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Oui quand je parle de rapidité je parle de personne qui éjacule précocement.

La dapoxetine est une molécule qui les aidera a retarder le phénomène d'éjaculation précoce.

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Recommandations générales :
Priligy est indiqué uniquement chez les hommes souffrant d'éjaculation précoce qui regroupent tous les critères listés en rubrique Indications et Pharmacodynamie. Priligy ne doit pas être prescrit chez les hommes chez qui il n'a pas été diagnostiqué d'éjaculation précoce. La sécurité n'a pas été établie et il n'existe pas de données sur l'effet du délai éjaculatoire chez les hommes ne souffrant pas d'éjaculation précoce.
Autres formes de dysfonctionnement sexuel :
Avant le traitement, les sujets qui ont d'autres formes de dysfonctionnement sexuel, y compris la dysfonction érectile, doivent être soigneusement examinés par les médecins. Priligy ne doit pas être utilisé chez les hommes avec une dysfonction érectile (DE) qui utilisent des inhibiteurs de la PDE5 ( cf Interactions).
Hypotension orthostatique :
Avant l'instauration du traitement, un examen médical approfondi, incluant les antécédents d'événements orthostatique, doit être effectué par le médecin. Un test orthostatique doit être réalisé avant d'instaurer le traitement (tension artérielle et pouls, allongé et debout). En cas d'antécédents documentés ou suspectés de réaction orthostatique, le traitement par Priligy doit être évité.
L'hypotension orthostatique a été rapportée dans les essais cliniques. Le médecin doit informer à l'avance le patient qu'en cas de symptômes précurseurs potentiels, tels que des étourdissements peu de temps après passage à la position debout, il doit immédiatement s'allonger de telle sorte que sa tête soit plus basse que le reste de son corps, ou s'asseoir avec la tête entre les genoux jusqu'à ce que les symptômes disparaissent. Le médecin doit également informer le patient de ne pas se lever rapidement après avoir été longuement couché ou assis.
Suicide/pensées suicidaires :
Dans les études à court terme menées chez des enfants et des adolescents souffrant d'un trouble dépressif majeur (TDM) et d'autres troubles psychiatriques, les antidépresseurs, y compris les ISRS, ont augmenté le risque d'idées et de tendances suicidaires comparé au groupe placebo. Les études à court terme n'ont pas montré de risque accru de tendance suicidaire chez des adultes de plus de 24 ans qui prenaient des antidépresseurs comparé au groupe placebo. Dans les essais cliniques sur Priligy utilisé comme traitement de l'éjaculation précoce, aucune preuve manifeste de tendances suicidaires n'a été associée au traitement dans l'évaluation des événements indésirables liés aux tentatives de suicide évalué par le Columbia Classification Algorhythm of Suicide Assessment (C-CASA), Montgomery-Asberg Depression Rating Scale, ou le Beck Depression Inventory-II.
Syncope :
Les patients doivent être avertis d'éviter des situations pouvant les exposer à une blessure, y compris la conduite ou l'utilisation de machines dangereuses, en cas de syncope ou de symptômes précurseurs tels que sensations vertigineuses ou étourdissements ( cf Effets indésirables).
Les symptômes précurseurs potentiels tels que nausées, sensations vertigineuses/étourdissements, et diaphorèse ont été rapportés plus fréquemment chez les patients traités par Priligy en comparaison au groupe placebo.
Dans les essais cliniques, les cas de syncope, caractérisés comme une perte de conscience, avec bradycardie ou arrêt sinusal observés chez les patients portant des moniteurs Holter, ont été considérés comme d'étiologie vasovagale et la majorité des cas est survenue durant les 3 premières heures suivant la prise du médicament, après la première dose ou suite aux procédures liées à l'étude clinique (telles que prélèvements sanguins, manœuvres orthostatiques et mesures de la tension artérielle). Les symptômes précurseurs potentiels tels que nausées, sensations vertigineuses, étourdissements, palpitations, asthénie, confusion et diaphorèse sont généralement survenus durant les 3 premières heures suivant la prise du médicament, et ont souvent précédé la syncope. Les patients doivent être informés qu'ils peuvent à tout moment avoir une syncope avec ou sans symptômes précurseurs, pendant leur traitement par Priligy. Les prescripteurs doivent informer les patients de l'importance de maintenir une hydratation suffisante. Ils doivent aussi les informer sur la façon de reconnaître les signes et les symptômes précurseurs afin de diminuer la probabilité de blessure grave associée à une chute consécutive à une perte de conscience. Si le patient présente des symptômes précurseurs potentiels, il doit immédiatement s'allonger de telle sorte que sa tête soit plus basse que le reste de son corps ou s'asseoir avec la tête entre les genoux jusqu'à ce que les symptômes disparaissent. Le patient doit être averti de la nécessité d'éviter des situations pouvant l'exposer à une blessure en cas de syncope ou d'autres effets sur le SNC, y compris la conduite ou l'utilisation de machines dangereuses ( cf Conduite et Utilisation de machines).
Patients avec facteurs de risque cardiovasculaire :
Les sujets ayant une maladie cardiovasculaire sous-jacente ont été exclus des essais cliniques de phase 3. Le risque d'incidences indésirables cardiovasculaires d'une syncope (syncope cardiaque et syncope d'étiologie différente) est augmenté chez les patients présentant une maladie cardiovasculaire structurelle sous-jacente (par exemple, obstruction de la voie d'éjection documentée, cardiopathie valvulaire, sténose carotidienne et maladie coronarienne). Il n'y a pas suffisamment de données pour déterminer si ce risque accru s'étend à la syncope vasovagale chez les patients présentant une maladie cardiovasculaire sous-jacente.
Utilisation avec des drogues récréatives :
Les patients doivent être informés de ne pas utiliser Priligy en association avec des drogues récréatives.
Les drogues récréatives ayant une activité sérotoninergique, comme la kétamine, la méthylène-dioxy-méthylamphétamine (MDMA) et l'acide lysergique diéthylamide (LSD) peuvent conduire à des réactions potentiellement graves si elles sont associées à Priligy. Ces réactions incluent, entre autres, arythmie, hyperthermie, et syndrome sérotoninergique. L'utilisation de Priligy avec des drogues récréatives ayant des propriétés sédatives, comme les stupéfiants et les benzodiazépines, peut augmenter d'autant plus la somnolence et les sensations vertigineuses.
Éthanol :
Les patients doivent être informés de ne pas utiliser Priligy en association avec de l'alcool.
L'association de l'alcool et de la dapoxétine peut augmenter les effets neurocognitifs liés à l'alcool et peut également augmenter les évènements indésirables neurocardiogéniques, tels qu'une syncope, augmentant ainsi le risque de blessure accidentelle ; par conséquent, les patients doivent être informés de le nécessité d'éviter l'alcool pendant leur traitement par Priligy ( cf Interactions , Conduite et Utilisation de machines).
Médicaments ayant des propriétés vasodilatatrices :
Priligy doit être prescrit avec précaution chez les patients prenant des médicaments aux propriétés vasodilatatrices (tels que les antagonistes des récepteurs alpha-adrénergiques et les nitrates) en raison de l'éventuelle diminution de la tolérance orthostatique ( cf Interactions).
Inhibiteurs modérés du CYP3A4 :
La prudence est recommandée chez les patients prenant des inhibiteurs modérés du CYP3A4 et la dose est limitée à 30 mg ( cf Posologie et Mode d'administration , Interactions).
Inhibiteurs puissants du CYP2D6 :
La prudence est recommandée en cas d'augmentation de la dose à 60 mg chez les patients prenant des inhibiteurs puissants du CYP2D6 ou chez les patients connus pour être de génotype métaboliseur lent du CYP2D6, car cela peut augmenter les niveaux d'exposition, pouvant entraîner une incidence et une gravité plus élevées des effets indésirables dose-dépendants ( cf Posologie et Mode d'administration , Interactions , Pharmacocinétique).
Manies :
Priligy ne doit pas être utilisé chez les patients ayant des antécédents de manie/hypomanie ou de troubles bipolaires, et doit être interrompu chez tout patient qui développe les symptômes de ces troubles.
Crises d'épilepsie :
En raison du risque lié aux ISRS d'abaisser le seuil épileptogène, Priligy doit être interrompu chez tout patient qui développe des crises d'épilepsie et évité chez les patients présentant une épilepsie instable. Les patients dont l'épilepsie est contrôlée doivent faire l'objet d'une surveillance étroite.
Population pédiatrique :
Priligy ne doit pas être utilisé chez les personnes de moins de 18 ans.
Dépression et/ou troubles psychiatriques :
Les hommes présentant des signes et des symptômes sous-jacents de dépression doivent être évalués avant qu'un traitement par Priligy ne leur soit prescrit, afin d'exclure des troubles dépressifs non diagnostiqués. Le traitement concomitant par Priligy et des antidépresseurs, incluant des ISRS et des IRSN, est contre-indiqué ( cf Contre-indications). Il n'est pas recommandé d'interrompre le traitement en cours contre la dépression ou l'anxiété pour débuter Priligy dans le traitement d'une EP. Priligy n'est pas indiqué dans les troubles psychiatriques et ne doit pas être utilisé chez les hommes présentant ces troubles, tels que schizophrénie, ou chez ceux souffrant d'une dépression concomitante, car une aggravation des symptômes liés à la dépression ne peut être exclue. Cela pourrait résulter de troubles psychiatriques sous-jacents ou d'un traitement médicamenteux.
Les médecins doivent encourager les patients à signaler à tout moment toute pensée ou sentiment de souffrance, et si les signes et les symptômes d'une dépression se développent durant le traitement, Priligy doit être interrompu.
Hémorragie :
Des cas de troubles hémorragiques ont été rapportés avec les ISRS. La prudence est recommandée chez les patients prenant Priligy, notamment en cas d'utilisation concomitante de médicaments connus pour affecter la fonction plaquettaire (par exemple, antipsychotiques atypiques et phénothiazines, acide acétylsalicylique, anti-inflammatoires non stéroïdiens [AINS] et agents antiplaquettaires) ou avec des anticoagulants (par exemple, warfarine), de même que chez les patients ayant des antécédents d'hémorragie ou de troubles de la coagulation ( cf Interactions).
Insuffisance rénale :
L'utilisation de Priligy n'est pas recommandée chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale sévère, et la prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée ( cf Posologie et Mode d'administration , Pharmacocinétique).
Effets du sevrage :
L'arrêt brutal d'ISRS administrés à long terme dans le traitement des troubles dépressifs chroniques a montré qu'il provoquait les symptômes suivants : dysphorie, irritabilité, agitation, sensations vertigineuses, troubles sensoriels (par exemple, paresthésies telles que des sensations de choc électrique), anxiété, confusion, céphalée, léthargie, labilité émotionnelle, insomnie et hypomanie.
Une étude clinique en double aveugle menée chez des sujets souffrant d'EP et conçue pour évaluer les effets du sevrage après administration d'une dose de Priligy de 60 mg quotidienne ou suivant les besoins, pendant 62 jours, a révélé de légers symptômes de sevrage, avec une incidence légèrement supérieure des insomnies et des sensations vertigineuses chez les sujets passant d'une administration quotidienne au placebo ( cf Pharmacodynamie).
Troubles de la vue :
L'utilisation de Priligy a été associée à des effets oculaires tels que mydriase et douleur oculaire. Priligy doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant une pression intraoculaire élevée ou un risque de glaucome à angle fermé.
Intolérance au lactose :
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp, ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).
 
Résumé du profil de sécurité :
Syncope et hypotension orthostatique ont été rapportées dans les essais cliniques ( cf Mises en garde et Précautions d'emploi).
Les effets indésirables suivants ont été rapportés le plus fréquemment dans les études cliniques de phase 3 et ont été liés à la dose : nausées (11,0 % et 22,2 % pour des doses de 30 mg et 60 mg administrées à la demande, respectivement), sensations vertigineuses (5,8 % et 10,9 %), céphalées (5,6 % et 8,8 %), diarrhées (3,5 % et 6,9 %), insomnies (2,1 % et 3,9 %) et fatigue (2,0 % et 4,1 %). Les évènements indésirables les plus fréquents ayant entraîné un arrêt du traitement ont été les nausées (2,2 % des sujets traités par Priligy) et les sensations vertigineuses (1,2 % des sujets traités par Priligy).
Liste tabulée des effets indésirables :
La tolérance de Priligy a été évaluée chez 4224 sujets souffrant d'éjaculation précoce ayant participé à cinq études cliniques en double aveugle contrôlées versus placebo. Sur ces 4224 sujets, 1616 ont reçu une dose de Priligy 30 mg selon les besoins et 2608 ont reçu une dose de Priligy 60 mg selon les besoins ou une fois par jour.
(Très fréquent : > 1/10 ; fréquent : ≥ 1/100, < 1/10 ; peu fréquent : ≥ 1/1000, < 1/100 ; rare : ≥ 1/10 000, < 1/1000).
Le tableau 1 présente les effets indésirables rapportés.
Tableau 1 : Fréquence des effets indésirables (MedDRA)
Classe de systèmes d'organes
Fréquence Effets indésirables
Affections psychiatriques
Fréquent Anxiété, agitation, impatience, insomnie, rêves anormaux, diminution de la libido
Peu fréquent Dépression, humeur dépressive, humeur euphorique, altération de l'humeur, nervosité, indifférence, apathie, état confusionnel, désorientation, pensées anormales, hypervigilance, troubles du sommeil, insomnie initiale, insomnie de milieu de nuit, cauchemars, bruxisme, perte de la libido, anorgasmie
Affections du système nerveux
Très fréquent Sensations vertigineuses, céphalées
Fréquent Somnolence, troubles de l'attention, tremblements, paresthésie
Peu fréquent Syncope, syncope vasovagale, vertiges posturaux, akathisie, dysgueusie, hypersomnie, léthargie, sédation, niveau de conscience diminué
Rare Vertiges d'effort, endormissement soudain
Affections oculaires
Fréquent Vision trouble
Peu fréquent Mydriase (cf Mises en garde et Précautions d'emploi), douleur oculaire, trouble visuel
Affections de l'oreille et du labyrinthe
Fréquent Acouphènes
Peu fréquent Vertiges
Affections cardiaques
Peu fréquent Arrêt sinusal, bradycardie sinusale, tachycardie
Affections vasculaires
Fréquent Flush
Peu fréquent Hypotension, hypertension systolique, bouffées de chaleur
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquent Congestion sinusale, bâillements
Affections gastro-intestinales
Très fréquent Nausées
Fréquent Diarrhées, vomissements, constipation, douleur abdominale, douleur abdominale haute, dyspepsie, flatulences, gêne au niveau de l'estomac, distension abdominale, sécheresse buccale
Peu fréquent Gêne abdominale, gêne épigastrique
Rare Besoin urgent de déféquer
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquent Hyperhidrose
Peu fréquent Prurit, sueurs froides
Affections des organes de reproduction et du sein
Fréquent Dysfonction érectile
Peu fréquent Échec de l'éjaculation, trouble orgasmique masculin, paresthésie génitale masculine
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Fréquent Fatigue, irritabilité
Peu fréquent Asthénie, sensation de chaleur, sensation d'énervement, sensation d'être anormal, sensation d'ivresse
Investigations
Fréquent Augmentation de la tension artérielle
Peu fréquent Augmentation du rythme cardiaque, augmentation de la tension artérielle diastolique, augmentation de la tension artérielle orthostatique
Les effets indésirables rapportés au cours de l'étude d'extension à long terme de 9 mois en ouvert étaient cohérents avec ceux rapportés dans les études en double aveugle, et aucun autre effet indésirable n'a été rapporté.
Description de certains effets indésirables :
La syncope, caractérisée comme une perte de conscience, avec bradycardie ou arrêt sinusal observés chez les patients portant des moniteurs Holter, a été rapportée dans les essais cliniques et est considérée comme étant liée au médicament. La majorité des cas est survenue durant les 3 premières heures suivant la prise, après la première dose ou suite aux procédures liées à l'étude clinique (telles que prélèvements sanguins, manœuvres orthostatiques et mesures de la tension artérielle). Les symptômes précurseurs ont souvent précédé la syncope ( cf Mises en garde et Précautions d'emploi).
La survenue d'une syncope et de symptômes précurseurs potentiels semble être dose-dépendante comme l'a démontré une incidence plus élevée chez les patients traités avec des doses plus élevées que celles recommandées dans les essais cliniques de phase 3.
L'hypotension orthostatique a été rapportée dans les essais cliniques ( cf Mises en garde et Précautions d'emploi). La fréquence des syncopes, caractérisées comme une perte de conscience dans le programme de développement clinique de Priligy, variait en fonction de la population étudiée et oscillait entre 0,06 % (30 mg) et 0,23 % (60 mg) chez les sujets recrutés dans les essais cliniques de phase 3 contrôlés versus placebo, et 0,64 % (toutes doses confondues) dans les études de phase 1 menées chez des volontaires sains sans EP.
Autres populations particulières :
La prudence est recommandée lors d'une augmentation de dose à 60 mg chez des patients prenant de puissants inhibiteurs du CYP2D6 ou lors d'une augmentation de dose à 60 mg chez des patients avec un génotype CYP2D6 métaboliseur lent ( cf Posologie et Mode d'administration , Mises en garde et Précautions d'emploi , Interactions , Pharmacocinétique).
Effets du sevrage :
L'arrêt brutal d'ISRS administrés à long terme dans le traitement des troubles dépressifs chroniques, a montré qu'il provoquait les symptômes suivants : dysphorie, irritabilité, agitation, sensations vertigineuses, troubles sensoriels (par exemple, paresthésies telles que des sensations de choc électrique), anxiété, confusion, céphalée, léthargie, labilité émotionnelle, insomnie et hypomanie.
Les résultats d'une étude de sécurité ont révélé une incidence légèrement supérieure des symptômes de sevrage, tels que des insomnies légères ou modérées et des sensations vertigineuses chez les sujets passant d'une administration quotidienne pendant 62 jours au placebo.
 
Dernière modification par un modérateur:
J'avais déjà essayé ya longtemps à mon avis faut le combiné avec un kama ou autre

j'avais trouvé que ça réduisait l'envie et la
sensibilité/sensation

Et pour ceux qui veulent faire des trou dans les murs c'est celui là qu'il faut prendre :D
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Dernière édition:
Bonjour, si je comprends bien les ampoules sont toutes expédiées d'Asie ?

Est-ce un pays low-profile ?

Je ne parviens pas à trouver des revendeurs agréés pour l'UE, est-ce que ça existe ?

Cdt,

PS : la ressemblance avec le logo de Myprot, coincidence ou cancer ?
 
Ça a pas l air de trop mal passer d asie

Y a des revendeurs UE mais qui sont moins dispo sur le stock et t as parfois des surprises dans la date de péremption

J ai rien compris à ton histoire avec myprot
 
Cimer chef pour ces infos

Le logo Pharmacom ressemble pas mal au logo myprot. Si certains ont des codes de parrainage à partager :p
 
Alors pour te répondre @Technik il ya un revendeur qui envoi depuis l'UE mais comme te l'a dis havah il ya souvent des surprises sur les dates, les stock sont pas top et beaucoup de saisie. Mais si tu le souhaite tente ta chance.

Sinon chez nous, pharmacomstore le 1er revendeur agréé pharmacom, notre taux de passage et de l'ordre de 98% vers la zone EU. Tout nos produits, que ce soit ampoules, vials ou tabs sont expédiés depuis le même entrepôt en Asie.

Merci à samuro pour cette remarque pertinente, sur la comparaison my prot et pharmacom, effectivement, dans leur domaine respectif, niveau qualité ce n'est pas comparable.

La qualité pharmacom n'est plus à démontrer, les test lab et les résultats des personnes qui les utilisent parlent d'eux même.

Sinon zyk comme tu l'as dis il y a bien le code "kayzer88" qui est toujours actif et qui te permet d'obtenir 15% de réduction, et si tu paye en btc tu obtiendra 5% supplémentaires.
 

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