Duncan Pharma

d’expérience, j’ai fait une prise de sang de la vit D il y a 2 ans environ , j était sous la norme .
Après supplémentation, le taux était beaucoup plus élevé , bien au dessus de la norme
 
d’expérience, j’ai fait une prise de sang de la vit D il y a 2 ans environ , j était sous la norme .
Après supplémentation, le taux était beaucoup plus élevé , bien au dessus de la norme
Tu t’es supplementé avec quel dose? combien de temps. Il y a aucun intérêt d’avoir des taux top haut et surtout pas au dessus des normes.
 
Tu t’es supplementé avec quel dose? combien de temps. Il y a aucun intérêt d’avoir des taux top haut et surtout pas au dessus des normes.
Autant pour moi je me suis mal exprimé . Je n’était pas au delà de la norme labo, mais au delà la fourchette basse .

J’etait a 40 avant ( norme entre 30 et 100 ) , après supplémentation j’étais a 80 .

6000 ui de vitamine d3 K2
 
C'est l'idéal, moi je suis dans l'industrie, donc a part à midi, j'ai pas de soleil, et encore je mange a l'ombre, je souffre trop de la chaleur.
C’est une des raisons, qui explique ma reconversion, car je ne voulais plus travailler tout le temps en intérieur.
C'était un peu plus compliqué cette année avec la météo capricieuse, mais bon, la dernière fois, c'était 2021 et moins pire.
En hiver, par contre, je suis quand même plus en intérieur, donc c'est cool.
 
Autant pour moi je me suis mal exprimé . Je n’était pas au delà de la norme labo, mais au delà la fourchette basse .

J’etait a 40 avant ( norme entre 30 et 100 ) , après supplémentation j’étais a 80 .

6000 ui de vitamine d3 K2

Ok mais on revient à ce que je disais p’us haut. D’apres les analyses récentes il y a aucun intérêt à chercher une norme haute. 40 etait deja 30% au dela de la norme basse. Il y a aucun intérêt d’en prendre plus.

Mais c’est une réalité qu’on a beaucoup de mal à accepter dans le milieu de body, quelque soit le complément, produit etc..
 
Ok mais on revient à ce que je disais p’us haut. D’apres les analyses récentes il y a aucun intérêt à chercher une norme haute. 40 etait deja 30% au dela de la norme basse. Il y a aucun intérêt d’en prendre plus.

Mais c’est une réalité qu’on a beaucoup de mal à accepter dans le milieu de body, quelque soit le complément, produit etc..
Je partage ton avis à 100% personnellement.

Beaucoup prennent des compléments pour au final un besoin qui n’est pas justifié. On est censé pouvoir avoir ce qu’il faut en grande partie sans les compléments.
 
En meme temps, ma mère a fait une PdS et le taux n'était pas très bon, le médecin lui a fait prendre des ampoules a action longues.

Il a pas tenu la même logique en plus de donner une forme pas dingue de cette vitamine.
 
En meme temps, ma mère a fait une PdS et le taux n'était pas très bon, le médecin lui a fait prendre des ampoules a action longues.

Il a pas tenu la même logique en plus de donner une forme pas dingue de cette vitamine.
C’était quoi le taux pas très bon? Quelle dose et forme il lui a donné? Pour quel age?

Comme ça dit dans l’article ce n’est plus une question de taux dans le sang mais d’utilité pour le patient.

Exemple 1: Femme 70 ans, début ostéoporose, taux à 29. C’est sûr que le médecin va prescrire de la vitamine D entre autres, et c’est sûr qu’il va pas l’embêter de lui ajouter des doses journalières de vitamine D en plus de tous les médicaments qu’el’e peut avoir. Il va plutôt donner une ampoule de 100/200MUI tous les quelques mois.

Exemple 2: Bodybuilder de 30 ans, taux 40-50, aucun antécédent, veut prendre des compléments pour optimiser soit
disant. La aucun intérêt démontré d’une supplementation.

Exemple 3: meme patient que l’exemple 2 mais avec un taux de 28. mais on est en plein hiver, et il prévoit quand même de se payer 15 jours de vacances au soleil. La non plus aucune urgence, il sera probablement dans les normes à son retour.

etc etc…. Bref une supplémentation en vitamine D n’est pas systématique surtout quand on a pas de risque particulier ou si on est pas en carence dont on peut pas y remédier naturellement.
 
Dernière édition:
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La position de sommeil : son importance pour la récupération et la croissance musculaire

Salut les gars !

On parle souvent de nos routines d'entraînement, de nos plans nutritionnels, de nos suppléments et même de nos hormones. Mais vous savez quoi ? On oublie souvent l'aspect le plus important pour la récupération et la croissance musculaire : le sommeil ! Et pas seulement la quantité ou la qualité, mais aussi la position dans laquelle on dort. Ça peut vraiment faire la différence sur nos résultats en musculation. Alors, plongeons dans le sujet !

Pourquoi le sommeil est si crucial ?

  1. Synthèse des protéines : C'est pendant le sommeil que notre corps répare et fait grossir nos muscles.
  2. Régulation hormonale : L'hormone de croissance, essentielle pour la croissance musculaire, est libérée en grande quantité pendant le sommeil profond.
  3. Relaxation : Le sommeil permet à nos muscles de se détendre et de récupérer après nos séances intenses.

Les différentes positions de sommeil et leurs effets

1. Sur le dos (position supine)

Avantages :
  • Meilleur alignement de la colonne vertébrale
  • Réduit les risques de douleurs au dos et au cou
  • Peut aider contre le reflux gastrique

Inconvénients :
  • Peut aggraver l'apnée du sommeil et les ronflements

2. Sur le côté

Avantages :
  • Bon pour réduire le reflux acide et les ronflements
  • Peut soulager les douleurs au dos et au cou
  • Dormir sur le côté gauche améliore la circulation et la digestion

Inconvénients :
  • Peut causer de l'inconfort aux épaules et aux hanches
  • Risque de rides faciales (à cause de l'oreiller)

3. Sur le ventre (position prone)

Avantages :
  • Peut réduire les ronflements et l'apnée du sommeil chez certains

Inconvénients :
  • Généralement considérée comme la position la moins saine
  • Peut causer des tensions au cou et un mauvais alignement de la colonne
  • Risque de déséquilibres musculaires et d'inconfort

4. Position fœtale

Avantages :
  • Confortable et réduit les ronflements
  • Bon pour les femmes enceintes et ceux qui ont des douleurs lombaires

Inconvénients :
  • Se recroqueviller trop peut restreindre la respiration
  • Risque de raideur articulaire

Comment améliorer votre position de sommeil

  1. Choisissez le bon matelas et oreiller : Assurez-vous qu'ils soutiennent bien votre position préférée.
  2. Utilisez des oreillers stratégiquement :
    • Sur le côté : un oreiller entre les genoux
    • Sur le dos : un oreiller sous les genoux
    • Sur le ventre : un oreiller fin ou pas d'oreiller du tout
  3. Étirez-vous avant de dormir : Ça aide à relâcher les tensions musculaires.
  4. Expérimentez : Essayez différentes positions jusqu'à trouver celle qui vous convient le mieux.

Voilà les gars ! J'espère que ces infos vous aideront à optimiser votre récupération et votre croissance musculaire. N'hésitez pas à partager vos expériences ou à poser des questions dans les commentaires !

Bon sommeil et bons gains !
 
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La position de sommeil : son importance pour la récupération et la croissance musculaire

Salut les gars !

On parle souvent de nos routines d'entraînement, de nos plans nutritionnels, de nos suppléments et même de nos hormones. Mais vous savez quoi ? On oublie souvent l'aspect le plus important pour la récupération et la croissance musculaire : le sommeil ! Et pas seulement la quantité ou la qualité, mais aussi la position dans laquelle on dort. Ça peut vraiment faire la différence sur nos résultats en musculation. Alors, plongeons dans le sujet !

Pourquoi le sommeil est si crucial ?

  1. Synthèse des protéines : C'est pendant le sommeil que notre corps répare et fait grossir nos muscles.
  2. Régulation hormonale : L'hormone de croissance, essentielle pour la croissance musculaire, est libérée en grande quantité pendant le sommeil profond.
  3. Relaxation : Le sommeil permet à nos muscles de se détendre et de récupérer après nos séances intenses.

Les différentes positions de sommeil et leurs effets

1. Sur le dos (position supine)


Avantages :
  • Meilleur alignement de la colonne vertébrale
  • Réduit les risques de douleurs au dos et au cou
  • Peut aider contre le reflux gastrique

Inconvénients :
  • Peut aggraver l'apnée du sommeil et les ronflements

2. Sur le côté

Avantages :
  • Bon pour réduire le reflux acide et les ronflements
  • Peut soulager les douleurs au dos et au cou
  • Dormir sur le côté gauche améliore la circulation et la digestion

Inconvénients :
  • Peut causer de l'inconfort aux épaules et aux hanches
  • Risque de rides faciales (à cause de l'oreiller)

3. Sur le ventre (position prone)

Avantages :
  • Peut réduire les ronflements et l'apnée du sommeil chez certains

Inconvénients :
  • Généralement considérée comme la position la moins saine
  • Peut causer des tensions au cou et un mauvais alignement de la colonne
  • Risque de déséquilibres musculaires et d'inconfort

4. Position fœtale

Avantages :
  • Confortable et réduit les ronflements
  • Bon pour les femmes enceintes et ceux qui ont des douleurs lombaires

Inconvénients :
  • Se recroqueviller trop peut restreindre la respiration
  • Risque de raideur articulaire

Comment améliorer votre position de sommeil

  1. Choisissez le bon matelas et oreiller : Assurez-vous qu'ils soutiennent bien votre position préférée.
  2. Utilisez des oreillers stratégiquement :
    • Sur le côté : un oreiller entre les genoux
    • Sur le dos : un oreiller sous les genoux
    • Sur le ventre : un oreiller fin ou pas d'oreiller du tout
  3. Étirez-vous avant de dormir : Ça aide à relâcher les tensions musculaires.
  4. Expérimentez : Essayez différentes positions jusqu'à trouver celle qui vous convient le mieux.

Voilà les gars ! J'espère que ces infos vous aideront à optimiser votre récupération et votre croissance musculaire. N'hésitez pas à partager vos expériences ou à poser des questions dans les commentaires !

Bon sommeil et bons gains !
J'adore dormir sur le dos mais ca me provoque ronflement mais c'est une position ideal pour les epaules.
Je pense que je fais de l'apnée aussi avec cette position, j'ai fais un test récemment, à voir les résultat.
En toit cas position ideal pour un body
 
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Guide exhaustif sur les protéines pour athlètes : De la théorie à la pratique

Salut les champions de la nutrition sportive !

Vous voulez maîtriser l'art et la science de l'apport en protéines ? Vous êtes au bon endroit ! Plongeons dans les détails fascinants de la recherche de Jorn Trommelen et d'autres experts en nutrition sportive.

Introduction

Les deux principaux stimuli anaboliques pour les muscles sont :
1. L'exercice
2. L'apport en protéines

Les protéines ont deux rôles cruciaux :
- Fournir les matériaux de construction pour les muscles
- Déclencher la synthèse des protéines musculaires (MPS)

Comprendre ces mécanismes est essentiel pour optimiser vos performances et votre récupération.

Évaluation de l'apport en protéines chez les athlètes de haut niveau

Méthodologie de l'étude :
- 553 athlètes néerlandais de haut niveau
- Diverses disciplines sportives
- Trois rappels alimentaires de 24 heures (deux en semaine, un le week-end)

Fiabilité des données :
- Avantage : Pas d'influence sur les choix alimentaires du jour
- Inconvénient : Sous-estimation potentielle de l'apport

Validation :
- Comparaison avec les excrétions d'azote sur 24 heures
- Résultat : Sous-estimation de l'apport en protéines d'environ 25%

Gardez cela à l'esprit lors de l'interprétation des résultats !

Apport quotidien total en protéines

Résultats de l'étude :
- Apport moyen : environ 1,5 g/kg/jour
- Recommandations actuelles : 1,3 à 1,8 g/kg/jour

Points clés :
1. Les besoins en protéines ne dépendent pas nécessairement du poids corporel ou de la masse maigre
2. Les recommandations en g/kg/jour peuvent sous-estimer les besoins des athlètes plus petits
3. Les femmes mangent généralement moins de protéines (90 g/jour vs 108 g/jour pour les hommes)
4. L'apport en protéines est corrélé à l'apport énergétique total

⚠️ Attention lors des régimes hypocaloriques : maintenez un apport élevé en protéines !

Type et source de protéines

Répartition :
- 57% de protéines d'origine animale
- 43% de protéines d'origine végétale

Qualité des protéines :
- Protéines animales : Plus anabolisantes (teneur plus élevée en acides aminés essentiels)
- Protéines végétales : Moins anabolisantes, mais on peut compenser en en consommant davantage

La diversité est la clé ! Mélangez les sources pour obtenir tous les avantages.

Distribution des protéines

Schéma de consommation :
- Majorité des protéines lors des trois repas principaux
- Apport généralement plus élevé au dîner

Quantités optimales :
- 20g de protéines par repas : Augmentation presque maximale de la MPS
- 40g de protéines : Augmentation supplémentaire de 10-20% de la MPS

Réalité des athlètes étudiés :
- Petit-déjeuner : 58% en dessous des 20g recommandés
- Déjeuner : 36% en dessous
- Dîner : 8% en dessous

Note pour les athlètes seniors : Visez 40g par repas pour contrer la résistance anabolique liée à l'âge.

Protéines avant le coucher

Pourquoi c'est important :
- Peu de protéines consommées après le dîner
- Long intervalle entre le dîner et le petit-déjeuner (10-12 heures)

Bénéfices :
- Augmente la MPS nocturne
- Peut entraîner des gains supplémentaires de masse musculaire à long terme

Recommandation :
- Consommez au moins 40g de protéines avant le coucher

Chaque repas protéiné est une opportunité unique de stimuler la MPS !

Recommandations minimales et optimales

Pour les minimalistes :
- Au moins 120g de protéines par jour

Pour les optimiseurs :
- Quatre repas de 40g de protéines
- Bien répartis dans la journée (petit-déjeuner, déjeuner, dîner, avant le coucher)
- Majorité de protéines d'origine animale

Choisissez votre niveau en fonction de vos objectifs et de votre style de vie.

Hypothèses avancées

Le rôle crucial de la leucine :
- Acide aminé essentiel très puissant pour stimuler la MPS
- Le pic de leucine plasmatique est déterminant

Impact des repas mixtes :
- Peuvent ralentir la digestion et l'absorption des protéines
- Peuvent réduire le pic de leucine plasmatique

Stratégie de supplémentation en leucine :
- 5g de leucine 15-30 minutes avant ou pendant le repas
- Pourrait améliorer la réponse anabolique, surtout avec des repas mixtes

Ces stratégies sont pour ceux qui veulent pousser leurs gains au maximum !

Résumé

1. Apport quotidien moyen : 1,5 g/kg/jour (probablement sous-estimé)
2. Les besoins en protéines ne dépendent pas nécessairement du poids corporel
3. Visez une répartition équilibrée entre protéines animales et végétales
4. Distribuez vos protéines tout au long de la journée (20-40g par repas)
5. N'oubliez pas votre dose de protéines avant le coucher
6. Le pic de leucine plasmatique est crucial pour la MPS
7. Pour les plus avancés, considérez la supplémentation en leucine

Voilà, vous avez maintenant une compréhension approfondie de la science des protéines pour les athlètes ! N'oubliez pas que la constance est la clé. Expérimentez avec ces stratégies, écoutez votre corps, et ajustez en fonction de vos objectifs personnels.

Bon entraînement et bon appétit !
 
Alors non, les articles viennent de moi, c'est des résumé et condensés.

Tu peux trouver des choses plus complètes ici si tu veux : https://www.strongerbyscience.com/athlete-protein-intake/

Merci. J’ai mes références et idées sur le sujet, mais je vais lire ce que tu as envoyé.

Si j’ai demandé c’était par rapport au fait que tu disais que la consommation de protéines n’est pas en rapport avec la masse maigre. Je voulais voir d’ou ça venait.
 
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La composition des fibres musculaires est liée aux performances de répétition

Salut à tous les passionnés de science de l'entraînement et de musculation !

Aujourd'hui, je vais vous présenter une analyse approfondie d'un article fascinant de Michael Zourdos sur la relation entre la typologie des fibres musculaires et les performances en répétitions. Accrochez-vous, ça va être dense mais super intéressant !

Contexte de l'étude

Cette étude fait suite à des recherches antérieures qui avaient trouvé une relation faible entre la typologie des fibres et les performances en répétitions. L'objectif était d'approfondir cette question avec un échantillon plus large et des méthodes plus précises.

Méthodologie

Participants
  • 95 débutants en musculation (38 femmes, 57 hommes)
  • Jamais participé à un programme de musculation structuré

Classification des fibres musculaires
  • Utilisation de la spectroscopie par résonance magnétique
  • Mesure des niveaux de carnosine intramusculaire
  • Plus de carnosine = plus de fibres rapides (type II)
  • Moins de carnosine = plus de fibres lentes (type I)

Exercices testés
  1. Extension de jambe
  2. Curl de jambe
  3. Curl de biceps
  4. Extension de triceps

Protocole
  • Tests de force maximale (1RM) et de force isométrique
  • Séries jusqu'à l'échec à différentes intensités (40%, 60%, 80% du 1RM)

Résultats clés

1. Relation entre typologie et force isométrique
  • Corrélation faible mais significative (r = 0.30, p = 0.003)
  • Les "fibres rapides" tendaient à être plus forts en isométrie

2. Relation entre typologie et répétitions jusqu'à l'échec
  • Extension de jambe : Moins de répétitions pour les "fibres rapides" (p = 0.03)
  • Curl de jambe : Moins de répétitions pour les "fibres rapides" (p = 0.01)
  • Curl de biceps : Moins de répétitions pour les "fibres rapides" (p = 0.02)
  • Extension de triceps : Pas de différence significative (p = 0.96)

3. Influence de l'intensité
  • Relation significative à 60% et 80% du 1RM
  • Pas de relation significative à 40% du 1RM

4. Variabilité des répétitions
  • Énorme variation interindividuelle
  • Exemple : 18 à 62 répétitions sur 3 séries de curl de biceps à 60% du 1RM

Analyse et implications

1. Force de la relation
  • Les corrélations sont faibles à modérées (r ≤ 0.42)
  • La typologie des fibres n'explique qu'environ 20% de la variance dans les performances de répétition

2. Pourquoi c'est important ?
  • Pourrait aider à personnaliser les programmes d'entraînement
  • Les "fibres rapides" pourraient nécessiter plus de temps de récupération
  • Pourrait influencer la fréquence et le volume d'entraînement optimal

3. Limites de l'étude
  • Participants débutants (les résultats pourraient être différents chez les athlètes entraînés)
  • Estimation de la typologie pour certains muscles (triceps, biceps, ischio-jambiers)

4. Cohérence avec d'autres études
  • Hall et al. : relation similaire pour les squats (rho = -0.38)
  • Douris et al. : relation significative pour l'extension de jambe (r = -0.48)
  • Terzis et al. : pas de différence significative, mais tendance similaire

5. Facteurs non explicatifs
  • Sexe, force absolue, force relative, masse maigre des jambes n'ont pas influencé significativement les résultats

Implications pratiques pour l'entraînement

  1. Si vous pouvez faire beaucoup de répétitions à 60-80% de votre 1RM, vous avez probablement une dominante de fibres lentes.
  2. Si vous atteignez l'échec rapidement à ces intensités, vous avez peut-être plus de fibres rapides.
  3. Les "fibres rapides" pourraient bénéficier de :
    • Plus de temps de récupération entre les séances
    • Un volume d'entraînement légèrement inférieur
    • Une fréquence d'entraînement potentiellement plus basse
  4. Les "fibres lentes" pourraient supporter et bénéficier de :
    • Un volume d'entraînement plus élevé
    • Une fréquence d'entraînement plus élevée

Pour aller plus loin

Si ce sujet vous passionne, je vous recommande de lire les études originales :
  1. Van Vossel et al. (2023) - L'étude principale discutée ici
  2. Hall et al. (2021) - Sur la relation entre les fibres et les performances en squat
  3. Douris et al. (2006) - Sur l'estimation de la typologie par test de fatigue
  4. Terzis et al. (2008) - Sur la relation entre la typologie et les performances en leg press

Bon entraînement à tous, et que la science soit avec vous !
 
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La diète de Sam Sulek décortiquée : Le secret derrière sa masse musculaire impressionnante

Salut les gars,

Aujourd'hui, on va plonger en profondeur dans la diète controversée de Sam Sulek, ce phénomène du bodybuilding qui fait le buzz sur les réseaux. À seulement 21 ans, ce gars a réussi à se construire une physique de dingue avec une approche nutritionnelle qui défie toutes les conventions. Attachez vos ceintures, on va analyser sa routine alimentaire qui frôle les 7000 calories par jour !

Qui est Sam Sulek ?

Pour ceux qui débarquent, Sam Sulek est un bodybuilder de 21 ans qui cartonne sur YouTube et Instagram. Il mesure 1m85 pour 109 kg et maintient un physique ultra sec toute l'année. Ce qui fascine ses fans, c'est sa méthode de prise de masse peu orthodoxe qui inclut des aliments que la plupart des bodybuilders évitent comme la peste.

La diète de Sam en détail :

Repas 1 : Le petit-déj des champions

  • 2 litres de lait chocolaté entier
  • Total : 1840 cal, 128g prot, 256g glucides, 80g lipides

Sam commence sa journée avec un véritable tsunami de calories. Ce premier repas à lui seul couvre les besoins journaliers de beaucoup de gens !

Repas 2 : La pause céréales
  • 169g de céréales Cheerios au miel
  • 3 tasses de lait entier
  • Total : 1240 cal, 35g prot, 209g glucides, 38g lipides

Un classique du bulk, mais poussé à l'extrême. Sam ne lésine pas sur la quantité.

Intra-entraînement : Le boost glucidique
  • 50-100g de glucides en supplément (type poudre de Gatorade)
  • Total : 200-400 cal, 50-100g glucides

Sam mise beaucoup sur l'apport en glucides pendant l'effort pour maximiser ses performances.

Post-entraînement : La récup' express
  • 100g de glucides en supplément (dextrose ou cluster dextrine)
  • 2 mesures de whey isolate
  • Total : 560 cal, 50g prot, 100g glucides

Ici, on voit que Sam n'oublie pas les fondamentaux avec un shake post-workout riche en protéines et glucides rapides.

Repas 3 : Le cheat meal quotidien
  • 1 cheeseburger Five Guys
  • 1 portion moyenne de frites
  • Total : 1680 cal, 51g prot, 190g glucides, 85g lipides

Là où beaucoup se limitent à un cheat meal par semaine, Sam en fait un élément quotidien de sa diète !

Repas 4 : Le dessert calorique
  • 4 donuts Krispy Kreme
  • 4 tasses de lait entier
  • Total : 1480 cal, 40g prot, 208g glucides, 60g lipides

Sam termine sa journée en beauté avec un repas qui ferait cauchemarder la plupart des coachs en nutrition.

Total journalier :
  • Plus de 7000 calories
  • 304g+ de protéines
  • 1013g+ de glucides
  • 263g+ de lipides

La philosophie derrière cette diète de fou :

1. Maximiser l'apport calorique : Sam vise une prise de masse agressive, d'où ces quantités astronomiques.

2. Priorité aux glucides : Avec plus de 1000g par jour, les glucides sont clairement la pierre angulaire de sa diète.

3. Digestion facile : En choisissant des aliments transformés et riches en sucres, Sam facilite l'ingestion de grandes quantités de calories.

4. Consistance : Malgré l'aspect "sale" de sa diète, Sam reste cohérent dans sa structure de repas.

5. Timing nutritionnel : Il accorde une attention particulière à l'apport en glucides autour de l'entraînement.

Pourquoi ça marche pour lui ?

  • Métabolisme de feu : À 21 ans, Sam a un métabolisme ultra rapide qui lui permet de brûler énormément de calories.
  • Volume d'entraînement élevé : Il s'entraîne de manière intense, ce qui justifie en partie ces apports caloriques massifs.
  • Génétique favorable : Il faut l'admettre, Sam a probablement gagné à la loterie génétique.
  • Cohérence : Malgré l'aspect extrême, il suit ce plan de manière rigoureuse.

Les risques potentiels :

  • Santé à long terme : Une diète si riche en sucres et graisses saturées pourrait avoir des conséquences sur sa santé cardiovasculaire.
  • Dépendance insulinique : Ces pics glycémiques répétés pourraient affecter sa sensibilité à l'insuline.
  • Déséquilibres nutritionnels : Malgré les calories, cette diète manque de diversité et pourrait conduire à des carences.
  • Troubles digestifs : La quantité de nourriture ingérée peut être difficile à digérer pour beaucoup.

Comment s'en inspirer (avec précaution) :

1. Calculez vos propres besoins : 7000 calories, c'est probablement trop pour 99% d'entre nous. Utilisez un calculateur TDEE et ajoutez 300-500 calories pour un bulk propre.

2. Gardez une base d'aliments complets : Intégrez des fruits, légumes, viandes maigres et bonnes graisses pour assurer un apport nutritionnel équilibré.

3. Timing des glucides : Concentrez votre apport en glucides autour de l'entraînement pour optimiser l'énergie et la récupération.

4. Progression graduelle : Augmentez progressivement vos calories semaine après semaine plutôt que de faire un bond brutal.

5. Écoutez votre corps : Si vous ressentez des troubles digestifs ou une prise de gras excessive, ajustez votre plan.

6. Suivi régulier : Pesez-vous et prenez des photos régulièrement pour évaluer votre progression.

En conclusion, la diète de Sam Sulek est fascinante mais extrême. Elle montre qu'il existe différentes approches pour atteindre ses objectifs en musculation. Cependant, il est crucial de l'adapter à sa propre réalité et de prioriser sa santé sur le long terme.

Qu'en pensez-vous ? Quelqu'un a déjà expérimenté une approche similaire ? Partagez vos expériences et vos réflexions !
 

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