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Entraînement jusqu'à l'échec musculaire : Le Saint Graal ou un Piège à Éviter ?

Salut les passionnés de la fonte !

Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui divise : l'entraînement jusqu'à l'échec musculaire. Est-ce la clé pour des gains maximaux ou un ticket direct pour le surentraînement ? Plongeons dans le débat !

Qu'est-ce que l'échec musculaire ?

Avant tout, mettons-nous d'accord sur les termes. L'échec musculaire, c'est quand vous ne pouvez plus effectuer une seule répétition supplémentaire avec une bonne forme. À l'opposé, on a l'approche "reps in reserve" (RIR) où on s'arrête quelques reps avant l'échec total.

La théorie derrière l'échec musculaire :

L'idée, c'est que plus vous vous rapprochez de l'échec, plus vous recrutez d'unités motrices et de fibres musculaires de type II (celles avec le plus gros potentiel de croissance). Logique, non ? Plus de fibres sollicitées = plus de gains. Mais est-ce si simple ?

Ce que dit la science :

Surprise ! Une méta-analyse récente conclut qu'il n'y a pas de preuve que l'entraînement jusqu'à l'échec soit supérieur pour l'hypertrophie. En fait, il semblerait que le recrutement maximal des unités motrices se produise déjà entre 60-85% de votre force maximale (grosso modo dans la zone 6-12 répétitions).

3 bonnes raisons d'éviter l'échec systématique :

  1. Ça réduit le volume total :
    Imaginez deux lifters. Le premier va à l'échec à chaque série : 10 reps, puis 6, puis 3. Le deuxième s'arrête 1-2 reps avant : 8 reps sur les 3 séries. Résultat ? Le deuxième soulève plus de volume total !
  2. Ça augmente la fatigue et le temps de récup :
    Des études montrent que l'entraînement à l'échec provoque :
    • Plus de dommages musculaires
    • Une baisse de la vitesse d'exécution
    • Un RPE (perception de l'effort) plus élevé
    • Un temps de récupération allongé (48h vs 24h pour revenir à la normale)
  3. Ça peut augmenter le risque de blessure :
    Surtout sur les exercices complexes, la fatigue peut altérer votre technique. Et une mauvaise forme + charges lourdes = danger !

Le gros avantage de l'échec musculaire :

C'est un excellent outil pour apprendre à jauger votre effort. Si vous savez ce que "l'échec" signifie, vous pourrez mieux estimer quand vous êtes à 1-2 reps de la limite.

Comment l'intégrer intelligemment :

  • Évitez l'échec sur les mouvements poly-articulaires (squat, soulevé de terre...)
  • Réservez-le pour la dernière série d'exercices adaptés (isolations principalement)
  • Ajustez la fréquence : plus vous vous entraînez souvent, moins vous devriez aller à l'échec

La voie du milieu : l'approche RIR

Les recherches suggèrent que s'arrêter 1-3 reps avant l'échec donne des résultats similaires en termes de croissance musculaire, tout en évitant les inconvénients. C'est un bon compromis entre intensité et récupération.

Conseils pratiques :

  1. Variez votre approche : alternez entre des séries proches de l'échec et d'autres plus modérées
  2. Écoutez votre corps : si vous sentez que la récupération devient difficile, reculez un peu par rapport à l'échec
  3. Tenez un journal d'entraînement : notez vos sensations, vos performances, et ajustez en conséquence

Et vous, quelle est votre expérience ?

  • Êtes-vous team "No pain, no gain" ou plutôt adepte de l'approche RIR ?
  • Avez-vous remarqué des différences dans vos progrès ou votre récupération en fonction de votre proximité avec l'échec ?
  • Quelles sont vos astuces pour juger votre niveau d'effort pendant une série ?

Partagez vos expériences, vos questions, et vos réflexions dans les commentaires ! On est là pour apprendre les uns des autres.

N'oubliez pas : il n'y a pas de règle absolue en musculation. L'important est de trouver ce qui fonctionne pour vous, tout en restant à l'écoute de votre corps. Entraînez-vous dur, mais entraînez-vous intelligemment !
 
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Les récepteurs d'androgènes : La clé secrète pour prendre du muscle ?

Salut la team muscle !

Vous vous êtes déjà cassé la tête à comprendre pourquoi certains gars au gym semblent prendre du muscle rien qu'en regardant une barre, alors que vous, vous suez sang et eau pour gratter quelques grammes ? J'ai peut-être trouvé une explication qui va vous intéresser. Accrochez-vous, on va parler science (mais promis, je garde ça simple) !

Le mystère des "easy gainers" vs les "hardgainers"

J'étais en train de parcourir T Nation (ouais, je sais, encore) et je suis tombé sur un article qui parle d'une étude super intéressante. En gros, ça pourrait expliquer pourquoi votre pote qui connaît à peine la différence entre un squat et un deadlift a des bras comme Schwarzenegger, alors que vous, malgré tous vos efforts, vous ressemblez plus à... bah, à moi quoi !

Les récepteurs d'androgènes : c'est quoi ce bordel ?

Okay, imaginez que vos muscles sont comme une grosse usine. Les récepteurs d'androgènes, c'est un peu comme les chefs d'équipe de cette usine. Quand une hormone comme la testostérone arrive (pensez à un camion de livraison), ces petits chefs donnent l'ordre de commencer la production de protéines, qui sont les briques pour construire du muscle.

Plus vous avez de ces "chefs" (récepteurs), plus votre usine (muscle) peut traiter de "livraisons" (hormones) et produire de "briques" (protéines). Capiche ?

L'étude qui change tout

Voilà ce que les chercheurs ont fait :
  • Ils ont pris un groupe de mecs qui s'entraînaient déjà.
  • Ils ont mesuré tout un tas de trucs : hormones dans le sang, dans les muscles, etc.
  • Ils les ont fait s'entraîner pendant 12 semaines.
  • Ils ont tout remesuré à la fin.

Et devinez quoi ? Le truc qui faisait VRAIMENT la différence entre ceux qui ont pris beaucoup de muscle et les autres, c'était le nombre de récepteurs d'androgènes ! Pas le niveau de testostérone, pas le niveau d'IGF-1, rien de tout ça. Juste le nombre de ces fameux récepteurs.

Qu'est-ce que ça veut dire pour nous, simples mortels de la fonte ?

1. Si vous galérez à prendre du muscle malgré tous vos efforts, c'est peut-être parce que vous avez moins de ces précieux récepteurs. Ce n'est pas de votre faute !

2. Ces mecs qui semblent prendre du muscle rien qu'en respirant ? Ils ont probablement gagné à la loterie génétique avec plein de récepteurs.

3. Les bodybuilders pros ? Leur vrai superpower, c'est peut-être d'avoir naturellement BEAUCOUP de ces récepteurs. Ça expliquerait pourquoi ils réagissent si bien aux stéroïdes

Alors, on est foutu ?

Pas si vite ! Il y a apparemment des moyens d'augmenter le nombre ou la sensibilité de nos récepteurs :

1. S'entraîner dur (vous le faites déjà, pas vrai ?)
2. Le jeûne intermittent (16/8, 20/4, choisissez votre poison)
3. Manger des protéines de lactosérum (whey) et de caséine (fromage blanc, anyone ?)
4. Des suppléments comme la forskoline et la caféine

L'article suggère même un petit protocole :
  • Le matin : 2 capsules de Carbolin 19 (c'est de la forskoline) avec votre café
  • Dans la journée : 1-2 shakes de protéines whey/caséine

Qu'est-ce que vous en pensez ? Ça explique vos galères ou vos succès ? Vous avez d'autres astuces pour maximiser ces récepteurs ? Partagez vos expériences et vos questions dans les commentaires !

Allez, j'attends vos réponses, et en attendant, je vais aller soulever de la fonte. On ne sait j
amais, ça augmentera peut-être mes récepteurs !
 
Bonjour j’ai commandé il y a plusieurs jours et toujours pas de mail de confirmation ou autres , d’autres personnes ont eu le cas ?
 
???
Messages obscènes en privé???
Non mais ça va pas???
merci de faire des screens de ces fameux messages (ça va être compliqué vu qu'ils n'existent pas)
je n'écris jamais en MP à part 2/3 personnes sur le forum

j'attends les screenshots (pas des montages stp)
C'est l'histoire de canada qui veut acheter la whey sur action moi j'ai lâché l'affaire, ya des choses plus importantes et la Source a l'air très sérieuse donc ça sert à rien
 
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Testostérone et Agressivité : La Vérité Musclée !

Salut la team ! Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui fait souvent débat dans nos salles de muscu : la testostérone rend-elle vraiment agressif ? On a tous entendu parler de la "rage des stéroïdes", mais qu'en est-il vraiment ? Une étude allemande récente a décidé de mettre les points sur les i. Attachez vos ceintures, on plonge dans le monde fascinant de la T !

Le règne animal : Une leçon de T

Avant de parler des humains, faisons un petit détour par le règne animal. Vous saviez que l'ours noir détient le record de T chez les mammifères ? Tenez-vous bien : 6000 ng/dL ! Pour mettre ça en perspective, un homme lambda tourne autour de 300-1000 ng/dL. Impressionnant, non ?

Mais attendez, ce n'est pas fini ! Certains amphibiens comme des salamandres et des grenouilles pulvérisent ce record avec des taux allant de 20000 à 40000 ng/dL ! Pourtant, on n'a jamais entendu parler de campings dévastés par des batraciens en colère, pas vrai ? Ça nous fait déjà réfléchir sur le lien entre T et agressivité...

L'expérience qui décoiffe : Quand la science s'en mêle

Des chercheurs allemands ont décidé de creuser la question. Voici comment ils s'y sont pris :

  1. 103 gars entre 18 et 35 ans ont été recrutés. Déjà, on applaudit le nombre de participants !
  2. Deux groupes : l'un reçoit 5g de gel de T (50mg de testostérone), l'autre un placebo.
  3. Les participants jouent à un jeu vidéo où ils peuvent gagner ou perdre de l'argent.
  4. Le twist : ils peuvent "punir" leur adversaire en lui infligeant des amendes.

Le truc marrant ? Les participants pensaient jouer contre un autre mec, alors qu'en réalité, c'était contre l'ordinateur ! Bien joué les scientifiques, on adore ces petites ruses !

Les résultats qui font réfléchir

Accrochez-vous, voici ce qu'ils ont découvert :

  1. Les gars sous T ont plus souvent puni leurs adversaires. Première surprise !
  2. La T augmente surtout les représailles quand le statut social est menacé. On touche à l'ego, ça part en vrille !
  3. C'est du donnant-donnant : plus la provocation est forte, plus la punition l'est aussi (et vice versa).
  4. La T modifie le traitement cérébral des récompenses et des menaces sociales. Notre cerveau devient une machine à réagir !
  5. Le plus dingue ? Le simple fait de CROIRE qu'on a reçu de la T peut augmenter l'agressivité ! L'effet placebo, mais version musclée !

Qu'est-ce que ça veut dire pour nous, les gars de la salle ?

  1. Si vous êtes sous TRT ou que vous prenez des stéroïdes, soyez conscients de ces effets potentiels.
  2. L'agressivité n'est pas une fatalité ! Vous restez maître de vos réactions.
  3. Être plus réactif aux provocations ne veut pas dire être un connard H24. C'est surtout dans les situations de "défi" que ça peut se manifester.
  4. N'oubliez pas : une partie de cette agressivité peut venir de votre propre perception. Si vous pensez que la T vous rend agressif, vous risquez de l'être plus !

️‍♂️ Conseils pour garder son calme quand on est chargé en T

  1. Méditation et techniques de respiration : ça peut paraître cliché, mais ça marche !
  2. Exercice régulier : oh wait, c'est déjà ce qu'on fait !
  3. Bonne alimentation et sommeil : un corps équilibré = un esprit équilibré.
  4. Prenez conscience de vos déclencheurs : qu'est-ce qui vous fait vraiment péter un câble ?
  5. Communiquez : si vous sentez que vous devenez plus irritable, parlez-en à vos proches.

En fin de compte, rappelez-vous : vous êtes le capitaine de votre navire ! Ce n'est peut-être pas la T qui vous rend con, c'est peut-être juste... vous qui devez apprendre à mieux gérer vos émotions !

Alors les gars, qu'en pensez-vous ? Avez-vous déjà ressenti ces effets ? Comment gérez-vous les situations de provocation ? Partagez vos expériences et vos astuces !


P.S. : N'oubliez pas, la vraie force, c'est aussi de savoir quand ne pas utiliser ses muscles !
 
Nouvelle commande avec cette fois HGH (au cas ou la promo se termine, j'aurais 6 mois de stock) et steros. J'ai pensé à créer un compter cette fois!

Ca fait toujours plaisir de voir l'aenture se poursuivre... Sinon j'espère que du clenbu et du superdrol viendront se joindre à l'aventure parce que j'aimais beaucoup ces produits sous l'ancienne marque. :)

Apres oui, l'essentiel qui réunit tout le monde est là ;-)
 
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La vérité choquante sur la mémoire musculaire - Un cycle de stéroïdes pourrait vous donner un avantage à vie !

Salut la communauté,

Je viens de tomber sur un article fascinant de T Nation qui bouleverse tout ce qu'on pensait savoir sur la mémoire musculaire. Accrochez-vous bien, parce que ça va secouer pas mal d'idées reçues !

La fin du mythe "Use it or lose it" :

On nous a toujours dit "utilise-le ou perds-le" quand il s'agit de muscle. Eh bien, il semblerait que ce soit complètement faux ! Des recherches récentes montrent que les noyaux musculaires que vous créez restent avec vous POUR TOUJOURS. Oui, vous avez bien lu : pour toujours !

Comment ça marche concrètement :

  1. Quand vous construisez du muscle, vous ajoutez des noyaux à vos fibres musculaires.
  2. Même si vous arrêtez de vous entraîner et que vos muscles rétrécissent, ces noyaux restent en place.
  3. Lorsque vous recommencez à vous entraîner, ces noyaux permettent une croissance musculaire beaucoup plus rapide et importante.

C'est ça, la vraie "mémoire musculaire" !

Les implications sont énormes :

1. Entraînement de jeunesse = avantage à vie
Imaginez : vous vous entraînez dur dans votre jeunesse, puis vous arrêtez pendant des années. Quand vous reprendrez, vous aurez un énorme avantage par rapport à quelqu'un qui commence seulement !

2. Un seul cycle de stéroïdes pourrait changer la donne
C'est là que ça devient vraiment intéressant (et controversé). Théoriquement, quelqu'un pourrait faire un seul cycle de stéroïdes, acquérir un tas de nouveaux noyaux musculaires, puis arrêter complètement. Il garderait un avantage permanent sur les naturels, sans jamais échouer aux tests anti-dopage par la suite !

3. Les pauses forcées sont moins dramatiques qu'on ne le pensait
Blessure ? Maladie ? Confinement ? Pas de panique ! Vos gains durement acquis ne vont pas s'évaporer. Les noyaux musculaires restent, prêts à être réactivés dès que vous reprendrez l'entraînement.

Le secret : le syncytium musculaire

Les scientifiques ont découvert que nos muscles fonctionnent comme un énorme réseau de cellules interconnectées appelé "syncytium". C'est là que les noyaux musculaires se cachent, attendant patiemment d'être réactivés, comme des soldats en sommeil prêts à être rappelés au combat.

Petit point technique sur les stéroïdes :

Je sais que certains vont dire "Mais on perd tout quand on arrête les stéroïdes !". Pas si vite. Voici ce qui se passe réellement :

  1. Les stéroïdes augmentent le nombre de cellules musculaires ET la synthèse protéique.
  2. Ils provoquent aussi une "volumisation cellulaire", qui gonfle les muscles d'eau et de glycogène.
  3. Quand vous arrêtez, vous perdez cet effet de gonflement (d'où la "dégonflette").
  4. MAIS les nouveaux noyaux musculaires acquis pendant le cycle restent !

C'est pourquoi même un seul cycle peut donner un avantage à long terme.

Comparaison intéressante :
L'article mentionne qu'on voit parfois des athlètes de force de 80 kg soulever plus qu'un bodybuilder de 110 kg. Pourquoi ? Le premier a peut-être plus de noyaux musculaires et une hypertrophie myofibrillaire (celle qui compte pour la force), tandis que le second a plus d'hypertrophie sarcoplasmique (le "gonflement" qui fait paraître plus gros).

Implications pour l'entraînement et au-delà :

  1. L'importance de s'entraîner jeune :
    Même si vous pensez arrêter plus tard, les bénéfices resteront.
  2. Repenser les cycles de stéroïdes :
    Un seul cycle bien fait pourrait avoir des effets beaucoup plus durables qu'on ne le pensait.
  3. Moins stresser pendant les pauses :
    Vos gains sont plus "sécurisés" que vous ne le pensiez.
  4. Potentiel médical :
    Imaginez les applications pour les personnes âgées ou les patients atteints de maladies musculaires dégénératives !

Questions pour la communauté :

  1. Cela change-t-il votre vision de l'entraînement à long terme ?
  2. Pour ceux qui ont fait des cycles, avez-vous remarqué cet effet de "mémoire musculaire" améliorée ?
  3. Pensez-vous que cela va influencer la façon dont les gens abordent l'utilisation de PED ?
  4. Comment voyez-vous les implications éthiques dans le sport de compétition ?

J'ai hâte de lire vos réactions et vos expériences personnelles sur le sujet !
 
première commande passée il y a une semaine..tout reçu rapidement..source extrêmement fiable et tarifs très abordables..même si vous ne recevez pas d’email de confirmation ou de numéro de suivi du colis, il ne faut pas vous en faire car vous pouvez leur faire confiance les yeux fermés.. je recommande..
 
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Normalement tu as le suivi, il arrive très souvent dans les spams !

En tout cas, merci pour ton retour ;)
 
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️‍♂️ GUIDE ULTIME : HYPERTROPHIE DES DELTOÏDES LATÉRAUX ️‍♀️

Salut les passionnés de musculation ! Aujourd'hui, on plonge dans les moindres détails pour maximiser la croissance de vos deltoïdes latéraux. Accrochez-vous, ça va être intense et très complet !

VOLUME D'ENTRAÎNEMENT

Voici les repères de volume pour un lifter intermédiaire (3-7 ans d'expérience) :

  • MV (Maintenance Volume) : 2-6 séries/semaine
  • MEV (Minimum Effective Volume) : 6-8 séries/semaine
  • MAV (Maximum Adaptive Volume) : 8-24 séries/semaine
  • MRV (Maximum Recoverable Volume) : 24-30 séries/semaine
  • MAV*P (MAV en priorité) : 24-30 séries/semaine
  • MRV*P (MRV en priorité) : 30-40+ séries/semaine

Notes importantes :
  • Ces chiffres sont des moyennes, ajustez selon votre récupération.
  • Les débutants auront des repères plus bas.
  • Les avancés auront des repères similaires aux intermédiaires.
  • Commencez bas et augmentez progressivement.
  • Beaucoup de gens ont des MAV et MRV élevés pour les deltoïdes latéraux, justifiant parfois des phases de spécialisation.

EXERCICES RECOMMANDÉS

  1. Rowing upright à la barre
  2. Élévations latérales croisées aux câbles
  3. Face pull
  4. Rowing upright aux haltères
  5. Élévations latérales (haltères)
  6. Élévations latérales inclinées aux câbles
  7. Élévations latérales à la machine
  8. Rowing upright à la Smith Machine
  9. Élévations latérales pouces vers le bas
  10. Élévations latérales avec maintien en haut

Recommandations :
  • 1-2 exercices différents par séance
  • 2-5 exercices différents par semaine
  • Gardez les mêmes exercices sur un mesocycle entier

RÉPÉTITIONS ET CHARGES

Plages de répétitions efficaces :
  • Lourdes (5-10 reps) : 30-85% 1RM
  • Modérées (10-20 reps) : Souvent les plus efficaces
  • Légères (20-30 reps) : Très productives pour beaucoup

Notes :
  • Peu de gens répondent bien à la plage 5-10 reps pour les deltoïdes.
  • La plage 20-30 reps semble particulièrement efficace.
  • Visez environ 50% de vos séries dans la plage 10-20 reps.
  • Répartissez le reste entre 5-10 et 20-30 reps.

Progression des charges :
  • Augmentez le poids quand vous atteignez le haut de la fourchette de reps.
  • Si vous ne pouvez pas ajouter du poids, ajoutez des reps (sans sortir de la plage cible).

⏱️ TEMPS DE REPOS

Reposez-vous suffisamment pour que :
  1. Le muscle cible soit prêt
  2. Le système nerveux soit récupéré
  3. La respiration soit revenue à la normale
  4. Les muscles synergistes soient prêts

En pratique :
  • 15 secondes à 2 minutes pour la plupart des exercices de deltoïdes
  • Ajustez selon l'exercice et votre condition physique

️ FRÉQUENCE

  • La plupart des individus : 3-6 séances par semaine
  • Commencez par 3 fois et ajustez selon votre récupération
  • Alternez les exercices entre les séances pour réduire le stress répétitif

PÉRIODISATION

Sur un mesocycle (3-12 semaines) :
  1. Commencez proche du MEV
  2. Augmentez progressivement le volume chaque semaine
  3. Réduisez le RIR (Reps In Reserve) de 3-4 à 0-1
  4. Ajoutez du poids ou des reps pour maintenir la progression
  5. Déchargez quand vous atteignez le MRV systémique

Décharge :
  • Réduisez les séries au MEV pour toute la semaine
  • Utilisez la charge de la semaine 1 pour la première moitié, 50% de celle-ci pour la seconde
  • Réduisez les reps de moitié par rapport à la semaine 1

MODALITÉS D'ENTRAÎNEMENT

  1. Séries classiques
  2. Séries descendantes
  3. Contrôle excentrique et pauses
  4. Séries géantes
  5. Myoreps
  6. Drop sets
  7. Pré-fatigue
  8. Occlusion

Notes :
  • Les deltoïdes répondent particulièrement bien aux myoreps, à la pré-fatigue et aux séries géantes.
  • L'occlusion peut être efficace mais nécessite une technique spécifique pour les deltoïdes.

POINTS TECHNIQUES SUPPLÉMENTAIRES

Amplitude de mouvement :
  • Ne montez pas trop haut si cela cause de la douleur
  • La partie basse des élévations latérales est la plus stimulante

Variation :
  • Alternez les exercices entre les séances pour réduire le stress répétitif
  • Changez d'exercice si vous stagnez ou ressentez des douleurs

Spécialisation :
  • Envisagez des phases de spécialisation pour maximiser les gains
  • Réduisez le volume sur d'autres groupes musculaires pendant ces phases

Mind-muscle connection :
  • Cruciale pour les deltoïdes latéraux
  • Utilisez des techniques comme le contrôle excentrique ou les pauses pour l'améliorer

Progression sur un bloc d'entraînement :
  • Augmentez progressivement la fréquence d'une mésocycle à l'autre
  • Commencez avec des mouvements de base, ajoutez des isolations plus tard

Voilà, vous avez maintenant TOUTES les infos pour un entraînement optimal des deltoïdes latéraux ! N'oubliez pas que la progression et la constance sont les clés du succès.

Des questions ? Des expériences à partager ? Lâchez-vous dans les commentaires !
 
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RÉVÉLATION : La vérité sur les calories brûlées par vos muscles !

Salut la team fitness ! Aujourd'hui, on plonge dans un sujet qui fait débat depuis des années dans nos salles de sport préférées : combien de calories chaque kilo de muscle brûle-t-il vraiment ? Attachez vos ceintures, on va faire le tour complet de la question !

Le mythe du muscle "four à calories"

Qui n'a jamais entendu un gros bras de la salle affirmer qu'un kilo de muscle brûle 50, voire 100 calories par jour ? C'est tentant d'y croire, pas vrai ? Imaginez : vous prenez 10 kilos de muscle et pouf ! 500 à 1000 calories brûlées en plus chaque jour sans lever le petit doigt. Le rêve !

Ce que dit vraiment la science

Malheureusement (ou pas), la réalité est un peu différente. Selon les recherches les plus récentes, le chiffre réel tourne plutôt autour de... roulement de tambour... 13 calories par kilo de muscle par jour au repos. Ouais, je sais, ça fait moins rêver. Mais ne fermez pas encore cet article !

Allons plus loin : métabolisme de base vs dépense active

Voici où ça devient intéressant. Ces 13 calories, c'est ce que votre muscle brûle au repos. Mais nos muscles ne sont pas toujours au repos, pas vrai ? Il faut prendre en compte deux types de dépenses énergétiques :

  1. La dépense non-active : C'est votre métabolisme de base + l'énergie utilisée pour digérer (effet thermique des aliments).
  2. La dépense active : Tout le reste ! Marcher, courir, soulever des poids, faire la vaisselle, même gigoter sur votre chaise.

Et devinez quoi ? Le muscle influence les deux !

Un peu de maths (promis, c'est pas compliqué)

Pour estimer l'impact réel d'un kilo de muscle sur votre dépense énergétique totale, voici comment faire :

  1. Estimez votre dépense énergétique totale (il y a des calculateurs en ligne pour ça).
  2. Soustrayez votre métabolisme de base et l'effet thermique des aliments (environ 10% de votre dépense totale).
  3. Ce qui reste, c'est votre dépense active. Divisez-la par votre poids pour avoir votre dépense active par kilo.
  4. Ajoutez ce chiffre aux 13 calories de base, et voilà !

Le vrai chiffre (enfin !)

Au final, pour la plupart d'entre nous, chaque kilo de muscle brûle entre 20 et 22 calories par jour. Les plus sédentaires seront plus proches de 15-16, tandis que les athlètes d'endurance pourraient atteindre 30-35 calories.

Ce que ça signifie concrètement

Prenons un exemple : vous pesez 70 kilos et vous décidez de prendre 5 kilos de muscle (ce qui est déjà un sacré accomplissement, bravo à vous !). Voici ce que ça donne :

  • Impact sur le métabolisme de base : 5 x 13 = 65 calories/jour
  • Impact sur la dépense active (pour quelqu'un de moyennement actif) : 5 x 8 = 40 calories/jour
  • Total : 105 calories/jour

C'est l'équivalent d'un petit yaourt nature ou d'une pomme. Pas de quoi manger un gâteau entier tous les jours, mais c'est loin d'être négligeable sur le long terme !

️‍♂️ Pourquoi c'est quand même génial de prendre du muscle

  1. Effet cumulatif : Ces calories s'additionnent jour après jour, semaine après semaine.
  2. Meilleure sensibilité à l'insuline : Le muscle aide à mieux gérer les glucides.
  3. EPOC plus élevé : Après l'entraînement, votre corps brûle plus de calories pour récupérer.
  4. Force et fonctionnalité : La vie quotidienne devient plus facile.
  5. Santé osseuse : Le muscle aide à maintenir la densité osseuse.
  6. Apparence : On ne va pas se mentir, ça joue aussi !

Faut-il pour autant négliger le cardio ?

Absolument pas ! Le cardio reste essentiel pour la santé cardiovasculaire, l'endurance et brûle généralement plus de calories pendant l'exercice lui-même. L'idéal ? Un mix des deux !

En conclusion

Non, prendre du muscle ne va pas magiquement vous transformer en machine à brûler des calories. Mais c'est quand même un boost non négligeable pour votre métabolisme, sans parler de tous les autres avantages pour la santé et le bien-être.

Alors on continue de soulever de la fonte, de pousser à la barre, de tirer à la poulie ! Chaque gramme de muscle compte, et maintenant vous savez exactement combien !

Et vous, qu'en pensez-vous ?

Ce chiffre vous surprend-il ? Ça change quelque chose à votre motivation ? Partagez vos réactions et vos expériences en commentaires !

N'oubliez pas : que vous visiez la perte de gras, la prise de muscle ou simplement une meilleu
re santé, vous êtes sur la bonne voie. Continuez, vous êtes géniaux !
 
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Réactions: Wod
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Titre : Guide ultime pour prendre du muscle sans grossir : La méthode du cyclage calorique expliquée en détail

Salut les passionnés de musculation et de fitness !

Vous avez probablement entendu dire qu'il faut être en surplus calorique pour gagner du muscle, mais vous craignez de prendre trop de graisse ? Vous n'êtes pas seuls ! Aujourd'hui, je vais vous présenter une méthode qui a révolutionné ma façon de prendre du muscle tout en restant sec : le cyclage calorique hebdomadaire.

Comprendre votre DET (Dépense Énergétique Totale)

Avant de plonger dans la méthode, il est crucial de comprendre ce qu'est votre DET. C'est le nombre total de calories que votre corps brûle en une journée, en tenant compte de votre métabolisme de base, de votre activité physique et de l'effet thermique des aliments. Si vous ne connaissez pas votre DET, utilisez un calculateur en ligne comme https://calculateur-calories.com/

Pourquoi le surplus calorique classique peut poser problème

La méthode traditionnelle consiste à manger environ 500 kcal au-dessus de sa DET chaque jour. Cependant, cette approche présente deux inconvénients majeurs :

  • Prise de graisse excessive : Un surplus constant peut conduire à une accumulation de graisse, surtout si votre génétique n'est pas optimale pour la prise de muscle.
  • Adaptation métabolique : Votre corps s'adapte à cet apport calorique élevé, ce qui peut ralentir vos gains et vous faire atteindre un plateau.

La solution : Le cyclage calorique hebdomadaire

L'idée derrière cette méthode est d'augmenter progressivement vos calories chaque semaine, puis de revenir à votre DET au début de chaque mois. Voici comment ça fonctionne, avec un exemple basé sur une DET de 2500 kcal/jour :

  • Semaine 1 : DET (2500 kcal)
  • Semaine 2 : DET + 250 kcal = 2750 kcal/jour
  • Semaine 3 : DET + 500 kcal = 3000 kcal/jour
  • Semaine 4 : DET + 750 kcal = 3250 kcal/jour
  • Semaine 5 : Recalculez votre DET et recommencez le cycle

Pourquoi cette méthode fonctionne :

  • Elle évite l'adaptation métabolique en "surprenant" votre corps avec des apports caloriques variables.
  • Elle permet une prise de muscle progressive tout en minimisant la prise de graisse.
  • Elle s'aligne parfaitement avec un programme d'entraînement à surcharge progressive.

Ajustements et personnalisation

Si après un mois, vous trouvez que vous ne prenez pas assez de poids, ajoutez 250 kcal supplémentaires à chaque étape du cycle le mois suivant. À l'inverse, si vous prenez trop de graisse, réduisez légèrement les calories ou maintenez le cycle actuel.

Macronutriments et qualité des aliments

Pour optimiser vos gains, voici mes recommandations :

  • Protéines : Au moins 1.5g par livre de poids corporel (3.3g par kg). Essentielles pour la croissance musculaire.
  • Glucides : Environ 35-45% de vos calories totales. Privilégiez les sources complexes pour une énergie stable.
  • Lipides : 20-30% de vos calories. Ne les négligez pas, ils sont cruciaux pour l'équilibre hormonal.

Choisissez des aliments de qualité :

  • Protéines : Poulet, dinde, bœuf maigre, poisson, œufs, tofu
  • Glucides : Riz complet, patates douces, avoine, quinoa, fruits
  • Lipides : Avocat, noix, huile d'olive, saumon gras

Optimisation supplémentaire

  • Hydratation : Visez 1 oz d'eau par livre de poids corporel (30-40 ml par kg). L'hydratation est cruciale pour la synthèse protéique et le transport des nutriments.
  • Sommeil : 7-9 heures par nuit sont essentielles. Le sommeil est le moment où votre corps sécrète le plus d'hormones anabolisantes comme la testostérone et l'hormone de croissance.
  • Timing des repas : Essayez de répartir vos protéines sur 4-6 repas par jour pour maintenir une synthèse protéique élevée tout au long de la journée.
  • Supplémentation :
    • Créatine monohydrate : 5g par jour, tous les jours. Elle augmente la force et la récupération.
    • Whey protein : Pratique pour atteindre vos objectifs de protéines.
    • Multivitamines : Pour combler d'éventuelles lacunes nutritionnelles.
    • Oméga-3 : Pour la santé générale et potentiellement pour optimiser la composition corporelle.
  • Entraînement :
    • Focalisez-vous sur les exercices composés : Squat, soulevé de terre, développé couché, tractions.
    • Appliquez la surcharge progressive : Augmentez régulièrement le poids, les répétitions ou les séries.
    • Repos adéquat : 48-72 heures entre les séances travaillant les mêmes groupes musculaires.

Utilisation pour la perte de poids

Étonnamment, cette méthode peut aussi être adaptée pour perdre du gras. Au début du deuxième mois, commencez 250 kcal EN DESSOUS de votre nouvelle DET, puis suivez la progression habituelle. La variation calorique empêche votre métabolisme de s'adapter et de ralentir.
 
Commande passée lundi 29 juillet et reçue le mardi 6 août...

Sinon ils ne vous envoient pas le lien de tracking mais il apparaît sur votre espace client au dessus de l'historique de vos commandes.

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