Cure dbol + tren

la melatonine me file des cauchemars, et la ZMB me donne un sommeil agité.
J ai testé la glycine, ca aide, en tout cas pour moi.
Sinon quand au pire comme le suggestif @havah des bzd a demi vie courte et en quantité tres raisonnable ca marche pas mal mais il faut quand meme se méfier.
 
après si t'as un passif de toxico en effet se lancer là dedans c'est pas l'idée du siècle, mais sinon en vrai c'est pas 12 semaines de benzo sous tren qui vont te rendre accro, t'es encore dans les recommandations niveau durée
par contre après ça se cycle pareil, au risque que ça soit de moins en moins efficace
mais le jeu en vaut la chandelle, perso le sommeil je tiens autant que la diète :D
 
oui et non, si tu tournes a 0,25 ou 0,5 mg d alprazolam je dit pas, mais 12 semaines a 1mg tu commences deja a jouer un peu avec le feu. Et puis il y a des terrain plus sujet a l addiction que d autre.
Je ne parle meme pas du zolpiderm (apparenté benzo).

cela étant dit, sous tren le manque de sommeil est un ES extrêmement handicapant et potentiellement contre productif.
Deja que ca rend légèrement agressif si en plus tu manques de sommeil ca peut vite devenir problématique :D
 
ah oui je parle des benzo pures, le zolpidem/zopiclone c'est 1 mois maximum
après c'est sous prescription pour pas trop merdouiller non plus, 1mg d'alprazolam c'est en effet énorme, et ça peut même être contre productif, les benzo à courte demie vie à haute dose amenant relativement souvent un effet paradoxal - ou en tout cas plus facilement que dans des posologies sérieuses

je pousse pas à la consommation hein :D mais que ce soit pour les gains, la relance, le risque cardio (qui se majore très vite en privation de sommeil), ça vaut le coup d'en parler au doc si on dort pas :p
 
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@WillBT Lol moi c'est tout l'inverse, Melatonine je suis en mode someil profond, cerveau en veille a 20 milles lieux sous les mer, le reveil c'est une misére a emergé et ZMA super relaxant bien que ca m'endorme pas. En revanche le GABA quel merde on dirait un truc de chamane je fais des cauchemards horribles.

@havah Intéressantes tes remarques de doc :) !!!!
 
Franchement, conseiller de prendre une benzo pour mieux dormir en cure... Sans vouloir manquer de respect à personne, c'est une des pires idées que j'ai lue. Si on ne supporte pas une molécule, on en choisit une autre. Si on ne supporte pas les roro's ou qu'ils n'apportent rien, on ne cure pas!
 
J'ai eu un nouvel ES bien connu ce matin:), la "toux tren". En fait je n'ai pas toussé mais j'ai eu une brûlure assez intense au niveau de la gorge pendant qq instants puis une sensation de chaleur désagréable. Ok, ce n'est pas très agréable mais là encore rien d'insupportable.;)
 
BENZODIAZEPINE :

Pour en avoir eu une courte et très mauvaise expérience, c'est une des pire merdes inventées dans la chimie médicamenteuse après avoir effectué de simples recherches pour comprendre.


Je déconseille cette merde créée pour être rentable en 1er lieu quand on va au bout du cheminement.


 
il ne faut pas jeter le bebe avec l eau du bain.
C est comme beaucoup de medicaments, utiliser/prescrit a mauvais escient c est effectivement irresponsable, mais a cote de ca, ca permet a des gens qui en ont besoin de passer un cap ou de continuer a fonctionner a peu près normalement.
Comme les anti dépresseurs d ailleurs.
 
il ne faut pas jeter le bebe avec l eau du bain.
C est comme beaucoup de medicaments, utiliser/prescrit a mauvais escient c est effectivement irresponsable, mais a cote de ca, ca permet a des gens qui en ont besoin de passer un cap ou de continuer a fonctionner a peu près normalement.
Comme les anti dépresseurs d ailleurs.
Je pense justement que dans le cas d'utilisation des BENZODIAZEPINE tout est à jeter et d'autres solutions existent.

Pose toi et prend le temps du reportage.
 
Franchement, conseiller de prendre une benzo pour mieux dormir en cure... Sans vouloir manquer de respect à personne, c'est une des pires idées que j'ai lue. Si on ne supporte pas une molécule, on en choisit une autre. Si on ne supporte pas les roro's ou qu'ils n'apportent rien, on ne cure pas!

Pas de problème, c'est un sujet qui m'intéresse et sur lequel on peut discuter
Je dis pas qu'il faut prendre une benzo pour dormir en cure, je dis qu'il faut pas rester avec une dette de sommeil qui s'accumule c'est un massacre sur beaucoup de points, et je suis pas sûr que beaucoup de monde soit prêt à ce moment à arrêter sa cure
Evidemment que c'est l'idéal, mais les gens sont rarement raisonnables à ce point, surtout avec le pump que filent les AAS en journée, tu peux effectivement te faire tes 5h de sommeil pendant 3 mois
Si tu peux les récupérer en journée très bien, si c'est impossible, je pense que la benzo représente beaucoup moins de danger que 3 mois en privation (dans le cas de la tren, après y a d'autres hypnotiques qui sont à tropisme hépatique et qui présentent moins ce risque de dépendance)

BENZODIAZEPINE :

Pour en avoir eu une courte et très mauvaise expérience, c'est une des pire merdes inventées dans la chimie médicamenteuse après avoir effectué de simples recherches pour comprendre.


Je déconseille cette merde créée pour être rentable en 1er lieu quand on va au bout du cheminement.




J'ai regardé, y a plusieurs choses, j'espère pas trop polluer le topic avec mon pavé:

Le documentaire - ou du moins les personnes interviewés mettent en avant des considérations qui sont d'un autre âge
Les prescriptions des benzos pour leur propriété myorelaxantes sont très rares
Il est aujourd'hui clairement établi que la prescription de benzodiazépines au long cours est néfaste, principalement pour les problèmes de tolérance, la tolérance étant :
- le besoin de quantités notablement plus forte du produit pour obtenir une intoxication ou l'effet désiré
- effet notablement diminué en cas d'utilisation continue d'une même quantité de produit
Ca veut dire qu'en gros, si t'es anxieux pour une raison ou pour une autre (dépression à composante anxieuse, trouble anxieux généralisé, trouble de l'adaptation, trouble de personnalité, et j'en passe), tu prends tes benzos, et au fur et à mesure ça va être moins efficace, et les symptômes d'anxiété vont réapparaitre

Des recommandations de bonnes pratiques sont sorties en France depuis longtemps, mettant une limite aux prescriptions (4 semaines pour hypnotiques purs Zolpidem/Zopiclone et 8-12 semaines pour les benzos)
Aucune association avec des troubles cognitifs durables n'a été faite pour des prescriptions qui respectent cette durée; et pour des prise de traitement de plusieurs années (décades et plus), quelques molécules sont incriminés sans que l'association soit forte (bromazepam principalement)
Le "buzz" des benzos est passé et les laboratoires ne démarchent plus pour cette classe de psychotropes depuis longtemps

Le risque de prendre des benzos et celui de devenir dépendant, ce risque est patient-dépendant, un homme de 20 ans qui s'en donne à cœur joie avec du cannabis et avec un trouble anxieux quel qu'il soit est par exemple plus à risque de développer une dépendance qu'une femme de 30 ans sans antécédents
La dépendance n'est pas le syndrome de sevrage, ce dernier étant ni nécessaire ni suffisant pour définir une dépendance

Le syndrome de sevrage aux benzos, qui est principalement discuté dans le documentaire, est bien connu, et est effectivement la résultante de la rééquilibration progressive de l'équilibre GABA/Glutamate du cerveau
(note que c'est cet équilibre qui est également perturbé lors de l'utilisation d'AAS)
Certains patient feront un syndrome de sevrage lors de l'arrêt brutal des benzos, d'autres n'en feront pas
Le syndrome de sevrage est transitoire, parfois dangereux (terrain épileptique, maladie psychiatrique sous jacente), et toujours évitable lors d'une décroissance progressive, qui est aujourd'hui bien codifiée
Avec les signes du symptômes de sevrage décrits dans le documentaire (signes digestif parfois, hyperexcitabilité neuronale globale principalement), lors de l'arrêt du traitement, vont réapparaitre les manifestations anxieuses déjà présentes, qui peuvent s'exprimer différemment, mais qui ne sont pas à mettre sur le compte des benzos, c'est uniquement l'état psychique sous jacent qui revient
C'est à dire que même sans syndrome de sevrage, l'effet sédatif et anxiolytique du traitement est levé, et que donc oui, si les causes à l'origine d'une anxiété chez le patient sont encore présentes, des manifestations anxieuses vont resurgir

Il y a pas de signes de sevrages lors de la prise de benzos alors que tu continue de prendre tes benzos, faut être à des demie vie courte et s'en enquiller des grammes pour que ça ce passe (et donc dès lors être dans le mésusage depuis longtemps), je crains qu'ils aient confondu ça avec la tolérance

Les utilisateurs de benzos sont en moyenne une population à part, dans le sens où la prévalence de plaintes somatiques d'aspect somatoforme (et ce avant tout traitement psychotrope) est écrasante. Ce sont des patients qui en effet on des douleurs abdos, des paresthésies, des vertiges (j'en veux pour exemple l'interviewer du document qui se dit atteint de la maladie de Menière, dont les symptômes aujourd'hui encore sont inexpliqués sur le plan physiopathologique), des acouphènes, des douleurs diverses et autres
A partir de là, toutes les études se cassent rapidement la gueule, parce que tu file du placebo à un patient comme ça et très souvent ça se passe de la même façon (attention je ne dis pas qu'ils font semblant, je dis juste que les symptômes relevés tout au long du documentaire et dans la pratique courante sont les grands classiques de somatisation, et que on avance pas très loin)

Les benzos en soit ne sont pas suicidogènes ni dépressogènes, elles sont prescrites à une population de patient psychiatriques (normalement) qui eux sont à l'origine de passage à l'acte jusqu'à 10% des cas selon la pathologie, et donc forcément il va y avoir des tentatives de suicide avec des benzos, mais c'est pas la molécule en soit qui fait ça
Et c'est une chance qu'on ne prescrive plus de barbiturique, parce que la TS aux barbis ça rate pas, alors qu'avec des benzos faut y aller comme un bourrin
Encore une fois, il y a des molécules dépressogènes qui sont bien connues, les benzos en font pas partie
Tu peux en effet faire des passages à l'acte lors d'un syndrome de sevrage (avec les benzos comme avec toute substance entrainant un syndrome de sevrage), sachant encore une fois qu'on est sur des populations avec une augmentation du risque de suicide augmenté de base, et que l'arrêt brutal est facilement évitable


Je parle pas du Rivotril (clonazepam) qui est sur la liste des stups et réservé à une prescription par un neurologue

Une fois de plus j'invite personne à la consommation, je dis juste que la balance bénéfice risque quand on est en dette de sommeil et qu'on est sous AAS pour 3 mois et qu'on prévoit pas de s'arrêter est en faveur d'une prescription d'hypnotique (que ce soit benzo ou autres, là je parlais du seresta pour éviter de surchager le foie avec la tren, mais y a d'autres hypnotiques qui présentent pas ce risque de dépendance, risque qui encore une fois paraît acceptable au regard des enjeux)
Les chances de faire une dépression après une privation de sommeil comme celle là par exemple étant infiniment supérieures à celles de devenir dépendant aux benzos (et je parle pas du risque cardiaque etc )

Après évidemment, si tu prescrits les benzos n'importe comment, pendant 10 ans, et que t'arrête d'un coup, ça se passe mal
Ca remet pas - à mon avis du moins - en question la pertinence d'un traitement dans certains cas
 
Dernière modification par un modérateur:
"Après évidemment, si tu prescrits les benzos n'importe comment, pendant 10 ans, et que t'arrête d'un coup, ça se passe mal
Ca remet pas - à mon avis du moins - en question la pertinence d'un traitement dans certains cas"

Ça sera court pour ma part, les benzos créent une dépendance marquée sans devoir les prendre pendant 10 ans quoique tu en dises, et nombre de tes confrères qui les prescrivent dans des quantités industrielles ont banalisé comme tu le fais leur prise, pour rendre les patients accrocs à ces merdes qui ne font que masquer les causes.
 
Hah par contre on s'est mal compris, que c'est actuellement prescrit n'importe comment larga manu je suis le premier à le dire, et j'ai plus souvent arrêté des prescriptions de benzo non justifiées que je n'en ai commencé, mon but ici est tout sauf de banaliser des psychotropes

après au regard des risques (1% de risque de dépendance sur vie entière avec les bzd), dans cette situation je pense que ça se discute, mais on est visiblement pas d'accord

désolé d'avoir pourri ton feed @heyachi :p
 
Encore une fois @kgil a tout dit. Pas la peine d'en remettre une couche sur les benzo.
Par contre je reviens sur une chose très intéressante: les causes!
Que l'on soit en cure de tren ou pas, si le sommeil est perturbé c'est qu'il y a quelque chose qui cloche alors mieux vaut régler le problème.
A chaque fois qu'@hardcoreJo ou @barbarrian font une cure, ils attendent que tous les voyants soient au vert. Ca concerne évidemment la PDS mais aussi le reste (état d'esprit, boulot, vie de famille...). Pour éviter les ES qui sont au moins à 80% psychologique, on planifie sa cure et ne fait rien à l'arrache!
@havah aucun soucis poto, nous sommes là pour échanger nos points de vues.;)
 
Puisque l'on parlent de sommeil, apres une cure de tren, tu dors tout le temps... moi ca me fais ca. Je dors en quelques minutes et je ronfle tres fort apparament! La encore on voit la puissance de cette molecule. Car l'organisme est fatigue. Il me faut bien 1 mois pour pour avoir bien recuperer.
 
@Nath78 je veux bien te croire poto ca a l'air mechement puissant la Tren.

Tu as du devenir une beast avec le Stack Oxy, pas trop dure sur le foie et le mood ?
 

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