3607160-fig1.jpg

Microscopie électronique à balayage montrant les changements de l’épithélium olfactif après infection par le SARS-CoV-2. A la périphérie de la photo, les cellules ciliées sont normales. Au centre : perte de cils 2 jours après infection. Les particules virales bourgeonnent à la surface des cellules infectées ayant perdu leurs cils. © Unité Perception et Mémoire – Institut Pasteur

Cet article a été initialement publié sur Univadis.fr, membre du réseau Medscape. Adapté par Aude Lecrubier.

Crédit photo Une. Design Cells, iStock / Getty Images Plus
 
Je n'ai pas peur de mourir dans le sens que la mort est une certitude et dont la date est inconnue de chacun.
Par contre la chaise roulante,la cécité ou d'autres séquelles ça oui ça me fait peur.
Quand à l'arn m,si toi ça te dérange pas qu'on tripote ton adn, ça te regarde,mais moi je suis désolé ça ne me dit rien qui vaille...

Vaccins à ARN : l’INSERM rassure​

Fanny Le Brun
28 décembre 2020

France—Alors que le début de la campagne de vaccination contre le SARS-CoV-2 est imminente en France, les vaccins à ARN, de par leur nouveauté, suscitent de nombreuses questions et craintes. L’INSERM a fait le point sur cette technique.

Quelle différence avec les autres types de vaccins ?

Les vaccins à ARN ont pour particularité de ne pas contenir l’agent infectieux atténué ou inactivé, ou certains de ses composants, comme c’est habituellement le cas. Ces nouveaux vaccins reposent sur l’injection d’un ARN messager (ARNm) codant pour la protéine Spike présente à la surface du coronavirus SARS-CoV-2. Cet ARN va pénétrer dans les cellules du patient localisées au niveau du site d’injection et être traduit en protéine, comme n’importe quel autre ARNm se trouvant dans le cytoplasme. C’est la protéine Spike traduite par la cellule qui déclenchera la réaction immunitaire.

Pourquoi avoir choisi cette nouvelle technique ?

Les vaccins à ARN ont pour avantage de pouvoir être développés plus rapidement que les vaccins utilisant les techniques plus traditionnelles et ils ne nécessitent pas d’adjuvant chimique. Cette nouvelle technologie vaccinale permet de réagir plus vite en période pandémique et permettra d’adapter rapidement le vaccin si une mutation du SARS-CoV-2 venait compromettre son efficacité.


Les vaccins à ARN ont également pour avantage de déclencher une réponse immunitaire puissante et très spécifique. La protéine Spike produite par l’organisme est extrêmement proche de sa conformation naturelle dans le virus sauvage.

Faut-il craindre une modification de notre génome ?

Il est important de préciser que l’ARNm injecté via le vaccin pénètre uniquement dans le cytoplasme de la cellule et non dans le noyau. Il ne peut donc pas transformer notre génome puisque celui-ci se trouve dans le noyau.

Par ailleurs, cet ARNm ne peut pas être transmis à la descendance car l’injection est locale : les cellules qui reçoivent cet ARNm sont principalement les cellules musculaires. En aucun cas l’ARNm ne va jusqu’aux cellules des organes reproducteurs.

Enfin, les cellules produisant la protéine Spike suite à l’injection du vaccin sont rapidement détruites par le système immunitaire. L’ARNm étranger ne reste donc pas longtemps dans l’organisme.

Pourquoi les vaccins à ARN n’avaient jamais atteint les études de phase 3 ?

Alors que les vaccins à ARN apparaissent comme une technologie nouvelle, elle ne date pourtant pas d’hier… Des chercheurs travaillent sur ce sujet depuis plusieurs décennies, mais il a fallu surmonter quelques obstacles techniques, comme la taille des molécules d’ARN qui est dix fois plus importante qu’un antigène protéique injecté via un vaccin traditionnel. Il a donc été nécessaire de développer un système de transport de ces molécules pour qu’elles puissent entrer dans les cellules d’intérêt. Ce n’est que récemment que des solutions ont été trouvées, notamment en utilisant des particules nanolipidiques pour transporter l’ARNm vaccinal jusqu’aux cellules.

Le développement de cette technique a également été accéléré par la vitesse de circulation du virus dans la population, qui a permis d’obtenir plus rapidement des résultats d’efficacité lors des essais cliniques et par des financements qui n’avaient jamais été aussi élevés. Les chercheurs ont disposé de moyens qu’ils n’avaient pas jusqu’alors pour mener des essais cliniques aussi rapidement et efficacement.





Ce résumé clinique a été initialement publié sur Univadis.fr, membre du réseau Medscape.

 

COVID long : les données actuelles​

Pr Frédéric Adnet, Pr Dominique Savary Dessin Héloïse Chochois : Des symptômes qui persistent
25 juin 2021
Le Pr Frédéric Adnet, chef du service des urgences de l’hôpital Avicenne et du Samu de la Seine-Saint-Denis est interrogé par le Pr Dominique Savary, chef du département de médecine d'urgence au CHU d'Angers, sur les données actuelles des symptômes prolongés du COVID-19.


Dominique Savary – je suis très heureux d’accueillir le Pr Frédéric Adnet de Bobigny qui me rejoint sur Medscape pour évoquer un sujet qu’il a présenté au congrès Urgences SFMU 2021 sur le COVID long.


Comment définit-on le COVID long ?


Frédéric Adnet – Le COVID long a été bien défini dans la littérature : c’est la persistance de symptômes au-delà de six semaines après le début de l’entrée dans la maladie. Donc un patient qui a des symptômes six semaines après les premiers symptômes est défini comme un patient qui a le COVID long.


Dominique Savary – L’incidence devrait être assez importante en France, n’est-ce pas ?


Frédéric Adnet – Non seulement en France, mais aussi au niveau mondial. On considère actuellement que selon les différentes études, 10% des patients qui ont eu une PCR positive auront des symptômes de type COVID long et qu’environ 30% des patients qui ont été hospitalisés pour COVID auront des symptômes entrant dans le cadre du COVID long, ce qui représente, rien que pour la France, une cohorte de plus d’un million de patients qui vont fréquenter l’hôpital via les urgences ou aller directement dans des services d’hospitalisation classiques.


Dominique Savary – Quelle est la physiopathologie de ces symptômes persistants ?


Frédéric Adnet – Il y a plusieurs hypothèses :


  • La première est que le virus demeure quiescent dans des organes profonds comme le foie, le rein, le cerveau, voire le cœur, et ce virus est toujours quiescent et actif et peut réveiller le système immunitaire.
  • Deuxième hypothèse, il s’agit d’un dérèglement du système immunitaire qui fait que les patients ont toujours un syndrome inflammatoire à distance de la maladie, sans qu’il y ait eu de résurgence du virus, donc un système inflammatoire qui se nourrit lui-même et qui perdure, alors que le virus a été complètement évacué.
  • Enfin – et cela ne doit pas être ignoré – c’est un taux de réinfection qui sera de plus en plus fréquent avec l’apparition des variants et de nouveaux variants qu’on ne connaît pas encore. Ce taux de réinfection, qu’on considérait comme anecdotique à la fin de la première vague, est quelque chose de plus en plus fréquent et que l’on observe.

Donc ce qui est sûr, c’est qu’on assiste à des phénomènes en lien avec un état inflammatoire qui perdure, que le virus soit présent ou non.


Dominique Savary – Quels sont les symptômes du COVID long qui vont amener les patients à consulter dans nos services d’urgence ?


Frédéric Adnet – Il y a deux grands types de symptômes : organiques et – il ne faut pas le négliger – plutôt psychologiques, voire psychiatriques, puisqu’on considère que, selon une étude, environ 30% des patients ont à six mois une symptomatologie neurologique ou psychiatrique. Donc il va y avoir des décompensations psychiatriques ou psychologiques, et aussi des symptômes plus organiques.


Parmi les motifs de recours des patients COVID long qui viennent aux urgences, on a d’abord la dyspnée qui persiste et qui s’acutise lors d’efforts, des problèmes de fièvre persistante, des problèmes d’asthénie persistante très importants, et qu’on trouve mêlés à d’autres motifs de recours qu’on connaît bien comme les céphalées, les myalgies, les douleurs thoraciques, les palpitations. Ce sont tous des symptômes fréquents lors du COVID long.


Dominique Savary – Pour ne pas passer à côté de tous ces symptômes, quel bilan doit être effectué chez un patient qui se présente avec un COVID long ?


Frédéric Adnet – Les Anglais ont commencé à publier les premiers guidelinespour guider les médecins qui prennent en charge ces patients COVID long. Le bilan biologique et d’imagerie recherchera en premier une pathologie en lien avec un syndrome inflammatoire ou un syndrome thrombo-embolique. Je mets de côté tout ce qui est psychiatrique.


Quel sera ce bilan ? Bien évidemment on va faire la NFS, la CRP, la troponine à la recherche de l’inflammation péricardique, puisqu’il y a des péricardites à distance du COVID long ; bien sûr des D-dimères, puisqu’on va traquer la maladie thrombo-embolique. Après, le bilan d’imagerie : la radio thorax, mais au moindre doute d’un événement thrombo-embolique, on fera, bien sûr, l’angioscan. Il ne faut pas oublier qu’il faudra faire systématiquement une PCR chez ces patients, car encore une fois, le taux de réinfection va devenir sûrement plus fréquent que ce que l’on observe aujourd’hui.


Dominique Savary – On comprend bien ces symptômes qui conduisent à l’urgence : la dyspnée, la douleur thoracique, mais j’imagine qu’il y a tout un tas de séquelles qui pourraient être vues en consultation autres que l’urgence.


Y-a-t-il des consultations par d’autres spécialités qui vont se monter à Paris pour les patients avec un COVID long ?


Frédéric Adnet – Oui. On commence à faire des consultations systématiques chez les patients qui ont des COVID, et d’autant plus que le COVID a été sévère. Ce sont surtout des explorations fonctionnelles respiratoires, puisque la hantise de nos pneumologues est que les pneumopathies à COVID se transforment à long terme en fibroses. C’est un scanner et surtout des explorations fonctionnelles respiratoires, en particulier la DLCO, qui va mesurer s’il y a un certain degré de fibrose dans les images qu’on pourrait récupérer à long terme, au scanner.


Dominique Savary – Va-t-on créer une filière particulière pour ces COVID longs ? À Bobigny, comment va-t-on s’organiser ?


Frédéric Adnet – Oui. Avec le service de médecine infectieuse, nous avons commencé à valider un parcours pour ces patients. Donc, c’est une exploration à trois mois et à un an chez tous les patients COVID qui ont été hospitalisés.


Dominique Savary – En termes de mortalité, que sait-on sur ces COVID longs ?


Frédéric Adnet – Il y a beaucoup d’études qui ont été publiées. On observe une surmortalité des patients qui ont eu le COVID par rapport à des groupes témoins. On peut utiliser deux types de groupes témoins : soit des patients qui ont eu une infection respiratoire de type grippal non COVID, soit la population générale. Mais dans ces deux types d’études, on retrouve une surmortalité chez les patients COVID – une surmortalité à un an qui est extrêmement importante, puisqu’elle est de l’ordre, dans une étude, de 18%.


Dominique Savary – Merci Pr Adnet pour ces détails qui sont extrêmement précieux pour les urgentistes qui vont avoir à accueillir ces patients et pour les médecins spécialistes qui vont avoir à traiter ces COVID longs.

https://www.univadis.fr/viewarticle/covid-long-les-donnees-actuelles-746297?s1=news










Ce n'est pour être ultra alarmiste. Bien sur qu'on peut être asymptomatiques et qu'on aura des formes légères dans la majorité des cas.
Mais pas que et ce n'est pas une grippe.

Et dans ton lien @Andrey que je trouve très bien je vois ça aussi
"À VOIR AUSSI - Covid-19: il y a une «forte probabilité» de nouveaux variants «possiblement plus dangereux», alerte l'OMS"
Et ça résume aussi ce que je pense de la vaccination.
On fait quoi? Rien?
Pour mon avis perso, on n'a qu'un moyen, le plus efficace pour l'instant, le vaccin, ben ok go.
 
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  • Rares sont les études traitant de personnes séropositives vaccinées contre la COVID-19
  • Des scientifiques d’Israël ont étudié 143 personnes séropositives qui avaient reçu le vaccin de Pfizer-BioNTech
  • L’équipe a constaté la présence de taux élevés d’anticorps contre le SRAS-CoV-2 après la deuxième vaccination
Même si plusieurs essais cliniques pivots des vaccins anti-COVID-19 de première génération ont été menés, les fabricants n’ont pas publié de rapports détaillés sur l’efficacité des vaccins chez des populations particulières, notamment les personnes vivant avec le VIH. Pour combler cette lacune, des études par observation sont en cours.

Une équipe de recherche d’Israël a rendu compte des résultats obtenus auprès de 143 personnes séropositives qui avaient reçu les deux doses du vaccin anti-COVID-19 de Pfizer-BioNTech. Selon l’équipe, les deux doses du vaccin ont réussi à déclencher la production d’anticorps pouvant s’attaquer au SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19. Les effets secondaires ont généralement été légers, et la charge virale en VIH n’a augmenté que très modestement chez 2 % des personnes vaccinées.

Détails de l’étude....​


Sinon une étude ici

We screened 3022 persons across seven sites and enrolled 2026 HIV-negative persons in the trial between June 24 and November 9, 2020. All participants except 5 who did not receive vaccine or placebo were included in the safety analysis. The initiation of enrollment coincided with the peak of the first Covid-19 wave in South Africa (Fig. S2). Overall, 1011 participants received the vaccine and 1010 received the placebo (Figure 1). A total of 1467 seronegative participants (750 assigned to the vaccine and 717 to placebo) were eligible for the primary efficacy analysis; reasons for exclusion are listed in Figure 1.

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Nonetheless, relatively small numbers of people with HIV have been involved so far and the length of time they have been in the studies is relatively short. For this reason, specific data on people with HIV has not yet been released from most of the studies.
Merci piur les publications, mais ça n’aborde pas la problématique qu’engendre un rétro virus en présence de l’arn m
Donc pas plus d’info à ce sujet

un peu de lecture pour démontrer mes dires, ce que l’on ne vous dit pas à la tv, ce dont personne ne parle.



En gros, si vous avez ce genre de virus en vous, ce qui est relativement probable, et que vous lui donnez de quoi coder, arn, c’est une probabilité.
8% de notre génome est déjà constitué de d’ADN de virus
Ça ne serait pas une première
 
Un rétrovirus est un virus qui utilise l'ARN comme matériel génétique. Lorsqu'un rétrovirus infecte une cellule, il fait une copie d'ADN de son génome qui est insérée dans l'ADN de la cellule hôte.

Mais ca veut pas dire que l’ARNm du vaccin va s’assimiler à l’ARN (genome) de retrovirus pour être transcrit par les transcriptase inverse. Le retrovirus va faire transcrire sa propre génome (ARN) pas un ARNm qu’il trouve sur sa route.



But SARS-CoV-2 is not a retrovirus and the COVID-19 mRNA vaccines don’t make reverse transcriptase. They only contain one gene: the gene for the SARS-CoV-2 viral spike protein.

So, the only way the COVID-19 vaccine mRNA might enter your DNA is if you were unlucky enough to be infected at precisely the same time with HIV, or another kind of retrovirus, and this virus was active for the few short hours the vaccine mRNA was present in your cells. The chances of this happening are vanishingly small.
 
Dernière édition:
Je te comprends Strake. Et c’est tout le problème de « trop d’informations » et d’internet je trouve.
 
Dernière édition:
Un rétrovirus est un virus qui utilise l'ARN comme matériel génétique. Lorsqu'un rétrovirus infecte une cellule, il fait une copie d'ADN de son génome qui est insérée dans l'ADN de la cellule hôte.

Mais ca veut pas dire que l’ARNm du vaccin va s’assimiler à l’ARN (genome) de retrovirus pour être transcrit par les transcriptase inverse. Le retrovirus va faire transcrire sa propre génome (ARN) pas un ARNm qu’il trouve sur sa route.



But SARS-CoV-2 is not a retrovirus and the COVID-19 mRNA vaccines don’t make reverse transcriptase. They only contain one gene: the gene for the SARS-CoV-2 viral spike protein.

So, the only way the COVID-19 vaccine mRNA might enter your DNA is if you were unlucky enough to be infected at precisely the same time with HIV, or another kind of retrovirus, and this virus was active for the few short hours the vaccine mRNA was present in your cells. The chances of this happening are vanishingly small.
Il n’y a pas que le hiv comme rétrovirus poto justement c’est bien ça le problème.
Et ça me pose clairement problème que l’on vaccine à tout va des gens qui seront amenés à procréer plus tard
 
Ça me rend fou et suspicieux toutes vos publications les potos .
Dans le sens où ça fait réfléchir et c’est flippant !

je respecte les avis de tous bien évidement et je ne porte aucun jugement , c’est un débat très intéressant.
Malheureusement j’aimerai bien que se soit bcp plus simple et que l’on n’ait pas à se poser de questions.
Mais déjà d’une tu es gouvernés par une bande d’incapable qui mentent et n’arrêtent pas de se contredire de jours en jours, la confiance atteint, quand tu te poses un peu des questions et que tu réfléchis, des niveaux proches de 0.
Par ailleurs, les médias te servent à longueur de journée des infos allant dans le sens des menteurs, des pseudos spécialistes (toujours les mêmes) qui n’en sont pas (excusez moi mais la médecine et la biologie est bien trop vaste pour que l’on ait à ce taper l’avis d’un néphrologue, pour ne citer que lui, comme parole devangile)… bah tout cela ça n’encourage pas à la confiance.
Et de surcroît le bénéfice risque n’y est pas (la je parle pour moi et mon discours aurait pu être différent en toute objectivité si j’avais plus de 50 ans et où avec pathologie particulière).

Et je rappelle je ne suis aucune un anti vaccin et encore moins complotiste, juste un citoyen qui sait réfléchir, et arrive, sans prétention aucune a se débrouiller a chercher de l’info scientifique, à la mesure de ses propres capacités
 
Il n’y a pas que le hiv comme rétrovirus poto justement c’est bien ça le problème.
Et ça me pose clairement problème que l’on vaccine à tout va des gens qui seront amenés à procréer plus tard

Je remets l’extrait ici de nouveau.

......precisely the same time with HIV, or another kind of retrovirus, and this virus was active for the few short hours the vaccine mRNA was present in your cells......

Peu importe le type de rétrovirus. Le seul risque c’est si il y a « co-infection » au moment de vaccination par un rétrovirus et pas que HIV mais en même temps que le vaccin.
 
Du coup le mec de 39 ans et le jeune de 22 ans décédés après injection on dit quoi à leurs familles ? On leur explique la balance bénéfice risque ? C'est le jeu ma pauvre Lucette ? Pertes et profits ? Tombés pour la nation pour protéger des vieux boomers obèses ? ^^
 
C’est quoi ces décès. Des cas rapportés, suspectés, avérés? La relation avec le vaccin a été établie?

D’après ce que je vois un homme de 39 ans est décédé après une deuxième dose de vaccin. Aucun lien n’est pour l’instant fait entre son décès et le vaccin. La famille à porté plainte. Mais ca veut pas dire qu’il y a une relation entre le décès et le vaccin. Malheureusement des décès suite à une insuffisance cardio respiratoire arrive même sans vaccin et même chez les jeune.

Je trouve qu’on connaît rien de ces cas mis a part ce que la famille veut bien dire.


Quand a jeune homme de 22 ans. Faut déjà que la causalité soit établie. Et le vaccin semble
ne pas être le seul élément concomitant qui pourrait expliquer sa mort.

Selon plusieurs sources, Maxime Beltra avait des allergies à certains aliments et son décès pourrait être consécutif à l'ingestion de certains de ces produits. "Il est d’ores et déjà établi que le jeune homme a absorbé, peu avant son décès, un aliment pour lequel il avait une allergie connue", confirme une source judiciaire.
Dans la soirée de lundi, Maxime Beltra s'est en effet rendu au restaurant, avant d'être victime d'un œdème de Quincke, réaction allergique qui fait gonfler les muqueuses du cou et peut bloquer la respiration.


 
Un jeune se présente avec des allergies, il le précise aux médecins, qui décident de le garder 15 minutes plutôt que 10.
Ce jeune meurt dans la nuit.

La réponse des " médecins " et des " médias " : Non mais frère c'est pas notre faute, il a bouffé des cacahuète c'est tout.

Non mais sincèrement.... :confused:
 
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